L'Économie du couple
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180 critiques spectateurs

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Costanza D.
Costanza D.

4 abonnés 1 critique Suivre son activité

1,5
Publiée le 25 août 2016
Ennuyeux! Trop réaliste. Pas besoin d'aller au cinéma pour voir la vraie vie de M, Mme tout le monde.
barbarafels
barbarafels

13 abonnés 110 critiques Suivre son activité

1,0
Publiée le 25 août 2016
Une histoire où les comportements, autant celui de la mère et l'épouse que celui du père, donc le mari, frôlent souvent le pathologique, où chacun à tour de rôle manque de respect à l'autre, mais qui finit bien.... La morale "on peut se laisser aller à des pulsions et se conduire de façon nulle, sans être conscient que nos enfants nous ont comme exemple, c'est pas grave, c'est sans conséquences," m'a laissée mal à l'aise et je suis sortie très dépitée que ce film ait bonne presse. La scène du repas avec les copains dehors est plutôt ridicule et tirée par les cheveux, les réactions des uns et des autres pas réalistes !
DestroyGunner
DestroyGunner

25 abonnés 891 critiques Suivre son activité

4,0
Publiée le 25 août 2016
La bonne surprise française de l'été. Des acteurs superbes (les protagonistes comme on pouvait s'y attendre mais aussi les autres et particulièrement les fillettes). Une réalisation très maîtrisée. Le scénario, qui repose sur des dialogues "au couteau" très ciselés, est tendu mais crédible malgré les limites de vraisemblance (même si le sujet est très sociologiquement tendance). La fin est réussie. Un excellent film à voir par tous les jeunes couples...
ATHMOS.ONER
ATHMOS.ONER

158 abonnés 259 critiques Suivre son activité

4,0
Publiée le 24 août 2016
Décidément, le planning de sorties des films est étrange, oser placer un film aussi dur en Août relève de la gageure. D’autant plus que « l’Economie du couple » tient ses promesses au niveau de l’âpreté du conflit entre 2 protagonistes qui se séparent.
Le film est tellement juste que l’on est souvent révolté, parois à la limite de la nausée face à tant de mauvaise foi destructrice typique des séparations.
Le duo d’acteur Bérénice Bejo et Cédric Kahn fonctionne à merveille, sans oublier les très bonnes interprétations des deux jumelles aussi nature que crédibles.
Avec une mise en scène intimiste et posée, le film reste agréable à regarder même dans les passages les plus durs.
Joachim Lafosse a choisi l’angle financier de la séparation et propose une histoire originale sur un thème déjà vu et revu. Un film intense, qui secoue et qui est poignant.
anonyme
Un visiteur
4,5
Publiée le 24 août 2016
Génial ! J'ai vraiment adoré ! Pourtant, je ne m'attendais pas à grande chose, j'y suis allée pour accompagner une amie... et je n'ai pas été déçue ! C'est un film touchant, d'une incroyable justesse, qui dépeint avec tendresse les mesquineries d'un couple avec enfants qui se sépare. On comprend vraiment ces deux personnages qui s'aiment, se détestent, s'agacent.
Et malgré un thème qui pourrait paraître assez déprimant, ça reste un film plein d'espoir.
Bref, à voir !
Cinéphilion
Cinéphilion

65 abonnés 201 critiques Suivre son activité

4,5
Publiée le 24 août 2016
« L’économie du couple » est un huit clos dont le récit se limite à l’appartement dans lequel la famille a grandi et évolue. Chaque parent ayant ses jours de garde, la cohabitation est nécessaire mais compliquée, c’est pourquoi le sentiment d’oppression et de mal-aise fait vite son apparition. Ce sont de véritables scènes réalistes du quotidien qui sont présentées : Le bain des enfants, les devoirs, le dîner, la préparation au sport, ect… Une forme de banalité qui offre magistralement une tristesse pure et sincère sur le contexte. Les enfants sont omniprésents dans le schéma de cette division familiale mais quelques autres scènes permettent de comprendre les déchirements engendrés dans de telles circonstances : Les amis en commun du couple, la belle-maman qui essaie de raisonner les partis, ect… Un ensemble de situations débordant d’émotions divergentes qui arrachent le cœur. Les disputes partent de choses simples pour répondre à des arguments reposant sur des attachements réciproques, parfois matériels sur le lieu de vie et prioritairement affectif sur le couple et les enfants. Le duo Bejo / Kahn est si exceptionnellement naturel qu’on pleure, qu’on saigne, qu’on crie intérieurement, qu’on vit les événements au point d’oublier être au cinéma. A l’image de « Deux jours, une nuit » avec Marion Cotillard, il n’y a pas de méchant, le but est juste de trouver une solution plausible pour marquer un arrêt final à cette souffrance invivable. Aucun artifice, juste et pure, simple et sincère, honnête et réalise, Joachim Lafosse écrit une pépite poignante sans aucune pudeur. Bravo.

Bilan : Une oeuvre qui montre que c’est dans la simplicité d’où ressort l’excellence.
1ou2mo
1ou2mo

10 abonnés 470 critiques Suivre son activité

3,0
Publiée le 23 août 2016
Une séparation livrée aux spectateurs avec deux des unités du théâtre adoptées. Et c'est là que le bât blesse car l'histoire ne pouvait pas se dérouler "en un jour" . Alors cette unité de temps inadapté va s'étirer sur une heure quarante de projection pour scruter ces déchirements quotidiens et ce, surtout avec une minutie et un sens du détail (les plus banals nous sont imposés). La question...Pourquoi un film? Sur les planches, une pièce avec le même jeu des acteurs aurait eu davantage d'impact sur les spectateurs.
Jamon-de-Baiona
Jamon-de-Baiona

15 abonnés 46 critiques Suivre son activité

2,5
Publiée le 23 août 2016
Subtile et magistralement joué n'empêche pas l'ennui. Les scènes à répétitions n'apportent rien de plus au thème.
missfanfan
missfanfan

100 abonnés 853 critiques Suivre son activité

3,0
Publiée le 23 août 2016
Dommage pour moi j'ai eu beaucoup de mal à rentrer dans ce film les acteurs ne sont pas spécialement en cause mais j'étais mal à l'aise et l histoire ne m'a pas touchée du coup je suis sortie de la salle déprimée
anonyme
Un visiteur
1,5
Publiée le 22 août 2016
Pour faire simple, ce n'est pas spécialement la faute des acteurs, mais beaucoup de manque de courage vient réduire la portée de ce film.
Déjà, choisir le huis clos n'amène pas une mise en scène à la hauteur, la caméra ne filme pas une immersion profonde et psychologique, elle garde un recul presque théâtral... donc pas vraiment adapté à l'espace du plateau.
Les acteurs font ce qu'ils peuvent mais le jeu qui leur est demandé est très linéaire.
D'ailleurs ce n'est pas le jeu qui est en retenue, c'est l'histoire, qui ne change pas vraiment de la première à la dernière scène... ce qui laisse comme un goût de manque d'ambition ou de peur de la part de l'écriture et de la réalisation...
Les passages "clés" du film ne profitent pas de plus d'application de réalisation que ça et on regarde un film dont le huis clos est en fait le seul parti pris.
Cela ne dépasse absolument pas le postulat d'un téléfilm plutôt bon, mais pour du cinéma, tout me semble à revoir, en faire un format court justifierait avec brio un scénario si vide pour un long, tout est vu dans la bande annonce, ce qui ne justifie pas un long métrage en fait....
Comme beaucoup de films français, le film ayant atteint son propos ne le dépasse pas et s'en contente pour disparaître dans l'oubli...
La retenue n'est pas un problème, elle peut être magnifique dans bien des projets.
Ici, ce serait plutôt l'abandon de l'écriture et le manque de procédé cinématographique plus adapté à l'histoire qui bloque la performance vers le bas.

Un téléfilm moyen où ne sont honnètes que les acteurs, bridés par le projet, rien de plus.
Dommage
Yves G.
Yves G.

1 576 abonnés 3 593 critiques Suivre son activité

4,5
Publiée le 22 août 2016
La première scène de « L’Économie du couple » l’introduit et le résume. Marie rentre dans sa maison avec ses deux filles jumelles. Chargée de paquets, un peu débordée par la vivacité de ses enfants qui renâclent à faire leurs devoirs et aller se doucher, elle découvre avec déplaisir la présence de Boris dont on comprend qu’elle vient de se séparer mais qu’il habite toujours sous le même toit sans toujours respecter les règles de leur cohabitation.

Dans « L’Économie du couple » il est question, comme le titre l’annonce, d’argent. Si Marie et Boris vivent encore ensemble, c’est à cause d’un désaccord financier. La maison appartient à Marie qui l’a acquise grâce à un prêt de ses parents grands bourgeois ; Boris est lui d’une origine plus modeste mais a assuré lui-même la restauration et l’embellissement de leur demeure. Pour que son conjoint quitte les lieux, Marie est prête à lui en payer le tiers ; mais Boris en réclame la moitié.

Le dernier film de Joachim Lafosse – dont j’avais déjà beaucoup aimé les précédentes réalisations – est un bijou.

Un bijou d’écriture. Joachim Lafosse filme le désamour. Il ne leste pas ses personnages d’une inutile dimension psychologique. Pas d’amant ni de maîtresse qui expliquerait la déliquescence d’un couple qui se délite parce qu’il ne s’aime plus. Entre lourds silences et violentes disputes, l’histoire de cette rupture est décrite avec une froideur clinique et une précision sadique. Jacques Mandelbaum dans Le Monde parle d’un « cinéma intelligemment désagréable ». Je ne saurais mieux dire.

Un bijou de mise en scène. La caméra ne quitte pas l’appartement de Marie filmé en longs plans-séquence. Baigné par une belle lumière, il est à la fois accueillant et oppressant : Marie a envie d’y rester mais souhaite que Boris en parte. C’est seulement à l’ultime fin du film qu’on le quittera, pour trois scènes qui viennent clôturer le film et lui donner sa cohérence.

Un bijou d’interprétation. J’adore Bérénice Béjo depuis « Meilleur espoir féminin » qui l’avait révélée. « The Artist » – qui lui valut le Casar de la meilleure actrice et une nomination aux Oscars – n’est pas à mon avis son meilleur film. Je lui préfère « Le Passé » d’Ashgar Farhadi qui est aussi l’histoire d’une séparation et où le personnage interprété par Bérénice Béjo se prénommait déjà Marie. Elle n’a jamais été aussi belle, la mine sévère, les cheveux tirés, si forte dans sa détermination de rompre et de protéger ses filles, si fragile dans le combat qu’elle livre contre l’homme qu’elle a cessé d’aimer. Cédric Kahn a le rôle ingrat de Boris. Sa force jupitérienne menace à chaque instant d’exploser. Mais, pour autant, tous les torts ne sauraient lui être imputés. Si l’irritation de Marie se comprend, Boris n’en demeure pas moins un personnage attachant. Cette absence de manichéisme, ce refus d’instruire le procès à charge d’un des deux membres du couple ne sont pas la moindre des qualités de ce film si juste.

Dans une livraison qui n’a pas brillé par sa qualité, « L’Économie du couple » est haut la main le meilleur film de l’été.
anonyme
Un visiteur
4,0
Publiée le 22 août 2016
Bjr très bon film mais évitez de le voir si votre couple traverse une zone de turbulence!!!!.....certains ont parlé du genre "Kramer contre Kramer" rien à voir. Ici on assiste à la fin d'une histoire d'un couple avec deux enfants qui doit momentanément rester sous le même toit. Pas de grosses disputes mais une rancoeur latente noyée dans un quotidien de Mr tout le monde. C'est la force du film, sans pathos, ancré dans les problèmes divergents du couple avec au milieu les deux jumelles qui apportent l'émotion (scène du karaoké est là très forte). On sait que ça ne se terminera pas bien ni tragiquement mais dans la logique (séparation raisonnable). Autre force, le couple et les enfants occupent quasiment l'écran en permanence. B Bejo formidable les autres au diapason content de revoir M Keller dans quelques répliques. Bon film réaliste et prenant sans être larmoyant à l'excès,
Michel C.
Michel C.

296 abonnés 1 530 critiques Suivre son activité

4,5
Publiée le 22 août 2016
Globalement assez intimiste et bien entendu pas très gai, c'est une drame qui devrait faire réfléchir, (comme le dit très justement Marthe Keller), nous sommes dans une société de consommation et de performances, où dès que les difficultés se présentent trop lourdes, on jette. Pourquoi pas, mais quand deux petites filles sont dans le périmètre des enjeux, cela devient délicat. C'est très clairement ce que le scénario nous propose, et Bérénice Bejo ainsi que Cedric Kahn s'y emploient à merveille. Mention spéciale à l'ambiance intime et confinée, à l'intérieur joliment décoré, au choix des deux fillettes (jumelles dans la vie) parfaites, et à une certaine lenteur voulue pour peser davantage. Très réussi, bien que l’argument " finance" soit ici vraiment le centre du conflit, très émouvant et poignant !! **
Chris58640
Chris58640

229 abonnés 771 critiques Suivre son activité

3,5
Publiée le 22 août 2016
Je reconnais que le titre du film et le résumé de l’intrigue ne puisse pas donner très envie, au premier abord. L’histoire d’une séparation qui se passe mal, essentiellement à cause de l’argent, ce n’est ni très fun, ni très glamour, et surtout, c’est tout sauf original ! Mais le film de Joachim Lafosse fonctionne très bien, et d’abord grâce à un casting irréprochable. Si l’on excepte des seconds rôles très peu mis en valeur (Marthe Keller en belle-mère plutôt conciliante et les petites filles très naturelles et très mignonnes), l’intrigue ne se noue qu’entre Berénice Bejo et Cédric Kahn. Bérénice est très touchante dans ce rôle plein de non dits et de silences. En apparence sure d’elle, maitresse de maison et de sa vie professionnelle, elle est désemparée devant cet homme qu’elle a aimé et qu’elle ne supporte plus et que pourtant, au fond, elle aime surement encore. Dans certaines scènes, comme celle de « Bella », elle m’a donné les larmes aux yeux tellement j’ai été touchée par la sensibilité de son jeu, tout en délicatesse, tout en fragilité. Cédric Kahn est très juste également, c’est un acteur que personnellement j’aimerais voir un peu plus souvent sur l’écran dans des premiers rôles, comme ici, car il a une vraie présence, un vrai charisme. Il donne corps à Boris, un homme maladroit, empêtré dans ses problèmes d’argent, toujours amoureux, mais qui par la force des choses et des évènements devient un problème pour celle qu’il a aimé pendant 15 ans, et ça le dépasse, ça le met en colère aussi, une colère intérieure, rentrée, qui n’explose que par intermittence. Joachim Lafosse filme cette famille au plus près, la caméra ne sort quasiment jamais de cette fameuse maison qui est le point central de cette séparation. C’est une sorte de huis-clos qui n’en n’est pas vraiment un. La caméra ne sortira qu’une fois, à la faveur d’un évènement dramatique (presque) imprévisible, mais c’est une exception. C’est un parti pris intéressant, on a l’impression de faire partie de cette cellule familiale et de souffrir aussi un peu avec eux. Lafosse sait aussi très bien placer sa caméra, en jouant sur les premiers et seconds plans mais surtout en optant très souvent pour le hors champs. Celui qui parle n’est pas à l’écran, la caméra se focalise sur l’autre, sur celui qui écoute, sur celui qui subit. C’est une technique qui fonctionne redoutablement bien quand on a à faire à deux acteurs de ce calibre, ça leur permet de mettre en valeur leur jeu de façon différente et subtile. Le scénario de « L’économie du couple » est assez simple : « Je veux la moitié de la maison pour pouvoir partir », « Pas question, tu n’en auras qu’un tiers », « Et bien dans ces cas là je reste ». Quand le film commence, la situation de cohabitation est déjà ancrée, on prend le train en route en quelque sorte. Mais plus on avance dans le film, plus on se rend compte que cette histoire de maison n’est qu’un point de fixation qui dissimule tout le reste. Marie et Boris se dispute sur l’argent mais c’est un prétexte : le désamour entre eux est déséquilibré et c’est bien cela qui fait souffrir. Marie a arrêté de l’aimer et Boris ne l’accepte pas, ne le comprends pas tout simplement, et ça le rend agressif. Boris l’aime toujours et Marie est mal à l’aise devant cet amour qui n’est plus partagé, et comme elle est mal à l’aise, elle devient agressive. Finalement, l’argent n’est qu’un prétexte pour éviter de se dire ces choses là… Cela dit, il y a aussi entre eux quelque chose que les oppose, en filigrane : ils ont des origines sociales différentes, elle a fait un héritage, elle est professeur, c’est une « intellectuelle ». Lui est un artisan au chômage, un « manuel » d’origine modeste, probablement même très modeste. Tant que l’amour est là entre eux, cela n’a pas d’importance mais lorsqu’il s’étiole, cette dualité revient comme un arrière gout désagréable. Le film ne fait qu’effleurer cet aspect des choses, mais dans une scène particulièrement, celle des « comptes faite par le notaire », l’arrière gout se fait nettement plus fort. On peut trouver que « L’économie du couple » tire un peu en longueur, même si je ne me suis pas ennuyée je reconnais que, la situation étant entre eux sans véritable issue, le film s’essouffle au bout d’un moment. On devine comment cela va finir, c’est imparable et une toute autre fin aurait parue incongrue. C’est vrai qu’on aurait aimé aussi un peu plus de scènes fortes, comme celle du dîner entre amis (un sacré cauchemar pour les amis en question !) qui distille le malaise de façon presque palpable. C’est une scène réussie dans le sens où elle matérialise très bien le fait que dans une séparation, on est à la fois le bourreau et la victime de l’autre. « L’économie du couple » est un film intéressant, plein de finesse et de subtilité, qui manque peut-être un peu de rythme et que l’on peut trouver quelquefois un tout petit peu bavard mais qui, on doit bien le reconnaitre, ne rate pas sa cible. Grace à un réalisateur très à son affaire, à deux comédiens plein de finesse et à un scénario qui laisse la part belle aux sous-entendus et à l’inconscient, « L’économie du couple » est un film qui parle à l’intelligence et à la sensibilité des spectateurs, ce n’est pas si fréquent.
momo M.
momo M.

43 abonnés 282 critiques Suivre son activité

3,5
Publiée le 22 août 2016
On peut reprocher à ce film quelques longueurs et scènes répétitives. Quelques belles scènes aussi : le repas avec les amis, et surtout celle de la danse sur la chanson Bella, très émouvante. Huit clos parfois pesant d'un couple qui se fait la guerre sous les yeux des enfants. C'est pesant mais ça sonne juste et l'interprétation est parfaite.
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