Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
19 critiques presse
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
Avec justesse et poésie, le jeune Sacha Wolff invente un western œdipien et postcolonial en Ovalie.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Paris Match
par Alain Spira
Cette odyssée d'un gosse taillé comme un Gulliver tient sur les épaules de Toki Pilioko, un acteur non professionnel qui nous offre des scènes qui rapporteraient un Oscar à n'importe quelle star. Réalisé et scénarisé avec une totale maîtrise par Sacha Wolff, ce premier film rapporterait un César à n'importe quel réalisateur chevronné.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
L'Express
par Christophe Carrière
"Mercenaire", c'est du sérieux. Et du solide, parce que malgré les scories auteuristes, c'est sacrément bien mis en scène.
LCI
par Mehdi Omaïs
C’est peu dire que, malgré quelques maladresses scénaristiques, à l’instar de la dispensable relation conflictuelle avec le père, Sacha Wolff transforme ce premier essai avec un certain brio et se désolidarise clairement de la mêlée. Son film s’offre comme une promesse.
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Sur un sujet original, un regard à la fois réaliste et documenté, qui offre aussi une dimension quasi spirituelle et cérémonielle.
Le Figaro
par La Rédaction
Mais si Mercenaire est sans doute le film le plus réaliste jamais tourné sur le rugby, c'est bien plus que ça. C'est le portrait magnifique d'un insoumis qui s'affranchit de la violence du père, biologique et symbolique (Abraham, agent aux méthodes de maquignon sans scrupule) et d'un milieu.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Parisien
par Pierre Vavasseur
Pour son premier long-métrage de fiction, le réalisateur transforme haut la main son essai.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Ouest France
par La Rédaction
Ce thriller à la Audiard est littéralement dévoré par son acteur principal, Toki Pilioko, sidérant.
Positif
par Adrien Gombeaud
Sous la linéarité du récit, Sacha Wolff tisse une oeuvre riche et stimulante, un conte sur la liberté et l'argent, le portrait d'une époque.
Première
par Sylvestre Picard
Dans le genre, c'est ce qu'on appelle un coup de maître.
Télérama
par Jacques Morice
Sacha Wolff (...) vient du documentaire. Son premier long métrage en porte la trace (...). Ce qu'il montre du milieu du rugby (...) obéit, aussi, à un souci de véracité sociale et économique, loin des stéréotypes. Son film n'en est pas moins une fiction, lyrique, presque liturgique.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Claudine Levanneur
Un premier film réussi qui nous transporte, entre violence et tendresse, dans un univers de virilité et de dépaysement.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Le Journal du Dimanche
par Baptiste Thion
Si la mise en scène manque d’ampleur, difficile de ne pas s’attacher à son colosse au grand cœur qui livre bataille sur le terrain comme en dehors pour gagner sa liberté. Un récit initiatique aussi brutal qu’émouvant.
Les Fiches du Cinéma
par Aude Jouanne
Entre désillusions et apprentissage, Sacha Wolff crée un récit initiatique sur le thème du déracinement et de l’émancipation dans les coulisses du rugby.
Les Inrockuptibles
par Théo Ribeton
Un peu scolaire dans son scénario, dont la mécanique et les lignes de force apparaissent de façon trop visible (...) le film parvient néanmoins à convaincre. (...) Wolff tient un sujet assez rare et évite l'exotisme au profit d'un traitement aux accents documentaires.
Libération
par Didier Péron
Si les péripéties relèvent du chemin de croix, le héros est moins christique que zen ou bouddhiste avec en filigrane de chaque séquence un éloge implicite de la passivité souriante.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Studio Ciné Live
par Laurent Dijan
Avec cette fiction rugbystique, le débutant Sacha Wolff ne transforme donc qu'à moitié son coup d'essai.
Cahiers du Cinéma
par Louis Séguin
Pas aussi sport qu’il en a l’air, Mercenaire rappelle que l’on ne devient vraiment homme que lorsqu’on est capable de coller une bonne rouste à son prochain.
L'Obs
par Nicolas Schaller
Est-ce la réalité ? C’est d’autant plus difficile à dire que le film, à la mise en scène figée, peine à mêler ses acteurs non professionnels à son ambition d’odyssée naturaliste.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Monde
Avec justesse et poésie, le jeune Sacha Wolff invente un western œdipien et postcolonial en Ovalie.
Paris Match
Cette odyssée d'un gosse taillé comme un Gulliver tient sur les épaules de Toki Pilioko, un acteur non professionnel qui nous offre des scènes qui rapporteraient un Oscar à n'importe quelle star. Réalisé et scénarisé avec une totale maîtrise par Sacha Wolff, ce premier film rapporterait un César à n'importe quel réalisateur chevronné.
L'Express
"Mercenaire", c'est du sérieux. Et du solide, parce que malgré les scories auteuristes, c'est sacrément bien mis en scène.
LCI
C’est peu dire que, malgré quelques maladresses scénaristiques, à l’instar de la dispensable relation conflictuelle avec le père, Sacha Wolff transforme ce premier essai avec un certain brio et se désolidarise clairement de la mêlée. Son film s’offre comme une promesse.
Le Dauphiné Libéré
Sur un sujet original, un regard à la fois réaliste et documenté, qui offre aussi une dimension quasi spirituelle et cérémonielle.
Le Figaro
Mais si Mercenaire est sans doute le film le plus réaliste jamais tourné sur le rugby, c'est bien plus que ça. C'est le portrait magnifique d'un insoumis qui s'affranchit de la violence du père, biologique et symbolique (Abraham, agent aux méthodes de maquignon sans scrupule) et d'un milieu.
Le Parisien
Pour son premier long-métrage de fiction, le réalisateur transforme haut la main son essai.
Ouest France
Ce thriller à la Audiard est littéralement dévoré par son acteur principal, Toki Pilioko, sidérant.
Positif
Sous la linéarité du récit, Sacha Wolff tisse une oeuvre riche et stimulante, un conte sur la liberté et l'argent, le portrait d'une époque.
Première
Dans le genre, c'est ce qu'on appelle un coup de maître.
Télérama
Sacha Wolff (...) vient du documentaire. Son premier long métrage en porte la trace (...). Ce qu'il montre du milieu du rugby (...) obéit, aussi, à un souci de véracité sociale et économique, loin des stéréotypes. Son film n'en est pas moins une fiction, lyrique, presque liturgique.
aVoir-aLire.com
Un premier film réussi qui nous transporte, entre violence et tendresse, dans un univers de virilité et de dépaysement.
Le Journal du Dimanche
Si la mise en scène manque d’ampleur, difficile de ne pas s’attacher à son colosse au grand cœur qui livre bataille sur le terrain comme en dehors pour gagner sa liberté. Un récit initiatique aussi brutal qu’émouvant.
Les Fiches du Cinéma
Entre désillusions et apprentissage, Sacha Wolff crée un récit initiatique sur le thème du déracinement et de l’émancipation dans les coulisses du rugby.
Les Inrockuptibles
Un peu scolaire dans son scénario, dont la mécanique et les lignes de force apparaissent de façon trop visible (...) le film parvient néanmoins à convaincre. (...) Wolff tient un sujet assez rare et évite l'exotisme au profit d'un traitement aux accents documentaires.
Libération
Si les péripéties relèvent du chemin de croix, le héros est moins christique que zen ou bouddhiste avec en filigrane de chaque séquence un éloge implicite de la passivité souriante.
Studio Ciné Live
Avec cette fiction rugbystique, le débutant Sacha Wolff ne transforme donc qu'à moitié son coup d'essai.
Cahiers du Cinéma
Pas aussi sport qu’il en a l’air, Mercenaire rappelle que l’on ne devient vraiment homme que lorsqu’on est capable de coller une bonne rouste à son prochain.
L'Obs
Est-ce la réalité ? C’est d’autant plus difficile à dire que le film, à la mise en scène figée, peine à mêler ses acteurs non professionnels à son ambition d’odyssée naturaliste.