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    Demain et tous les autres jours
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    2,8
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    57 critiques spectateurs

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    Seemleo
    Seemleo

    67 abonnés 888 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 9 octobre 2017
    Noémie Lvovski doit tirer l'inspiration de ses histoires à l'aune de sa propre vie. Le sujet étant posé, le résultat est plutôt réussi, même si le dérapage n'est jamais loin. Luce Rodrig qui interprète l'héroïne y est pour beaucoup. Sa mère (la réalisatrice) est plus pénible et traverse le film en creux. Sauvé par le travail de mise en scène et un final qui touche enfin.

    Une belle déclaration d'amour.
    artemus4
    artemus4

    10 abonnés 97 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 10 septembre 2017
    Une pâle copie de E.T. l'Extraterrestre, donc. Mais en écrivant ça, je regarde qui le réalise quand même... ... Hum, Noémie Lvovsky !! lol, comme par hasard la réalisatrice de "Camille Redouble", autre pâle copie de film(s) américain(s). Bref, ce sera sûrement un film sympa, mais du déjà fait (et mieux).
    In Ciné Veritas
    In Ciné Veritas

    94 abonnés 922 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 2 novembre 2017
    Il est des films dans lesquels il est difficile d’entrer… puis d’en ressortir quoi que ce soit. Demain et tous les autres jours est un film vain qui n’intéressera, au mieux, que quelques têtes blondes. Dans la scène d’introduction, Noémie Lvovsky (dans l’unique registre d’interprétation que nous lui connaissons) s’interroge sur la syntaxe d’une question qu’elle vient de poser à son interlocutrice. Au-delà de cette première séquence déjà maladroite, nous aurions davantage préféré voir la réalisatrice s’appesantir sur la grammaire cinématographique ! A la bassement descriptive voix-off qui hante le début du film, succède un autre procédé exaspérant, celui d’un animal domestique qui parle… L’heureux élu est ici un hibou détenteur de la vérité et fidèle dicteur des actions que la jeune héroïne s’empressera de réaliser. En tête d’affiche, Mathieu Amalric et Anaïs Demoustier devront se contenter d’une brève apparition en fin de métrage. Le premier nommé se voit gratifié de la désormais traditionnelle (et toujours aussi laide) scène via Skype. Mal « écrite », la fable onirique voulue vire très rapidement au non-sens dont le seul foisonnement est celui de scènes inutiles. Comme le chante William Sheller, « Maman est folle, on n'y peut rien » mais chez Noémie Lvovsky rien ne nous console…
    Jean-Philippe B.
    Jean-Philippe B.

    2 abonnés 17 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 1 octobre 2017
    Une idée de départ intéressante, un bon casting et un bon début... pour un film qui aurait pu partir vers une fin plus heureuse... Le film s’obscurcit au fur et à mesure de l’évolution de la maladie mentale de la mère... et on ne voit pas trop où on veut nous emmener? Que la maladie a été transmise à la fille et qu’il n’y a aucun espoir?
    Le côté conte de fée qu’amène la chouette disparaît peu à peu pour être aspiré dans la noirceur dérangeante de la maladie... Pour moi c’est dommage... j’aurais aimé un message plus positif et d’espoir ou peut être traiter la folie de manière plus comique comme au début...
    perle de rosée
    perle de rosée

    69 abonnés 311 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 16 février 2020
    Ce film m'a profondément ennuyé, je n'ai pas trouvé l'histoire intéressante. La mayonnaise ne prend pas. J'ai failli m'endormir.
    chloé V.
    chloé V.

    126 abonnés 215 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 27 septembre 2017
    Ca partait d'un bon sentiment... mais ça n'a pas suffit à faire un bon film. Une critique evidemment élogieuse (Lovski doit avoir ses entrées ) mais un film mou, foutraque, décousu, parfois pompeux et ennuyeux.
    La petite est chouette mais l'egotrip est a la limite du supportable.
    Passez votre chemin, rien à voir ici.
    PLR
    PLR

    472 abonnés 1 573 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 2 octobre 2017
    Noémie Lvovsky en mère de famille fantasque nous entraînant avec, dans le rôle de sa fille l'excellente Luce Rodriguez (on en reparlera !), dans des situations improbables et gênantes pour les gens normaux qui n'ont rien d'exceptionnel (référence cinématographique). Dans un style narratif empruntant parfois, mais pas trop, à l'allégorie ou à l'onirisme. L'empathie pour cette relation mère fille fusionnelle est présente. Mais l'émotion manque singulièrement alors que ce n'est ni un film romantique, ni une comédie mais bien un drame. Celui de la maladie mentale qui ronge la vie. Quelques petites notes d'humour, d'autant plus appréciables qu'elles sont simplement suggérées : telle l'inénarrable psychologue scolaire (India Hair) portant un collier cervical. Ne reste pour le spectateur qu'à imaginer les conditions dans lesquelles elles s'est fait très certainement casser la figure par de quelconques parents. Bien fait ! Bien vu...
    Christoblog
    Christoblog

    837 abonnés 1 685 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 2 octobre 2017
    Comme souvent chez Noémie Lvosky, le charme de Demain et tous les autres jours repose sur des éléments assez peu spectaculaires, mais très efficaces en terme de plaisir cinématographique : une interprétation très émouvante, un scénario solide, une mise en scène robuste, un montage alerte.

    Le parti-pris du film (raconter les rapports mère / fille entre une petite fille et sa mère dérangée, à travers les yeux de l'enfant) est a priori casse-gueule. On imagine le pathos rôdant, prêt à s'emparer de l'intrigue. Il est remarquable de constater que Noémie Lvovsky évite toutes les embûches pour au final fournir une copie bien équilibrée.

    La grande qualité du film repose sur la prestation ébouriffante de la jeune actrice Luce Rodriguez, dont l'énergie et la rectitude forcent l'admiration.

    Le film évolue sur un fil tendu entre deux précipices (celui du ridicule - faire parler une chouette apprivoisée - et celui de la sensiblerie) : en évitant de tomber dans l'un ou l'autre, Noémie Lvovsky confirme ses talents de réalisatrice sensible.

    Il serait dommage de le rater, d'autant plus que Mathieu Amalric ne cabotine dans ce film. Pour une fois.
    Laurent C.
    Laurent C.

    261 abonnés 1 133 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 1 octobre 2017
    Un titre qui ne paye pas de mine, une affiche un peu chichiteuse, et un générique de début tout en lettres multicolores aux effets désuets et distraits. Et soudain une première séquence, absolument remarquable, avec une psychologue cabossée des cervicales, une petite fille dans la lune, Mathilde, et surtout une mère totalement loufoque, aux petites lunettes cerclées, séquence qui plonge le spectateur dans un vertige de douceur, de drôleries mais aussi de tensions et de colères. Il ne faut surtout pas se fier aux apparences. Si "Demain et tous les autres jours" joue avec des airs presque désinvoltes, Noémie Lvovsky après son merveilleux "Camille Redouble" dresse un portrait touchant et engagé d'une petite fille qui vit avec une maman totalement folle. C'est aussi le récit des institutions scolaires, policières, et même médicales par l'intermédiaire du père de Mathilde, qui fuient leurs responsabilités face à une situation de complet désarroi de cette petite fille dont on s'étonne pendant tout le film que les services de protection de l'enfance ne la prennent pas en charge. Le film est à lui tout seul un poème subtil sur l'enfance, l'amour d'une mère dérangée pour sa fille, qui évite à tout prix les débordements dramatiques et les démonstrations sociologiques. Pendant tout le film, le spectateur se demande où la réalisatrice a puisé son inspiration avec autant de vérité, de spontanéité, faisant craindre très rapidement l'autofiction. Le générique de fin donne d'ailleurs la réponse à la question, ce qui rajoute au bouleversement du film. On regrettera peut-être les scènes oniriques pas très utiles, qui alourdissent la mise en scène au lieu, là où le récit pouvait se satisfaire de cette jolie tonalité sucrée et amère. "Demain et tous les autres jours" demeure toutefois un grand moment de cinéma qui rend hommage à l'amour maternel, pourvu qu'il soit authentique et profond.
    zhurricane
    zhurricane

    85 abonnés 1 336 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 4 février 2019
    Noémie Lvovsky (aussi actrice) nous propose une vraie démarche de cinéma dans son propos. Et pourtant j'avoue que j'ai été absolument hermétique à ce film, j'ai trouver ce film long, ennuyant et le fait de traiter la folie comme ça, je ne savais plus où me mettre(dès la première scène du film chez la psychologique d'ailleurs). Et ce qui est dommage là dedans, c'est qu'on sent que ça été fait avec le cœur. La relation avec la mère et la chouette c'est mignon tout ça, mais j'y est été réfractaire, parce que je pense que c'est pas assez dense dans son propos, quel dommage pour moi. Et il y a aussi pour moi d'autres moments de malaise, avec le squelette par exemple, et tout ce qui tourne autour de l'imaginaire enfantin, c'est vraiment maladroit.
    gamorreen
    gamorreen

    19 abonnés 457 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 1 décembre 2018
    film très touchant, poétique et humain, original et vrai, sur la folie et sur l'amour d'une fille pour sa mère malgré tout.
    Jean-Claude L
    Jean-Claude L

    47 abonnés 289 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 2 octobre 2017
    Un très beau film sur la relation compliquée entre une petite fille de 9ans et sa maman . La maman est très très fragile psychologiquement et a beaucoup de mal à assumer mais la relation est d'une tendresse infinie entre les deux c'est bouleversant à voir
    Loïck G.
    Loïck G.

    343 abonnés 1 679 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 29 septembre 2017
    Une fois encore Noémie Lvovsky ne fait pas dans le tout venant du cinéma français pour proposer un récit qui transgresse et renverse les attentes. Une petite fille dont les relations avec son papa (aimant, mais bien absent) se limite à un écran Skype vit avec sa maman. Elle est tout aussi aimante. Mais un peu en dehors des clous et puis franchement ailleurs dans cet autre monde que Noémie Lvovsky porte devant et derrière la caméra avec une attention énorme. L’histoire est joliment écrite entre le conte de Noël et la poésie enfantine que la jeune Luce Rodriguez accompagne merveilleusement de bout en bout avant de se heurter aux passions destructrices de la maladie. Pour se consoler, il lui reste son hibou qui l’accompagne et la conseille. Un drôle d’oiseau, bien sympathique lui aussi.
    Pour en savoir plus : lheuredelasortie.com
    Pauline_R
    Pauline_R

    181 abonnés 398 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 10 octobre 2017
    Je n’ai sans doute pas assez de mots pour décrire le choc émotionnel reçu devant ce film, ce travail d’artisane de nos rêves, cet attrape-cœurs. Enfin des mots quand même, beaucoup même. Un premier : merci. Merci à la grande, que dis-je, l’immense Noémie Lvovsky pour nous avoir offert ce collier de perles de fantaisie, de tendresse, de poésie et de maux. La reine Lvovsky sait mieux que personne filmer l’enfance (et tous les autres jours), ses doutes, ses peurs, ses forces, ses rêves… avec toujours ce grain de folie douce qui donne un charme fou à ses réalisations et des étincelles dans nos yeux de grands enfants. Autant dire qu’elle est ici au sommet de son art, tout là-haut sur son trône, toujours sans César mais la couronne bien en place. Je suis souvent restée bouche ouverte et une larme au coin des yeux devant les images qui défilaient, les dialogues d’une finesse absolue, une BO à tomber… et un casting en or massif. Car Queen Noémie est aussi une reine d’actrice qui sait s’entourer d’une cour plus que royale : Mathieu Amalric est là, toujours avec sa douceur d’éberlué (et ça suffit à mon bonheur), la gosse a été castée dans mes pensées, Anaïs Demoustier n’est à l’image « que » 15 minutes mais le plus beau quart d’heure de sa vie d’actrice avec spoiler: une scène de danse inoubliable, à vous faire décoller de vos sièges et danser un slow avec votre voisin d’à côté
    … Voilà Anaïs, après ça, tu peux arrêter ta carrière et mourir tranquille. Et il y a cette chouette à la voix si reconnaissable du grand, que dis-je, de l’immense Micha Lescot. Mais je ne suis pas objective, je suis amoureuse de Micha Lescot. Et quand j’y pense, peut-être même du film d’ailleurs. Ce n’est pas le plus sexy ni le plus riche que j’ai pu rencontrer, il peut paraître même fragile, si ce n’est parfois bancal, mais il est d’une intelligence et d’une sensibilité qui m’ont profondément touchée. Comme je suis généreuse à mes heures perdues et partageuse à mes heures repues, je vous laisse aller voir mon nouveau compagnon filmique au prix imbattable d’une place de ciné. Mieux, je vous le demande. Sans transition, je vous l’ordonne. Et dès demain. Ou tous les autres jours.
    Anne M.
    Anne M.

    75 abonnés 643 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 14 février 2018
    Film vu en DVD. Il n'était pas passé dans les cinémas inclus dans mon abonnement. Je tenais à le visionner, j'apprécie beaucoup la sensibilité de Noémie Lvovsky.

    C'est un film triste, dur et pourtant si délicat, extrêmement respectueux et sans jugement, sur la folie d'une maman et les souffrances engendrées chez sa fille qui l'adore.

    Le film raconte plusieurs moments de la relation entre Mathilde et sa maman, avec des épisodes de folie successifs pour la maman, et les réponses que donne Mathilde. Mathilde vit sa vie malgré tout, déchirée par l'amour impuissant qu'elle voue à sa maman. Pour adoucir les moments de souffrance, Noémie Lvosky fait appel à des métaphores (allusions à "Ophélie" de Shakespeare) et une dose de fantastique poétique (la chouette qui parle).

    Ces moments imaginaires sont peut-être ceux qui donne sa résilience à Mathilde, résilience palpable dans le final du film, très touchant.
    Mon blog : larroseurarrose.com
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