Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
30 critiques presse
Femme Actuelle
par La rédaction
Cette adaptation réussie et poignante d'un roman culte tient toutes ses promesses.
Marianne
par Eric Decouty
Une oeuvre cinématographique à la dimension du chef-d'oeuvre romanesque.
Marianne
par Eric Decouty
Un grand film.
CNews
par La rédaction
La reconstitution des différentes époques est soignée, mais c’est avant tout le jeu des acteurs, Pierre Niney et surtout Charlotte Gainsbourg, qui donne son charme évident à ce film, qui rappellera de grands souvenirs de lecture au spectateur.
Elle
par La rédaction
On court voir ce magnifique film qui ne vous laissera pas de marbre.
La critique complète est disponible sur le site Elle
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
Le réalisateur Éric Barbier a fait du magnifique roman de Romain Gary un grand film populaire au souffle épique.
Le Journal du Dimanche
par Barbara Théate
Eric Barbier restitue en images la force des mots pour signer une adaptation élégante et bouleversante de "La Promesse de l’Aube", cette autobiographie sublimée que l’auteur de La Vie devant soi a publié en 1960 pour dire que le vrai héros, c’était sa mère, incarnée par Charlotte Gainsbourg avec une intensité qu’on lui avait rarement vue au cinéma.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Parisien
par Pierre Vavasseur
Filmé par Eric Barbier, le duo Charlotte Gainsbourg- Pierre Niney y est exceptionnel. Dans la seconde partie, les codes du film de guerre ne jurent pas avec la tragicomédie romantique qui est, comme en musique, la ligne de basse de ce grand spectacle.
Les Fiches du Cinéma
par Gilles Tourman
Adaptation sage mais réussie du roman de Romain Gary. Ou comment l’amour, la volonté, les rêves et les libertés de celle-ci avec la réalité ont façonné un écrivain majeur du vingtième siècle.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Libération
par Marcos Uzal
Le film n’oublie jamais qu’il n’est qu’un récit, où la réalité ne se reflète que dans l’imaginaire : une histoire racontée par un romancier mythomane, lui-même soumis aux rêves extravagants de sa mère. Et l’émotion advient lorsque, dans ce qui n’est pas un happy end, le réel reprend in extremis ses droits sur la mystification.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Ouest France
par Laurent Beauvallet
On vibre pour ce film d'aventure romanesque et délicieusement drôle.
Paris Match
par Yannick Vely
Et si on redoutait un certain académisme dans la mise en scène qui lisserait les drames et les pleurs, il n'en n'est rien : le film est parfois aussi cruel que le roman, quand il va chercher les larmes sur le visage d'un enfant qui voit sa mère se faire déposséder de ses biens. La promesse est tenue.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Rolling Stone
par Sophie Rosemont
Grand admirateur de l’œuvre de l’écrivain, Barbier n’a pas cherché de surprises esthétiques et se concentre sur la trame narrative de "La Promesse de l’aube", qui se suffit largement à elle-même.
La critique complète est disponible sur le site Rolling Stone
Studio Ciné Live
par Sophie Benamon
Barbier a réalisé un magnifique travail d'adaptation (...) mettant en valeur cette mère à l'amour dévorant et à l'ambition démesurée pour son enfant.
Télé 7 Jours
par Isabelle Magnier
Eric Barbier réussit une belle adaptation du chef-d'oeuvre de Romain Gary, récit de son éducation hors norme.
aVoir-aLire.com
par Claudine Levanneur
Du grand cinéma romanesque pour retracer l’incroyable destin de l’aviateur, diplomate et romancier Romain Gary alias Emile Ajar.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Bande à part
par Anne-Claire Cieutat
Eric Barbier, Charlotte Gainsbourg et Pierre Niney restituent avec fougue l'idée centrale de cette trajectoire épique : celle d'un fils littéralement possédé par sa mère. Un défi d'incarnation en grande partie relevé.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Ecran Large
par Simon Riaux
Pas sûr que les lecteurs de Romain Gary retrouvent la puissance de l'auteur, les autres en revanche, apprécieront un grand récit d'aventure, propre et soigné.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
L'Express
par Eric Libiot
Il manque plein de choses (acidité, parti pris précis), mais il y a plein de choses (sourire, extravagance, énergie). Il y a surtout ce que Gary n'aurait pu imaginer : Charlotte Gainsbourg (dans le rôle de la mère) est exceptionnelle.
La Voix du Nord
par Philippe Lagouche
(...) pour son savoir-faire et le panache dont il fait parfois preuve, le prosaïque Éric Barbier mérite assurément les palmes académiques.
Première
par Christophe Narbonne
Sans atteindre des sommets, cette adaptation du classique de Romain Gary brille par sa mise en scène soignée.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télé 2 semaines
par Gwénola Trouillard
L'écrin est sublime, et l'ampleur de la reconstitution, bluffante, mais il manque au film d'Eric Barbier l'ironie et l'élan picaresque qui emportaient "Little Big Man", modèle avoué du réalisateur.
Télé Loisirs
par Gwénola Trouillard
Un biopic fastueux porté par Pierre Niney et surtout Charlotte Gainsbourg, dans un contre-emploi mémorable.
Franceinfo Culture
par Pierre-Yves Grenu
Soigneusement produite mais sans âme, cette saga romanesque si rondement menée a des airs de téléfilm de luxe. La "Promesse de l'aube" n'est malheureusement pas tenue.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Obs
par Jérôme Garcin
Tout cela est, formellement, irréprochable. Manquent seulement l'émotion et la ferveur. C'est-à-dire l'essentiel.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Eric Berbier joue la carte d'un romanesque un peu convenu que n'arrive pas vraiment à faire vivre une Charlotte Gainsbourg, qui en fait beaucoup, et un Pierre Niney qui paraît un peu mince pour les habits tailles large de l'aventurier.
Positif
par Adrien Gombeaud
"La Promesse de l’aube" était celle d’un destin digne du grand écran. Aujourd’hui, "La Promesse de l’aube" est aussi un film raté.
Transfuge
par Frédéric Mercier
Le film pourrait très bien s'intituler : "Un jour, un destin". Il ne propose guère mieux.
Le Figaro
par Nathalie Simon
On ne devrait jamais voir au cinéma des adaptations de livres qui nous ont enchantés. Elles correspondent rarement à notre attente. C'est le cas de "La Promesse de l'aube", qu'Éric Barbier a réussi à transformer en minestrone épais et indigeste.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Les Inrockuptibles
par Vincent Ostria
Un gros pudding romanesque qui passe à la moulinette Romain Gary, des chromos d'avions dans le ciel, une esthétique de séries télé circa 1992 à 24 millions d'euros, Charlotte Gainsbourg affectée d'un accent impossible et Pierre Niney qui écarquille les yeux en toute circonstance comme seul gage d'intensité : une bonne promesse de daube.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Femme Actuelle
Cette adaptation réussie et poignante d'un roman culte tient toutes ses promesses.
Marianne
Une oeuvre cinématographique à la dimension du chef-d'oeuvre romanesque.
Marianne
Un grand film.
CNews
La reconstitution des différentes époques est soignée, mais c’est avant tout le jeu des acteurs, Pierre Niney et surtout Charlotte Gainsbourg, qui donne son charme évident à ce film, qui rappellera de grands souvenirs de lecture au spectateur.
Elle
On court voir ce magnifique film qui ne vous laissera pas de marbre.
La Croix
Le réalisateur Éric Barbier a fait du magnifique roman de Romain Gary un grand film populaire au souffle épique.
Le Journal du Dimanche
Eric Barbier restitue en images la force des mots pour signer une adaptation élégante et bouleversante de "La Promesse de l’Aube", cette autobiographie sublimée que l’auteur de La Vie devant soi a publié en 1960 pour dire que le vrai héros, c’était sa mère, incarnée par Charlotte Gainsbourg avec une intensité qu’on lui avait rarement vue au cinéma.
Le Parisien
Filmé par Eric Barbier, le duo Charlotte Gainsbourg- Pierre Niney y est exceptionnel. Dans la seconde partie, les codes du film de guerre ne jurent pas avec la tragicomédie romantique qui est, comme en musique, la ligne de basse de ce grand spectacle.
Les Fiches du Cinéma
Adaptation sage mais réussie du roman de Romain Gary. Ou comment l’amour, la volonté, les rêves et les libertés de celle-ci avec la réalité ont façonné un écrivain majeur du vingtième siècle.
Libération
Le film n’oublie jamais qu’il n’est qu’un récit, où la réalité ne se reflète que dans l’imaginaire : une histoire racontée par un romancier mythomane, lui-même soumis aux rêves extravagants de sa mère. Et l’émotion advient lorsque, dans ce qui n’est pas un happy end, le réel reprend in extremis ses droits sur la mystification.
Ouest France
On vibre pour ce film d'aventure romanesque et délicieusement drôle.
Paris Match
Et si on redoutait un certain académisme dans la mise en scène qui lisserait les drames et les pleurs, il n'en n'est rien : le film est parfois aussi cruel que le roman, quand il va chercher les larmes sur le visage d'un enfant qui voit sa mère se faire déposséder de ses biens. La promesse est tenue.
Rolling Stone
Grand admirateur de l’œuvre de l’écrivain, Barbier n’a pas cherché de surprises esthétiques et se concentre sur la trame narrative de "La Promesse de l’aube", qui se suffit largement à elle-même.
Studio Ciné Live
Barbier a réalisé un magnifique travail d'adaptation (...) mettant en valeur cette mère à l'amour dévorant et à l'ambition démesurée pour son enfant.
Télé 7 Jours
Eric Barbier réussit une belle adaptation du chef-d'oeuvre de Romain Gary, récit de son éducation hors norme.
aVoir-aLire.com
Du grand cinéma romanesque pour retracer l’incroyable destin de l’aviateur, diplomate et romancier Romain Gary alias Emile Ajar.
Bande à part
Eric Barbier, Charlotte Gainsbourg et Pierre Niney restituent avec fougue l'idée centrale de cette trajectoire épique : celle d'un fils littéralement possédé par sa mère. Un défi d'incarnation en grande partie relevé.
Ecran Large
Pas sûr que les lecteurs de Romain Gary retrouvent la puissance de l'auteur, les autres en revanche, apprécieront un grand récit d'aventure, propre et soigné.
L'Express
Il manque plein de choses (acidité, parti pris précis), mais il y a plein de choses (sourire, extravagance, énergie). Il y a surtout ce que Gary n'aurait pu imaginer : Charlotte Gainsbourg (dans le rôle de la mère) est exceptionnelle.
La Voix du Nord
(...) pour son savoir-faire et le panache dont il fait parfois preuve, le prosaïque Éric Barbier mérite assurément les palmes académiques.
Première
Sans atteindre des sommets, cette adaptation du classique de Romain Gary brille par sa mise en scène soignée.
Télé 2 semaines
L'écrin est sublime, et l'ampleur de la reconstitution, bluffante, mais il manque au film d'Eric Barbier l'ironie et l'élan picaresque qui emportaient "Little Big Man", modèle avoué du réalisateur.
Télé Loisirs
Un biopic fastueux porté par Pierre Niney et surtout Charlotte Gainsbourg, dans un contre-emploi mémorable.
Franceinfo Culture
Soigneusement produite mais sans âme, cette saga romanesque si rondement menée a des airs de téléfilm de luxe. La "Promesse de l'aube" n'est malheureusement pas tenue.
L'Obs
Tout cela est, formellement, irréprochable. Manquent seulement l'émotion et la ferveur. C'est-à-dire l'essentiel.
Le Dauphiné Libéré
Eric Berbier joue la carte d'un romanesque un peu convenu que n'arrive pas vraiment à faire vivre une Charlotte Gainsbourg, qui en fait beaucoup, et un Pierre Niney qui paraît un peu mince pour les habits tailles large de l'aventurier.
Positif
"La Promesse de l’aube" était celle d’un destin digne du grand écran. Aujourd’hui, "La Promesse de l’aube" est aussi un film raté.
Transfuge
Le film pourrait très bien s'intituler : "Un jour, un destin". Il ne propose guère mieux.
Le Figaro
On ne devrait jamais voir au cinéma des adaptations de livres qui nous ont enchantés. Elles correspondent rarement à notre attente. C'est le cas de "La Promesse de l'aube", qu'Éric Barbier a réussi à transformer en minestrone épais et indigeste.
Les Inrockuptibles
Un gros pudding romanesque qui passe à la moulinette Romain Gary, des chromos d'avions dans le ciel, une esthétique de séries télé circa 1992 à 24 millions d'euros, Charlotte Gainsbourg affectée d'un accent impossible et Pierre Niney qui écarquille les yeux en toute circonstance comme seul gage d'intensité : une bonne promesse de daube.