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angel M.
6 abonnés
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2,5
Publiée le 31 mai 2018
Produit par Chris Columbus, Un film qui n'est pas dans la veine heroic fantasy Malgrer cela, il est regarder, mais surtout qui vaut le détour c'est la ville et son Ost. Mlle Madison Wolfe porte a elle toute seule le film
les acteur jouent bien, mais je n'est pas aimais, trop long, trop mou pas d'action cassi plasde geant, j'ai hu l’impression qu'on me tenez en alêne tous le long, et finalement il ne se passe rien. mais beau film quand méme pour s'endormir
Pour son premier long-métrage, Anders Walter propose bien plus que ce qu’on attendrait d’une œuvre à portée rétrospective. Il adapte avec manière le comic graphique éponyme de Joe Kelly et J. M. Ken Niimura. Il est difficile d’argumenter sans évoquer quelques pistes de réflexion qui sont essentielles à acquérir lors du visionnage et à relativiser ensuite. Ce que l’on se propose d’étudier, c’est la frontière entre la fuite et l’affrontement de nos démons. Leur apparence physique n’est pas la seule chose qui préoccupe les esprits, car le symbolisme doit dominer cette analyse pour les petits comme les grands.
Cadette d’une famille à la silhouette désunie, Barbara (Madison Wolfe) se repose dans son antre qui la préserve de la réalité et de la vérité. Entre le frère qui feint d’ignorer les problèmes familiaux, par l’intermédiaire du numérique, et la sœur aînée Karen (Imogen Poots) qui porte le fameux fardeau des responsabilités, Barbara choisit de camper dans la mythologie, là où la folie des grandeurs deviendra à la fois son handicap et son échappatoire. La hauteur est également un point qui effraie la rebelle qu’elle est. Cela définit son ennemi qu’elle tente de combattre. On peut y voir l’ombre de la maturité, mais aussi un mauvais présage que la mise en scène aborde avec élégance.
Elle se met en retrait vis-à-vis de son entourage, limitant la communication et en variant la forme qu’elle puisse prendre afin de partager son savoir. Pourquoi donc ? S’ouvrir au monde peut en effrayer plus d’un. Le fait de s’enfermer dans son idéal est comme une issue. Elle y est intouchable. Mais plus elle avance et plus elle fait face à cette réalité qui la rattrape. Elle pourrait tout de même trouver plusieurs refuges, en passant par une amie de quartier ou encore un soutien psychologique en la personne de madame Mollé (Zoe Saldana). Le fait que la figure féminine domine n’est pas anodin, il y a une vocation dans ce subtil discours. Chacune parvient à se rapprocher du spectre qui hante Barbara, mais tout l’enjeu réside dans ce que la fille possède déjà.
Il est évident que le cœur de cette jeune Barbara souffre d’un traumatisme. Son jeune âge justifie donc son aisance à se familiariser avec son mal-être. L’imaginaire de l’enfant devient alors une métaphore complexe de ce qu’elle traverse inconsciemment. Elle est solitaire, mais sensible. Et cette solitude exponentielle renvoie toujours à la question de l’absence, chose que l’on relativise constamment à chaque niveau de lecture du récit, que ce soit dans le cadre fantastique ou non. Elle ne peut subsister sans motivation et elle en possède une qui fait d’elle une guerrière en croisade. On peut ainsi distinguer deux aventures qui se recoupent en un dénouement émotionnel.
Le réalisateur danois insuffle donc une maturité en croissance chez une jeune fille qui doit renouer avec la vie. C’est un parcours initiatique empreint de fantaisie qui sait même comment séduire la plus grosse brute, pourvu que son cœur écoute les faveurs de cette âme égarée. « Chasseuse de Géants » ou « I Kill Giants » en version originale, ce qui rend l’impact émotionnel plus efficace, est une aventure unique et universelle. Beaucoup pourront s’identifier derrière ce doux rideau de colère et d’incompréhension. Et ceux-ci sauront que jamais le flambeau de l’espoir ne disparaît aussi simplement qu’une larme dans une mer déchaînée.
les dramas psy c'est pas mon truc, ce film est présenté comme un film fantastique, d'ou ma déception, de plus l'intrigue est horriblement lente, l'action quasi inexistante, dur dur d'arriver au bout
Film au casting à 90% féminin (les rares personnages masculins ne sont qu’accessoires), "Chasseuse de géants" relate l'histoire de Barbara, une jeune fille qui échappe à la réalité en se transposant dans un monde fantastique où elle s’érige en héroïne qui sauvera sa ville face aux monstres menaçants. Sont-ils une réelle menace ou est-ce qu’ils sont issus de son imagination à cause d’un traumatisme antérieur ? Eh bien c’est ce que l’on va essayer de découvrir pendant 1h45 ! Si les intentions sont là et que Madison Wolfe est excellente dans le rôle de Barbara, l’affiche du film estampillée « par les producteurs de la saga Harry Potter » est un peu mensongère dans le sens où l’on assiste plus à un drame psychologique qu’à un métrage avec un univers peuplé d’êtres fantastiques, ce côté-là étant un peu délaissé au profit de scènes somme toute répétitives de préparatifs pour appâter les monstres, d’entrevues avec la psy ou de séquences où Barbara est maltraitée par ses paires. Malgré tout, ça se laisse regarder sans problème, même si ce long-métrage arrive un an après "Quelques minutes après minuit" qui était a priori plus maîtrisé quant à ses enjeux et intentions.
Très joli film, version "féminine" de spoiler: Quelques minutes après minuit.
Très bien joué, belle ambiance, attachant et assez captivant. l'univers psychologique est assez bien rendu, on se demande assez longtemps si les géants sont réels.. A ne pas faire voir à des gosses car c'est un film dramatique, pas un "divertissement" fantastique.
Ce film est très beau, les acteurs sont bons, le scénario est très bien construit. Alors si vous souhaitez regarder un film fantastiques avec des géants et des bastons c'est pas là. Non cela n'est pas un film "fantastique" mais bien un film sur la vie et la mort, sur les peurs et les sentiments.
J'offre 5 car la note mérite franchement d'être remontée.
La publicité faites sur le film est trompeuse, en commençant le film, je m'attendais à un blockbuster fantastique comme la publicité dessus a été faite, mais pas du tout je me retrouve à regarder un film du même genre que "The Voices", qui raconte la vie d'une personne qui mentalement est instable. Donc si vous vous entendez à voir du fantastique à la Harry Potter ou Animaux fantastiques passer votre chemin, ce film n'est juste qu'une tranche de vie avec un brin de fantastique.
Bon , je viens de finir le film I kill Giants , le tout premier film réaliser par Anders Walter qui avait reçus oscar du meilleur cour métrage en 2014 pour Helium . Ce film est vraiment pas mal du tout. C'est un mélange entre Sucker Punch (sans les grosses scènes d'action) et le Secret de Terabithia. La réalisation a très peux de défaut, belle lumière / belle photographie et les plants sont très bien composer et régler au millimètre près. Les acteurs sont tous très bon surtout l'actrice principale (Madison Wolfe) qui joue a merveille. Les seuls " défauts " du film, c'est qu'on ne voit pas beaucoup Zoe Saldana et que la promo est parfois trompeuse, car les affiches vendent ça comme un Blockbuster fantastique alors que ce n'est pas du tout ça et que c'est surtout plus subtile .
spoiler: SPOIL : dans le film, Barbara jouée par Madison Wolfe va essayer de traquer et tuer des géants, qui vienne tout droits de son imagination, car elle essaye de s'échapper de la réalité, car sa mère est mourante, mais c'est plutôt bien amener dans le film.
Bref, je vous encourage à voir ce film, je pense que vous n'allez pas être dessus, mais ne vous fier surtout pas a l'affiche.
Film relativement plat, dur de rentrer dedans. Dès le début on sait qu'on a à faire à un Labyrinthe de Pan / Secret de Terabithia, le problème c'est que... c'est exactement le copier/coller de ces deux scénarios... aucune innovation juste la même chose en beaucoup moins bien... Bref, ne perdez pas votre temps...
Premier film d'Anders Walter, réalisateur danois qui en 2014 a gagné l'Oscar du meilleur court-métrage avec "Helium". Si vous l'avez vu, vous ne serez pas surpris par l'univers et par le mélange des genres. On retrouve le même thème, mais pas abordé de la même façon. Le réalisateur aborde un thème lourd de façon indirecte ce qui n'est pas sans rappeler un film de "monstres" sorti il y a quelques mois qui est assez similaire, mais bien mieux maitrisé et plus réussi. Je ne donne pas le nom pour ne pas dévoiler l'intrigue, mais ce n'est pas compliqué de faire le rapprochement surtout après voir vu le film. Celui-ci est plus mystérieux, moins direct avec le réalisateur qui tente de brouiller les pistes sur la nature de l'histoire et sur l'existence ou pas de ces géants. Cette partie est un peu trop longue, c'est vrai puisque les scènes ne sont pas spécialement intéressantes que ce soit la guéguerre avec la bande de filles ou les nombreux entretiens avec la psychologue, mais une fois que l'on a tous les éléments en main, le film devient très bon. Il n'y a peut-être que 30/40 minutes qui sont au-dessus de la moyenne, mais cette partie est superbe en étant à la fois émouvante, sombre et assez spectaculaire. Durant les temps faibles, c'est dommage que le réalisateur ne s'appuie pas davantage sur le mélange des genres et qu'il n'exploite pas mieux le côté "aventure" de l'histoire. Cela aurait densifié le récit et donné plus d'impact à cette métaphore. C'est une sorte de conte qui est à la fois mystique et magique tout en abordant des sujets sérieux. Malgré des défauts, c'est un bon et beau film qui dresse un joli portrait d'une adolescente aussi fragile que courageuse qui est attachante même si elle a tout d'une anti-héroïne.
Ce film serait assez intéressant, sur le déni, l'imaginaire, ses démons à abattre et les tourments de l'adolescence, s'il n'était hélas truffé de poncifs du genre ( la gentille psy, les méchantes copines etc etc ) et surtout beaucoup trop mélo ( sortez les mouchoirs ! )
Un côté déjà vu. Le titre pouvait laisser penser à des combats épiques mais que nenni. C'est un film à conseiller plus pour les ados, même si cela peut potentiellement plaire à toute la famille.