Avis : Ip Man 3 - Page 4

Avec ce troisième volet, Wilson Yip fait du réchauffé avec des personnages de plus en plus naïfs et des stéréotypes qui rendent l’histoire et le synopsis plus proches de l’univers des ados que celui des adultes. L’analyse psychologique des personnages est proche de zéro et malgré le charisme indéniable de Donnie Yen, on finit par se lasser. Les méchants et les gentils deviennent de plus en plus ridicules, l’authenticité disparait peu à peu au profit d’une histoire molle qui sent trop la guimauve. Les combats restent démonstratifs et parfaitement orchestrés et l’ensemble se regarde avec plaisir mais l’étincelle scénaristique ne s’est pas allumée sur cet épisode. Dommage.

Dans mes souvenirs, Ip Man premier du nom reste toujours gravé dans mon esprit comme une bonne surprise qui m'avait conquis grâce à son histoire assez touchante, sa belle réalisation et bien sûr ses combats, dont certains résonnent toujours ma tête. Je l'ai vu il y a un bout de temps il est vrai, Ip Man 2 par contre, c'était plutôt l'inverse, la scénario était devenu bien plus fade et du coup, je n'en ai que peu de souvenir, rien de marquant.

Tout ça pour en venir à ce troisième volet, dès la première scène je sentais que je n'allais pas aimer ce film. On sent directement que pas grand chose ne sonne vrai dans ce que l'on nous propose, j'ai trouvé ça mou, avec une mise en scène sans ambition. En fait, Wilson Yip n'a jamais réussi à m'emporter dans une quelconque histoire, malgré un thème très grave qui est abordé durant la projection, impossible d'y croire pour moi, car tout est fait pour que ça soit plutôt réaliste et sérieux, mais tout semble artificiel. Le résultat est que le scénario s'écoule sans jamais nous agripper, des scènes qui s'enchaînent mais qui jamais ne titillent nos émotions.

Ce que je trouve dommage c'est que Donnie Yen interprète à mon sens magnifiquement bien son personnage, on pourrait réellement s'en prendre plein la tête mais je dois avouer qu'encore une fois, ce Ip Man ne m'aura pas marqué et sera probablement bien vite oublié.

Critique de "Ip Man 3".
Donnie Yen revient en force pour ce troisième opus. Une histoire qui tient debout et ses promesses, des moments émouvants. Le film est visiblement divisé en deux parties : une première partie typiquement Ip Man et une deuxième plus intimiste et psychologique. Donnie Yen toujours autant performant dans son rôle incarné. Mike Tyson, bien que présent sur l'affiche n'apparaît pas beaucoup dans le film. Mais sa courte présence est gérée de manière très efficace. 4/5

L'épisode 3 qui veut clore la saga est l'épisode de trop malheureusement. Le passage de mike Tyson ( en piètre acteur ) disparaît aussi rapidement qu'il est venu, on reprend des éléments des deux premiers films comme le combat à 11 au lieu de renouveler et les combats contre les grands maîtres sont moins intenses.a voir tout de même.

Le Sens de la Vie

Yip man se bat contre spoiler: ceux qui ont son agilité et sa force physique, mais pas ses valeurs morales
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Des valeurs de cœur et d'esprit qu'il partage avec sa douce épouse, spoiler: qui lutte contre un cancer invasif qui est sur le point de mettre fin à son incarnation actuelle
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Le couple enseigne les valeurs d'amour et de respect, l'esprit du Wing Chun et les qualités d'être spoiler: un mari et une femme aimants et un père et une mère exemplaires jusqu’à la fin
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Après les deux premiers chefs d'œuvres que sont les deux premiers volets de la saga IP man, Donnie Yen endosse à nouveau le costume iconique du maître de Bruce Lee.
En voyant l'affiche du film, on nous vend un film grandiose opposant IP et un promoteur immobilier véreux qui n'est autre que Mike Tyson. Mais le film est tourné d'une manière tout à fait différente par rapport aux deux premiers films et ce à quoi l'on peut s'attendre en voyant cette fameuse affiche.
Spoiler
Dans ce troisième film, après avoir prouvé dans les deux premiers qu'il était le meilleur, IP se recentre au fur et à mesure du film sur autre chose : "Le plus important est d'être proche de ceux que l'on aime". En l'occurrence de sa femme. Le personnage est vue jusqu'au milieu de ce film et depuis le début de la saga comme quelqu'un mettant le kung fu au centre de sa vie, mettant parfois sa famille en second plan. Ce que sa femme n'hésite pas d'ailleurs à lui rappeler notamment dans le premier film. Mais dans celui-ci, après avoir appris que sa femme et atteint d'un cancer, IP met totalement de côté son art pour se consacrer à l'amour de sa vie. C'est je trouve une réussite d'avoir pris cette direction, car je m'attendais vraiment à un remake du 1 ou du 2 avec un nouvel ennemi surpuissant que seul IP peut battre au cour du combat final. Mais Mike Tyson est littéralement vendu comme "une présence inquiétante, impressionnant par sa redoutable puissance explosive dans la scène du combat finale". Mais c'est finalement lui qui apporte du négatif au film. Il n'apporte rien en sois.
IP a trois problème à régler dans cette histoire, tout d'abord, le promoteur immobilier, son concurrent en Wing Chun et bien sûr le cancer de sa femme qui va réussir à le détacher de ce qu'il aime le plus. Mais uniquement les deux derniers problèmes apportent au film narrativement et au niveau de la poésie. Mike est là uniquement pour montrer les muscles et dire que nous occidentaux on est fort aussi (super...). Je suis persuadé qu'il y a eu une histoire de production et dans les négociations il y a eu Mike ou un délire du genre.
Alors que à côté, le concurrent apporte réellement quelque chose à l'histoire, car c'est lui qui va tout d'abord découvrir le grand maître, penser être le meilleur et le défier. IP refuse pour sa femme mais elle, elle veut le voir combattre, car c'est pour cela qu'elle l'aime. C'est d'ailleurs juste avant l'affrontement qu'elle lui demande de s'entraîner, car "les bruits me manquent". C'est donc quelque chose de tellement ancré en eux, c'est leur identité et elle sait que le kung fu c'est son mari.

Bref c'est un film qui fait du bien, qui apporte un regard nouveau, qui met par contre un peu de temps à démarrer. On est loin du chef d'œuvre qu'est le premier opus selon moi mais le film reste très bien malgré le fait qu'on nous mend sur l'affiche simplement pour attirer du monde car... il y a Mike Tyson mais ce n'est absolument pas pour lui que l'on aime IP man et j'aurais préféré qu'il ne soit pas présent dans ce troisième opus.

Ip Man 3
J'adore ce type de film. Des chorégraphies soignées, un mec qui à la classe, de beaux ralentit même s’ils sont moins nombreux, Ancré dans la réalité même si pour le spectacle elle est envenimée. Un Mike Tyson gonfler à bloc... spoiler: (en parlant de ça le combat n'est pas fini...)
Dans le final je ne veux pas spoil, mais spoiler: on voit le fameux One inca Punch, considéré comme le summum du Wing Chun !!!
c'est magique !!

Si on parlait de la trilogie. Je suis un grand fan. J'ai adoré un peu comme les Matrix. On rescend la puissance des coups porté par et contre l'adversaire avec de véritables stratégies de combat qui mettent (de se point de vue) les chorégraphies de Matrix un cran en dessous , puis qu'est que c'est classe. L'histoire malgré le fait qu’elle soit bateau (Reste quand même sur des problématique emblématique comme spoiler: le cancer
spoiler: et
la corruption). Dans les 3 opus elle révèle quelque chose de plus grand soit l'affrontement d'une majorité de styles de combats et la popularisation du Wing Chu dans le monde. J'ai aimé la prise en compte des conflits géopolitiques des pays du soleil levant. Ce qui renforce l'effet de grandeur.

Si vous ne connaissiez pas cette trilogie je la conseille surtout lorsuqe vous savez que la chorégraphie est issue de Matrix et kil bill (Yeun Woo Ping).
Rien que pour les chorégraphies c'est film rejoignent un style Bollywood, mais au lieu de danser on se bat <3

Quelque beaux combats mais toujours cette attitude réservée et quasi molle ... On peut apprécier ou du moins envisager le coté humble , d'un maitre du Wing Chun , à la Gandhi , les évènements viennent à lui , ils ne les cherchent pas ... Mais j'aurais aimé un peu plus de gniak , voire un froncement de sourcil .... Donnie Yen ne donne pas l'impression de s'énerver...
Je ne vois pas ce que viens faire là le boxeur Tyson .... et la partie mélo avec la maladie de la femme de Ip Man aurait pu être mise de coté....

J'ai vu les trois films donc ma critique sera globale. J'ai beaucoup aimé. Le héros est sexy et charismatique, c'est un homme droit qui n'aime que sa femme (même s'il la déçoit parfois), qui est doux et humble (même s'il en fait parfois un peu trop), tout en maitrisant parfaitement l'art du kung fu. Donnie Yen est séduisant et possède un sourire à faire tomber les chinoises comme des mouches. Le mari idéal en somme, sauf que c'est trop beau pour être vrai dans la réalité du moins. Du début à la fin, je me suis d'ailleurs demandé quelle était la part de la biographie et celle de la romance. La femme du héros est très belle et beaucoup plus jeune que lui, ce n'est donc pas l'apanage des films américains. Bref.
Sinon la réalisation est impeccable, les scènes de combat superbes, et même si on n'est pas un(e) initié(e) du kung fu, on a bien compris que le but était de mettre cet art martial en valeur de toutes les manières possibles sur les trois épisodes. La dure vie des chinois de l'époque sous l'occupation japonaise puis anglaise est également bien représentée.
Là où ça coince un peu, c'est au niveau des dates. Entre le premier et le troisième film, il s'est écoulé presque 30 ans dans la vie réelle de Ip Man mais seulement 8 ans pour les acteurs. Ces derniers restent donc jeunes et séduisants. Et vu l'âge de la très jeune femme du héros et en parallèle de l'actrice qui entame sa trentaine à la fin du troisième film, on pourrait s'amuser à conclure que son mari l'a épousée au berceau. Car en 1959 ce dernier est également supposé avoir déjà 66 ans, et franchement il ne les fait pas. Sans compter qu'une couche épaisse de fond de teint peut faire des merveilles. Car tout invincible qu'il est, il vieillit comme tout le monde et donc il n'aurait jamais pu relever le défi qui lui est posé. Quel âge aura-t-il donc dans le quatrième volet ?...
On regrette la petite touche de racisme contre ces "sales étrangers". J'aurais préféré entendre "ces sales anglais", lesquels sont bien entendus tous sans exception méchants, corrompus et méprisables. On se doute que les chinois n'étaient pas à la fête, mais quand même était-il besoin de caricaturer tous les anglais sans exception ? La musique, qui est très belle dans tous les volets, est pourtant d'inspiration occidentale et non pas chinoise...
On aurait bien voulu voir des femmes pratiquer le wing chun, art martial fondé par une femme en plus. Bon ce n'était pas forcément évident dans le contexte de l'époque, mais ça fait toujours plaisir de voir que les hommes comme les femmes de l'usine de son ami sont entrainés à se défendre contre les méchants.
On regrettera enfin également le très bref passage de Bruce Lee dans le scénario.
Je regarderai avec intérêt le quatrième volet à sa sortie, mais je me demande: est-il nécessaire ? Est-ce qu'on n'a pas déjà tout dit ? Le troisième film est fort bien réalisé lui aussi, mais il y a un je ne sais quoi qui manque par rapport aux autres. Et étant donné l'âge avancé (théorique) du maître, on se demande ce que ça va donner si l'action est située après 1960. En espérant que ça ne sera pas le film de trop.

Des combats toujours sublimes, des scènes magnifiquement réalisées. On retrouve avec plaisir Donnie Yen. Contrairement aux autres opus, celui-ci mets en avant une star américaine en la personne de Mike Tison, certes son personnage a une certaine importance mais il n'apparaît que quelques minutes dans le film, c'est un peu exagéré qu'il soit mis en avant de l'affiche, alors que d'autres personnages auraient largement leur place. On pourrait croire qu'avec cette affiche, le film est vide alors que ce n'est pas du tout le cas, dommage.

Après avoir regarder les trois précédents épisodes celui-ci n'est pas meilleur il reprend les même style de scène d'action que les précédents bien qu'il sont bien à regarder tout de même.

Petit plus un passage de mc tyson qui ce fait finalement être très bref et peut démonstratif, je pense au regret de pas mal de monde.

Le film mériterais mieux que mes trois étoiles et demi (4), mais étant déçu après avoir fortement apprécié les précédent...

À la hauteur des deux premier. Celui là nous emporte dans des combats de même intensité bien que moins "surprenant". Il faut y voir aussi la poésie qui se dissimule avec subtilité dans le Wing Chun. Le film nous prend dans la seconde moitié, et encore plus dans les dernières scènes. C'est un succès !

Dans Ip Man 3, le légendaire maître du Wing Chun, fait face à de nouveaux défis. Lorsque un promoteur immobilier corrompu (incarné par Mike Tyson) menace de s’emparer de son école et de son quartier, Ip Man doit défendre son honneur et sa communauté. Mais au-delà des combats, il se confronte à des épreuves personnelles, notamment la maladie de son épouse, ce qui le pousse à réévaluer ses priorités entre l’art martial et la famille.

Note : ★★★★☆ - (4/5) - Très bon

Wilson Yip réussit une nouvelle fois à combiner scènes de combat spectaculaires et récit émouvant. Les affrontements, magnifiquement chorégraphiés, illustrent la maîtrise absolue de Donnie Yen, notamment lors de l’intense duel avec Mike Tyson, où la force brute rencontre la précision martiale. L’esthétique des combats et la réalisation dynamique captivent à chaque instant.

Ce volet se distingue également par sa dimension plus intime : la relation d’Ip Man avec sa femme apporte une profondeur émotive, offrant un contrepoint touchant à l’action. Toutefois, le scénario reste parfois trop classique, avec des enjeux prévisibles qui ne surprennent pas toujours les spectateurs.

Point fort : Les combats impressionnants et la performance charismatique de Donnie Yen.

Après 5 ans d’absence, Ip Man est de retour. Pour la troisième fois consécutive, Donnie Yen interpréte le rôle de ce redresseur de torts et grand maître de kung-fu wing chun, dans un film qui conclue cette saga de façon pour le moins surprenante. Et autant clarifier les choses d’emblée : Ip Man 3 n’offre absolument pas le spectacle, ou plutôt la trame scénaristique que l’on espérait.

En effet, si la scène finale de Ip Man 2 laissait entrevoir un troisième volet particulièrement excitant en intégrant un Li Xiao Long enfant (soit Bruce Lee) qui cherchait à se faire entraîner par « l’homme le plus fort de la Chine », il n’en est finalement rien. Pourtant, Ip Man 3 se lance avec une séquence d’introduction où Le Petit Dragon revient, des années plus tard, auprès du maître en réitérant sa demande, mais c’est en fait pour mieux passer à autre chose afin que les fans n’en attendent pas plus. Pire, les deux passages qui font intervenir Danny Chan, l’acteur qui ne fait que singer Bruce Lee, sont les plus foireux du film, entre coup de pied contre des cigarettes et pas de danse. Du coup, on peut se dire qu’on a peut-être échappé au pire…

En écartant donc la thématique de la formation de l’élève par le maître, le réalisateur Wilson Yip s’intéresse alors à une énième histoire de malfrats qui gangrène la ville, très classique en somme, mais qui, malgré tout, fonctionne parfaitement. Peut-être parce que voir Donnie Yen exploser des bandits par paquets de dix est toujours aussi plaisant, et que les combats sont toujours aussi palpitants. Sûrement même.

Mais là où Ip Man 3 surprend vraiment, c’est dans sa dernière partie, emplie de mélancolie et de tristesse, où l’appel du combat – un défi capital pour remettre les choses au clair – n’est plus rien face à l’adversité de la vie. Touchants, ces moments de grâce arrivent aisément à nous faire oublier que c’est un film de baston qui défile à l’écran, et pose carrément un problème au combat final : le cœur n’y est plus.

La peine qui se dégage de ces scènes annihile toute envie de voir un nouveau combat, aussi bon soit-il, et on aurait préféré que tout se termine tristement, sur cette note dramatique sans qu’on est à savoir qui est le plus fort. Bien sûr, on ne dit pas qu’on regrette cet affrontement final des plus soignés, seulement qu’il aurait dû arriver à un autre moment de l’histoire, ou disparaître.

D’autant qu’Ip Man 3 regorge suffisamment de scènes de combats assez monstrueuses pour pouvoir s’en passer d’une. Qu’il s’agisse d’une tripotée de bras cassés qui se frotte à Donnie Yen et au charismatique Zhang Jin (vu dans l’excellent SPL 2) après un kidnapping d’enfants, d’un balèze voulant occire le maître dans une cage d’ascenseur ou de Mike Tyson qui donne tout ce qu’il a le temps d’un round bien bourrin, tous les affrontements sont réussis sans exception, là où Ip Man 2 décevait dans pas mal de séquences.

POUR LES FLEMMARDS : Ip Man 3 offre une conclusion mélancolique surprenante, tout en gardant des séquences d’action toujours aussi efficaces, et même beaucoup mieux que le volet précédent.

bof. le 1er reste la reference ultime des films de kung fu sans aucun doute. je mets une note de 3 parce que les scenes de combat (final vs tyson enorme) et les plans de scene pr la fight sont beau comme les 2 premiers. mais sinon le reste... c a d scenario, interet, mise en scene et surtout le jeu d acteur ( ok on demande pas une tension digne des oscars) c assez moyen. ca reste un excellent film d action et de fight