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    Le Garçon et la Bête
    Note moyenne
    4,3
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    191 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 27 juin 2016
    Très bon film d'animation qui reprend les codes sur la recherche de soi et de ses origines, sur les rapports filiaux et bien sûr l'honneur et le courage. A voir si on aime le genre !
    Mickaël T.
    Mickaël T.

    1 abonné 42 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 23 juin 2016
    Que dire ?
    Le film est magnifique graphiquement, c'est somptueux, les couleurs sont splendides... La direction artistique est également de très bon gout dans son genre.
    Les musiques sont très agréables.
    L"histoire est vraiment émouvante sur bien des points au vue de ce que traverse le garçon et la bête.
    On s'attache assez rapidement, est l'on rigole de situation entre ces deux personnages.
    Regardé leur relations grandir puis s'épanouir tel des bourgeons laissant place aux fleurs à force de lumière dans leur âme...

    Je ne peut que conseillé son visionnage, au delà du film d'animation, ce film traite des points essentiel dans les relations avec autruie, pour finir d'en amener savamment les rouages d'une mécanique indispensable à notre vie.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 13 juin 2016
    Juste génial ! Drôle, émouvant, des images superbes.... Rien à reprocher à ce film qui ravira les jeunes et les plus grands !
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 8 juin 2016
    J'ai été agréablement surprise par ce film d'animation, tout comme je l'ai été par Les Enfants Loups. Ah ça fait du bien, cette poésie ! ^^
    L'histoire est assez prévisible en soit, elle a un shéma très classique de quête d'identité et initiatique. Les personnages sont touchants et la relation père-fils qui s'instaure est touchante et rigolote.
    J'aurais aimé découvrir un peu plus l'univers des " Bêtes" qui n'est pas très fouillé, mais c'est sûr que ce n'est pas la priorité du récit.
    Le personnage de Kaede me laisse un peu perplexe. On a l'impression qu'elle là juste poyur rentre dans la norme "il faut une romance". Bon, c'est très subtile, on ne sait pas trop mais on peu facilement en conclure qu'ils finiront ensemble plus tard. Le pouvoir de l'amour quoi... Je préfère quand même penser qu'ils restent amis pour sortir du cliché. Surtout que leur rencontre est un peu arrivée comme un cheveux sur la soupe. Kaede est spoiler: le fil conducteur qui ramènera Ren au monde des humains et à son père biologique en quelque sorte.

    Le rival/ antagoniste de l'histoire est facilement perceptible et l'on se doute bien de ce qui l'anime et pourquoi. (Mais comment les autres Bêtes n'ont jamais remarqué qu'il était humain ?? Faut être un aveugle en déni ma parole !)
    Pour ce qui est de la créativité, le pendant avec Mobydick est super bien trouvé et j'ai été littéralement bluffée par l'imagination de l'équipe, et du rendu ! Les scènes avec la Baleine sont sublimes de poésie et de grâce.
    En bref; si vous êtes à l'aise avec les codes de la japanime, que vous aimez la poésie, que vous n'avez rien contre la " contemplation" et que vous aimez la maturité dans les films d'animation, regardez-le il en vaut le coup ! ^^
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 6 juin 2016
    Rien à jeter dans cette animation magnifique aux multiples rebondissements qui décrit aussi la difficulté de la paternité sans trahir sa propre personnalité, d'enseigner, d'éduquer mais aussi d'accepter de prendre la place de disciple et d'apprendre.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 6 juin 2016
    Magnifique, Sublime, Émouvant, Drôle, Touchant... les adjectifs ne manquent pas pour qualifié ce film, un véritable chef d'oeuvre. A voir absolument.
    EricDebarnot
    EricDebarnot

    204 abonnés 1 262 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 4 juin 2016
    Alors que le Japon cherche son nouveau Miyakaki, la réussite de ce "le Garçon et la Bête" nous donne bon espoir d'avoir trouvé le nouveau Satoshi Kon, ce qui est loin d'être dérisoire. Comme dans les meilleures œuvres de Kon, voici un festival délicieux de sensations colorées, de sentiments expansifs, d'idées joyeuses, de créativité tout azimut. Si l'on peut tiquer un moment sur les poncifs du film "d'initiation" désormais bien rebattus, la joyeuse vulgarité et la violence enfantine des rapports entre maître et élève qui éclairent la première partie du film sont un vrai bonheur. Mais c'est lorsque le scénario du film fait un virage à angle droit à l'entrée de Ren dans l'âge adulte, et le confronte à un choix fondamental entre le monde des humains (avec l'éducation et l'amour d'une semblable à la clé) et celui des "bêtes" (avec des valeurs que l'on peut juger supérieures), que le film décolle puissamment. Le dernier mouvement, esthétiquement magnifique (l'ombre de la baleine; puis son spectre digital au dessus de la ville), renoue certes un peu trop avec les stéréotypes du manga pour adolescents, mais ce foisonnement thématique, même s'il induit que tous les thèmes ne sont pas forcément explorés à fond, et même si le spectateur peut avoir un sentiment de papillonnage excessif, fait la richesse excitante du film. Pas totalement réussi mais étrangement satisfaisant, "le Garçon et la Bête" est une autre preuve de la vitalité et de l'intelligence de l'Anime, même en une période de doutes et de remise en question.
    Vinz1
    Vinz1

    177 abonnés 2 429 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 2 juin 2016
    Moins percutant que son prédécesseur, "Le garçon et la bête" constitue tout de même un dessin animé de qualité qui offre des moments de bravoure magnifiques. Son duo improbable est très attachant et fait écho au thème de la présence d'un père et du besoin d'assurer une descendance afin de transmettre son art. Malgré un rythme inégal et quelques longueurs plombantes, il vous fera néanmoins passer un bon moment de cinéma.
    Cinemaniakmontreal
    Cinemaniakmontreal

    20 abonnés 103 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 30 mai 2016
    Nouveau film de l’un des grands noms de l’animation japonaise Mamoru Hosoda, Le Garçon et la Bête est une jolie fable sur l’amitié et la persévérance. Le long-métrage d’Hosoda est également un vrai tour de force visuel et offre quelques scènes somptueuses parmi les plus belles vues récemment dans un film d’animation japonais. ♥♥♥♥

    Un jeune garçon orphelin fuit le monde des humains et se retrouve dans un monde parallèle peuplé de bêtes. Il devient alors le disciple d’une bête nommé Kumatetsu qui rêve de devenir empereur. La relation orageuse des deux protagonistes se transforme peu à peu en amitié tandis que le jeune garçon rebaptisé Kyuta commence à vouloir reconnecter avec son monde d’origine.

    La trajectoire de ce garçon esseulé se révèle être une leçon de vie puisqu’il apprend au fur et à mesure les valeurs essentielles de l’existence: Respect, honneur et courage. Certaines de ces valeurs lui sont inculquées dans la douleur. Souffrances qu’il endure pour se relever plus fort et devenir ainsi l’adulte qu’il est censé être. Le Garçon et la Bête est également riche en scènes de combat dantesques avec un combat final à Tokyo proprement hallucinant qui n’est pas sans rappeler la démesure des batailles d’Akira de Katsuhiro Otomo.

    Le film de Mamoru Hosoda n’est pas non plus avare en envolées lyriques, chose symptomatique du cinéma d’animation japonais. Se dégage de certaines séquences une forme de poésie notamment durant les scènes où Kyuta se rapproche d’une jeune fille qui veut le ramener vers le monde des humains. Proche de l’esprit du Voyage de Chihiro de Miyazaki avec ce garçon tiraillé entre deux mondes, Le Garçon et la Bête est une réussite sur de nombreux plans qui ravira les fans d’animation japonaise et saura conquérir les spectateurs peu habitués au genre. Le film de Mamoru Hosoda rassure quant à l’avenir d’un genre marqué récemment par le départ à la retraite du cinéaste emblématique Hayao Miyazaki.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 27 mai 2016
    Quelle claque ! Après le choc : "Les Enfants loups, Ame et Yuki", ce nouveau film de Mamoru Hosoda m'as énormément marqué. Accrocheur, dynamique et d'une grande puissance émotionnelle, cet animé sera à évité pour les enfants car les dialogues sont assez grossiers.
    Santu2b
    Santu2b

    248 abonnés 1 785 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 25 mai 2016
    Auteur à ses débuts de "Digimon" ou encore "One Peace", Mamoru Hosoda franchit un cap depuis quelques années qui se confirme en 2016 avec "Le Garçon et la Bête", joli conte sur le monde des hommes et celui des animaux. Sans pour autant en faire l'héritier de Miyazaki, cet essai est néanmoins une réussite dans l'ensemble. Le cinéaste dispose d'un imaginaire débordant et drôle, n'hésitant même pas à laisser poindre une note d'irrévérence. Le cinéaste parvient surtout haut la main à éviter le manichéisme qui lui pendait au bout du nez avec un tel sujet. Sur le fond, le film respecte la plupart des codes du genre en plongeant dans la culture européenne avec notamment la référence à "Moby Dick". Il est cependant dommage que le film s'étiole à mi-parcours ; après une première partie excellente, le film part dans tous les sens et cette multiplication d'enjeux lui fait perdre cohérence et maîtrise. Un peu inégal mais prometteur pour la suite.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 25 mai 2016
    Il y a toujours des films dont l'on ne sait quoi dire. Moi j'y ai vu la vie. Alors certes, le long- métrage se situe dans des mondes imaginaires (du moins un) mais il n'en ai pas moins efficace sur l'identification du spectateur envers les différents personnages. Car ici, la grande réussite est le thème: la relation père-fils. Thème d'ailleurs omniprésent, oui je dis bien OMNIPRESENT ! Car dans beaucoup trop de film, on perd pied des personnages, des enjeux ou du scénario tout simplement. Ici non, le thème se passe en fond tout en légèreté sans agresser. De l'action par ci, pour développer l'émotion et confirmer notre attachement envers les personnages, des moments spirituels afin de bien ressentir la complexité de leurs rapports et leurs émotions personnelles. Son autre réussite également est en fin de compte sa grande richesse, le grand spectacle que l'on nous offre, passant d'un ton léger à un autre plus dur.

    Non vraiment, ce film est un diamant qui touche et diverti de manière efficace. A ne pas louper !
    mimilebarge50
    mimilebarge50

    14 abonnés 35 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 25 mai 2016
    Magnifique. Pas de mot pour décrire ce petit chef d'œuvre. Drole, prenant, on ne s'ennuie pas un instant.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 21 juin 2016
    Le nom de Mamoru Hosada n’est plus inconnu de nous occidentaux. Ce réalisateur japonais s’était tout d’abord fait remarquer par Summer Wars, véritable fable écologiste et humaniste. Puis, il a définitivement marqué les esprits avec Les Enfants Loups, Ame et Yuki, un film qui (chose exceptionnelle pour de l’animation japonaise non-Ghibli) a ameuté dans les salles obscures un nombre très important de spectateurs français.

    L’homme est revenu sur nos écrans en début d’année 2016, avec la sortie – plus de six mois après celle du Japon… – de ce nouveau long-métrage, Le Garçon et la Bête, une œuvre dans la continuité de ce qu’il a déjà créé.

    Le film commence ainsi par la fugue du jeune Ren, refusant de rejoindre ses nouveaux tuteurs légaux, un déménagement qui fait suite au décès de sa mère. Esseulé dans les rues bondées de Shibuya, criant sa haine et pleurant son désespoir, il fait la rencontre de deux hommes encapuchonnés. L’un d’eux, suite au défi de l’autre, prononce des paroles surprenantes : il choisira en tant que disciple le premier humain qu’il croise. Cet humain, c’est Ren. Celui-ci se met alors à suivre ces deux inconnus dans les rues de Shibuya, jusqu’à atteindre un monde parallèle à l’existence insoupçonnée : Jutengai, le pays des Bêtes.

    Voici les prémices de ce que constituera une bonne partie de l’intrigue : Ren se retrouve sans repères, dans un univers inconnu qui ne tolère que très peu les humains, et sous la toit du rigide et dur Kumatetsu, son « maître », une espèce d’ours rouge, excellant à l’art de l’épée. Ce-dernier va enseigner tant bien que mal son art au jeune humain (renommé Kyûta), afin qu’il devienne aussi fort que lui… A moins que de différents desseins ne se profilent pour eux ?

    Le film présente sous toutes les coutures la relation qui va se nouer entre l’élève et le professeur. Si une certaine incompréhension, ainsi que de la méfiance s’installent au début, on comprend bien vite que ces deux personnages était destinés à se croiser, tellement ils se ressemblent, en témoignent leurs fantasques disputes, moments pleins d’humour. Le lien unissant Ren et Kumatetsu est en quelque sorte le fil conducteur du scénario, et c’est un véritable plaisir que de suivre l’évolution de nos protagonistes l’un par rapport à l’autre. Toutefois, de nombreux évènements et autres personnages viennent par ailleurs s’imbriquer autour de cette relation, promettant quelques rebondissements scénaristiques… Même si l’histoire – dans le fond – ne recèle pas de quelconque originalité.

    Kumatetsu est l’une des figures de la féérie qui caractérise Jutengai, et plus généralement l’œuvre. En effet, le monde des bêtes offre bon nombre de personnages au physique (mais aussi à la personnalité) délirant : les deux amis de l’homme ours sont en réalité un singe et une créature à tête de cochon. Le Seigneur de Jutengai est un lapin, facette plus ancienne du lapin blanc d’Alice, à l’infinie sagesse. Mamoru Hosada réussit une nouvelle fois à façonner un univers unique et rempli d’onirisme. Cependant, j’ai trouvé qu’il n’était pas assez mis en avant, et de nombreux éléments restent anecdotiques. Ainsi, je n’ai pas retrouvé la même magie merveilleuse, fantasmagorique et poétique, à laquelle j’ai pu par exemple être touché dans Summer Wars ou Les Enfants Loups. Mais c’est certainement voulu par le réalisateur : ce-dernier a préféré se concentrer sur ses deux héros, comme sur le thème de la quête de la connaissance de soi-même. Le cinéaste joue aussi sur la confrontation entre le monde humain moderne et le monde traditionnel des bêtes, deux ensembles qui semblent se compléter, mais qui ne doivent jamais entrer en confrontation…

    La première heure est dédiée à l’initiation de Kyûta, et peut parfois s’avérer longuette à différentes occasions. Mais c’est véritablement dans sa deuxième partie que le film devient bouleversant, et diablement accrocheur. Ce point me permet d’appuyer la richesse scénaristique de l’œuvre, qui, derrière une apparence candide, est bien plus dramatique qu’on ne peut le croire.

    Enfin, je ne serais pas complet si je ne parlais pas de la qualité de l’animation ainsi que de la bande-son. Ce premier aspect est une réussite : le spectateur pourra apprécier de somptueux paysages et de nombreux plans finement détaillés. L’animation est clairement sophistiquée, les mouvements fluides et l’image colorée. Quant à la musique, elle se fait très discrète. Trop discrète. Malheureusement, je n’ai même pas le souvenir qu’elle ait joué à quelconque moment un véritable rôle. Pour une création nippone, on aurait pu s’attendre à meilleur.

    Quoiqu’il en soit, Le Garçon et la Bête reste un incroyable long-métrage d’animation, foncièrement moderne. Délaissant la poésie imaginaire qu’il a exploré dans ses précédentes œuvres, Mamoru Hosada livre ici tout de même un film au quotient émotionnel important, fondé sur des thématiques passionnantes, et transcendant le quotidien. Notre quotidien.
    kroston
    kroston

    4 abonnés 292 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 23 mai 2016
    Le dernier Hosoda est une merveille à tous niveaux.
    Truffée de trouvailles techniques absolument incroyable , le tout à
    un rythme parfait et passionnant de bout en bout .
    Le fond et la forme réunis pour un grand film.
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