La Promesse de l'aube
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458 critiques spectateurs

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Stephenballade
Stephenballade

407 abonnés 1 239 critiques Suivre son activité

4,5
Publiée le 6 janvier 2018
Les destins hors du commun ont le don d’attirer la convoitise du grand écran. Et quand en plus c’est magnifiquement mis en images… cela donne d’excellents moments de cinéma. C’est le cas de "La promesse de l’aube". Ce film est intéressant à plus d’un titre. D’abord pour la découverte de cette histoire assez incroyable. Ensuite pour ses nombreuses qualités techniques : l’esthétique visuelle, la reconstitution de l’époque, l’énorme qualité du jeu des acteurs et… une superbe photographie. Oui, ce film ne comporte que des qualités, et confirme le redressement du cinéma français en cette année 2017. Ici, la biographie prend des airs de grande fresque pour nous raconter les nombreuses vies qu’a pu mener Romain Gary. Pourtant, ça ne commence pas franchement sous le meilleur jour, avec un personnage de prime abord désagréable au possible. Est-ce parce que Pierre Niney a tendance à en faire trop à ce moment-là ? Ou est-ce dû au fait que la mise en scène est quelque peu maladroite ? Je ne saurai répondre à ces questions, mais la mise en bouche est tout de même assez bien vue, puisqu’elle permet de partir à la découverte du manuscrit du personnage principal, comme si le spectateur avait eu droit à l’exclusivité. Puis vient la première claque : Charlotte Gainsbourg. Méconnaissable. Transformée. Moi qui la trouve toujours molle comme une chique avec un encéphalogramme proche de celui de la grenouille (c’est-à-dire plat), j’en suis devenu à me demander si elle n’avait pas subi une série d’électrochocs avant de tourner les scènes. Après tout, peut-être que je n’avais pas vu les bons films… Parce que là, elle est dynamique, habitée par son personnage, par l’envie de prendre enfin sa revanche sur la vie par l’intermédiaire de son seul et unique fils, à qui elle promet la célébrité de son vivant, peu importe le domaine. Au cours de son évolution, Charlotte Gainsbourg étonne, impressionne, jusque dans les vieux jours de son personnage (un bravo doit être adressé au passage aux maquilleurs). Dans ce film, elle mérite enfin les lettres qui composent le mot « ACTRICE ». Et elle les mérite amplement. Tout le monde loue également la performance de Pierre Niney. Et tout ce joli petit monde a raison. Parce que malgré un début qui met sur la réserve, et en dépit du fait qu’il se fait purement et simplement voler la vedette par Charlotte Gainsbourg, il montre enfin son immense talent dès lors que celle-ci disparait de l’écran. Un talent hors norme qui atteindra son point culminant lors de la scène à l’hôpital, où il s’exprime avec une véhémence difficile à contenir et les yeux injectés de sang. Mais il serait injuste de ne pas citer Pawel Puchalski, ce petit bonhomme qui joue Romain dans son plus jeune âge. Il démontre une belle sensibilité et donne parfaitement bien la réplique à Charlotte Gainsbourg, et pas seulement à travers les mots. Par exemple, on retiendra la scène où sa mère le scotche au mur, tant elle fait froid dans le dos parce qu’on ne peut s’empêcher de penser alors que Nina Kacew est quand même quelque peu siphonnée et que ça va trop loin. Avec une telle fusion entre une mère et son fils, on pourra mesurer à quel point la mère peut devenir envahissante spoiler: , simplement parce qu’elle se mêle de tout, y compris en ce qui concerne les amourettes
. Cette intrusion de tous les instants amène bien évidemment quelques scènes cocasses, lesquelles provoquent quelques rires bienvenus dans la salle. Oui, je crois qu’on peut dire qu'une petite pointe d’humour inattendue a été incorporée dans une histoire où, soyons honnêtes, on ne voyait pas trop comment à la base on pouvait inclure de l’humour. Et pourtant, quand on y réfléchit, c’était inévitable, du fait du ridicule de certaines situations. Ce qui fait qu’avec le recul, on aurait peut-être pu exploiter un petit peu plus cet aspect. Mais c’était au risque d’en abuser… un abus presque atteint lors de l’apparition remarquée de Didier Bourdon quand il entonne sa chanson paillarde, une facétie finalement bien maîtrisée du fait de sa courte durée. Notons également l’apparition remarquée de Jean-Pierre Darroussin mais qui n'est là finalement que pour finir de brosser le portrait de Nina Kacew. A cela on rajoute une réalisation efficace qui ne sombre jamais dans le pathos, bien que l’aspect dramatique ne reste jamais loin d’une histoire où l’espoir constitue le fil rouge. L’époque est parfaitement reconstituée, et la mise en images soignée. Bien qu’étant peu utilisés, les effets spéciaux ont un magnifique rendu : la vue aérienne sur les sols bombardés, le bombardier qui s’extrait des énormes volutes de fumée… Bref, assurément un grand film qui réussit à nous intéresser à l’odyssée d’un jeune formaté pour la gloire par sa mère. Un film qui donne aussi à réfléchir sur ce qu’on doit inculquer à nos enfants. Doit-on les pousser à vivre ce que nous n’avons pas pu vivre alors que c’était notre désir le plus cher ? La question se pose indubitablement quand on voit comment Romain Gary a fini (informations données à l’entame du générique).
Pierre A.
Pierre A.

6 abonnés 3 critiques Suivre son activité

4,5
Publiée le 21 décembre 2017
J’ai étudié pendant un an l’œuvre de Romain Gary au collège et pourtant le film a réussi à me surprendre ! J’ai été impressionné par le jeu d’acteur, une fois de plus Pierre Niney était au rendez-vous et j’ai découvert une grande Charlotte Gainsbourg !

« Peut on aimer autant une personne » j’ai peu vue de film traiter de l’amour d’un fils pour sa mère et à l’inverse de l’amour d’une mère pour son fils.

L’œuvre et un chef d’œuvre et le film est à la Acteur de les espérances

En sortant du cinéma une femme m’a dit « il y a tout ce que j’aime dans un film » cela résume bien ma pensée.

Je recommande !
Pierre Antonio
17ans futur cinéphile !
L'Info Tout Court
L'Info Tout Court

419 abonnés 1 025 critiques Suivre son activité

4,0
Publiée le 20 décembre 2017
Si tous les films parlent d’amour, rares sont ceux qui l’abordent avec autant d’intensité. La tendresse, habituellement au centre des relations, se cache ici sous des amas de dureté, d’exigence et de sévérité. Rien n’est facile entre cette mère et son fils, et pourtant, tout semble si évident. La Promesse de l’Aube joue sur différents aspects des sentiments et les explore jusqu’à la limite qui leur est propre. C’est donc un travail minutieux et délicat qui interpelle par sa profondeur et son intelligence du cœur.
perle de rosée
perle de rosée

72 abonnés 311 critiques Suivre son activité

0,5
Publiée le 16 février 2020
Film que j'ai eu du mal à regarder jusqu'au bout. Je me suis ennuyée. Cela ne m'a pas paru plaisant du tout. Je n'ai pas du tout accroché non plus au rôle de Charlotte Gainsbourg.
ffred
ffred

1 757 abonnés 4 037 critiques Suivre son activité

3,0
Publiée le 23 décembre 2017
J’ai plutôt bien aimé les films d’Eric Barbier jusqu’ici, dont les deux derniers Le serpent et Le dernier diamant. Il rate ici, à mon avis, le grand film qui aurait pu l’imposer. Pourtant, le tout est fait avec soin. La mise en scène est classique mais reste un peu trop sage. Je n'ai pas lu Romain Gary, je ne peux donc pas dire si l’adaptation est réussie ou pas. La direction artistique est très honnête à défaut d’être exceptionnelle. L'histoire est quant à elle prenante. Vingt années de la vie de l’auteur, vues sous un angle très romanesque. C’est parfois drôle, parfois sérieux, parfois léger, mais il manque une certaine émotion. L’interprétation est de qualité. Pierre Niney et Charlotte Gainsbourg (agaçante au début mais de plus en plus épatante au fur et à mesure que le récit déroule) savent rendre leurs personnages attachants. Mais La promesse de l’aube manque malheureusement d’un certain souffle, d’une certaine puissance, d’une certaine fièvre, qui nous auraient donné une belle fresque passionnante. C’est dommage car il y avait vraiment de quoi. Cela se laisse tout de même regarder sans déplaisir mais ne restera pas dans les mémoires bien longtemps...
Esteban K.
Esteban K.

21 abonnés 18 critiques Suivre son activité

2,0
Publiée le 24 juillet 2022
Je ne comprends pas vraiment ces critiques élogieuses... on n'a pas du voir le même film. La première heure du film est incroyablement ennuyeuse, plusieurs personnes sont d'ailleurs parties du cinéma. C'est sombre, aucun rythme, bref on n'en retient rien. J'ai hésité aussi à partir. La dernière heure rattrape bien l'ensemble, dès que Pierre Niney apparaît, c'est plus rythmé, plus convaincant. J'ai lu le livre et je l'ai préféré : l'adaptation au cinéma est beaucoup trop littéraire, ce qui rend le film un peu indigeste. Il n'y a aucune musique marquante ou émouvante, ça donne un côté fade (contrairement à Au Revoir là haut par exemple qui a été extrêmement bien adapté). Je suis un peu mitigé sur le jeu d'acteur : un peu surjoué par moment, pas toujours convaincant, ce qui donne un côté énervant parfois. Mais l'histoire est en soit très belle, et c'est pour cela que ça reste un film à voir. Mais une fois, pas plus.
Bref, c'est un film plutôt bon, pas mauvais, pas incroyable, qui ne restera pas, je pense, dans les mémoires. Et c'est bien dommage!
Le film d'Ariane
Le film d'Ariane

80 abonnés 179 critiques Suivre son activité

2,5
Publiée le 21 décembre 2017
Il fallait donc une sacrée dose de courage (et d'inconscience ?) pour s'attaquer à un tel monument. Si le résultat n'est pas la catastrophe que je redoutais (loin s'en faut), le miracle ne s'est pas produit et il m'en coûte de l'admettre 😅 ! Le film n'est toutefois pas indigne et on peut considérer, compte tenu du défi que représentait une telle adaptation, que le réalisateur n'a pas à rougir de son travail. Pour ceux qui auraient la chance de ne pas encore avoir lu le livre de Romain Gary, sachez juste qu'il dépeint l'amour extraordinaire, dévorant, monstrueux, fusionnel et inconditionnel… d'une mère pour son fils. Gary s'inspire très largement de sa vie (un peu romancée, sans doute mystifiée) mais intensément romanesque. Le réalisateur, lui, peine à restituer le souffle épique du chef d'œuvre de l'écrivain aux deux prix Goncourt. Un peu lent dans sa première partie et trop fabriqué dans sa reconstitution de la Pologne d'avant guerre, le film frémit davantage dès que le couple s'installe en France. Mais excepté à la toute fin, l'émotion n'est pas souvent au rendez-vous, ce qui est un comble pour une histoire aussi bouleversante. Heureusement tout de même, Barbier peut compter sur ses deux acteurs qui mouillent vraiment leur chemise en incarnant ces deux personnages "bigger than life". Pierre Niney est irrésistible. Quant à Charlotte Gainsbourg, elle surprend encore et s'amuse comme une folle dans le rôle de cette femme grotesque et extravagante. Bilan mitigé donc mais je salue bien bas l'audace de l'entreprise qui a aussi pour mérite de remettre en lumière un roman sensationnel.
Gérard Delteil
Gérard Delteil

212 abonnés 1 921 critiques Suivre son activité

2,5
Publiée le 20 décembre 2017
Le film est léché, la reconstitution retro impeccable, les comédiens excellents, mais le film n'a pas d'âme. Il ne suscite aucune émotion. Les aventures et mésaventures de ce jeune homme couvé par sa mère et son succès littéraire nous laissent indifférents. Certains passages sont certes drôles, mais d'autres sont franchement ennuyeux. La fin sombre dans le mélo alors qu'un rebondissement pétillant aurait été le bienvenu. Un produit de consommation de demi luxe sorti pour les fêtes.
janus72
janus72

48 abonnés 272 critiques Suivre son activité

2,0
Publiée le 21 décembre 2017
Pierre Niney fait ce qu'il peut pour endosser le costume - l'étoffe - la carrure de Kacew - Gary, moi je n'y ai pas cru une seconde.
Et c'est encore bien plus difficile - rigolard même pour la pauvre Charlotte Gainsbourg, dans un jeu outré qui tient plus d'un comique à la De Funès que de la fluidité d'une N. Baye ou C. Frot . . .
Le film est aussi très lent - sur rythme apathique qui va légèrement s’accélérer sur sa partie finale, mais ceci est tout sauf le récit d'une vie étonnante, voire flamboyante.
Bref, on regarde très vite sa montre, en constatant tout de même que certains spectateurs semblent eux totalement absorbés et enthousiastes !
Il en faut donc pour tout le monde et ce Film Grand Public risque finalement de faire mouche.
Yves G.
Yves G.

1 537 abonnés 3 552 critiques Suivre son activité

1,5
Publiée le 26 décembre 2017
En 1960, consul de France à Los Angeles, prix Goncourt 1956 grâce aux "Racines du ciel", Romain Gary écrit son autobiographie. Ce sera "La Promesse de l'aube". L'écrivain célèbre y parle de son enfance en Pologne, de son arrivée en France, de son engagement dans la France libre de De Gaulle, de ses débuts comme romancier. Mais il y parle surtout de sa mère Mina qui l'a élevé seul, qui l'a adulé et qui lui a transmis son ambition démesurée. "Avec l'amour maternel, la vie vous fait, à l'aube, une promesse qu'elle ne tient jamais. Chaque fois qu'une femme vous prend dans ses bras et vous serre sur son cœur, ce ne sont plus que des condoléances."

Éric Barbier n'a pas lésiné sur les moyens pour adapter "La Promesse..." qui nous entraîne du Mexique en Pologne, de la Côte d'Azur au Sahara, de Paris à l'Angleterre en guerre. Il a convoqué la fine fleur du cinéma français. Pierre Niney est toujours aussi fiévreux. Charlotte Gainsbourg, dont la retenue du jeu constitue la marque de fabrique, interprète à contre-emploi le rôle d'une ogresse. Didier Bourdin, Jean-Pierre Darroussin, Finnegan Oldfield font un petit tour et puis s'en vont.

Pourquoi alors ne pas céder à l'enthousiasme ? Pourquoi ne pas se laisser entraîner dans cette belle fresque romanesque ? Pourquoi ne pas succomber à cet hymne émouvant à l'amour maternel ?

Parce que "La Promesse..." est un film d'un académisme sans âge et sans génie, un blockbuster pauvre, noyé dans une musique assourdissante, qui se contente d'enchaîner les scènes sans chercher à adopter un point de vue.

Parce que l'amour maternel qui y est décrit est si absolu et le personnage de Mina si caricatural qu'on hésite à en rire ou à en pleurer.

Parce que le personnage de Kacew/Gary est si égocentrique, si imbu de lui même, si convaincu de son destin hors du commun qu'il en devient horripilant.

Parce que le livre soi-disant autobiographique alors qu'il s'écarte de la réalité dès qu'elle ne sert plus son propos (ainsi de la figure oubliée du père de Romain) et le film tourné en studio en Hongrie et en Belgique ne parviennent pas à installer une émotion authentique sinon peut être dans le twist final - qui est le pur produit de l'imagination du romancier.
LeFilCine
LeFilCine

186 abonnés 584 critiques Suivre son activité

4,5
Publiée le 30 octobre 2017
Le cinéma français va terminer l’année en beauté avec la sortie juste avant Noël du formidable film d’Éric Barbier. Adaptation du roman autobiographique de Romain Gary paru en 1960 le long métrage narre la relation fusionnelle et tumultueuse du romancier avec sa mère qui avait pour lui des ambitions démesurées. Porté par deux acteurs géniaux, Éric Barbier tisse autour de ses deux personnages une épopée historique qui traverse les époques et les continents en gardant, en fil rouge, ce lien ombilical qui relie les deux êtres. La première partie du récit, sise en Europe de l’Est, n’est pourtant pas des plus captivante même si elle sert à mettre en place la complexité originelle de cette relation mère-fils. La suite est une épopée exaltante et visuellement magnifique portée haut par deux acteurs français en état de grâce. Pierre Niney interprète un personnage d’une complexité folle, qui fait face à des évènements improbables, et qui est torturé par cette relation quasi toxique avec sa génitrice. Mais l’acteur fait aussi un narrateur formidable tant sa voix est parfaitement posée sur les mots de Romain Gary. Pour incarner la mère de l’auteur, personnage passionnant, il fallait une grande actrice. Et, en la personne de Charlotte Gainsbourg, Éric Barbier à trouver l’interprète parfaite pour le rôle de cette mère célibataire excessive. La Promesse de l’Aube est une œuvre littéraire immense sur l’amour mère-fils et le trio Éric Barbier-Pierre Niney-Charlotte Gainsbourg parviennent, sans fausses notes, à faire exister cette belle histoire à l’écran.
Ykarpathakis157
Ykarpathakis157

4 915 abonnés 18 103 critiques Suivre son activité

1,0
Publiée le 10 juillet 2020
Apparemment les scénaristes pensaient que Nina Kacew était une mère castratrice hystérique selon le stéréotype misogyne le plus banal. Et Romain Gary le garçon d'une maman farfelue sans la moindre trace de l'intelligence et de l'humour inimitables que l'on retrouve partout dans son œuvre. Mais croyez-le ou non le pire de tout n'est pas ce traitement méprisant mais c'est la direction d'acteurs d'Eric Barbier. Si profondément piétonne qu'elle aurait transformé même les plus aventureux du Comte de Monte Cristo en un alésage complet et absolu. Tout à fait une entreprise pour un film commercialisé comme épique. Ajoutez-y des rôles superficiels comme Charlotte Gainsbourg et Pierre Niney et vous avez une dinde légitime de film. Pour le public expérimenté : allez plutôt regarder La Promesse de l'aube de Jules Dassin avec Melina Mercouri. Ou faites-vous une faveur et lisez le livre de Romain Gary malgré tous ses défauts il vaut votre temps contrairement à ce film...
symphonie10
symphonie10

16 abonnés 71 critiques Suivre son activité

2,5
Publiée le 28 décembre 2017
Moi je me suis ennuyée... Comment dire ? Ce film est "plat", vous connaissez l'expression "entrer dans l'écran", pas une seule fois je n'y suis entrer, les images restaient sur un écran... je n'ai pas compris le choix de Charlotte Gainsbourg...
anonyme
Un visiteur
5,0
Publiée le 21 décembre 2017
Oh, quelle merveille ! Je reviens de ce film avec les larmes aux yeux. Tant il est bouleversant, magistral, déchirant d'amour, de sentiments... Bravo à Charlotte Gainsbourg et Pierre Niney pour leur magnifique interprétation...
anonyme
Un visiteur
4,5
Publiée le 22 décembre 2017
M. Murat de Télérama dit que c'est bon pour les amateurs de romanesque pépère. La vie de Romain Gary n'a-t-elle pas été romanesque ? Pas "pépère" en tout cas comme celle de tout un chacun !
J'ai lu très récemment le roman de Romain Gary, et j'ai été emballé par ce qu'en a fait M. Barbier ; on y retrouve une certaine forme de... oui d'humour qui rappelle le style de M. Gary.
Je regrette que cela n'ait pas fonctionné pour M. Murat. Contrairement à lui, j'ai trouvé Mlle Gainsbourg incroyable ; quel travail ! De toute façon, Télérama a une dent contre elle (voir la critique de son dernier album) depuis quelque temps, on n'est pas surpris par cette position/posture.
Un très grand film !
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