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    Le Garçon et la Bête
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    191 critiques spectateurs

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    Mordicus
    Mordicus

    9 abonnés 78 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 3 janvier 2021
    Malgré son côté enfantin, et peut-être niais, Le Garçon et la Bête n'est pas du tout ce qu'il semble être. Le scénario est original, frais. Il pose la base à de nombreuses questions existentielles de notre propre vie, et tente de nous donner des enseignements sous apparence d'enfantillage. Il est beau parce que simplement, sans se prendre la tête, il arrive à nous porter son message.
    L'animation est vraiment bien, et le film visuellement assez beau. L'humour y est bien présent mais là somme toute encore enfantin et donc assez mignon.
    Les musiques sont excellentes, et les doublages, originaux comme français, très bien réalisés. Le Garçon et la Bête est un excellent film qui fait réfléchir sans que l'on s'en rende compte.
    Kevin dioles
    Kevin dioles

    45 abonnés 681 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 2 novembre 2020
    LE GARCON ET LA BETE (2016): Ce n'est pas la planète des singes, mais un univers parallèle au monde des humains, peuplé d'animaux doués de la parole. Ren, un enfant errant qui à perdu sa mère franchira cette frontière, et croisera alors une bête au physique d'ours se nommant Kamatetsu. Celui-ci se fera remarquer par ses perpétuelles sautes d'humeur, ce qui donnera des relations assez délirantes entre lui et ce jeune garçon Ren. Ces deux personnages se complèteront par leur savoir faire, le petit homme fera office de coach mental pour la bête, et celle-ci le prendra comme disciple dans l'art du combat. Un scénario qui m'a conquis par cette fantaisie entretenue par cet immense zoo à deux jambes. Le seigneur des bête ne sera pas un lion, mais un animal bien connu aux longues oreilles qui par sa façon de s'exprimer pourrait être cousin à maître Yoda. Kamatetsu, la bête aux attitudes grossières fera penser à notre Gégé national. Dire que le réalisateur d'animation, Mamoru Hosodo, est la relève de Miyazaki, je ne pense pas, l'animation de chacun est d'un style très différent. Miyazaki ne rejettera pas le travail par ordinateur, il l'utilisera modérément à plusieurs reprises, et préfèrera l'animation traditionnelle. Mamoru optera plus pour la technique moderne mariant les dessins classiques aux images numériques. A chacun son identité, moi j'ai fait mon choix, j'adore le coup crayon, les multiples tonalités de couleur. Ce film dans son ensemble est réussi, surtout pour son histoire extravagante, mais l'émotion ainsi que la magie ne seront pas à la hauteur de mes espérances. Un dessin animé qui se regarde avec plaisir.
    quentin raimbault
    quentin raimbault

    9 abonnés 28 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 28 octobre 2020
    Ne connaissant pas beaucoup l animation japonaise et films de niazaky je ne peux pas être un fin connaisseur. Mais je peux vous dire que ce film vaut le coup. D apparence bizarre ou n allant nul part ce film raconte une vraie aventure, montrant l évolution d un garçon dans un monde où il n est pas à sa place, les personnages sont géniaux ainsi que les messages qui sont passés, dénonçant beaucoup de choses dans la société japonaise. L animation est super et personnellement même si d habitude je suis + vo pour l animation japonaise je trouve la vf très bonne. Un film à voir au moins une fois. On s attache très vite aux personnages et la grande déception c est qu on aurait voulu qu il soit + long, une seule envie après l avoir déjà vu. Le revoir, ce sera toujours aussi bien.
    perle de rosée
    perle de rosée

    61 abonnés 311 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 7 octobre 2020
    J'ai mis 2/5 car au palmarès de mes films d'animation préférés, celui-là n'est pas vraiment en tête. J'ai préféré "si tu tends l'oreille" ou "kié la petite peste" par exemple. L'histoire n'est pas terrible et les images non plus et je ne suis pas très fan des combats.
    Roub E.
    Roub E.

    948 abonnés 4 994 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 20 juin 2020
    Un bon film d’animation japonais sur la filiation et la transmission. Le garçon et la bête développe un panel d’émotions impressionnant. C’est dynamique, touchant, vif, plein d’énergie. On passe de l’action épique à l’émotion brute en quelques instants. C’est une réussite.
    Hotinhere
    Hotinhere

    548 abonnés 4 956 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 28 mai 2020
    Un beau film d'animation sur la quête d'identité d'un orphelin plongé dans un monde parallèle. Une fable initiatique teintée d'humour et de tendresse. Aires le récit n'est pas des plus passionnant.
    konika0
    konika0

    27 abonnés 778 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 16 avril 2020
    Rrrrrrr !
    Juste après l’énorme réussite des Enfants Loups, Hosoda a signé cet anim encore une fois très réussi. Ren vient de perdre ses parents. Orphelin, il erre dans les rues de Tokyo, ne sachant plus ce qu’il fait là. Au fond de lui, un trou noir absorbe ses sentiments. Dans un monde parallèle, une bête championne des arts martiaux recherche un disciple. Le maître taciturne va embarquer l’enfant terrible avec lui dans son univers secret et lui apprendre ce qu’il sait. Pendant ce temps-là, le trou noir se montre toujours menaçant. Hosoda n’aime rien plus que le temps qui passe et qui transforme les enfants. Enfin si, il aime la bouffe aussi. Sur un ton de comédie très très réussie, ce film évoque les turpitudes de l’adolescence. Il propose un design extrêmement parlant de la noirceur qui occupe l’être de ces adultes en devenir. Des ténèbres propres à l’humain. Impossible de ne pas succomber devant l’humour franc et joyeux des scènes d’apprentissage et des personnages hauts en couleur. Impossible aussi de rester de marbre devant les déchirement d’un héros perdu dans lui-même. Et comme souvent, la filiation est au centre de la construction de soi. Et toujours la qualité graphique du travail d’Hosoda. Bref, encore une très belle réussite à regarder en famille ou pas.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 30 mars 2020
    Chef d'oeuvre de l'animation japonaise. Les dessins, la musique, les couleurs, le scénario tout y est et très mieux jauger! Bravo
    Kénan H
    Kénan H

    13 abonnés 91 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 23 janvier 2020
    Un très bon film riche en émotion, avec une histoire captivante, un univers très beau, des personnages très attachants et originaux.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 9 janvier 2020
    Une très beau film, inventif et poétique. L’animation japonaise a toujours le don de trouver des métaphores inattendues et d’inventer des univers complètement inédits. C’est le cas ici, mais on est quand même un peu en dessous des Enfants loups je trouve, notamment à cause d’une dernière demi-heure qui m’a semblé un peu en trop, où le scénario devient très dense et tente d’ajouter in extremis le thème de la noirceur humaine à un film qui jongle déjà entre plusieurs grands sujets. Ça finit donc sur un côté fourre-tout qui ternit un peu l’ensemble, sans pour autant remettre en question la qualité du film.
    Zoumir
    Zoumir

    67 abonnés 1 041 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 4 décembre 2019
    Même visionnée dans le désordre, la filmographie de Mamoru Hosoda garde une constante régressive jouant aussi bien avec les émotions de l'enfant tapis en chacun de nous qu'avec les questionnements de l'adulte-vitrine qui l'a supplanté. Mais contrairement à Amé et Yuki, ses enfants loups ou à Kun, le grand frère de Miraï, dans Le garçon est la bête, il partage son propos entre l'adulte en devenir - le garçon - et l'adulte qui n'est pas devenu - la bête.

    Encore une fois, l'imaginaire se met au service d'une introspection, cette fois-ci sur les trajectoires que nous prenons enfant et sur la façon dans elles sont influencées par les adultes qui nous entourent, nous guident, nous émancipent ou nous brident.
    Le gosse ici s'appelle Ren/Kyuta. Un enfant des rues, autant par choix que par dépit, par fierté que par résignation. Abandonné, il préfère embrasser pleinement sa condition plutôt que de subir une famille de substitution qui ne lui convient pas. Solitaire et affirmé, fort en apparence mais blessé en son être à l'image de cette part d'ombre, dissociée dans une rue bondée, sortie de nulle part, annonciatrice de la part de ténèbres que redoutent les habitants du Jūtengai, le royaume des bêtes, et auquel il sera confronté.
    La bête, Kumatetsu, fainéant et bagarreur, à la recherche d'un disciple, va voir en lui ce qu'il n'avait jamais trouvé. Quoi ? Difficile de ne pas s'en douter dès que la relation tumultueuse et criarde entre ce maître improvisé et son frêle disciple va s'installer.

    Le garçon et la bête est une histoire d'aide mutuelle comme le cinéma en compte des dizaines, de celles ou l'élève n'est pas nécessairement celui qu'on croit. Mais la vision d'Hosoda transcende l'apport mutuel à travers un reflet intergénérationnel qui masque sous les cris et les maladresses une inadaptation sociale, catalyseur d'une rancœur destructrice qui finira par s'exprimer visuellement de bien des manières.

    Qu'il s'agisse de nos héros, sympathiques perdants handicapés par leurs béquilles émotionnelles mais revendiquant leur singularité, où de leurs rivaux, Iôzen, un père, perfection incarnée, calme et réfléchi, accompagné de ses deux fils et idolâtré des habitants de ce monde parallèle, l'évolution des personnages, bien que téléphonée, est au centre d'une histoire de succession qui dans sa première moitié, enfermé dans le royaume des bêtes, nous amuse autant qu'elle pose adroitement les bases d'une évolution bien plus sombre.
    Car Kyuta grandit, lesté de son enfance et même si sa rencontre avec Kumatetsu est salvatrice, elle n'allège pas complètement le poids de son passé. S'engage alors un ballet fait d'allers-retours entre les deux univers. Mamoru Hosoda s'attarde adroitement sur ce que nous devenons, et comment nous le devenons jusqu'à une acceptation complète de notre histoire intime. Il fait écho aux adultes que nous sommes et à l'enfant parfois partiellement meurtri que nous abritons, en nous montrant dans un déluge d'effets visuels, à quel point il est parfois difficile de venir à bout de notre baleine blanche, sans aide extérieure.

    Le garçon et la bête est une histoire d'accomplissement tardif, de but, de sens, de lègue, de génération, de continuité, une histoire de vilain petit canard qui touche justement son spectateur, sans esbroufe, sans mièvrerie, une histoire qui émerveille par son univers, avec des thèmes déjà vus et chers à l'animation japonaise, mais qui trouve une sensibilité rare sous la plume de ce réalisateur couronnés pour ces 5 films personnels (La Traversée du temps - 2006, Summer Wars - 2009, Les Enfants loups - 2012, Le Garçon et la Bête - 2015, et Miraï - 2018) du Japan Academy Prize du meilleur film d'animation de l'année.

    Un film tous les trois ans depuis 2006, vivement 2021 !
    Mathieu B.
    Mathieu B.

    30 abonnés 765 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 2 décembre 2019
    Une réalité dans laquelle Shibuya, le monde des humains, est un monde parallèle de Jutengai, le monde des Bêtes. Les bêtes savent comment passer d'un monde à l'autre mais pas les humains qui ne connaissent même pas l'existence du monde parallèle des bêtes. Et pourtant, Ren, un garçon solitaire et malheureux, rencontre Kumatetsu, un ours solitaire, qui est venu dans le monde des humains pour y trouver son disciple. Il rebaptise le garçon Kyuta et va lui apprendre les arts martiaux avec rudesse et maladresse. C'est un axe narratif assez intéressant car il diffère de la relation maître-élève traditionnelle : ici, l'enseignant est particulièrement mauvais et l'élève a très mauvais caractère. Ces deux êtres solitaires et au passé difficile, vont développer une relation père-fils qui va permettre à chacun d'apprendre de l'autre. Après plusieurs années entrainement, Kumatetsu est enfin respecté parmi ses congénères, et possède sa propre école d’arts-martiaux, tandis que Ren, adolescent, est adopté par toutes les bêtes du royaume. L’heure du combat entre Kumatetsu et Iozen approche : ce combat déterminera le prochain dirigeant du royaume des bêtes. Et c'est à cette période que Ren éprouve le besoin de retourner découvrir le monde des humains qu'il a quitté enfant. Ren va devoir choisir dans quel monde il veut vivre, et auprès de quel père. Mais Ren va découvrir qu'il n'est pas le seul à souffrir de cette fracture et de ce tiraillement. C'est beau, les dialogues sont dignes d'un manga, tout l'univers des arts martiaux est présent, les sentiments des personnages sont nettement perceptibles, globalement, on ne s’ennuie pas. Mais j'avoue que compte tenu des notes exceptionnellement bonnes, je m'attendais à beaucoup mieux. C'est un bon film, mais sans rien d’exceptionnel.
    Liam Debruel
    Liam Debruel

    19 abonnés 104 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 25 novembre 2019
    Les récits initiatiques jalonnent l’histoire. Plus besoin de présenter Joseph Campbell, auteur de la théorie du monomythe et de son schéma aux mêmes étapes pour la construction du voyage d’un héros. C’est d’ailleurs par le biais du mythe que l’être humain s’est défini et a évolué, par le passage d’une mémoire imitative en tant qu’Homo Erectus à une mémoire mythique avec l’Homo Sapiens. Les récits fondent ainsi les personnes, les influent dans leur avenir, leur personnalité. Désormais, nous sommes influencés par des histoires sous différentes formes, principalement culturelles.

    Malheureusement, on oublie trop facilement l’aspect créateur de personnalité qu’ont ces récits pour aller vers la facilité. C’est ainsi que lorsqu’un film pour enfant est moyen voire médiocre, on sort l’excuse du « c’est juste pour les enfants ». Ce genre de comportement rabaisse l’importance du contact entre la culture et des personnes en pleine construction de leur personnalité. Heureusement, il existe encore des studios/artistes qui tentent de relever le niveau comme Pixar, Laika, Disney ou Ghibli. L’œuvre que nous allons aborder aujourd’hui partage la même nationalité que le dernier studio cité.

    Ren est un garçon qui s’est enfui de chez lui après le décès de sa mère. Il arrive un jour accidentellement dans le monde des bêtes, créatures animales anthropomorphiques. L’enfant va alors devenir le disciple de Kumatetsu, guerrier égoïste et mal léché qui veut absolument prendre la place de son seigneur. Un lien fort va alors unir nos deux héros.

    Mamoru Hosoda est sans aucun doute l’un des grands noms de l’animation nippone et le prouve à nouveau avec « Bakemono No Ko » (titre original). Il tisse à nouveau un récit où des personnages en difficulté se construisent dans des situations extraordinaires. Ren va devoir apprendre à gérer la colère qui le ronge depuis la mort de sa mère pour mener une vie normale tout en se confrontant à Kumatestsu. Ce dernier devra accepter à contrecœur son statut de père spirituel afin de lui-même se soigner de la propre rage et solitude qui l’animent. C’est la rencontre de ces deux êtres profondément blessés qui va les aider à grandir et devenir meilleurs. Leur relation s’avère des plus touchantes et constitue l’un des points forts du film.

    Néanmoins, c’est plus à Ren (qui sera renommé Kyûta) que nous nous accrochons (normal vu son statut « humain »). C’est plus son combat intérieur contre lui-même qui animera le récit. Le roman Moby Dick est cité, ce qui est loin d’être anodin au vu de la portée du récit (ainsi que l’apparition d’une baleine). Devant faire face à un protagoniste constituant sa part sombre et sa haine envers le monde entier, Kyûta devra partir à la recherche de l’apaisement pour vaincre et réussir.


    Si le récit mythique prend une forme des plus classiques (l’introduction confirme ce sens), Hosoda nous dépeint quand même certains personnages hauts en couleur. Malheureusement, cela fait partie des faiblesses du récit car ceux-ci explicitent un peu trop ce qui se déroule dans l’intrigue et qui était facilement compréhensible. En tout cas, cela n’empêche quand même pas ces derniers d’être assez bien écrits pour s’attirer les faveurs des spectateurs, qu’importe leur âge.

    Ainsi, si « Le garçon et la bête » n’est pas exempt de défauts, son écriture et sa mise en scène ont de quoi le classer parmi les meilleurs films sortis cette année. Mais plus encore, cela l’inscrit dans le haut du panier des œuvres familiales animées qui oublient parfois de se concentrer sur leur message. C’est en effet dans ces films que les jeunes spectateurs vont prendre leurs marques dans un monde dont ils auront beaucoup à apprendre. Alors, au lieu de les mettre face à des œuvres aseptisées pour les protéger d’une certaine violence et de certains thèmes auxquels ils devront se confronter, ou encore devant des divertissements puérils, vulgaires, oubliables et aux messages des plus honteux (#LesNouvellesAventuresDAladin), il vaut mieux ouvrir nos enfants à des films comme « Le Garçon et la bête ». Car dire qu’une production peut être mauvaise car elle est destinée à des enfants, c’est rabaisser l’intelligence des générations suivantes et pousser les cinémas à ne sortir que des produits de basse qualité là où l’on aurait besoin de spectacles enrichissants intellectuellement…
    nicolasfontan
    nicolasfontan

    17 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 3 octobre 2019
    Un régal pour des adultes mais encore mieux à voir avec de grands ados, ca parle de grandir, de devenir adulte, de prendre distance et parfois de perdre des gens proches, super fort et beau! Seul hic, la couverture ;o)
    Chaîne 42
    Chaîne 42

    137 abonnés 3 068 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 3 octobre 2019
    Un film fort bien côté et je comprend pourquoi il est assez prenant mais j'ai des réserves. Si certains aspect de philosophie et de relations m'ont aussi parues top le dénouement m'a laissé un peu pantois. Pas tout bien saisie c'est sûr mais l'impression forte que c'est une fin à l'eau de rose "capitaliste bien pensante" non pas que je souhaite des fins au déficit du courageux mais là ça m'a paru un peu facile et bâclé. Et pas à la hauteur de l'ensemble du film avec des références bizarres de "déification" et le manichéisme fort malgré qu'il ne soit pas au ras des pâquerette, trop basique y trouve un ressort fortement alambiqué.
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