Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
18 critiques presse
20 Minutes
par Caroline Vié
Le rappeur controversé signe un premier film très attachant sur les 400 coups de deux glandeurs...
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Ecran Large
par Christophe Foltzer
En convoquant le "Clerks" de Kevin Smith et les comédies de Judd Apatow, Orelsan réalise en fait un film très touchant.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
L'Express
par Eric Libiot
Sans casse. Et plutôt joli à regarder. (...) A force de marcher à petits pas, "Comment c'est loin" devient un film modeste, désirable et sincère. Mais la réussite n'est pas seulement due à tous ces contraires qui s'attirent et s'aimantent.
Le Dauphiné Libéré
par La Rédaction
Un art de vivre en n’en fichant pas une rame, mais avec suffisamment de créativité pour en faire un film plein d’invention, de justesse et de fantaisie.
Le Point
par Anne-Sophie Jahn, Thomas Mahler
Epatant et tendre.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Marianne
par Daniel Bernard
Le choix d'Orelsan de filmer l'ennui au ralenti dans une ville moyenne vaut pas mal d'essais de sociologie politique sur la France périphérique.
Studio Ciné Live
par Thierry Cheze
Orelson raconte et joue l'ennui avec une dextérité qui rappelle l'irrésistible "Clerks". La glande élevée à l'état d'art.
Transfuge
par Maud Antigna
Le pitch semble un peu court, jeunes hommes. Et pourtant, le spectateur aussi peu fan de rap soit-il ne trouve pas le temps de s'ennuyer avec ces deux garçons pleins d'idées et de belles intentions de réalisation.
Télérama
par Guillemette Odicino
Dans un décor de province filmé à bonne distance (ni pathétique ni idéalisé), avec une mise en scène simple mais précise, il s'amuse des clichés du film rap et capte le vide qu'on remplit comme on peut. (...) Ponctuée de répliques hilarantes, la mini-odyssée de ces losers à l'amitié durable, trimballe aussi une vraie mélancolie.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Franceinfo Culture
par Boris Courret
Sans être à l'abri de quelques naïvetés et clichés, Orelsan parvient à nous livrer une comédie douce-amère férocement attachante.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
Le Monde
par Isabelle Regnier
Cynique, Orelsan ne l'est jamais, et son film le prouve autant que ses rimes, qu'il scandait en 2012 dans "La Terre est ronde".
Le Parisien
par Pierre Vavasseur
S'il n'y avait ce capital sympathie qui colle à la peau du rappeur Orelsan, acteur et réalisateur de "Comment c'est loin", ce film ne serait qu'une variation de plus, plus ou moins scénarisée, sur les états d'âme de deux glandeurs professionnels. Pour le chef-d'œuvre, c'est râpé, mais l'ensemble se laisse voir et s'enrichit d'un ou deux truculents personnages.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Fiches du Cinéma
par Thomas Fouet
Le rappeur Orelsan décline les motifs de l'album “Orelsan et Gringe sont les Casseurs flowteurs” dans un film honnête et désinvolte, à la fois bancal et charmant.
Metro
par Mehdi Omaïs
Bien qu’inégale, cette autobiographie partiellement tronquée, aux contours très anglo-saxons, fait la part belle à une jeunesse étranglée par les déconvenues intimes et sociales.
La critique complète est disponible sur le site Metro
Ouest France
par Pierre Fornerod
Un film inabouti mais un éloge de la nonchalance avec de la fraîcheur.
Première
par Christophe Narbonne
C’est le cousin, un peu plus trash et inspiré, de "Libre et assoupi", sorti cette année, avec lequel il partage cette foi dans la connivence des spectateurs, censés adhérer à leur goût du faux rythme et de la blague pourrie. Pas gagné, mais audacieux.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télé 7 Jours
par Julien Barcilon
Avec la complicité de son partenaire de scène, le rappeur Orelsan passe à la réalisation avec ce premier film bourré d'humour, d'autodérision et d'une touchante humanité. Une comédie qui ne se prend pas au sérieux, et qui vaut d'abord pour le show de son duo de gentils Pieds Nickelés.
Libération
par Clémentine Gallot
Emaillée de chansons et d’inside jokes (...), cette success story normande, qui ne se rêve aucunement en traité sur l’état du rap français, tourne en rond dans sa dernière partie. Le film s’épuise, gagné lui aussi par la paresse.
La critique complète est disponible sur le site Libération
20 Minutes
Le rappeur controversé signe un premier film très attachant sur les 400 coups de deux glandeurs...
Ecran Large
En convoquant le "Clerks" de Kevin Smith et les comédies de Judd Apatow, Orelsan réalise en fait un film très touchant.
L'Express
Sans casse. Et plutôt joli à regarder. (...) A force de marcher à petits pas, "Comment c'est loin" devient un film modeste, désirable et sincère. Mais la réussite n'est pas seulement due à tous ces contraires qui s'attirent et s'aimantent.
Le Dauphiné Libéré
Un art de vivre en n’en fichant pas une rame, mais avec suffisamment de créativité pour en faire un film plein d’invention, de justesse et de fantaisie.
Le Point
Epatant et tendre.
Marianne
Le choix d'Orelsan de filmer l'ennui au ralenti dans une ville moyenne vaut pas mal d'essais de sociologie politique sur la France périphérique.
Studio Ciné Live
Orelson raconte et joue l'ennui avec une dextérité qui rappelle l'irrésistible "Clerks". La glande élevée à l'état d'art.
Transfuge
Le pitch semble un peu court, jeunes hommes. Et pourtant, le spectateur aussi peu fan de rap soit-il ne trouve pas le temps de s'ennuyer avec ces deux garçons pleins d'idées et de belles intentions de réalisation.
Télérama
Dans un décor de province filmé à bonne distance (ni pathétique ni idéalisé), avec une mise en scène simple mais précise, il s'amuse des clichés du film rap et capte le vide qu'on remplit comme on peut. (...) Ponctuée de répliques hilarantes, la mini-odyssée de ces losers à l'amitié durable, trimballe aussi une vraie mélancolie.
Franceinfo Culture
Sans être à l'abri de quelques naïvetés et clichés, Orelsan parvient à nous livrer une comédie douce-amère férocement attachante.
Le Monde
Cynique, Orelsan ne l'est jamais, et son film le prouve autant que ses rimes, qu'il scandait en 2012 dans "La Terre est ronde".
Le Parisien
S'il n'y avait ce capital sympathie qui colle à la peau du rappeur Orelsan, acteur et réalisateur de "Comment c'est loin", ce film ne serait qu'une variation de plus, plus ou moins scénarisée, sur les états d'âme de deux glandeurs professionnels. Pour le chef-d'œuvre, c'est râpé, mais l'ensemble se laisse voir et s'enrichit d'un ou deux truculents personnages.
Les Fiches du Cinéma
Le rappeur Orelsan décline les motifs de l'album “Orelsan et Gringe sont les Casseurs flowteurs” dans un film honnête et désinvolte, à la fois bancal et charmant.
Metro
Bien qu’inégale, cette autobiographie partiellement tronquée, aux contours très anglo-saxons, fait la part belle à une jeunesse étranglée par les déconvenues intimes et sociales.
Ouest France
Un film inabouti mais un éloge de la nonchalance avec de la fraîcheur.
Première
C’est le cousin, un peu plus trash et inspiré, de "Libre et assoupi", sorti cette année, avec lequel il partage cette foi dans la connivence des spectateurs, censés adhérer à leur goût du faux rythme et de la blague pourrie. Pas gagné, mais audacieux.
Télé 7 Jours
Avec la complicité de son partenaire de scène, le rappeur Orelsan passe à la réalisation avec ce premier film bourré d'humour, d'autodérision et d'une touchante humanité. Une comédie qui ne se prend pas au sérieux, et qui vaut d'abord pour le show de son duo de gentils Pieds Nickelés.
Libération
Emaillée de chansons et d’inside jokes (...), cette success story normande, qui ne se rêve aucunement en traité sur l’état du rap français, tourne en rond dans sa dernière partie. Le film s’épuise, gagné lui aussi par la paresse.