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Votre avis sur Baden Baden ?
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Une vraie comédie d'auteur. Un premier film plein d'invention avec des personnages attachants incarnés par des acteurs formidables.
Je comprends pas pourquoi ce film a eu du succès meme un film sur ma vie serait moins chiant..
Sans interet
Sans interet
film simple et vivifiant, on rit de la complexité de la vie avec des acteurs frais et naturels, on se laisse emporter facilement tout comme l'héroïne qui retombe dans ses travers
Je me demande parfois comment certains films sont réalisés. Baden Baden en est un bon exemple. Le scénario est beaucoup moindre que la somme de toute ses parties. Une l'histoire peu plausible et qui va ne va nulle part et le film est comme regarder un épisode aléatoire d'une série télévisée. Il commence et se termine sans aucune explication sur ce qui se passe ou pourquoi. Tout ce que nous savons c'est qu'Ana est un peu perdante et n'a aucune idée de quoi (comme le spectateur) que ce soit et se soucie moins de tout sauf Grand-Mère à qui elle court quand elle n'a nulle part où aller. Elle décide d'installer une nouvelle douche pendant que sa grand-mère est à l'hôpital. Mais où obtient-elle l'argent ? Elle n'a pas de travail et pas beaucoup de cervelle semble-t-il. Il y a divers fils sans issue qui ondulent dans la brise comme Boris le supposé artiste dont la mère vit dans un appartement très cher. De même l'ancien petit ami Simon avec le nom improbable de Swann Arlaud avec qui elle partage régulièrement une douche et son corps dans un motel. La fin du film est incroyable. Je ne pense pas avoir rien vu de tel. Ana part avec un autre mec qu'elle ne connaît même pas et qui ne veut pas vraiment la connaître. Ils sont assis dans un champ à côté de Notre Dame du Haut de Le Corbusier (on ne sait pas pourquoi d'ailleurs) et puis il s'arrête juste. Je peux seulement imaginer qu'ils ont manqué d'argent ou qu'ils ont simplement abandonné et sont rentrés chez eux. Il doit y avoir de meilleurs scénario que ça ? Je ne vous recommanderais pas de passer votre temps avec cet effort lamentable car ça n'en vaut pas la peine. Le film devrait s'appeler Bad Bad au lieu de Baden Baden. Un de ces films ou la nullité atteint la prétention qui se dégage...
Dépéchez-vous !
Portrait sensible de jeunes adultes d'aujourd'hui. Le résultat est miraculeux d'équilibre et surtout de vérité. Dialogues rapides, pudiques et sans fard dont ils craignent déjà les limites. "Cuts" subtils qui évoquent des vies où rien n'est stabilisé. Salomé Richard crève l'écran. Alchimie de difficulté à vivre mêlé à l'assurance d'être la génération qui vient: La vie, hésitante, mais plus forte que tout. Les autres (jeunes) vivants ne sont pas en reste: Ils sont comme de jeunes feuilles qui vibrent aux branches des peupliers, comme la légèreté mystérieuse de papillons pris dans la bourrasque. mais qui nécessairement portent l'avenir,sans apparemment le savoir.
Portrait sensible de jeunes adultes d'aujourd'hui. Le résultat est miraculeux d'équilibre et surtout de vérité. Dialogues rapides, pudiques et sans fard dont ils craignent déjà les limites. "Cuts" subtils qui évoquent des vies où rien n'est stabilisé. Salomé Richard crève l'écran. Alchimie de difficulté à vivre mêlé à l'assurance d'être la génération qui vient: La vie, hésitante, mais plus forte que tout. Les autres (jeunes) vivants ne sont pas en reste: Ils sont comme de jeunes feuilles qui vibrent aux branches des peupliers, comme la légèreté mystérieuse de papillons pris dans la bourrasque. mais qui nécessairement portent l'avenir,sans apparemment le savoir.
Cinéphiles 44
Ana n’a pas vraiment d’ambition. Après quelques tentatives professionnelles qui échouent, elle décide de retourner à Strasbourg, sa ville natale. Sa grand-mère, qui est blessée, est en convalescence le temps d’un été. Elle se met alors au défi de lui refaire sa douche. En parallèle, la jeune femme roule en Porsche, couche avec son meilleur ami, revoit son ex, rote…. Bref, Anna vit sans cadre, au jour le jour. Baden Baden raconte l’histoire de cette jeune femme qui se construit avec ceux qui l’entoure. C’est aussi la découverte d’une actrice aux airs de garçon manqué, mais avec un cœur immense et un regard plein de vie. On vit au rythme de son personnage plus que par une intrigue ou un fil conducteur. Voici un film plein d’enthousiasme qui pourrait aussi nous faire pleurer sans qu’on ne l’ait vu venir. Baden Baden tire sa force dans son impertinence et en même temps dans un vif discernement.
D'autres critiques sur ma page Facebook : Cinéphiles 44
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Un moment de cinéma tout en finesse et en justesse sur une période de vie où chacun retrouvera en lui les échos de blessures et de victoires.
Joli film d’auteur qui raconte un bref été de désordre dans la vie d’une jeune femme un peu paumée et qui se cherche. Salomé Richard, un peu quelconque, habillée comme un sac, est pourtant pleine de charme et interprète remarquablement ce personnage lunaire et attachant. Un film intelligent et sensible malgré quelques maladresses (longueur injustifiée de certains plans) genre Nouvelle vague de 1960 ! Et le plaisir de voir pour la dernière fois Claude Gensac, ex “ ma biiiiche “ de Louis de Funès.
Après un essai de travail manqué sur le tournage d'un film, Ana (Salomé Richard), de retour chez elle, à Strasbourg, trompe son ennui avec une grand-mère dont elle est très proche et qui, suite à une chute, se retrouve bientôt à l'hôpital. Ana entreprend alors, secondé par un employé de magasin qui a proposé son aide, de remplacer la baignoire de la grand-mère par une douche. Dans le même temps, elle renoue avec son ex.... Rien de très folichon dans ce film dont ni l'histoire ni la réalisation ne penchent du côté de l'originalité. Si l'on ne s'ennuie pas, c'est uniquement à cause de l'actrice principale, très attachante. 6/10
Nyns
On suit Ana, 26 ans, et son retour à Strasbourg sa ville natale. Elle y retrouve sa grand-mère mal en point, amis et amants, y fait de nouvelles connaissances. C'est une romantique dans le sens premier du terme, elle prend ce qui vient, agit par pulsions, passions. Dans les codes les plus standards du film indépendant français, Rachel Lang présente son héroïne profondément moderne et libre (en apparence). Les histoires sans histoire (car ici il n'y a pas de scénario, simplement un enchainement de petites aventures qui arrivent à notre héroïne), je n'ai rien contre en soi. Si ce n'est que le film doit prendre, doit me saisir, et ça n'a pas été le cas ici. J'ai beaucoup apprécié les petites interludes musicales signée la Femme et Django Django pour ce que je connais, ça ne fait pas tout surtout ici mais on prend ce qu'il y a. J'ai trouvé certains plans vraiment trop maladroits, comme les ceux très rapprochés sur la nourriture, à quoi bon. Quid des personnages aux personnalités multiples qui peuplent cette histoire ? Pas tous intéressants car foisonnant dans les archétypes, on prend beaucoup de plaisir quand le personnage de Grégoire apparait, simple et drôle. Il possède les meilleures répliques. Ce film permet aussi de voir Strasbourg, que l'on n'a pas l'habitude de voir filmée dans des plus grosses productions, et encore moins de cette façon. Globalement ennuyant pour moi.
Joli film façon tranche de vie. Le scénario, aux dialogues bien ficelés, peut paraître un peu simpliste, mais le casting de qualité joue juste et le rythme est soutenu ce qui rend l'ensemble très agréable à regarder d'autant que la durée est contenue ce qui, encore une fois, est un point positif.
Le côté un peu contemplatif qui pourrait transparaître de ce long métrage est, et c'est assez rare pour être souligné, plus une qualité qu'un défaut.
Le côté un peu contemplatif qui pourrait transparaître de ce long métrage est, et c'est assez rare pour être souligné, plus une qualité qu'un défaut.
Premier long-métrage de la réalisatrice Rachel Lang, Baden Baden nous embarque au cœur d’un été strasbourgeois aux côtés d’Ana, 26 ans, de retour dans sa ville après des expériences personnelles et professionnelles plus ou moins heureuses. Elle y retrouvera notamment sa grand-mère, émouvante Claude Gensac dans son ultime rôle, et se décidera à rénover la salle de bain de cette dernière avec l’aide d’un salarié d’un magasin de bricolage rencontré en Allemagne, le fil rouge franchement drôle de ce film discret et honnête. Une très belle prestation de l’ensemble des acteurs pour un film sans prétention.
Cela pourrait s’appeler Retour chez ma grand-mère…Anna jeune fille de 26 ans vit de petits boulots...le dernier chauffeur des acteurs de Bruxelles au lieux de tournage…et pour cela on lui confie une Porsche Panaméra…rien de moins !! qu’elle « oublie » de rendre à la société de location à la fin du tournage…elle l’utilise pour rendre visite à sa grand-mère, interprétée par Claude Gensac… qui a quelques ennuis de santé…elle est restée une nuit dans son bain car elle n’arrive pas à sortir de la baignoire…avant d’être hospitalisée à la suite d’une chute….Anna décide de construire une douche à la place de la baignoire alors qu’elle n’a aucune motion de plomberie…elle s’attache les services d’un vendeur du magasin de bricolage et essaye de séduire un employé municipal qui refait le carrelage de la piscine…le chantier est le prétexte de stabilité dans un parcours totalement erratique, entre un ancien amant et un bon copain fidèle sous l’œil amouraché du compagnon en plomberie….c’est tout à fait farfelu…la construction de la douche fait écho à sa propre reconstruction…c’est un film plein d’entrain et d’humour…c’est gentillet…la photo est belle….Anna attachante avec son look androgyne ses shorts et ses "Marcel", mais à la sortie on oublie vite…
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