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    Le Garçon et la Bête
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    4,3
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    191 critiques spectateurs

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    kleun
    kleun

    11 abonnés 665 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 11 février 2016
    Film d'animation féérique et poétique, mon seul regret vient que les partie les plus inintéressantes ne sont pas traités ou bien bâclée: spoiler: par exemple l'adolescence du garçon ou même la bataille finale se termine avec une facilité déconcertante.

    La petite bestiole blanche ne sert strictement à rien, mise à part faire mignon !
    Du même réalisateur, j'ai l'impression que la réalisation a baissé depuis Summer Wars ou la traversée du temps.
    tomPSGcinema
    tomPSGcinema

    753 abonnés 3 323 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 19 janvier 2017
    Après les très belles surprises qu'ont été "La traversée du Temps" ou encore "Ame et Yuki, les enfants Loups", Mamoru Osoda signe avec "Le Garçon et la Bête" un excellent film d'animation qui se veut à la fois sincère, drôle et bien émouvant. L'histoire est comme d'habitude chez Hosoda bien écrite (même si je lui préfère pour le moment celle d'Ame et Yuki, les enfants Loups"), l'animation très réussi comporte notamment quelques bonnes scènes d'actions et d'autres plus touchante et les personnages sont assez attachants. Tout est donc réunis pour passer un excellent moment de cinéma devant ce film d'animation japonais qui mérite clairement d'être visionner.
    caro18
    caro18

    172 abonnés 2 213 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 10 août 2016
    Magnifique visuellement, accompagné d'une histoire sympathique et de personnages attachants et parfois amusants.
    this is my movies
    this is my movies

    701 abonnés 3 087 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 15 août 2017
    Film d'animation incroyable, mêlant avec virtuosité dessins et 3D, pour nous offrir quelques scènes de foules incroyables (avec un bestiaire hallucinant) plus une confrontation finale de toute beauté, véritable explosion de couleurs et de poésie. Les personnages sont assez classiques pour le genre mais l'histoire est bien racontée, avec un vrai amour pour le genre. Alors c'est peut-être un peu trop long avec une poignée de minutes superflues mais il y a quelques séquences absolument magnifiques, une réelle intensité et une belle inventivité dans certains passages que ça permet d'en faire un film hautement recommandable. L'animation japonaise ne se limite plus à Miyasaki et à Ghibli, il y a aussi de vrais auteurs qui savent faire autre chose qu'adapter des mangas et ça fait drôlement du bien. D'autres critiques sur thisismymovies.over-blog.com
    moket
    moket

    526 abonnés 4 331 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 8 septembre 2018
    Nul besoin de chercher plus loin le nouveau fer de lance de l'animation japonaise. Mamoru Osada nous livre ici une fable magnifique et un chef d'œuvre d'animation. Drôle, émouvant, imaginatif, complexe, "le garçon et la bête" nous entraine dans un voyage entre deux mondes et une quête d'identité. Fort et beau.
    Hotinhere
    Hotinhere

    553 abonnés 4 961 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 28 mai 2020
    Un beau film d'animation sur la quête d'identité d'un orphelin plongé dans un monde parallèle. Une fable initiatique teintée d'humour et de tendresse. Aires le récit n'est pas des plus passionnant.
    Charlotte28
    Charlotte28

    123 abonnés 2 002 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 29 avril 2024
    D'une grande beauté par certains plans cet animé suit une double trame d'initiation et de quête identitaire, classique mais fort bien menée psychologiquement, tout manichéisme étant absent. Assez amusant grâce à ses personnages secondaires et dépourvu de mièvrerie, le récit s'alourdit cependant d'un didactisme explicite redoublé d'un symbolisme peu subtil. En outre, les incohérences ou simplifications du scénario empêchent un intérêt continu ou une réelle émotion, qu'il s'agisse de spoiler: cette porte sur un autre monde qui s'ouvre on ne sait quand, des bêtes dont les interactions avec les humains demeurent flous, du guerrier blessé à mort qui survit, de l'apothéose qui advient pour un chef mais non l'autre, de la fille qui retrouve son livre dans la rue, des pouvoirs fantastiques des garçons, de la capacité de l'analphabète à lire le terme "baleine"...
    Inégal.
    Zoumir
    Zoumir

    67 abonnés 1 041 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 4 décembre 2019
    Même visionnée dans le désordre, la filmographie de Mamoru Hosoda garde une constante régressive jouant aussi bien avec les émotions de l'enfant tapis en chacun de nous qu'avec les questionnements de l'adulte-vitrine qui l'a supplanté. Mais contrairement à Amé et Yuki, ses enfants loups ou à Kun, le grand frère de Miraï, dans Le garçon est la bête, il partage son propos entre l'adulte en devenir - le garçon - et l'adulte qui n'est pas devenu - la bête.

    Encore une fois, l'imaginaire se met au service d'une introspection, cette fois-ci sur les trajectoires que nous prenons enfant et sur la façon dans elles sont influencées par les adultes qui nous entourent, nous guident, nous émancipent ou nous brident.
    Le gosse ici s'appelle Ren/Kyuta. Un enfant des rues, autant par choix que par dépit, par fierté que par résignation. Abandonné, il préfère embrasser pleinement sa condition plutôt que de subir une famille de substitution qui ne lui convient pas. Solitaire et affirmé, fort en apparence mais blessé en son être à l'image de cette part d'ombre, dissociée dans une rue bondée, sortie de nulle part, annonciatrice de la part de ténèbres que redoutent les habitants du Jūtengai, le royaume des bêtes, et auquel il sera confronté.
    La bête, Kumatetsu, fainéant et bagarreur, à la recherche d'un disciple, va voir en lui ce qu'il n'avait jamais trouvé. Quoi ? Difficile de ne pas s'en douter dès que la relation tumultueuse et criarde entre ce maître improvisé et son frêle disciple va s'installer.

    Le garçon et la bête est une histoire d'aide mutuelle comme le cinéma en compte des dizaines, de celles ou l'élève n'est pas nécessairement celui qu'on croit. Mais la vision d'Hosoda transcende l'apport mutuel à travers un reflet intergénérationnel qui masque sous les cris et les maladresses une inadaptation sociale, catalyseur d'une rancœur destructrice qui finira par s'exprimer visuellement de bien des manières.

    Qu'il s'agisse de nos héros, sympathiques perdants handicapés par leurs béquilles émotionnelles mais revendiquant leur singularité, où de leurs rivaux, Iôzen, un père, perfection incarnée, calme et réfléchi, accompagné de ses deux fils et idolâtré des habitants de ce monde parallèle, l'évolution des personnages, bien que téléphonée, est au centre d'une histoire de succession qui dans sa première moitié, enfermé dans le royaume des bêtes, nous amuse autant qu'elle pose adroitement les bases d'une évolution bien plus sombre.
    Car Kyuta grandit, lesté de son enfance et même si sa rencontre avec Kumatetsu est salvatrice, elle n'allège pas complètement le poids de son passé. S'engage alors un ballet fait d'allers-retours entre les deux univers. Mamoru Hosoda s'attarde adroitement sur ce que nous devenons, et comment nous le devenons jusqu'à une acceptation complète de notre histoire intime. Il fait écho aux adultes que nous sommes et à l'enfant parfois partiellement meurtri que nous abritons, en nous montrant dans un déluge d'effets visuels, à quel point il est parfois difficile de venir à bout de notre baleine blanche, sans aide extérieure.

    Le garçon et la bête est une histoire d'accomplissement tardif, de but, de sens, de lègue, de génération, de continuité, une histoire de vilain petit canard qui touche justement son spectateur, sans esbroufe, sans mièvrerie, une histoire qui émerveille par son univers, avec des thèmes déjà vus et chers à l'animation japonaise, mais qui trouve une sensibilité rare sous la plume de ce réalisateur couronnés pour ces 5 films personnels (La Traversée du temps - 2006, Summer Wars - 2009, Les Enfants loups - 2012, Le Garçon et la Bête - 2015, et Miraï - 2018) du Japan Academy Prize du meilleur film d'animation de l'année.

    Un film tous les trois ans depuis 2006, vivement 2021 !
    Roub E.
    Roub E.

    955 abonnés 4 997 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 20 juin 2020
    Un bon film d’animation japonais sur la filiation et la transmission. Le garçon et la bête développe un panel d’émotions impressionnant. C’est dynamique, touchant, vif, plein d’énergie. On passe de l’action épique à l’émotion brute en quelques instants. C’est une réussite.
    Ti Nou
    Ti Nou

    495 abonnés 3 494 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 13 juillet 2016
    Depuis quelques films maintenant, Mamoru Hosoda est devenu une nouvelle référence du cinéma d'animation japonais. Statut qu'il confirme avec ce récit initiatique qui a pour originalité de ne pas aborder la transmission de manière unilatérale, le maître évoluant autant que son disciple. La qualité technique permet une mise en scène dynamique.
    Santu2b
    Santu2b

    250 abonnés 1 785 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 25 mai 2016
    Auteur à ses débuts de "Digimon" ou encore "One Peace", Mamoru Hosoda franchit un cap depuis quelques années qui se confirme en 2016 avec "Le Garçon et la Bête", joli conte sur le monde des hommes et celui des animaux. Sans pour autant en faire l'héritier de Miyazaki, cet essai est néanmoins une réussite dans l'ensemble. Le cinéaste dispose d'un imaginaire débordant et drôle, n'hésitant même pas à laisser poindre une note d'irrévérence. Le cinéaste parvient surtout haut la main à éviter le manichéisme qui lui pendait au bout du nez avec un tel sujet. Sur le fond, le film respecte la plupart des codes du genre en plongeant dans la culture européenne avec notamment la référence à "Moby Dick". Il est cependant dommage que le film s'étiole à mi-parcours ; après une première partie excellente, le film part dans tous les sens et cette multiplication d'enjeux lui fait perdre cohérence et maîtrise. Un peu inégal mais prometteur pour la suite.
    EricDebarnot
    EricDebarnot

    205 abonnés 1 262 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 4 juin 2016
    Alors que le Japon cherche son nouveau Miyakaki, la réussite de ce "le Garçon et la Bête" nous donne bon espoir d'avoir trouvé le nouveau Satoshi Kon, ce qui est loin d'être dérisoire. Comme dans les meilleures œuvres de Kon, voici un festival délicieux de sensations colorées, de sentiments expansifs, d'idées joyeuses, de créativité tout azimut. Si l'on peut tiquer un moment sur les poncifs du film "d'initiation" désormais bien rebattus, la joyeuse vulgarité et la violence enfantine des rapports entre maître et élève qui éclairent la première partie du film sont un vrai bonheur. Mais c'est lorsque le scénario du film fait un virage à angle droit à l'entrée de Ren dans l'âge adulte, et le confronte à un choix fondamental entre le monde des humains (avec l'éducation et l'amour d'une semblable à la clé) et celui des "bêtes" (avec des valeurs que l'on peut juger supérieures), que le film décolle puissamment. Le dernier mouvement, esthétiquement magnifique (l'ombre de la baleine; puis son spectre digital au dessus de la ville), renoue certes un peu trop avec les stéréotypes du manga pour adolescents, mais ce foisonnement thématique, même s'il induit que tous les thèmes ne sont pas forcément explorés à fond, et même si le spectateur peut avoir un sentiment de papillonnage excessif, fait la richesse excitante du film. Pas totalement réussi mais étrangement satisfaisant, "le Garçon et la Bête" est une autre preuve de la vitalité et de l'intelligence de l'Anime, même en une période de doutes et de remise en question.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 19 novembre 2016
    Le talentueux réalisateur Mamoru Hosoda confirme ses bonnes dispositions dans ce nouvel animé, et s'installe comme l'un des fers de lance de l'époque post Hayao Miyazaki. Au menu, un univers mi-réaliste mi-fantastique, un style visuel léché et une initiation assez originale pour le personnage principal, auprès d'un tuteur incontrôlable. S'il manque cette touche de magie et de poésie des meilleures œuvres du studio Ghibli auxquelles il emprunte certains codes, le film malgré tout fait preuve d'audace et d'ambition, notamment dans une dernière partie enlevée, et se laisse suivre avec plaisir. Un peu bruyant malgré tout en VOST car les deux héros se crient dessus en permanence.
    darkvash
    darkvash

    107 abonnés 1 535 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 10 janvier 2017
    Trés bon film d'animation comme suls les Japonais savent le faire, Le Garçon et la Bête est un beau message de tolérance.
    Bref pas grand chose à dire sans spoiler en masse sur un film qui ne le mérite pas, si vous aimez l'animation en général ou si vous êtes un peu curieux, regardez ce film, difficile d'être déçu aprés.
    Je ne mets pas le maximum car, à mon goût, j'ai vu mieux en animation Japonaise, mais on est en présence ici avec le haut du panier.
    Jerem69tt
    Jerem69tt

    103 abonnés 1 679 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 9 mai 2021
    Après La traversée du temps, Summer wars et Les enfants loups, Mamoru Hosada qui s’est maintenant fait un nom nous sort un nouveau film : Le garçon et la bête. Une chose est sûre c’est toujours aussi intelligent et visuellement superbe, mais le film est inégal. La première partie est en effet la meilleure puisqu’elle parle d’éducation, mais sous une forme inhabituelle et original et souligne que l’éducation va dans les 2 sens : le maitre sur l’élève mais aussi l’élève sur le maitre, et c’est très intéressant. La seconde partie parle plus de la recherche de l’identité et c’est un peu moins fluide, plus noir et moins agréable avec un peu de « violence gratuite ». La fin qui amène combats et action décroche beaucoup du coté fantastique en défaveur du message que le film veut faire passer. On regrettera aussi certains passages un peu long, et d’autres vraiment trop court à l’image du voyage et rencontre avec les maitres. Beaucoup de positif une fois encore, même si on peut noter que c’est moins harmonieux.
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