Les plus utilesLes plus récentesMembres avec le plus de critiquesMembres avec le plus d'abonnés
Filtrer par :
Toutes les notes
Un visiteur
3,5
Publiée le 24 mai 2016
Pas mal, ce qui est dommage c'est que le scénario a déjà été emprunté à d'autre film, certain reconnaîtrons des similitudes avec le film "Comme Cendrillon" de Mark Rosman, avec comme acteurs principaux Hilary Duff, Jennifer Coolidge, Chad Michael Murray. Pour moi c'est du copier coller. Mais bon, ça passe le temps.
Bonne surprise au final. On aurait pu s'attendre à un film en demie teinte, trop mielleux trop enfant, mais au final pas du tout. la réal est dynamique, les rebondissements sont récurrents et plutôt subtiles. Certes on a un bel emballage édulcoré qui en découragera certain, mais au final un bonbon bien agréable a visionner.
Ce film qui dure quand même 1H35 est 1 éternel remake du conte Cendrillon. Mais avec des variantes : l'histoire et ses personnages se déroulent dans le milieu de la mode ou stylisme : spoiler: la fille blonde est "cendrillon", et sa belle-mère, éternellement belle et bien habillée ainsi que ces 2 filles méchantes et stupides, toujours éternellement bien habillées et bien coiffées travaillent dans l'entreprise du père de Cendrillon. L'homme d'affaire/père de cendrillon n'a pas vraiment de lien avec sa fille. Bien entendu, dans cette histoire, la fille blonde/cendrillon est mal habillée et mal coiffée. De plus, dans cette histoire, personne ne fait la vaisselle ou ne prépare les repas. Dans cette histoire, les gentils aident Cendrillon a réussir son rôle de styliste et les méchants empêchent la fille blonde de réussir son rôle de styliste. à la fin du film, 1 petit défilé. J'ai passé 1 bon après-midi prévisible car connaissant déjà la fin du film. Pour l'histoire générale, je donne 3 étoles et demie.
"Les 12 coups de minuit"… une heure pour la vengeance d’une blonde ? Oui et non. Enfin pas vraiment. Sur un titre qui ne manque pas d’évoquer l’heure à laquelle Cendrillon doit rentrer avant que son carrosse ne se transforme en citrouille, le réalisateur met en scène un scénario emprunté, inspirant un fort sentiment de déjà-vu. En effet, l’évocation de Cendrillon ne se trouve pas seulement dans le titre, mais aussi dans l’histoire, avec une belle-mère affublée de ses deux filles qui sont constamment sur le dos de l'héroïne. Seulement les scénaristes ont implanté ce qu’on pourrait considérer comme étant une nouvelle adaptation du conte de Cendrillon dans l’univers de la mode, un univers rappelant un peu celui de "Le diable s’habille en Prada", puisque ce dernier trouve son environnement dans le journalisme exclusivement spécialisé dans la mode. Seulement le début fait un peu peur, tant on constate d’une part un certain nombre de clichés (de nombreux hommes homosexuels dans le milieu de la mode), et d’autre part un dressage de portraits de façon caricaturale. On peut alors être tentés de ne pas aller plus loin. Ce serait une erreur, car l’intérêt va trouver un nouvel élan à partir du moment où la bien nommée comédienne Portia Doubleday nous offre un joli exercice de stylespoiler: en interprétant une double identité que va devoir prendre son personnage . Lauren Holly, l’ancienne patronne du NCIS, fait une marâtre très sexy, tandis que l’association de Natalie Krill avec Anna Hopkins nous offre un duo aussi méchant qu’imbécile et aussi savoureux qu'agaçant. Certes, "Les douze coups de minuit" n’est pas la comédie du siècle, mais l’internaute cinéphile Jeglaf X. a raison : ce film est comparable à un bonbon agréable à déguster, dont le plaisir gustatif ne restera néanmoins qu’éphémère. Qu’on se le dise, la réalisation de Sean Garrity porte avec dynamisme quelques situations et répliques qui prêtent à sourire, et propose des personnages hauts en couleurs comme Richard, interprété avec un plaisir non feint par Carlo Rota.
Ce type d’histoire (Cendrillon) a déjà été vu et revu et en beaucoup mieux qu’ici. A croire que les scénaristes canadiens de cette œuvre, qui ne mérite pas de sortir au cinéma en France, ont perdu toute inspiration et n’ont pas d’imagination. C’est gnangnan et surjoué ! Sans conteste, l’un des plus mauvais films de l’année 2015.
L'examen de minuit. Quelle courge! Le diable s'habille maintenant en Cendrillon. Consumer à tout jamais. Notre père qui êtes si vieux, as tu vraiment fait de ton mieux? Vous pouvez dormir tranquille, ce film ne s'exporte pas.
...Une légère comédie pour après-midi pluvieux. Sans prétention, sous le thème de Cendrillon, la Haute couture dans tous ses états. Petite production Canadienne, avec un retour de M.A.Grondin en prince charmant. Le reste est d'un petit niveau,évitant la mièvrerie. Quelques dialogues font sourire,mais l'ensemble est vraiment très léger , comme un déshabillé de soie....pffff..un coup de vent et tout s'envole. Quitte à perdre son soulier, on en perdra pas nos neurones.
Pour l'instant, « Les 12 coups de miniuit » est le meilleur des films au style "Comme Cendrillon" que j'ai vu de ma vie même s’il est loin d’être excellent. Beaucoup de scènes sont divertissantes grâce à un humour léger. Le film ne comporte pas de moments creux. Par contre, comme une multitude de films de ce genre, certains personnages sont d’une grande naïveté comme par exemple le patron de l’entreprise de stylisme Kessel et d’autres sont très cliché. En conclusion, je le conseille de regarder ce petit film sans prétention lorsque vous ne voulez pas vous prendre la tête avec le scénario.