Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
19 critiques presse
L'Obs
par Jérôme Garcin
Un film aussi efficace et virtuose dans la mise en scène très théâtrale du huis clos que dans le découpage très cinématographique, à travers les fenestrons, de la guérilla urbaine.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Ouest France
par Gilles Kerdreux
Un cours d'histoire contemporaine et une leçon de cinéma pour un film bouleversant d'humanité.
20 Minutes
par La rédaction
Cette mise en abîme, véritable tour de force, est proprement passionnante puisqu’elle permet au public d’observer les protagonistes en train de contempler, dans la fureur et la peur, le spectacle d’une déroute collective. Glaçant.
Critikat.com
par Benoît Smith
Là où l’on pouvait craindre que Diab se cantonne au petit théâtre en vase clos d’une Égypte au lendemain bien amer de son "printemps" politique confisqué, le voilà qui rend ces personnages acteurs et témoins impliqués des événements en cours, nous offrant de nous placer à leur niveau d’observation.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
L'Express
par Christophe Carrière
Un huis clos éprouvant.
Le Dauphiné Libéré
par La Rédaction
Un film en huis clos, métaphore et métonymie tout à la fois de l’Égypte d’aujourd’hui et des ratés de sa révolution.
Studio Ciné Live
par Thierry Cheze
Un exercice d'équilibriste fascinant.
Sud Ouest
par Sophie Avon
La façon dont Mohamed Diab rend compte de l'isolement et de la pagaille autour, des conflits internes aux prisonniers et de leur solidarité, du vertige qui peu à peu s'empare de tout, est proprement bluffante, réduisant hommes et femmes à l'essentiel, les dépouillant de ce qui les sépare, allant vers ce qui les soude, inexorablement : leur humanité.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Télérama
par Guillemette Odicino
Malin dans ce petit théâtre filmé, le cinéaste est encore meilleur dans sa mise en scène des extérieurs.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Le Journal du Dimanche
par La rédaction
Le résultat est un huis clos torride, émaillé de dialogues qui reflètent les colères, les incertitudes et les espoirs du peuple égyptien.
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
A peu près comme dans "Les Femmes du bus 678", la surcharge est donc de nouveau le problème du film, dans la mesure où il n’y a pas lieu de penser qu’elle fasse (...) l’objet de la moindre distanciation. Restent le récit et sa parabole, aussi honnêtement et impartialement menés que possible (...).
Les Fiches du Cinéma
par Aude Jouanne
Mohamed Diab expolore les différentes perspectives de la guerre civile égyptienne au lendemain de la destitution de Morsi. Un huis clos oppressant mais à la construction inégale.
Les Inrockuptibles
par Léo Soesanto
Un huis-clôt intriguant, statique puis mobile, surtout dans sa suggestion d'une tourmente grand format entre-aperçue par les personnages et le spectateur (...) Le gros problème ici est la distribution de la tension (...) tout tient de l'addition mécanique en lieu et place du chaos attendu à l'écran.
Positif
par Olivier de Bruyn
Malgré (des) maladresses, "Clash" n'en demeure pas moins un témoignage intéressant sur l'Égypte contemporaine et les déchirures d'une société afligée par d'innombrables maux.
Première
par Damien Leblanc
Malgré une difficulté à faire exister ses nombreux protagonistes de manière autonome, cette virée cauchemardesque à travers une ville à feu et à sang traduit jusqu'au bout les angoisses d'un cinéaste observant son pays depuis l'intérieur d'une prison itinérante.
aVoir-aLire.com
par Gérard Crespo
Percutant et efficace, d’un suspense haletant, ce huis-clos frappe par sa réussite technique et son courage politique.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Le Parisien
par La Rédaction
Malgré quelques scènes très fortes, dont d'impressionnants affrontements de rue, et une louable volonté d'éviter le manichéisme, ce huis clos suragité étouffe le spectateur autant que ses personnages.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Cahiers du Cinéma
par Jean-Philippe Tessé
Un bon petit film-pitch comme on ne les aime pas.
Libération
par Clémentine Gallot
Le film égrène une succession interminable d’anecdotes rythmant le récit sur fond de grande histoire : (...). Lorsqu’un embryon de débat politique voit le jour dans l’habitacle, chacun se retranche dans son camp. (...) Du niveau d’un vaudeville, la théâtralité du jeu d’acteur semble condamner les interprètes à se mettre des baffes ad nauseam.
La critique complète est disponible sur le site Libération
L'Obs
Un film aussi efficace et virtuose dans la mise en scène très théâtrale du huis clos que dans le découpage très cinématographique, à travers les fenestrons, de la guérilla urbaine.
Ouest France
Un cours d'histoire contemporaine et une leçon de cinéma pour un film bouleversant d'humanité.
20 Minutes
Cette mise en abîme, véritable tour de force, est proprement passionnante puisqu’elle permet au public d’observer les protagonistes en train de contempler, dans la fureur et la peur, le spectacle d’une déroute collective. Glaçant.
Critikat.com
Là où l’on pouvait craindre que Diab se cantonne au petit théâtre en vase clos d’une Égypte au lendemain bien amer de son "printemps" politique confisqué, le voilà qui rend ces personnages acteurs et témoins impliqués des événements en cours, nous offrant de nous placer à leur niveau d’observation.
L'Express
Un huis clos éprouvant.
Le Dauphiné Libéré
Un film en huis clos, métaphore et métonymie tout à la fois de l’Égypte d’aujourd’hui et des ratés de sa révolution.
Studio Ciné Live
Un exercice d'équilibriste fascinant.
Sud Ouest
La façon dont Mohamed Diab rend compte de l'isolement et de la pagaille autour, des conflits internes aux prisonniers et de leur solidarité, du vertige qui peu à peu s'empare de tout, est proprement bluffante, réduisant hommes et femmes à l'essentiel, les dépouillant de ce qui les sépare, allant vers ce qui les soude, inexorablement : leur humanité.
Télérama
Malin dans ce petit théâtre filmé, le cinéaste est encore meilleur dans sa mise en scène des extérieurs.
Le Journal du Dimanche
Le résultat est un huis clos torride, émaillé de dialogues qui reflètent les colères, les incertitudes et les espoirs du peuple égyptien.
Le Monde
A peu près comme dans "Les Femmes du bus 678", la surcharge est donc de nouveau le problème du film, dans la mesure où il n’y a pas lieu de penser qu’elle fasse (...) l’objet de la moindre distanciation. Restent le récit et sa parabole, aussi honnêtement et impartialement menés que possible (...).
Les Fiches du Cinéma
Mohamed Diab expolore les différentes perspectives de la guerre civile égyptienne au lendemain de la destitution de Morsi. Un huis clos oppressant mais à la construction inégale.
Les Inrockuptibles
Un huis-clôt intriguant, statique puis mobile, surtout dans sa suggestion d'une tourmente grand format entre-aperçue par les personnages et le spectateur (...) Le gros problème ici est la distribution de la tension (...) tout tient de l'addition mécanique en lieu et place du chaos attendu à l'écran.
Positif
Malgré (des) maladresses, "Clash" n'en demeure pas moins un témoignage intéressant sur l'Égypte contemporaine et les déchirures d'une société afligée par d'innombrables maux.
Première
Malgré une difficulté à faire exister ses nombreux protagonistes de manière autonome, cette virée cauchemardesque à travers une ville à feu et à sang traduit jusqu'au bout les angoisses d'un cinéaste observant son pays depuis l'intérieur d'une prison itinérante.
aVoir-aLire.com
Percutant et efficace, d’un suspense haletant, ce huis-clos frappe par sa réussite technique et son courage politique.
Le Parisien
Malgré quelques scènes très fortes, dont d'impressionnants affrontements de rue, et une louable volonté d'éviter le manichéisme, ce huis clos suragité étouffe le spectateur autant que ses personnages.
Cahiers du Cinéma
Un bon petit film-pitch comme on ne les aime pas.
Libération
Le film égrène une succession interminable d’anecdotes rythmant le récit sur fond de grande histoire : (...). Lorsqu’un embryon de débat politique voit le jour dans l’habitacle, chacun se retranche dans son camp. (...) Du niveau d’un vaudeville, la théâtralité du jeu d’acteur semble condamner les interprètes à se mettre des baffes ad nauseam.