Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
17 critiques presse
L'Humanité
par Emile Breton
(...) que ne pardonnerait-on pas à un film où l’on voit un homme mûr, taiseux de nature, fier de sa maîtrise de lui-même et de ses sentiments, pleurer d’amour ?
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Libération
par Elisabeth Franck-Dumas
Le twist final, qu’on ne révélera pas, est un classique du genre, mais fait retomber l’ensemble plutôt gracieusement sur ses pieds, hommage au génie des lieux qui parvient à dénouer les accrocs semés en cours de route.
La critique complète est disponible sur le site Libération
aVoir-aLire.com
par Claudine Levanneur
Entre réel et imaginaire, un hommage à la création illuminé par un duo d'actrices solaires.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Le Figaro
par La Rédaction
Un premier film parfois inutilement maniéré, mais original et raffiné.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Les Fiches du Cinéma
par Aude Jouanne
Un premier long métrage d’une grande douceur, où le fantasme prend le pas sur la réalité.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Serge Kaganski
Au regard précis et parfois tendrement ironique sur le prosaïsme de la vie d'artiste et sur le fonctionnement d'une institution culturelle plus précaire qu'elle ne semble, [...] Deruas adjoint une vision de la Villa Médicis comme maison hantée.
Rolling Stone
par Louise-Camille Bouttier
Un beau premier film qui pêche parfois par excès d'effets esthétiques.
Télérama
par Frédéric Strauss
On sent un vécu encore brûlant et des blessures narcissiques ! A cette sensibilité à fleur de peau se mêle un esprit joueur, frondeur, suggérant qu'entrer à la villa Médicis, c'est aussi se faire tout un cinéma...
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cahiers du Cinéma
par Joachim Lepastier
On ne peut pas dire qu’on croit toujours beaucoup à cette dimension irréelle, mais au moins ce goût du collage donne une résonance plus aimable et ludique à cette autofiction aux ressorts parfois attendus.
Culturopoing.com
par Claude Atlas / Olivier Rossignot
Plus un fantasme de grand film qu'un grand film sur le fantasme (…) La promesse des mystères finit par se retourner contre elle-même.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
L'Obs
par Pascal Mérigeau
On imagine que les anciens résidents de la Villa et ceux qui rêvent d’en être un jour y trouveront plus leur compte que le spectateur, lequel doit se satisfaire d’admirer le décor et les magnifiques photographies dont Axèle est censément l’auteur.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Septième Obsession
par Claire Micallef
Un bon giallo à la française.
Le Parisien
par Catherine Balle
Comme pour pimenter ces aventures très banales, le fantastique fait quelques incursions parfois en latin. Mais là encore, ces effets de mise en scène ne nous racontent pas grand-chose.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Positif
par Olivier de Bruyn
Si "L'Indomptée", dans ses meilleurs moments, instaure une atmosphère singulière, le film, hélas, s'abîme trop souvent dans la théorie en images, la préciosité et de multiples tics auteuristes que la conviction des deux comédiennes principales (...) ne parviennent pas à masquer.
Studio Ciné Live
par Laurent Dijan
Bien vite, dans cette comédie auteuriste poussive, on débusque (un fantôme) : la mise en scène.
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Une volonté de faire surgir le fantastique dans la réalité qui grince un peu au passage. Reste la Villa Médicis, superbe…
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
Sur le thème de l’amour et de la création, un huis clos qui s’égare dans le symbole et l’ostentation.
L'Humanité
(...) que ne pardonnerait-on pas à un film où l’on voit un homme mûr, taiseux de nature, fier de sa maîtrise de lui-même et de ses sentiments, pleurer d’amour ?
Libération
Le twist final, qu’on ne révélera pas, est un classique du genre, mais fait retomber l’ensemble plutôt gracieusement sur ses pieds, hommage au génie des lieux qui parvient à dénouer les accrocs semés en cours de route.
aVoir-aLire.com
Entre réel et imaginaire, un hommage à la création illuminé par un duo d'actrices solaires.
Le Figaro
Un premier film parfois inutilement maniéré, mais original et raffiné.
Les Fiches du Cinéma
Un premier long métrage d’une grande douceur, où le fantasme prend le pas sur la réalité.
Les Inrockuptibles
Au regard précis et parfois tendrement ironique sur le prosaïsme de la vie d'artiste et sur le fonctionnement d'une institution culturelle plus précaire qu'elle ne semble, [...] Deruas adjoint une vision de la Villa Médicis comme maison hantée.
Rolling Stone
Un beau premier film qui pêche parfois par excès d'effets esthétiques.
Télérama
On sent un vécu encore brûlant et des blessures narcissiques ! A cette sensibilité à fleur de peau se mêle un esprit joueur, frondeur, suggérant qu'entrer à la villa Médicis, c'est aussi se faire tout un cinéma...
Cahiers du Cinéma
On ne peut pas dire qu’on croit toujours beaucoup à cette dimension irréelle, mais au moins ce goût du collage donne une résonance plus aimable et ludique à cette autofiction aux ressorts parfois attendus.
Culturopoing.com
Plus un fantasme de grand film qu'un grand film sur le fantasme (…) La promesse des mystères finit par se retourner contre elle-même.
L'Obs
On imagine que les anciens résidents de la Villa et ceux qui rêvent d’en être un jour y trouveront plus leur compte que le spectateur, lequel doit se satisfaire d’admirer le décor et les magnifiques photographies dont Axèle est censément l’auteur.
La Septième Obsession
Un bon giallo à la française.
Le Parisien
Comme pour pimenter ces aventures très banales, le fantastique fait quelques incursions parfois en latin. Mais là encore, ces effets de mise en scène ne nous racontent pas grand-chose.
Positif
Si "L'Indomptée", dans ses meilleurs moments, instaure une atmosphère singulière, le film, hélas, s'abîme trop souvent dans la théorie en images, la préciosité et de multiples tics auteuristes que la conviction des deux comédiennes principales (...) ne parviennent pas à masquer.
Studio Ciné Live
Bien vite, dans cette comédie auteuriste poussive, on débusque (un fantôme) : la mise en scène.
Le Dauphiné Libéré
Une volonté de faire surgir le fantastique dans la réalité qui grince un peu au passage. Reste la Villa Médicis, superbe…
Le Monde
Sur le thème de l’amour et de la création, un huis clos qui s’égare dans le symbole et l’ostentation.