Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
24 critiques presse
Les Inrockuptibles
par Bruno Deruisseau
Entre l'agonie de la classe ouvrière française et l'exploitation de celle du Maroc, une femme cherche les conditions de sa réinvention. Un très beau portrait, illuminé par une Sandrine Bonnaire retrouvée.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Marianne
par Olivier de Bruyn
Un film puissant et émouvant sur notre époque.
Femme Actuelle
par Amélie Cordonnier
Sandrine Bonnaire est bouleversante dans ce drame réaliste.
La Croix
par Céline Rouden
Chronique de la fin de la classe ouvrière et des ravages de la mondialisation, le dernier film de Gaël Morel est surtout un magnifique portrait de femme. Il offre à Sandrine Bonnaire l’un de ses meilleurs rôles.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
La Voix du Nord
par Philippe Lagouche
Ce monde du travail dont il est issu, Gaël Morel le filme sèchement quitte à vagabonder sur les rives du film noir et du mélodrame lorsque rebondit le récit. Son lyrisme, ses effluves de romanesque, il les réserve à de belles figures féminines embarquées dans ce long et douloureux chemin qui mène à l’émancipation.
Le Figaro
par Nathalie Simon
Dans le dernier film de Gaël Morel, la comédienne part au Maroc, où son usine de textile est délocalisée. Un rôle à travers lequel elle porte l'histoire du début à la fin.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Parisien
par Pierre Vavasseur
Dans « Prendre le large » de Gaël Morel, Sandrine Bonnaire, qui incarne Edith, une ouvrière du textile meurtrie par la relation quasi inexistante avec son fils, est remarquable.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Ouest France
par La Rédaction
Avec parfois la force d'un documentaire social, ce film est porté par l'interprétation de Sandrine Bonnaire, toujours aussi criante de vérité.
Paris Match
par Karelle Fitoussi
(...) ce sixième long-métrage de l’acteur-réalisateur Gaël Morel est un petit morceau d’espoir, dur et sensible, social mais romanesque, sur l’exil et la place d’une femme qui vieillit mais refuse de baisser les bras.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Positif
par Olivier De Bruyn
Toujours à bonne distance de son sujet et de ses personnages, Gaël Morel ("Après lui", "Notre paradis") signe son meilleur film, aussi convaincant dans la délicatesse de son approche psychologique que dans sa radiographie d'un univers social déliquescent.
Sud Ouest
par Sophie Avon
Un beau film métaphorique, plus solaire que social, de Gaël Morel.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Télé 7 Jours
par Isabelle Magnier
En inversant l'habituel schéma de l'immigration économique, Gaël Morel réussit un film social entre réalisme et romanesque.
Télé Loisirs
par Maryvonne Ollivry
Sans concession, ce film de Gaël Morel ("A toute vitesse", "Le Clan") croque le monde ouvrier avec justesse.
Télérama
par Frédéric Strauss
Pour décrire le courage d’Edith comme sa fragilité, le cinéaste Gaël Morel et l’actrice Sandrine Bonnaire trouvent la note juste, dans un bel élan de générosité commune.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Claudine Levanneur
Entre chronique sociale et drame intimiste, Gaël Morel et Sandrine Bonnaire unissent leurs talents et nous proposent une histoire optimiste sur fond de délocalisation.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
L'Obs
par Xavier Leherpeur
Refusant tout lyrisme, choisissant de composer sa mise en scène autour de la rudesse de son personnage, Gaël Morel offre à Sandrine Bonnaire un beau rôle austère, assèche délicatement le récit, mais, du coup, passe à côté de sa fin.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Journal du Dimanche
par Baptiste Thion
Certes cet itinéraire d’une mère malmenée par la vie est un brin balisé, mais il séduit par son subtil mélange de délicatesse, d’âpreté et d’optimisme jamais naïf.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Monde
par Thomas Sotinel
Restait à trouver une issue à cette tentative d’évasion. Celle qu’ont choisie Gaël Morel et Rachid O. ne convainc pas tout à fait (...). Mais cette déception reste mineure au regard de l’émotion que suscite la quasi-totalité de Prendre le large et de la nouvelle dont le film est porteur : Sandrine Bonnaire est de retour aux affaires.
Les Fiches du Cinéma
par Marine Quinchon
Ce drame social raconte avec un souci constant de réalisme - jusqu’à flirter avec la sécheresse - l’épuisement physique et psychologique d’une femme décidée à changer de vie. Sandrine Bonnaire ne se ménage pas, mais le scénario manque un peu de souffle.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Libération
par Luc Chessel
"Prendre le large", comme tous les bons films, cherche à se fuir lui-même (cf. son titre). S’il n’y parvient pas, au contraire de son héroïne, cela suffit à le rendre, non pas moins long, mais plus sympathique ou plus émouvant que d’autres.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Première
par Christophe Narbonne
Sandrine Bonnaire y est formidable de colère rentrée et se révèle finalement plus dardennienne que téchinienne.
La critique complète est disponible sur le site Première
Voici
par Lola Sciamma
Un drame social dans l'air du temps...
Critikat.com
par Clément Graminiès
C’est donc sans le moindre souffle et en comptant sur la seule présence charismatique d’une Sandrine Bonnaire un peu trop mono-expressive que le récit, s’accommodant de coïncidences bien trop faciles, s’achemine vers une résolution aussi prévisible que lourdement symbolique.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Studio Ciné Live
par Véronique Trouillet
Cousues de fil blanc, [ces] mésaventures tournent vite au mélo.
Les Inrockuptibles
Entre l'agonie de la classe ouvrière française et l'exploitation de celle du Maroc, une femme cherche les conditions de sa réinvention. Un très beau portrait, illuminé par une Sandrine Bonnaire retrouvée.
Marianne
Un film puissant et émouvant sur notre époque.
Femme Actuelle
Sandrine Bonnaire est bouleversante dans ce drame réaliste.
La Croix
Chronique de la fin de la classe ouvrière et des ravages de la mondialisation, le dernier film de Gaël Morel est surtout un magnifique portrait de femme. Il offre à Sandrine Bonnaire l’un de ses meilleurs rôles.
La Voix du Nord
Ce monde du travail dont il est issu, Gaël Morel le filme sèchement quitte à vagabonder sur les rives du film noir et du mélodrame lorsque rebondit le récit. Son lyrisme, ses effluves de romanesque, il les réserve à de belles figures féminines embarquées dans ce long et douloureux chemin qui mène à l’émancipation.
Le Figaro
Dans le dernier film de Gaël Morel, la comédienne part au Maroc, où son usine de textile est délocalisée. Un rôle à travers lequel elle porte l'histoire du début à la fin.
Le Parisien
Dans « Prendre le large » de Gaël Morel, Sandrine Bonnaire, qui incarne Edith, une ouvrière du textile meurtrie par la relation quasi inexistante avec son fils, est remarquable.
Ouest France
Avec parfois la force d'un documentaire social, ce film est porté par l'interprétation de Sandrine Bonnaire, toujours aussi criante de vérité.
Paris Match
(...) ce sixième long-métrage de l’acteur-réalisateur Gaël Morel est un petit morceau d’espoir, dur et sensible, social mais romanesque, sur l’exil et la place d’une femme qui vieillit mais refuse de baisser les bras.
Positif
Toujours à bonne distance de son sujet et de ses personnages, Gaël Morel ("Après lui", "Notre paradis") signe son meilleur film, aussi convaincant dans la délicatesse de son approche psychologique que dans sa radiographie d'un univers social déliquescent.
Sud Ouest
Un beau film métaphorique, plus solaire que social, de Gaël Morel.
Télé 7 Jours
En inversant l'habituel schéma de l'immigration économique, Gaël Morel réussit un film social entre réalisme et romanesque.
Télé Loisirs
Sans concession, ce film de Gaël Morel ("A toute vitesse", "Le Clan") croque le monde ouvrier avec justesse.
Télérama
Pour décrire le courage d’Edith comme sa fragilité, le cinéaste Gaël Morel et l’actrice Sandrine Bonnaire trouvent la note juste, dans un bel élan de générosité commune.
aVoir-aLire.com
Entre chronique sociale et drame intimiste, Gaël Morel et Sandrine Bonnaire unissent leurs talents et nous proposent une histoire optimiste sur fond de délocalisation.
L'Obs
Refusant tout lyrisme, choisissant de composer sa mise en scène autour de la rudesse de son personnage, Gaël Morel offre à Sandrine Bonnaire un beau rôle austère, assèche délicatement le récit, mais, du coup, passe à côté de sa fin.
Le Journal du Dimanche
Certes cet itinéraire d’une mère malmenée par la vie est un brin balisé, mais il séduit par son subtil mélange de délicatesse, d’âpreté et d’optimisme jamais naïf.
Le Monde
Restait à trouver une issue à cette tentative d’évasion. Celle qu’ont choisie Gaël Morel et Rachid O. ne convainc pas tout à fait (...). Mais cette déception reste mineure au regard de l’émotion que suscite la quasi-totalité de Prendre le large et de la nouvelle dont le film est porteur : Sandrine Bonnaire est de retour aux affaires.
Les Fiches du Cinéma
Ce drame social raconte avec un souci constant de réalisme - jusqu’à flirter avec la sécheresse - l’épuisement physique et psychologique d’une femme décidée à changer de vie. Sandrine Bonnaire ne se ménage pas, mais le scénario manque un peu de souffle.
Libération
"Prendre le large", comme tous les bons films, cherche à se fuir lui-même (cf. son titre). S’il n’y parvient pas, au contraire de son héroïne, cela suffit à le rendre, non pas moins long, mais plus sympathique ou plus émouvant que d’autres.
Première
Sandrine Bonnaire y est formidable de colère rentrée et se révèle finalement plus dardennienne que téchinienne.
Voici
Un drame social dans l'air du temps...
Critikat.com
C’est donc sans le moindre souffle et en comptant sur la seule présence charismatique d’une Sandrine Bonnaire un peu trop mono-expressive que le récit, s’accommodant de coïncidences bien trop faciles, s’achemine vers une résolution aussi prévisible que lourdement symbolique.
Studio Ciné Live
Cousues de fil blanc, [ces] mésaventures tournent vite au mélo.