Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
14 critiques presse
Transfuge
par Sidy Sakho
C'est toute la force de "Sunrise" : se situer à la croisée des chemins, entre la chronique d'une obsession qui finit par faire vaciller la perception du monde, et le réalisme.
L'Humanité
par La Rédaction
Orange, rose ardent, jaune de soufre, les couleurs de l'Inde sont déposées en touches. Le son travaillé en saillies et retraits renforce les ellipses émotionnelles inspirées d'une réalité sinistre.
Le Journal du Dimanche
par Baptiste Thion
Un film intelligent qui bénéficie d’une mise en scène inventive.
Les Fiches du Cinéma
par Gilles Tourman
Entre rêve et culpabilité, un thriller teinté d'onirisme sur une face particulièrement sombre de l'Inde.
Studio Ciné Live
par Laurent Djian
Sans rivaliser avec Lynch ou Winding Refn, ce polar onirique, pluvieux et hyper stylisé, en impose visuellement.
TF1 News
par Romain Le Vern
Partho Sen-Gupta sur les traces de Anurag Kashyap. Son film noir, sous influence occidentale, révèle certes autant de limites que de promesses. Mais, dans la trajectoire de son personnage au bout de son rouleau existentiel et dans la description de cet univers dépravé, il instille une atmosphère envoûtante (...).
La critique complète est disponible sur le site TF1 News
Critikat.com
par Clément Graminiès
(...) l’étrange mélancolie qui se dégage de chaque plan – où, de la couleur au cadre, rien n’est laissé au hasard – traduit la tentative désespérée d’un homme incapable d’accepter la dure réalité de sa situation.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Franceinfo Culture
par Boris Courret
Si l'on sent parfois une mise en scène de la noirceur un peu artificielle, ce film n'en reste pas moins un drame poignant, empli, tout à la fois, d'espoir et de résignation.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Express
par Christophe Carrière
On a vite fait de se perdre dans de tels méandres, mais la facture visuelle et sonore du film retient l'attention. Il y a derrière ce maelström psychologique la griffe d'un réalisateur à suivre de près.
La critique complète est disponible sur le site L'Express
Positif
par Yann Tobin
Original, mais lassant.
Première
par Mathias Averty
Partho Sen-Gupta s’en sort avec habileté en mélangeant l’intrigue de son film noir avec un conte macabre diablement bien réalisé. Seul l’aspect répétitif de l’histoire nuit à la force de cette déambulation onirique inquiétante.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Jacques Morice
De cette réalité sordide, le cinéaste tire un film halluciné et cathartique : enfant, il a lui-même réchappé, miraculeusement, à une tentative d'enlèvement. Le scénario est un peu mince, la photo, parfois trop apprêtée. Reste les images d'une dérive aussi tortueuse que tourmentée.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Le Monde
par Thomas Sotinel
Des séquences oniriques tournées dans un cabaret lynchien et d'autres, réalistes, se heurtent dans l'espace confiné d'un scénario incertain.
L'Obs
par La Rédaction
Pluie constante, nuit infinie, néons sanglants, c’est beau à regarder, mais le récit, lui, est pénible : flash-back, portrait de l’épouse devenue quasiment folle, mélange de scènes imaginaires et de silences pesants…
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Transfuge
C'est toute la force de "Sunrise" : se situer à la croisée des chemins, entre la chronique d'une obsession qui finit par faire vaciller la perception du monde, et le réalisme.
L'Humanité
Orange, rose ardent, jaune de soufre, les couleurs de l'Inde sont déposées en touches. Le son travaillé en saillies et retraits renforce les ellipses émotionnelles inspirées d'une réalité sinistre.
Le Journal du Dimanche
Un film intelligent qui bénéficie d’une mise en scène inventive.
Les Fiches du Cinéma
Entre rêve et culpabilité, un thriller teinté d'onirisme sur une face particulièrement sombre de l'Inde.
Studio Ciné Live
Sans rivaliser avec Lynch ou Winding Refn, ce polar onirique, pluvieux et hyper stylisé, en impose visuellement.
TF1 News
Partho Sen-Gupta sur les traces de Anurag Kashyap. Son film noir, sous influence occidentale, révèle certes autant de limites que de promesses. Mais, dans la trajectoire de son personnage au bout de son rouleau existentiel et dans la description de cet univers dépravé, il instille une atmosphère envoûtante (...).
Critikat.com
(...) l’étrange mélancolie qui se dégage de chaque plan – où, de la couleur au cadre, rien n’est laissé au hasard – traduit la tentative désespérée d’un homme incapable d’accepter la dure réalité de sa situation.
Franceinfo Culture
Si l'on sent parfois une mise en scène de la noirceur un peu artificielle, ce film n'en reste pas moins un drame poignant, empli, tout à la fois, d'espoir et de résignation.
L'Express
On a vite fait de se perdre dans de tels méandres, mais la facture visuelle et sonore du film retient l'attention. Il y a derrière ce maelström psychologique la griffe d'un réalisateur à suivre de près.
Positif
Original, mais lassant.
Première
Partho Sen-Gupta s’en sort avec habileté en mélangeant l’intrigue de son film noir avec un conte macabre diablement bien réalisé. Seul l’aspect répétitif de l’histoire nuit à la force de cette déambulation onirique inquiétante.
Télérama
De cette réalité sordide, le cinéaste tire un film halluciné et cathartique : enfant, il a lui-même réchappé, miraculeusement, à une tentative d'enlèvement. Le scénario est un peu mince, la photo, parfois trop apprêtée. Reste les images d'une dérive aussi tortueuse que tourmentée.
Le Monde
Des séquences oniriques tournées dans un cabaret lynchien et d'autres, réalistes, se heurtent dans l'espace confiné d'un scénario incertain.
L'Obs
Pluie constante, nuit infinie, néons sanglants, c’est beau à regarder, mais le récit, lui, est pénible : flash-back, portrait de l’épouse devenue quasiment folle, mélange de scènes imaginaires et de silences pesants…