Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
17 critiques presse
20 Minutes
par Stéphane Leblanc
C’est un film gonflé, certains diront « gonflant », certes un peu bavard mais exceptionnel à plus d’un titre.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Transfuge
par Oriane Jeancourt Galignani
"Les Beaux Jours d'Aranjuez" a la perfection d'un jour d'été.
Le Figaro
par Marie-Noëlle Tranchant
À l'intérieur, dans un merveilleux bureau bibliothèque, spacieux et studieux, un homme devant sa machine à écrire les observe, les songe, les écrit… À moins que ce ne soit eux qui inventent leur auteur (Jens Harzer). Un juke-box distille la musique de Nick Cave. C'est tout et c'est assez.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Ouest France
par Yves Aumont
Une immersion sensorielle déconcertante, existentielle et paisible.
aVoir-aLire.com
par Alexandre Jourdain
Bravant l’aridité d’une mise en scène tout entière portée par le verbe et le bruit des feuillages, Wenders célèbre le langage et l’érotisme avec une verve des plus littéraires. Où la 3D donne corps à un paradis perdu avant l’apocalypse.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
La Croix
par Jean-Claude Raspiengeas
Le cinéaste allemand s’empare d’une pièce de Peter Handke et, avec les meilleures intentions, l’étouffe sous un formalisme daté.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
La Voix du Nord
par Philippe Lagouche
Trois caméras postées au service d’une mise en scène feutrée traqueuse de visages, l’auteur de "Paris, Texas" use délicatement de la 3D, de son infinie profondeur de champ, contribuant à créer une troublante et touchante intimité, assurant au film un drôle de sentiment d’éternité.
Culturopoing.com
par Laura Tuffery
L’exigence du texte aurait sans doute suffit à une mise en scène fluide de ce duo en plein air, sans que nul piano, nul jukebox ne vienne perturber ce coït verbal, ce que les dix dernières minutes seulement des "Beaux jours d’Aranjuez" lui laissent pour nous émouvoir et rappeler le talent de conteur de Wim Wenders.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Les Fiches du Cinéma
par Aude Jouanne
Basé sur un texte de Peter Handke et en 3D, le nouveau film de Wim Wenders s’enferme dans ses expérimentations jusqu’à devenir sa propre caricature.
Positif
par Albert Bolduc
Si le texte de Handke intéresse, l'artificialité du dispositif, loin de sublimer la situation, lui donne un quelque chose de faux et de raide qui, assez vite, agace.
Studio Ciné Live
par Laurent Dijan
Bien que la caméra tourne autour d'eux avec élégance, le texte (...) s'égare dans d'assommantes considérations pseudo philosophiques.
Cahiers du Cinéma
par Gaspard Nectoux
Jamais un film nu n’a été autant habillé de gadgets, et Wenders dirige son projet du bout des doigts, incapable de le rattraper quand il bascule dans ce qui a de tout temps menacé son cinéma : l’ombre du ringard.
Critikat.com
par François Giraud
Au fond, cette adaptation du texte de Peter Handke, qui peut rappeler les tentatives ciné-littéraires des années 1960 et 1970 (de Resnais et Duras), échoue dans son incapacité à transgresser ce matériau littéraire pour aboutir à une forme cinématographique adéquate.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
L'Obs
par Pascal Mérigeau
Le temps passe, lentement, très lentement. Les acteurs ont à l’évidence du mal avec le texte, ce qui se peut comprendre. Le spectateur, aussi, a du mal. Il se demande pourquoi ces phrases sentencieuses, cet enfilage de poncifs, cette prétention satisfaite d’elle-même, en un mot pourquoi ce pensum. "Nous avons été ici pour rien ?" Oui.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Monde
par Thomas Sotinel
Ce long dialogue entre un homme et une femme, écrit par Peter Handke, filmé par Wim Wenders, laisse, par sa platitude, toute latitude à l’esprit pour vagabonder.
Les Inrockuptibles
par Serge Kaganski
On n'éprouve aucun plaisir à constater une fois encore la fuite de son inspiration et l'évaporation de la grâce de son cinéma depuis Jusqu'au bout du monde, en 1991.
Télérama
par Jacques Morice
On devine l'intention — fuir la vulgarité, redonner ses lettres de noblesse au dépassement de soi. Résultat totalement contre-productif.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
20 Minutes
C’est un film gonflé, certains diront « gonflant », certes un peu bavard mais exceptionnel à plus d’un titre.
Transfuge
"Les Beaux Jours d'Aranjuez" a la perfection d'un jour d'été.
Le Figaro
À l'intérieur, dans un merveilleux bureau bibliothèque, spacieux et studieux, un homme devant sa machine à écrire les observe, les songe, les écrit… À moins que ce ne soit eux qui inventent leur auteur (Jens Harzer). Un juke-box distille la musique de Nick Cave. C'est tout et c'est assez.
Ouest France
Une immersion sensorielle déconcertante, existentielle et paisible.
aVoir-aLire.com
Bravant l’aridité d’une mise en scène tout entière portée par le verbe et le bruit des feuillages, Wenders célèbre le langage et l’érotisme avec une verve des plus littéraires. Où la 3D donne corps à un paradis perdu avant l’apocalypse.
La Croix
Le cinéaste allemand s’empare d’une pièce de Peter Handke et, avec les meilleures intentions, l’étouffe sous un formalisme daté.
La Voix du Nord
Trois caméras postées au service d’une mise en scène feutrée traqueuse de visages, l’auteur de "Paris, Texas" use délicatement de la 3D, de son infinie profondeur de champ, contribuant à créer une troublante et touchante intimité, assurant au film un drôle de sentiment d’éternité.
Culturopoing.com
L’exigence du texte aurait sans doute suffit à une mise en scène fluide de ce duo en plein air, sans que nul piano, nul jukebox ne vienne perturber ce coït verbal, ce que les dix dernières minutes seulement des "Beaux jours d’Aranjuez" lui laissent pour nous émouvoir et rappeler le talent de conteur de Wim Wenders.
Les Fiches du Cinéma
Basé sur un texte de Peter Handke et en 3D, le nouveau film de Wim Wenders s’enferme dans ses expérimentations jusqu’à devenir sa propre caricature.
Positif
Si le texte de Handke intéresse, l'artificialité du dispositif, loin de sublimer la situation, lui donne un quelque chose de faux et de raide qui, assez vite, agace.
Studio Ciné Live
Bien que la caméra tourne autour d'eux avec élégance, le texte (...) s'égare dans d'assommantes considérations pseudo philosophiques.
Cahiers du Cinéma
Jamais un film nu n’a été autant habillé de gadgets, et Wenders dirige son projet du bout des doigts, incapable de le rattraper quand il bascule dans ce qui a de tout temps menacé son cinéma : l’ombre du ringard.
Critikat.com
Au fond, cette adaptation du texte de Peter Handke, qui peut rappeler les tentatives ciné-littéraires des années 1960 et 1970 (de Resnais et Duras), échoue dans son incapacité à transgresser ce matériau littéraire pour aboutir à une forme cinématographique adéquate.
L'Obs
Le temps passe, lentement, très lentement. Les acteurs ont à l’évidence du mal avec le texte, ce qui se peut comprendre. Le spectateur, aussi, a du mal. Il se demande pourquoi ces phrases sentencieuses, cet enfilage de poncifs, cette prétention satisfaite d’elle-même, en un mot pourquoi ce pensum. "Nous avons été ici pour rien ?" Oui.
Le Monde
Ce long dialogue entre un homme et une femme, écrit par Peter Handke, filmé par Wim Wenders, laisse, par sa platitude, toute latitude à l’esprit pour vagabonder.
Les Inrockuptibles
On n'éprouve aucun plaisir à constater une fois encore la fuite de son inspiration et l'évaporation de la grâce de son cinéma depuis Jusqu'au bout du monde, en 1991.
Télérama
On devine l'intention — fuir la vulgarité, redonner ses lettres de noblesse au dépassement de soi. Résultat totalement contre-productif.