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Cinemadourg
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3,0
Publiée le 16 décembre 2021
Tirée du roman éponyme autobiographique paru en 1960, cette nouvelle adaptation cinématographique (après celle de 1970) nous permet de découvrir la vie du romancier Romain Gary (né Roman Kacew). L'amour fusionnel avec sa mère est le thème central qui aura guidé toute sa vie, toute son oeuvre entre 1914 et 1980. Charlotte Gainsbourg est vraiment excellente dans le rôle de la mère juive possessive et excessive (par amour), Pierre Niney est comme d'habitude remarquable de talent et de charisme. Dommage qu'il n'apparaisse qu'au bout d'une heure sur les 2h10 du film, la première partie relatant l'enfance et l'adolescence du petit Romain en Pologne notamment. De bons acteurs et une belle histoire dans une réalisation d'Eric Barbier presque un peu trop sage et didactique. Enrichissant. --> Site CINEMADOURG <--
Film très poignant sur l'amour d'une mère et d'un fils. Les deux acteurs principaux sont juste exceptionnels dans leur interprétation. Seul bémol sur la durée du film qui est un peu long
Du grand cinéma ,passionnant de bout en bout sur la vie mouvementée de romain Gary et le rôle prépondérant de sa mère .c'est parfaitement joué par charlotte Gainsbourg ,étonnante dans ce rôle à contremploi et pierre Niney toujours exceptionnel,il peut tout jouer ,ce sera notre nouveau Depardieu ...les acteurs qui jouent romain Gary enfant et adolescent sont aussi très passe vraiment un bon moment .quelle vie,quel destin .a voir absolument.
Oh, quelle merveille ! Je reviens de ce film avec les larmes aux yeux. Tant il est bouleversant, magistral, déchirant d'amour, de sentiments... Bravo à Charlotte Gainsbourg et Pierre Niney pour leur magnifique interprétation...
Un film tout simplement émouvant, drôle et dramatique. Un chef d'oeuvre cinématographique !!! Un film qui provoque en nous des sensations de tristesse et de compassion. Juste parfait, rien à redire.
Que de promesse à travers cette bande-annonce, me diriez-vous. Et vous n’avez pas tort, il y a du rythme et cela pouvait laisser présager à une aventure humaine d’un homme aux mille vies en une seule existence. Sauf que l’aube ne sait jamais lever sur le nouveau film d’Eric Barbier, réalisateur du très mauvais « Le Serpent », en 2007 et du très moyen « Le dernier diamant ». Ce film aurait pu être sauvé par sa distribution, et bien non tout le contraire, Charlotte Gainsbourg en mère hystérique, est presque insoutenable à chaque passage à l’écran. Seul répit durant le film, la présence de Pierre Niney quand il ne surjoue pas à son tour. Rien ou presque pour calmer un récit où la boîte de doliprane n’est jamais bien loin. La suite sur Boulevardducinema.com
De l'enfant qui mange ses souliers pour plaire à une fille au fou qui se met du guacamole dans les oreilles pour éviter d'entendre la Fête des morts, on a forcément un peu de mal à avoir de l'empathie pour ce personnage fantasque. Si La Promesse de l'aube fonctionne quand même pas trop mal, c'est surtout grâce au talent de Charlotte Gainsbourg. Elle incarne la mère de Romain Gary avec verve, humour et férocité. Une très belle interprétation.
Le film est léché, la reconstitution retro impeccable, les comédiens excellents, mais le film n'a pas d'âme. Il ne suscite aucune émotion. Les aventures et mésaventures de ce jeune homme couvé par sa mère et son succès littéraire nous laissent indifférents. Certains passages sont certes drôles, mais d'autres sont franchement ennuyeux. La fin sombre dans le mélo alors qu'un rebondissement pétillant aurait été le bienvenu. Un produit de consommation de demi luxe sorti pour les fêtes.
Ce film d'Eric Barbier retrace 20 ans de la vie de l'écrivain Romain Gary, tout d'abord dans les années 30 en Pologne, en passant par la Seconde Guerre mondiale puis avec le décès de sa mère. Il ne faut pas se leurrer, ce film est loin d'être un chef d'oeuvre dû en partie à ses nombreuses longueurs mais il est rehaussé par l'interprétation prodigieuse de Charlotte Gainsbourg et à un degré moindre, celle de Pierre Niney. La relation mère/fils a rarement été dépeinte avec autant d'intensité et le personnage de Romain Gary, à tous les âges, est littéralement habité par cette mère toujours dans l'excès pour pousser son enfant à entrer dans la légende. Eric Barbier réussit le pari d'adapter à l'écran une partie de la vie d'un écrivain incontournable du vingtième siècle.
Un très beau film qui nous emporte dans la vie de Romain Gary, et nous fait vivre de belles et grandes émotions. Pierre Niney et Charlotte Gainsbourg sont sublimes!
J'ai vu le film en avant-première au festival de Sarlat. Je précise que je n'ai pas lu le libre dont le film est adapté. Je vais être très bref ; le film est très plaisant et très efficace grâce à un rythme soutenu.Mais la grande force du film réside dans le jeu d'acteurs, Charlotte Gainsbourg est magistrale et nous prouve une fois de plus son immense talent. Après, la réalisation est très "hollywoodienne", ce qui n'est pas nécessairement un mal, mais que les amateurs exigeants du livre pourraient ne pas apprécier. Un film à voir, donc.
Pierre Niney fait ce qu'il peut pour endosser le costume - l'étoffe - la carrure de Kacew - Gary, moi je n'y ai pas cru une seconde. Et c'est encore bien plus difficile - rigolard même pour la pauvre Charlotte Gainsbourg, dans un jeu outré qui tient plus d'un comique à la De Funès que de la fluidité d'une N. Baye ou C. Frot . . . Le film est aussi très lent - sur rythme apathique qui va légèrement s’accélérer sur sa partie finale, mais ceci est tout sauf le récit d'une vie étonnante, voire flamboyante. Bref, on regarde très vite sa montre, en constatant tout de même que certains spectateurs semblent eux totalement absorbés et enthousiastes ! Il en faut donc pour tout le monde et ce Film Grand Public risque finalement de faire mouche.
Un bon film et n'ayant pas lu le livre je ne suis pas déçu. L'interprétation des deux acteurs est excellente notamment Charlotte Gainsbourg pour qui le viellissement n'a pas du être facile à assumer à voir