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27 critiques presse
Bande à part
par Isabelle Danel
Images brutes, voire brutales, très gros plans qui scrutent les grains de peau, montage intelligent et virtuose, cette radiographie d’un être qui s’est laissé porter au gré du vent et s’est éparpillé est aussi le portrait d’une génération d’enfants perdus. Un universel constat du temps qu’il faut pour se rassembler, atteindre à la pacification entre toutes les facettes d’une même personne.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Première
par Gaël Golhen
"Orpheline" est un objet de cinéma puissant et intrigant. Entre le labyrinthe mental et le portrait de femme explosé, un film étrange, porté par un trio d'actrices exceptionnel.
20 Minutes
par Caroline Vié
On se laisse emporter dans la vie de cette femme que chacune des comédiennes modèle. On comprend progressivement ses origines et ses réactions au travers de ses différentes personnalités.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Culturopoing.com
par Vincent Nicolet
Drame choral âpre, à la fois labyrinthique et concret, Orpheline captive, décontenance, avant d’émouvoir durablement.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Femme Actuelle
par La Rédaction
On est touché par le parcours chaotique et violent de cette jeune fille à la recherche d'elle-même. Une belle performance d'actrices.
L'Obs
par Nicolas Schaller
A son approche théorique habituelle, qui pouvait rendre abscons un film comme "Michael Kohlhaas", des Pallières ajoute du drame et de la chair. Il mène son récit comme un polar à suspense (le spectateur a toujours un train de retard sur ce qui se joue), comme une série de variations autour de motifs semblables, et signe une fugue électrisante.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Voix du Nord
par Philippe Lagouche
Des quatre comédiennes choisies pour incarner une jeune femme à quatre étapes cruciales de son existence, pointons le rôle si révélateur joué par Solène Rigot – attention fragile !–, porteuse de vérités intolérables sur l’enfance en lambeaux. Pourtant, pas l’ombre ici de sentimentalisme et misérabilisme, alors qu’il eût été si aisé d’en faire des tonnes.
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Portrait diffracté d’une jeune femme chaque fois ni tout à fait la même ni tout à fait une autre, dans un dispositif narratif où c’est au spectateur de construire l’image d’ensemble : un essai intéressant de cinéma cubiste.
Les Fiches du Cinéma
par Marguerite Debiesse
Quatre prénoms, quatre âges, quatre interprètes pour le parcours d’une jeune femme, agencé en kalédioscope par un auteur inspiré : Arnaud des Pallières réussit un portrait aussi brillant qu’émouvant.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Libération
par Luc Chessel
"Orpheline" sort dans une sale époque, et y répond au plus près de ce qui fait une vie. Cette vie se dessine comme un rapport entre ses âges, et non selon le simple passage du temps. Le film a un côté cartographique : il nous laisse faire nous-mêmes le trajet entre ses points.
Ouest France
par Gilles Kerdreux
Le film est dur, parfois dérangeant, mais merveilleusement interprété par Adèle Haenel, Adèle Exarchopoulos et Solène Rigot.
Télérama
par Louis Guichard
Aucune des quatre actrices n'est moins captivante que les autres. Leur éclat et l'acuité du regard porté sur elles assurent une continuité. Et le scénario puise dans l'histoire personnelle de la coscénariste, Christelle Berthevas, fil conducteur intime et singulier.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
Toujours sobre et maître de ses intentions, complexe et paradoxal, Arnaud des Pallières ne cherche pas à séduire, mais convainc.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Express
par Eric Libiot
De la part d'un réalisateur souvent inspiré, on aurait aimé plus d'originalité.
La Croix
par Marie Soyeux
Arnaud des Pallières livre un portrait dense et cru de femme, à quatre âges de sa vie.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
Une histoire conceptuelle, en somme, assénée avec le punch d’un cogneur, pleine de son et de fureur, de couleurs et de coutures, de chair et de mots, qui nous prend à témoin, dans cette lutte de tous contre tous qu’est la vie, qu’une chance existe de tenir debout et de se reconstruire.
Les Inrockuptibles
par Serge Kaganski
Avec ses quatre comédiennes pour un même rôle et sa chronologie inversée, "Orpheline" paraît artificiellement alambiqué, comme si les expérimentations formelles et narratives importaient plus que les personnages, aboutissant à un très bel objet qui échoue à toucher en profondeur.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Studio Ciné Live
par Laurent Dijan
Un film audacieux mais inégal.
Voici
par La Rédaction
Intrigant, déroutant, inégal.
Cahiers du Cinéma
par Florence Maillard
Appuyant des représentations plus qu’il ne fait éclore des émotions inattendues, et s’en remettant trop à la puissance d’incarnation de ses actrices, "Orpheline" étouffe bien vite son spectateur, qui n’a ni le loisir de se perdre ni celui d’accompagner la naissance d’un personnage.
Critikat.com
par Josué Morel
Rapidement, la prometteuse mécanique révèle ses limites, autant sur le terrain de la construction du personnage, contrite par les balises qui bordent le parcours supposé sauvage de Karine, que celui de son incarnation.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
L'Humanité
par Vincent Ostria
Le genre de film assez poseur sur lequel il vaut mieux être informé si on ne veut pas être perdu. Pourquoi faire simple quand on peut faire compliqué ?
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Si on est happé par la fatalité qui s’acharne sur l’héroïne, on cherche ce que veut dire le réalisateur dans ce récit un peu décousu sur le déterminisme social.
Le Parisien
par La Rédaction
Le film laisse perplexe, même si Adèle Haenel, Adèle Exarchopoulos et Solène Rigot sont magnifiques.
Sud Ouest
par Sophie Avon
Curieusement et malgré des actrices différentes, le personnage est unidimensionnel, soumis au regard d’un cinéaste qui ne la regarde qu’à travers un corps objet, sexuel, bafoué ou maternel. La mise en scène sophistiquée, la fragmentation du rôle et la dramaturgie à rebours paraissent du coup autant d’essais formels voués à un récit asphyxiant, sans émotion ni lumière.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
aVoir-aLire.com
par Frédéric Mignard
Son portrait de la victimisation de la femme face aux hommes pluriels, à travers les saisons d’une même vie de déterminisme, avait de quoi séduire de par son casting immense, mais il ne parvient tout simplement pas à susciter l’empathie nécessaire pour faire aimer ses personnages.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Le Figaro
par Nathalie Simon
Le film se résume à un copier-coller de séquences disparates et de flash-back grossiers que le travail de montage ne parvient pas à faire oublier. En outre, il est mal éclairé et pénible à regarder, digne d'un travail de débutant.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Bande à part
Images brutes, voire brutales, très gros plans qui scrutent les grains de peau, montage intelligent et virtuose, cette radiographie d’un être qui s’est laissé porter au gré du vent et s’est éparpillé est aussi le portrait d’une génération d’enfants perdus. Un universel constat du temps qu’il faut pour se rassembler, atteindre à la pacification entre toutes les facettes d’une même personne.
Première
"Orpheline" est un objet de cinéma puissant et intrigant. Entre le labyrinthe mental et le portrait de femme explosé, un film étrange, porté par un trio d'actrices exceptionnel.
20 Minutes
On se laisse emporter dans la vie de cette femme que chacune des comédiennes modèle. On comprend progressivement ses origines et ses réactions au travers de ses différentes personnalités.
Culturopoing.com
Drame choral âpre, à la fois labyrinthique et concret, Orpheline captive, décontenance, avant d’émouvoir durablement.
Femme Actuelle
On est touché par le parcours chaotique et violent de cette jeune fille à la recherche d'elle-même. Une belle performance d'actrices.
L'Obs
A son approche théorique habituelle, qui pouvait rendre abscons un film comme "Michael Kohlhaas", des Pallières ajoute du drame et de la chair. Il mène son récit comme un polar à suspense (le spectateur a toujours un train de retard sur ce qui se joue), comme une série de variations autour de motifs semblables, et signe une fugue électrisante.
La Voix du Nord
Des quatre comédiennes choisies pour incarner une jeune femme à quatre étapes cruciales de son existence, pointons le rôle si révélateur joué par Solène Rigot – attention fragile !–, porteuse de vérités intolérables sur l’enfance en lambeaux. Pourtant, pas l’ombre ici de sentimentalisme et misérabilisme, alors qu’il eût été si aisé d’en faire des tonnes.
Le Dauphiné Libéré
Portrait diffracté d’une jeune femme chaque fois ni tout à fait la même ni tout à fait une autre, dans un dispositif narratif où c’est au spectateur de construire l’image d’ensemble : un essai intéressant de cinéma cubiste.
Les Fiches du Cinéma
Quatre prénoms, quatre âges, quatre interprètes pour le parcours d’une jeune femme, agencé en kalédioscope par un auteur inspiré : Arnaud des Pallières réussit un portrait aussi brillant qu’émouvant.
Libération
"Orpheline" sort dans une sale époque, et y répond au plus près de ce qui fait une vie. Cette vie se dessine comme un rapport entre ses âges, et non selon le simple passage du temps. Le film a un côté cartographique : il nous laisse faire nous-mêmes le trajet entre ses points.
Ouest France
Le film est dur, parfois dérangeant, mais merveilleusement interprété par Adèle Haenel, Adèle Exarchopoulos et Solène Rigot.
Télérama
Aucune des quatre actrices n'est moins captivante que les autres. Leur éclat et l'acuité du regard porté sur elles assurent une continuité. Et le scénario puise dans l'histoire personnelle de la coscénariste, Christelle Berthevas, fil conducteur intime et singulier.
Franceinfo Culture
Toujours sobre et maître de ses intentions, complexe et paradoxal, Arnaud des Pallières ne cherche pas à séduire, mais convainc.
L'Express
De la part d'un réalisateur souvent inspiré, on aurait aimé plus d'originalité.
La Croix
Arnaud des Pallières livre un portrait dense et cru de femme, à quatre âges de sa vie.
Le Monde
Une histoire conceptuelle, en somme, assénée avec le punch d’un cogneur, pleine de son et de fureur, de couleurs et de coutures, de chair et de mots, qui nous prend à témoin, dans cette lutte de tous contre tous qu’est la vie, qu’une chance existe de tenir debout et de se reconstruire.
Les Inrockuptibles
Avec ses quatre comédiennes pour un même rôle et sa chronologie inversée, "Orpheline" paraît artificiellement alambiqué, comme si les expérimentations formelles et narratives importaient plus que les personnages, aboutissant à un très bel objet qui échoue à toucher en profondeur.
Studio Ciné Live
Un film audacieux mais inégal.
Voici
Intrigant, déroutant, inégal.
Cahiers du Cinéma
Appuyant des représentations plus qu’il ne fait éclore des émotions inattendues, et s’en remettant trop à la puissance d’incarnation de ses actrices, "Orpheline" étouffe bien vite son spectateur, qui n’a ni le loisir de se perdre ni celui d’accompagner la naissance d’un personnage.
Critikat.com
Rapidement, la prometteuse mécanique révèle ses limites, autant sur le terrain de la construction du personnage, contrite par les balises qui bordent le parcours supposé sauvage de Karine, que celui de son incarnation.
L'Humanité
Le genre de film assez poseur sur lequel il vaut mieux être informé si on ne veut pas être perdu. Pourquoi faire simple quand on peut faire compliqué ?
Le Journal du Dimanche
Si on est happé par la fatalité qui s’acharne sur l’héroïne, on cherche ce que veut dire le réalisateur dans ce récit un peu décousu sur le déterminisme social.
Le Parisien
Le film laisse perplexe, même si Adèle Haenel, Adèle Exarchopoulos et Solène Rigot sont magnifiques.
Sud Ouest
Curieusement et malgré des actrices différentes, le personnage est unidimensionnel, soumis au regard d’un cinéaste qui ne la regarde qu’à travers un corps objet, sexuel, bafoué ou maternel. La mise en scène sophistiquée, la fragmentation du rôle et la dramaturgie à rebours paraissent du coup autant d’essais formels voués à un récit asphyxiant, sans émotion ni lumière.
aVoir-aLire.com
Son portrait de la victimisation de la femme face aux hommes pluriels, à travers les saisons d’une même vie de déterminisme, avait de quoi séduire de par son casting immense, mais il ne parvient tout simplement pas à susciter l’empathie nécessaire pour faire aimer ses personnages.
Le Figaro
Le film se résume à un copier-coller de séquences disparates et de flash-back grossiers que le travail de montage ne parvient pas à faire oublier. En outre, il est mal éclairé et pénible à regarder, digne d'un travail de débutant.