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deckard77680
3 abonnés
44 critiques
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5,0
Publiée le 15 août 2019
Ce film n’a pas pris une ride. Pour moi ce film culte est le meilleur de Francis Veber (même si j’adore 2 autres). Il me fait toujours autant rire. La scène de la salière, de l’hôtel me font toujours rire. C’est tellement bon de revoir un si bon film du duo Richard/Depardieu . À voir absolument (et la très bonne bande-son signée Vladimir Cosma)
Ce film est magnifique. Il compte parmi les films cultes que l'on finit par connaître sur le bout des doigts mais qui continue pour autant à distiller des surprises à chaque diffusion. Le jeu de Depardieu et Richard est illarant, les textes à l'humour travaillé. Gardez quelques scènes de ce film en tête en cas de coup dur. Ça aide!
Francis Veber mélange toujours parfaitement le genre de comédie et d’action, ainsi que les grands noms du cinéma, au casting. Bon film. Je le déconseille aux moins de 10 ans. 3/5
La mécanique du rire relève de l'horlogerie suisse, ce qui revient à dire la conception et la mise en œuvre d'une comédie cinématographique ne peuvent pas être mise entre toutes les mains. On le constate un peu plus chaque semaine à la vue des productions françaises dans un domaine qui il n'y a pas si longtemps était une spécialité nationale. Francis Veber scénariste, dialoguiste et réalisateur faisant aujourd'hui figure de patriarche est sans conteste un orfèvre en la matière. C'est avec Pierre Richard, son double opposé qu'il crée en 1972 pour "Le grand blond avec une chaussure noire" d'Yves Robert, le personnage de François Perrin qui servira de fil conducteur à tout le reste de sa filmographie. Si Perrin pourra se décliner en Pignon et être interprété à l'occasion par d'autres acteurs comme Jacques Brel, Jean-Pierre Marielle, Patrick Bruel, Jacques Villeret, Daniel Auteuil ou Patrick Timsit, ce sera bien Pierre Richard qui marquera de son empreinte définitive le lunaire maladroit et naïf tout au long de sept films où il accompagnera Francis Veber. Son association avec un double opposé comme dans les buddy movies américains sera initiée par le couple formé par Jacques Brel et Lino Ventura dans "L'emmerdeur" d'Edouard Molinaro en 1973. Quand il réalise son deuxième film après "Le jouet" passé relativement inaperçu, Veber a l'idée géniale d'associer Pierre Richard à Gérard Depardieu une fois que le projet d'associer Jacques Villeret à Lino Ventura a capoté. Les ressorts comiques qui ont si bien fonctionné pour "L'emmerdeur" sont à nouveau sollicités pour cette enquête improbable voyant le comptable d'une entreprise chargé par son PDG (Michel Robin) de seconder le détective privé Campana (Gérard Depardieu) pour retrouver sa fille disparue au Mexique en raison de leur maladresse commune. L'intrigue cousue de fil blanc est savamment agencée par Francis Veber pour jouer de la modulation des rapports entre les deux hommes qui se reniflent tout d'abord avant de s'insupporter puis de progressivement s'amadouer l'un, l'autre au fur et à mesure des épreuves traversées qui leur font comprendre qu'ils sont complémentaires. Les gags devenus légendaires ne perdent pas une once de leur efficacité en dépit des ans qui passent, sans parler de la musique de Vladimir Cosma en parfaite symbiose avec l'humeur de cette "Chèvre" qui connaitra deux suites tout aussi réjouissantes. D'autres succès suivront pour Francis Veber comme "Le dîner de cons" sans doute un peu surestimé mais jamais il n'aura retrouvé un duo si efficace. A voir et à revoir.
Les films de Francis Veber sont souvent drolissime et un des plus connus est bien entendu La Chèvre. Ce film réunit pour la 1ère fois un des duo les plus complémentaires de l'histoire du cinéma français à savoir Pierre Richard / Gérard Depardieu. Ce duo se retrouve pour enquêter et essayer de retrouver une jeune fille qui a disparu. Depardieu est l'enquêteur professionnel, Richard est un débutant recruté uniquement parce qu'il est malchanceux et qu'il ne lui arrive que des misères (comme la fille ayant disparu). On peut alors s'imaginer des scènes hilarantes et vous ne serez pas déçu. Bref : un film familiale à ne pas louper !
Le film a beau dater de 1981, son humour fait toujours mouche aujourd'hui, son duo également, et son histoire est agréable à suivre. On peut regretter sa fin qui laisse un goût d'inachevé, même si elle est positive; son affiche trompeuse qui fait croire que Pierre Richard sera le sérieux du duo et Gérard Depardieu le comique, mais c'est évidemment l'inverse, Pierre Richard jouant toujours les étourdis dans ses films; et son mystérieux titre, dont la seule explication que j'ai pu trouver sur internet serait qu'il vient de l'expression "rendre chèvre" (rendre fou). Ou alors Francis Veber a pris un dictionnaire et a pointé le mot "chèvre" haut hasard pour choisir son titre. En tout cas, c'est un bon moment de cinéma.
Ce duo Depardieu-Richard apres les compères les fugitif remet les couvert pour un 3e film qui la et toujour aussi malchanseux pour Pierre Richard. un film loufoque et drole gentils pas d'humour méchant avec des gags et des situations coquasse et Pierre Richard joue un poissard attachant bête mais gentil et drole et quon apprécie. Gérard Depardieu se prête bien au jeu et cool et bourin drole pour notre plus grand plaisir
Film sympathique. La mise en scène est très pauvre et le scénario est plutôt léger. Heureusement, le duo Richard/Depardieu est relativement bien dirigé et l'action comique est bien faite : des scènes sont vraiment hilarantes. Film qui mérite d'être vu, une fois tous les dix ans.
Un scénario familier qui devient intrigant en y voyant de plus près, la malchanceuse perdue dans les confins de la forêt tropicale mexicaine ne pourra être retrouvé par la normalité de son contraire, d’où la sollicitation du mâle chanceux pour créer un déclic. Très bien joué comme prestation pour Gérard Depardieu et Pierre Richard, un duo amusant aux deux pieds gauches, avant « le dîner de cons », le gaffeur comique comme thème central du film de Francis Veber, c’est tout en douceur la mise en scène et les dialogues avec le contrôle de soi grâce aux arts martiaux.
Une comédie Française absolument culte, non seulement pour être la première comédie duo Pierre Richard/Gérard Depardieu, mais aussi pour son humour et ses passages cultes. Personnellement, "La Chèvre" n'a jamais été l'une de mes comédie Françaises préférées, mais je reconnais que c'est un film absolument bon et drôle qui mérite d'être une référence. Le scénario est pas extra, mais il est quand même bien écrit, l'humour du film comme je disais, marche très bien, même des années après sa sortie et après l'avoir vu 10 000 fois, ça nous fait toujours autant de rire et on prend toujours un plaisir à regarder ces moments drôles et même cultes. Les acteurs se débrouillent bien et ont l'air de bien s'éclater dans le film, en particulier les deux principaux. La mise en scène est vraiment bien dirigée et même si y'a des trucs qui ont mal vieillis et qui passent plus inaperçus avec le temps qui a passé, c'est toujours agréable de retrouver cette comédie qui a marqué tant de générations. Les acteurs, en tout cas le duo Gérard Depardieu et Pierre Richard, nous livre une équipe de choc hilarante et prenante, et les autres se débrouillent très bien aussi. La musique de Vladimir Cosma apporte bien son charme aussi. En conclusion, "La Chèvre" est une comédie absolument prenante, même plus de 30 ans après sa sortie, elle sera toujours dans les annales, et je la recommande bien, même si on la vue un milliard de fois.
C’est l’un des meilleurs François Perrin, personnage presque indissociable du brave Pierre Richard, qui trouve ici en Depardieu son parfait complice. Ensemble, ils s’embarquent pour une quête improbable qui reliera Paris à la jungle mexicaine. Une entame quelconque, un final gnangnan, mais entre les deux, c’est une tornade de gaffes, de gaufres et de gifles, d’infortunes diverses et du vivre avec – fatalisme, stupéfaction, manipulation et même contagion. Le duo tourne à pleine balle, mais l’équipe technique préfère rester en retrait. C’est que Francis Veber, malgré des années à signer quantité de scripts, n’en est qu’à son deuxième film en tant que metteur en scène. Alors il s’efface, il laisse de l’espace aux pros. Et certes, ça fonctionne : on rit souvent devant l’impayable fatalité qui s’abat sur ces frêles épaules, cette ahurissante croix que le pauvre bougre ne pense même plus qu’il porte. Au final, La chèvre, c’est une bonne vieille comédie comme la France a toujours su faire, bourrée de rythme, un brin absurde, qui pioche sans vergogne dans la benne à clichés et appuie ce qu’il faut pour qu’on entre dans le jeu. Abandonnez-vous donc aux vrais spécialistes.