Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
15 critiques presse
Les Inrockuptibles
par Théo Ribeton
Le coup est réussi : à la fois moderne et vieux jeu, classiciste et pop, il refait le pari d'un cinéma vivant, écrit en gestes, en actions, en plans et en situations. C'est précieux.
Libération
par Luc Chessel
"La Prunelle de mes yeux" est tout entier une recherche du paradoxal, de ses prémisses (film d’aveugle) à ses conséquences (plaisirs du désagréable). En suivant une autre piste, on y décèle quelque chose comme le paradoxe du folklore, dont le signe est le rôle étrange, assez distancié, du rebetiko dans le film.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Studio Ciné Live
par Thierry Cheze
Une relation chien-chat qui va se transformer en passion, qu'Axelle Ropert raconte avec ce qu'il faut de décalage pour éviter la mièvrerie.
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Une comédie légère sur fond de situation qui l’est moins : ça marche assez bien, et ça se regarde comme tel, les yeux fermés.
Le Monde
par Isabelle Regnier
Axelle Ropert imagine une comédie romantique ludique et heurtée autour d’un immeuble où se croise un quatuor d’acteurs remarquables.
L'Humanité
par Vincent Ostria
La grosseur de la trame entrave l’émotion et le rire. Les dialogues, surécrits, sont envahissants, certaines situations trop abstraites (les séquences dans un faux ascenseur). Ça se voudrait pimpant et léger mais c’est trop appliqué.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Les Fiches du Cinéma
par Nathalie Zimra
Cette petite comédie sentimentale, brouillonne et charmante, décline à sa façon l’éternel mantra de l’amour aveugle.
Positif
par Olivier de Bruyn
"La Prunelle de mes yeux" irrite à force de truculence volontariste.
Télérama
par Louis Guichard
Une référence à l'âge d'or de Hollywood, aux films de Howard Hawks avec Katharine Hebpburn, dont Axelle Ropert (...) s'inspire ouvertement. Mais, transposé à Paris de nos jours, entre une aveugle et son voisin, cet antagonisme décrété, appuyé, prolongé tourne à l'aigre et passe mal.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par CLaudine Levanneur
Une comédie romantique qui nous aveugle de son éclairage brutal sur l’amour, mais qui demeure convenue.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Cahiers du Cinéma
par Jean-Philippe Tessé
Un gros ratage.
Critikat.com
par Théo Charrière
Théo Charrière : Jamais Ropert ne dépasse la perspective morte-née d’un mariage de deux comiques (l’élégance et la grossièreté, pour faire vite) qui ne se rencontreront jamais.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
L'Obs
par Pascal Mérigeau
Bref, on ne rit pas. A la question de savoir ce qui a manqué à "la Prunelle", travail, talent, modestie, on est tenté de répondre : juste un peu de tout ça.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Septième Obsession
par Claire Micallef
Si quelques répliques font mouche, si les personnages tertiaires sont drôles et les interprètes charmants, le film tourne en rond.
Le Figaro
par La Rédaction
Malheureusement, tout le charme de "Tirez la langue, mademoiselle", le précédent film d'Axelle Ropert, s'est évaporé. Triste comme un jour sans feta.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Les Inrockuptibles
Le coup est réussi : à la fois moderne et vieux jeu, classiciste et pop, il refait le pari d'un cinéma vivant, écrit en gestes, en actions, en plans et en situations. C'est précieux.
Libération
"La Prunelle de mes yeux" est tout entier une recherche du paradoxal, de ses prémisses (film d’aveugle) à ses conséquences (plaisirs du désagréable). En suivant une autre piste, on y décèle quelque chose comme le paradoxe du folklore, dont le signe est le rôle étrange, assez distancié, du rebetiko dans le film.
Studio Ciné Live
Une relation chien-chat qui va se transformer en passion, qu'Axelle Ropert raconte avec ce qu'il faut de décalage pour éviter la mièvrerie.
Le Dauphiné Libéré
Une comédie légère sur fond de situation qui l’est moins : ça marche assez bien, et ça se regarde comme tel, les yeux fermés.
Le Monde
Axelle Ropert imagine une comédie romantique ludique et heurtée autour d’un immeuble où se croise un quatuor d’acteurs remarquables.
L'Humanité
La grosseur de la trame entrave l’émotion et le rire. Les dialogues, surécrits, sont envahissants, certaines situations trop abstraites (les séquences dans un faux ascenseur). Ça se voudrait pimpant et léger mais c’est trop appliqué.
Les Fiches du Cinéma
Cette petite comédie sentimentale, brouillonne et charmante, décline à sa façon l’éternel mantra de l’amour aveugle.
Positif
"La Prunelle de mes yeux" irrite à force de truculence volontariste.
Télérama
Une référence à l'âge d'or de Hollywood, aux films de Howard Hawks avec Katharine Hebpburn, dont Axelle Ropert (...) s'inspire ouvertement. Mais, transposé à Paris de nos jours, entre une aveugle et son voisin, cet antagonisme décrété, appuyé, prolongé tourne à l'aigre et passe mal.
aVoir-aLire.com
Une comédie romantique qui nous aveugle de son éclairage brutal sur l’amour, mais qui demeure convenue.
Cahiers du Cinéma
Un gros ratage.
Critikat.com
Théo Charrière : Jamais Ropert ne dépasse la perspective morte-née d’un mariage de deux comiques (l’élégance et la grossièreté, pour faire vite) qui ne se rencontreront jamais.
L'Obs
Bref, on ne rit pas. A la question de savoir ce qui a manqué à "la Prunelle", travail, talent, modestie, on est tenté de répondre : juste un peu de tout ça.
La Septième Obsession
Si quelques répliques font mouche, si les personnages tertiaires sont drôles et les interprètes charmants, le film tourne en rond.
Le Figaro
Malheureusement, tout le charme de "Tirez la langue, mademoiselle", le précédent film d'Axelle Ropert, s'est évaporé. Triste comme un jour sans feta.