Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
34 critiques presse
CinemaTeaser
par Emmanuelle Spadacenta
"Nocturnal Animals" est un film perfectionniste qui ne montre ni ne dit rien au hasard.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
LCI
par Jérôme Vermelin
Tom Ford signe un thriller psychologique au style flamboyant et à la construction fascinante, porté par un casting cinq étoiles. (...) Son film est intense, coloré, étrange, imprévisible et viscéral comme il faut. Sa construction, déroutante sur le papier, s’impose comme une évidence au fil des minutes.
La critique complète est disponible sur le site LCI
20 Minutes
par Caroline Vié
"Nocturnal Animals" sidère par la beauté de ses images comme par les performances d’acteurs brillamment dirigés. (...) Bien qu’il peine parfois à équilibrer ses deux récits, le spectateur se laisse prendre et ressent une empathie profonde pour des êtres perdus (...).
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Bande à part
par Olivier Pélisson
Ford déroule le fil de sa narration en orfèvre, avec un soin particulier apporté au balancement entre sophistication et sauvagerie, au gré des cadres et décors.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Ecran Large
par Geoffrey Crété
"Nocturnal Animals" ressemble à un long et éprouvant cauchemar, d'une beauté époustouflante et d'une brutalité sourde.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
GQ
par Jacky Goldberg
Avec "Nocturnal Animals", Tom Ford démontre qu'il est plus qu'un grand créateur de mode faisant de belles images : un vrai cinéaste.
La critique complète est disponible sur le site GQ
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Portée par un casting superbe, cette fable existentielle, mélancolique et violente interroge sur la solitude qui nourrit la création, les choix qui entraînent les regrets, dans un univers visuel contrasté. Un regard lucide et sans pitié.
Les Inrockuptibles
par Jacky Goldberg
La croyance de Ford en l'art, qu'il s'agisse de peinture, d'étoffes, de mots, ou d'images, est totale - totale au point même de pouvoir tuer. Et c'est ainsi que si la démonstration de force (formelle, narrative, interprétative...) peut agacer sur les bords, qu'importe. Car au coeur, elle fait mouche.
Ouest France
par La Rédaction
Un cauchemar sexy et vénéneux à la David Lynch.
Transfuge
par Nathalie Dassa
Oeuvre cathartique, un peu caricaturale mais qui trouve pleinement sens et profondeur dans la superficialité.
Télé 2 semaines
par Emilie Leoni
Entre mélo sentimental, polar noir et satire de la culture du paraître et des faux-semblants, Tom Ford livre un film virtuose et viscéral.
La critique complète est disponible sur le site Télé 2 semaines
Voici
par Lola Sciamma
"Nocturnal Animals" joue sur le chaud et le froid en exerçant un véritable pouvoir de fascination.
aVoir-aLire.com
par Alexandre Jourdain
Tom Ford filme des loups dans la nuit pris dans la lumière des phares, des hommes aveuglés par le culte narcissique d’une beauté illusoire. Mise en abyme oscillant entre survival et drame avec ingéniosité… pour une très belle leçon de cinéma.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Charlie Hebdo
par Sigolène Vinson
Certes, il y a de belles images, de beaux cadrages, une belle lumière. Mais ce n'est pas encore du David Lynch (...).
Critikat.com
par Fabien Reyre
Le défi ne manque pas de panache. Le résultat, hélas, n’est pas toujours à la hauteur.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Femme Actuelle
par Valérie Beck
Attention, le styliste Tom Ford réalise ici un film étrange et envoûtant, qui fascine par sa beauté formelle et plastique, mais peut choquer les âmes sensibles.
La critique complète est disponible sur le site Femme Actuelle
La Septième Obsession
par Alexandre Jourdain
Le film nous parle de l’absurdité de la stase formelle, avance que la perfection aseptisée et imposée par la publicité nie l’existence même.
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Passant du stylisme au cinéma, Tom Ford y transporte son univers glacé et glacial, qui donne ici à son thriller une élégance formelle plus qu’une vérité de chair.
Les Fiches du Cinéma
par Aude Jouanne
Adapté d’un roman d’Austin Wright, le deuxième long métrage de Tom Ford développe un esthétique calibrée mais s’embourbe dans une narration confuse.
Paris Match
par Clément Mathieu
"Nocturnal Animals" est un film visuellement captivant, passant avec aisance de l'élégance froide du monde de Susan à l’enfer crasseux d’Edward. Malgré ce talent indéniable, le metteur en scène ne parvient pas toujours à donner à sa narration un sens aussi fort qu’il le souhaiterait.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Studio Ciné Live
par Véronique Trouillet
Un récit esthétique mais trop inégal pour séduire.
Télérama
par Louis Guichard
Hélas, les nombreux allers-retours entre la réalité et le livre, négociés sans finesse, finissent par limiter l'expérience. Emaillé de scènes captivantes, le film achoppe sur l'image récurrente et trop facile d'Amy Adams, le souffle coupé, rejetant la tête en arrière après chaque chapitre de ce roman (...).
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cahiers du Cinéma
par Jean-Sébastien Chauvin
On a le sentiment d’un film bien joué, bien cadré, bien éclairé (tout le monde fait le job) qui serait atteint du même syndrome que l’héroïne, incapable de la moindre fragilité, de la moindre faille où pourrait s’engouffrer l’émotion.
L'Humanité
par Vincent Ostria
La partie thriller sur une famille brutalement agressée sur la route par trois voyous fait un peu exercice de style. Mais le segment sur la galeriste riche et désabusée a un plus grand accent de sincérité ; sans doute cela tient-il à l’interprétation troublante d’Amy Adams. Cette partie mélancolique sauve un film assez emberlificoté.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
L'Obs
par Nicolas Schaller
A l'arrivée, un exercice de style clinquant et creux d'où n'émerge qu'une vague misanthropie. Dommage, parce qu'esthétiquement ça a de la gueule.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
Le film, – pourtant récompensé d’un Grand Prix du jury à la Mostra de Venise – se déroule en vain jusqu’à une chute qui, loin de donner du sens à cette imbrication de ces histoires, laisse le spectateur sur sa faim.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Monde
par Thomas Sotinel
(...) à chaque fois que "Nocturnal Animals" revient à Los Angeles et aux affres de l’existence d’une directrice de galerie, les questions que pose le film sont vidées de leur enjeu par une raideur qui les laisse à l’état de figures rhétoriques dont on finit par se demander si elles ne sont pas là pour donner à un film, finalement ordinaire, l’apparence d’une oeuvre de l’esprit.
Positif
par Bernard Génin
L'histoire fonctionne, ménageant son lot d'émotions fortes grâce à deux comédiens impeccables (...). Mais l'auteur de "A Single man" semble s'être dit qu'il s'éloignait par trop de son univers.
Chronic'art.com
par Louis Blanchot
D’où, à l’arrivée, un objet à la fois hyper prétentieux et totalement maladroit, mêlant deux niveaux de réalité entre lesquels rien ne circule sinon l’artificialité de tous ses procédés.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
L'Express
par Christophe Carrière
Ford enfonce des portes ouvertes en surlignant les regrets et la culpabilité. Et le temps paraît bien long.
Le Figaro
par Eric Neuhoff
Avec "Nocturnal Animals", Tom Ford signe un polar bourré de clichés et totalement désincarné.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Parisien
par Catherine Balle
Esthétique pompeuse sortie d'un mauvais défilé de mode des années 1990, intrigue emberlificotée, mise en scène ampoulée : il n'y a pas grand-chose à sauver de "Nocturnal Animals", signé de Tom Ford, l'ancien styliste de Gucci.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Libération
par Julien Gester
Le couturier Tom Ford brode un thriller sans éclat autour d’une brochette de stars, et s’enfonce dans la vacuité de ce qu’il filme.
La critique complète est disponible sur le site Libération
CinemaTeaser
"Nocturnal Animals" est un film perfectionniste qui ne montre ni ne dit rien au hasard.
LCI
Tom Ford signe un thriller psychologique au style flamboyant et à la construction fascinante, porté par un casting cinq étoiles. (...) Son film est intense, coloré, étrange, imprévisible et viscéral comme il faut. Sa construction, déroutante sur le papier, s’impose comme une évidence au fil des minutes.
20 Minutes
"Nocturnal Animals" sidère par la beauté de ses images comme par les performances d’acteurs brillamment dirigés. (...) Bien qu’il peine parfois à équilibrer ses deux récits, le spectateur se laisse prendre et ressent une empathie profonde pour des êtres perdus (...).
Bande à part
Ford déroule le fil de sa narration en orfèvre, avec un soin particulier apporté au balancement entre sophistication et sauvagerie, au gré des cadres et décors.
Ecran Large
"Nocturnal Animals" ressemble à un long et éprouvant cauchemar, d'une beauté époustouflante et d'une brutalité sourde.
GQ
Avec "Nocturnal Animals", Tom Ford démontre qu'il est plus qu'un grand créateur de mode faisant de belles images : un vrai cinéaste.
Le Journal du Dimanche
Portée par un casting superbe, cette fable existentielle, mélancolique et violente interroge sur la solitude qui nourrit la création, les choix qui entraînent les regrets, dans un univers visuel contrasté. Un regard lucide et sans pitié.
Les Inrockuptibles
La croyance de Ford en l'art, qu'il s'agisse de peinture, d'étoffes, de mots, ou d'images, est totale - totale au point même de pouvoir tuer. Et c'est ainsi que si la démonstration de force (formelle, narrative, interprétative...) peut agacer sur les bords, qu'importe. Car au coeur, elle fait mouche.
Ouest France
Un cauchemar sexy et vénéneux à la David Lynch.
Transfuge
Oeuvre cathartique, un peu caricaturale mais qui trouve pleinement sens et profondeur dans la superficialité.
Télé 2 semaines
Entre mélo sentimental, polar noir et satire de la culture du paraître et des faux-semblants, Tom Ford livre un film virtuose et viscéral.
Voici
"Nocturnal Animals" joue sur le chaud et le froid en exerçant un véritable pouvoir de fascination.
aVoir-aLire.com
Tom Ford filme des loups dans la nuit pris dans la lumière des phares, des hommes aveuglés par le culte narcissique d’une beauté illusoire. Mise en abyme oscillant entre survival et drame avec ingéniosité… pour une très belle leçon de cinéma.
Charlie Hebdo
Certes, il y a de belles images, de beaux cadrages, une belle lumière. Mais ce n'est pas encore du David Lynch (...).
Critikat.com
Le défi ne manque pas de panache. Le résultat, hélas, n’est pas toujours à la hauteur.
Femme Actuelle
Attention, le styliste Tom Ford réalise ici un film étrange et envoûtant, qui fascine par sa beauté formelle et plastique, mais peut choquer les âmes sensibles.
La Septième Obsession
Le film nous parle de l’absurdité de la stase formelle, avance que la perfection aseptisée et imposée par la publicité nie l’existence même.
Le Dauphiné Libéré
Passant du stylisme au cinéma, Tom Ford y transporte son univers glacé et glacial, qui donne ici à son thriller une élégance formelle plus qu’une vérité de chair.
Les Fiches du Cinéma
Adapté d’un roman d’Austin Wright, le deuxième long métrage de Tom Ford développe un esthétique calibrée mais s’embourbe dans une narration confuse.
Paris Match
"Nocturnal Animals" est un film visuellement captivant, passant avec aisance de l'élégance froide du monde de Susan à l’enfer crasseux d’Edward. Malgré ce talent indéniable, le metteur en scène ne parvient pas toujours à donner à sa narration un sens aussi fort qu’il le souhaiterait.
Studio Ciné Live
Un récit esthétique mais trop inégal pour séduire.
Télérama
Hélas, les nombreux allers-retours entre la réalité et le livre, négociés sans finesse, finissent par limiter l'expérience. Emaillé de scènes captivantes, le film achoppe sur l'image récurrente et trop facile d'Amy Adams, le souffle coupé, rejetant la tête en arrière après chaque chapitre de ce roman (...).
Cahiers du Cinéma
On a le sentiment d’un film bien joué, bien cadré, bien éclairé (tout le monde fait le job) qui serait atteint du même syndrome que l’héroïne, incapable de la moindre fragilité, de la moindre faille où pourrait s’engouffrer l’émotion.
L'Humanité
La partie thriller sur une famille brutalement agressée sur la route par trois voyous fait un peu exercice de style. Mais le segment sur la galeriste riche et désabusée a un plus grand accent de sincérité ; sans doute cela tient-il à l’interprétation troublante d’Amy Adams. Cette partie mélancolique sauve un film assez emberlificoté.
L'Obs
A l'arrivée, un exercice de style clinquant et creux d'où n'émerge qu'une vague misanthropie. Dommage, parce qu'esthétiquement ça a de la gueule.
La Croix
Le film, – pourtant récompensé d’un Grand Prix du jury à la Mostra de Venise – se déroule en vain jusqu’à une chute qui, loin de donner du sens à cette imbrication de ces histoires, laisse le spectateur sur sa faim.
Le Monde
(...) à chaque fois que "Nocturnal Animals" revient à Los Angeles et aux affres de l’existence d’une directrice de galerie, les questions que pose le film sont vidées de leur enjeu par une raideur qui les laisse à l’état de figures rhétoriques dont on finit par se demander si elles ne sont pas là pour donner à un film, finalement ordinaire, l’apparence d’une oeuvre de l’esprit.
Positif
L'histoire fonctionne, ménageant son lot d'émotions fortes grâce à deux comédiens impeccables (...). Mais l'auteur de "A Single man" semble s'être dit qu'il s'éloignait par trop de son univers.
Chronic'art.com
D’où, à l’arrivée, un objet à la fois hyper prétentieux et totalement maladroit, mêlant deux niveaux de réalité entre lesquels rien ne circule sinon l’artificialité de tous ses procédés.
L'Express
Ford enfonce des portes ouvertes en surlignant les regrets et la culpabilité. Et le temps paraît bien long.
Le Figaro
Avec "Nocturnal Animals", Tom Ford signe un polar bourré de clichés et totalement désincarné.
Le Parisien
Esthétique pompeuse sortie d'un mauvais défilé de mode des années 1990, intrigue emberlificotée, mise en scène ampoulée : il n'y a pas grand-chose à sauver de "Nocturnal Animals", signé de Tom Ford, l'ancien styliste de Gucci.
Libération
Le couturier Tom Ford brode un thriller sans éclat autour d’une brochette de stars, et s’enfonce dans la vacuité de ce qu’il filme.
VSD
Chic et toc.