Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
18 critiques presse
Ecran Large
par Christophe Foltzer
D'un récit déjà vu et cousu de fil blanc, Wayne Roberts en tire un film puissant, touchant et émouvant, servi par des comédiens extraordinaires. On en sort les yeux rouges et le coeur gros, mais on ne regrette absolument pas le voyage. Chapeau bas.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
L'Obs
par Nicolas Schaller
Ce rôle de sainte au purgatoire de l'Amérique, la jeune Olivia Cooke l'habite comme une très grande. Steven Spielberg ne s'y est pas trompé : il a engagé l'actrice pour son "Ready Player One" après l'avoir repérée dans ce film.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
Filmée au plus près par une caméra mobile et empathique, Olivia Cooke, lumineuse, incarne de manière bouleversante l'honnêteté désarmante de son personnage et sa confiance inébranlable en l'avenir - non pas un optimisme béat refusant de voir les difficultés, mais une croyance indestructible en une vie meilleure qui permet de franchir tous les obstacles, de dépasser toutes les épreuves.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
La Voix du Nord
par Christophe Caron
Un très joli film indépendant américain.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Figaro
par Eric Neuhoff
Touchant et sobre.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Parisien
par Catherine Balle
"Katie says Goodbye" est un drame très sombre, âpre, cruel, parfois insoutenable. Mais le film se trouve irradié par une lumière éblouissante, celle diffusée par le personnage de Katie, stupéfiante d’ingénuité et d’amour.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Rolling Stone
par Xavier Bonnet
Le premier film de Wayne Roberts emporte tout sur son passage.
La critique complète est disponible sur le site Rolling Stone
Sud Ouest
par Sophie Avon
Il y a de l'Evangile dans ce récit qui en dit long sur la torture des âmes et l'espérance des coeurs.
Télérama
par Frédéric Strauss
Pour soutenir ce personnage si attachant, qui jamais ne tombe dans l’ordinaire, l’actrice Olivia Cooke, que l’on vient de voir dans Ready Player One, met une magnifique ferveur dans chacun de ses regards, et jusque dans sa démarche volontaire.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Voici
par D.B.
Si le film pèche parfois par excès de pathos, il est sauvé par la subtile prestation de la très talentueuse Olivia Cooke.
aVoir-aLire.com
par Romain Dubois
Premier long-métrage de Wayne Roberts, Katie says Goodbye est avant tout un subtil portrait de femme, porté par la lumineuse Olivia Cooke.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
CinemaTeaser
par Emmanuelle Spadacenta
Bourré de bonnes intentions, ce film indépendant n'évite pourtant pas une certaine complaisance.
L'Express
par Christophe Carrière
Élève appliqué, un peu trop parfois (la mise en scène, très sage, n'est jamais surprenante), il colle consciencieusement au point de vue de son héroïne, plus proche de la sainte que de la martyre. (...) Et Olivia Cooke joue cette inébranlable sérénité à la perfection.
Le Journal du Dimanche
par Stéphane Joby
Très « indé-Sundance » dans l’esprit, ce premier film contourne les clichés habituels du misérabilisme redneck pour trousser de façon lumineuse le calvaire d’une jeune fille opiniâtre mais désarmante de naïveté.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Les Fiches du Cinéma
par Aude Jouanne
Sur fond d’Amérique rurale, le premier film de Wayne Roberts est aussi réussi visuellement que caricatural dans son message faussement philosophique.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Première
par Frédéric Foubert
Le premier volet d'un triptyque et les débuts d'un cinéaste intrigant.
Les Inrockuptibles
par Alexandre Büyükodabas
Le seul éclat du film réside dans les yeux de son actrice, billes pétillantes infusées d’une insondable mélancolie (...) l’Anglaise Olivia Cooke, visage mutin aux rondeurs enfantines, corps miniature à l’énergie électrique, en magnétise naturellement chaque plan.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Julien Gester
Complaisant et sordide.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Ecran Large
D'un récit déjà vu et cousu de fil blanc, Wayne Roberts en tire un film puissant, touchant et émouvant, servi par des comédiens extraordinaires. On en sort les yeux rouges et le coeur gros, mais on ne regrette absolument pas le voyage. Chapeau bas.
L'Obs
Ce rôle de sainte au purgatoire de l'Amérique, la jeune Olivia Cooke l'habite comme une très grande. Steven Spielberg ne s'y est pas trompé : il a engagé l'actrice pour son "Ready Player One" après l'avoir repérée dans ce film.
La Croix
Filmée au plus près par une caméra mobile et empathique, Olivia Cooke, lumineuse, incarne de manière bouleversante l'honnêteté désarmante de son personnage et sa confiance inébranlable en l'avenir - non pas un optimisme béat refusant de voir les difficultés, mais une croyance indestructible en une vie meilleure qui permet de franchir tous les obstacles, de dépasser toutes les épreuves.
La Voix du Nord
Un très joli film indépendant américain.
Le Figaro
Touchant et sobre.
Le Parisien
"Katie says Goodbye" est un drame très sombre, âpre, cruel, parfois insoutenable. Mais le film se trouve irradié par une lumière éblouissante, celle diffusée par le personnage de Katie, stupéfiante d’ingénuité et d’amour.
Rolling Stone
Le premier film de Wayne Roberts emporte tout sur son passage.
Sud Ouest
Il y a de l'Evangile dans ce récit qui en dit long sur la torture des âmes et l'espérance des coeurs.
Télérama
Pour soutenir ce personnage si attachant, qui jamais ne tombe dans l’ordinaire, l’actrice Olivia Cooke, que l’on vient de voir dans Ready Player One, met une magnifique ferveur dans chacun de ses regards, et jusque dans sa démarche volontaire.
Voici
Si le film pèche parfois par excès de pathos, il est sauvé par la subtile prestation de la très talentueuse Olivia Cooke.
aVoir-aLire.com
Premier long-métrage de Wayne Roberts, Katie says Goodbye est avant tout un subtil portrait de femme, porté par la lumineuse Olivia Cooke.
CinemaTeaser
Bourré de bonnes intentions, ce film indépendant n'évite pourtant pas une certaine complaisance.
L'Express
Élève appliqué, un peu trop parfois (la mise en scène, très sage, n'est jamais surprenante), il colle consciencieusement au point de vue de son héroïne, plus proche de la sainte que de la martyre. (...) Et Olivia Cooke joue cette inébranlable sérénité à la perfection.
Le Journal du Dimanche
Très « indé-Sundance » dans l’esprit, ce premier film contourne les clichés habituels du misérabilisme redneck pour trousser de façon lumineuse le calvaire d’une jeune fille opiniâtre mais désarmante de naïveté.
Les Fiches du Cinéma
Sur fond d’Amérique rurale, le premier film de Wayne Roberts est aussi réussi visuellement que caricatural dans son message faussement philosophique.
Première
Le premier volet d'un triptyque et les débuts d'un cinéaste intrigant.
Les Inrockuptibles
Le seul éclat du film réside dans les yeux de son actrice, billes pétillantes infusées d’une insondable mélancolie (...) l’Anglaise Olivia Cooke, visage mutin aux rondeurs enfantines, corps miniature à l’énergie électrique, en magnétise naturellement chaque plan.
Libération
Complaisant et sordide.