Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
17 critiques presse
Le Dauphiné Libéré
par La Rédaction
Une superbe balade, non exempte de nostalgie, au coeur de la vieille Russie rattrapée par le progrès.
Marianne
par Anne Dastakian
Récompensé par un Lion d'argent à Venise l'an dernier, ce film pareil à nul autre nous révèle avec une grande justesse les hauts et les bas de la vie sur la terre russe. Foudroyant !
La critique complète est disponible sur le site Marianne
Positif
par Jean-Dominique Nuttens
De cette chronique simple et ordinaire, Kontchalovski fait naître un fantastique plein de douceur. Son oeil, son ouïe sont si sensibles que le bruissement des feuilles agitées par le vent, les vaguelettes qui se forment sur le lac, l'ombre qui baigne un sous-bois ont une présence inquiétante ou magique.
L'Humanité
par Vincent Ostria
Vision à la fois bon enfant et un peu mélancolique d’un pays où — en dehors des grands centres — seuls la décrépitude et l’oubli semblent progresser. C’est pourtant le plus optimiste des films russes depuis longtemps.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
La Voix du Nord
par Philippe Lagouche
Les rituels, les questionnements identitaires, les troubles de l’âme, Kontchalovski les met en scène avec fougue et lyrisme, avec une singularité dont sont seuls dépositaires les poètes du septième art.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Journal du Dimanche
par Alexis Campion
Une excursion insolite, captivante dans le regard d’un très grand cinéaste.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Les Fiches du Cinéma
par Nathalie Zimra
Ce film sensible, porté de bout en bout par des comédiens non-professionnels, s'attarde avec mélancolie sur les derniers feux d'un monde : celui des ultimes représentants de la classe paysanne de l'ère soviétique.
Ouest France
par Pierre Fornerod
Entre fiction et documentaire, une ode vibrante à la nature et à ses habitants. Un film venu d'ailleurs.
TF1 News
par Romain Le Vern
Avec ce docu-fiction plastiquement stimulant, décrivant un village russe résistant à la civilisation moderne, Andrei Kontchalovski accomplit un geste fort voire troublant des décennies après "Bonheur d'Assia" (1967).
La critique complète est disponible sur le site TF1 News
Télérama
par Pierre Murat
Etrange trio au bord de l'irréel...
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Critikat.com
par Marie Gueden
Malgré un film simple aux atours mélancoliques, entre documentaire et éloge de la fantaisie des nuits blanches dostoïevskiennes, Kontchalovski réalise une sorte de soleil trompeur, signant une forme d’impasse de son cinéma.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
La Croix
par Arnaud Schwatrz
Diffusé à la télévision russe, "Les Nuits blanches du facteur" a connu un succès certain. Le film, pourtant réalisé avec de modestes moyens, insuffle à chaque plan la grandeur des paysages de l'est, captée sur les rives du lac Kenozero, dans la région d'Arkhangelsk.
Le Monde
par Thomas Sotinel
On peut être insensible, voire réfractaire à cette ligne mélodique. Mais Andreï Kontchalovski en a fait une composante essentielle de son film, et si l’on veut s’enivrer de la lumière étrange du crépuscule sans fin des nuits blanches, rêver éveillé en compagnie de Lyokha, il faut le faire sous le ciel de l’empire.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Inrockuptibles
par Vincent Ostria
Farce villageoise à demi improvisée dont la fraîcheur réside dans son irréfutable contexte documentaire.
Première
par Isabelle Danel
Tout ce qui est du domaine du réel (allées et venues du facteur Aleksey en barque, rapport aux autochtones) fonctionne très bien. Mais quand le film tente de faire des incursions dans la fiction, c’est plus aléatoire.
La critique complète est disponible sur le site Première
Studio Ciné Live
par Thierry Chèze
Cet aspect documentaire constitue la partie la plus réussie d'une fiction au scénario qui tire à la ligne.
Le Dauphiné Libéré
Une superbe balade, non exempte de nostalgie, au coeur de la vieille Russie rattrapée par le progrès.
Marianne
Récompensé par un Lion d'argent à Venise l'an dernier, ce film pareil à nul autre nous révèle avec une grande justesse les hauts et les bas de la vie sur la terre russe. Foudroyant !
Positif
De cette chronique simple et ordinaire, Kontchalovski fait naître un fantastique plein de douceur. Son oeil, son ouïe sont si sensibles que le bruissement des feuilles agitées par le vent, les vaguelettes qui se forment sur le lac, l'ombre qui baigne un sous-bois ont une présence inquiétante ou magique.
L'Humanité
Vision à la fois bon enfant et un peu mélancolique d’un pays où — en dehors des grands centres — seuls la décrépitude et l’oubli semblent progresser. C’est pourtant le plus optimiste des films russes depuis longtemps.
La Voix du Nord
Les rituels, les questionnements identitaires, les troubles de l’âme, Kontchalovski les met en scène avec fougue et lyrisme, avec une singularité dont sont seuls dépositaires les poètes du septième art.
Le Journal du Dimanche
Une excursion insolite, captivante dans le regard d’un très grand cinéaste.
Les Fiches du Cinéma
Ce film sensible, porté de bout en bout par des comédiens non-professionnels, s'attarde avec mélancolie sur les derniers feux d'un monde : celui des ultimes représentants de la classe paysanne de l'ère soviétique.
Ouest France
Entre fiction et documentaire, une ode vibrante à la nature et à ses habitants. Un film venu d'ailleurs.
TF1 News
Avec ce docu-fiction plastiquement stimulant, décrivant un village russe résistant à la civilisation moderne, Andrei Kontchalovski accomplit un geste fort voire troublant des décennies après "Bonheur d'Assia" (1967).
Télérama
Etrange trio au bord de l'irréel...
Critikat.com
Malgré un film simple aux atours mélancoliques, entre documentaire et éloge de la fantaisie des nuits blanches dostoïevskiennes, Kontchalovski réalise une sorte de soleil trompeur, signant une forme d’impasse de son cinéma.
La Croix
Diffusé à la télévision russe, "Les Nuits blanches du facteur" a connu un succès certain. Le film, pourtant réalisé avec de modestes moyens, insuffle à chaque plan la grandeur des paysages de l'est, captée sur les rives du lac Kenozero, dans la région d'Arkhangelsk.
Le Monde
On peut être insensible, voire réfractaire à cette ligne mélodique. Mais Andreï Kontchalovski en a fait une composante essentielle de son film, et si l’on veut s’enivrer de la lumière étrange du crépuscule sans fin des nuits blanches, rêver éveillé en compagnie de Lyokha, il faut le faire sous le ciel de l’empire.
Les Inrockuptibles
Farce villageoise à demi improvisée dont la fraîcheur réside dans son irréfutable contexte documentaire.
Première
Tout ce qui est du domaine du réel (allées et venues du facteur Aleksey en barque, rapport aux autochtones) fonctionne très bien. Mais quand le film tente de faire des incursions dans la fiction, c’est plus aléatoire.
Studio Ciné Live
Cet aspect documentaire constitue la partie la plus réussie d'une fiction au scénario qui tire à la ligne.
Cahiers du Cinéma
Un film routinier sur la routine.