Première partie d’un triptyque réunissant Pierre Richard et Gérard Depardieu sous la direction de Francis Veber, la chèvre étire son idée (originale) de base (un malchanceux chronique aide un détective privé à retrouver une jeune fille disparue au Mexique souffrant de la malédiction que lui). Cela devient un peu lassant et répétitif malgré que le film soit assez court.
Premier film de la trilogie des comédies françaises avec Gérard Depardieu et Pierre Richard film vraiment sympathique malgré un scénario un peu bancale et improvisé le film reste comique et agréable à regarder
un des chefs d'oeuvre de Francis Veber fait avec ses comparses Depardieu et Pierre RICHARD qui forme un duo irrésistible; tout est réussi jusqu'à la musique de Vladimir Cosma; Les gags s'enchainent , les personnages évoluent mais toujours au service de l'histoire. Le film est sans temps morts de la première à la dernière minute. m¨
1er film issue de la collaboration entre le réalisateur francis Veber et le duo Richard- Depardieu. Un classique de la comédie Française, au scénario ambitieux, qui vous fera rire obligatoirement grâce au duo principal, qui fonctionne à merveille.
La scène a l’aéroport sur la fausse alerte a la bombe Pas terrible et pas du tout crédible Des douaniers après une minute du coup de fil se dirigent vers pierre richard a l’accoster par son nom de famille pour lui dire que sa valise a été détériorée ! WOW ils ont été rapide. Lol.
La chèvre est une comédie culte de Francis Veber avec un Pierre Richard et un Gérard Depardieu magistraux sur un scénario très similaire au "Dîner de cons", avec un humour reposant sur le duo d'acteurs, le comique de répétition, et les différences entre les deux personnages principaux, sur une très sympathique musique de Vladimir Cosma. Dommage que le film soit si court et que la fin soit ridicule, l'histoire aurait pu être plus développée, car a la fin on se dit "tout ça pour ca" !
Pas mal de gags et de situations amusantes dans cette comédie française au pitch improbable (un enquêteur recrute un homme aussi malchanceux que la victime disparue, qui est la fille du président, pour la retrouver). J'aime bien le côté absurde mais j'ai été peu convaincu par Pierre Richard, je trouve que le duo est assez étrange, mais malgré tout j'ai passé un bon moment. Je crois qu'il y a un souci avec les registres mélangés, j'ai adoré les scènes absurdes (Pierre Richard qui réalise soudainement qu'il est le chef et change totalement d'attitude, ou encore la scène du sel), mais les autres gags sont empruntés à la comédie classique, et c'est pas évident de jongler entre les registres en tant que spectateur. Surtout que les degrés varient aussi, on passe de gags subtils à des moments cartoonesques (les sables mouvants). Globalement j'aurais aimé que le film tire plus vers l'absurde pour correspondre au synopsis. Le scénario a le don de surprendre régulièrement, et la fin poétique vient rajouter une dimension humaine à cette comédie.
Le duo Depardieu/Richard n'a peut être jamais été aussi bon que dans La Chèvre. Sur un scénario simple mais original, Francis Veber nous propose une aventure unique dans laquelle un fin limier est flanqué d'un malchanceux chronique pour retrouver la fille d'un grand PDG enlevée au Mexique et elle aussi particulièrement malchanceuse. Une intrigue amusante qui donne rapidement lieu à quantité de gags parfois hilarants. L'occasion également de se délecter du duo antinomique, l'un avec ses airs niais au possible et l'autre désabusé et au bout de sa vie au fur et à mesure. On s'attache aux personnages, on rit et l'émotion n'est pas en reste malgré un rythme pas toujours soutenu. C'est culte et ça ne vieillit pas vraiment, toujours un plaisir à revoir.
Si vous êtes hanté par le démon de la malchance au quotidien comme François Perrin, ce film est fait pour vous ! Je vous conseille de le regarder en famille mais évitez de le regarder si vous avez passé une mauvaise journée pleine de poisse. spoiler: Chaise qui se casse quand on s'assoit, porte automatique qui se ferme sans détecter une personne qui passe (Perrin), retard d'avion, piqûre de guêpe, voiture en panne sans raison préalable , les répliques sont inoubliables après avoir vu "La Chèvre". Si l'intro révèle l'ambiance qui sera présente le long du film, la conclusion signe le niveau de malchance présent dans le film.
« J’avais une vie un peu plate avant de vous rencontrer, Perrin. »
Tout le problème des films mêlant personnages allophones et francophones, c’est que les allophones parlent tantôt dans leur langue, tantôt sont doublés, ce qui est d’un ridicule total. Le même constat vaut pour pas mal de productions américaines. Dans le cas présent, on a des Mexicain·es parlant en espagnol (normal) mais aussi doublé·es dans un français impeccable. Grotesque. Quitte à appuyer sur ce qui ne va pas dans ce film, on notera également le jeu de Corynne Charby (renommée « Charbit » au générique) qui restera plus célèbre dans l’histoire comme boule de flipper (ou pas). Enfin, j’aimerais savoir pourquoi, dans le générique, toujours, le mot « chèvre » est orthographié avec un accent circonflexe. Voilà, j’ai fini de râler.
Le film en lui-même ne démarre vraiment qu’au moment où Depardieu et Richard font équipe. C’est d’ailleurs le principal intérêt de cette œuvre, mais intérêt majeur s’il en est : les couples d’acteurs qui matchent sont rares et font partie intégrante de l’histoire du cinéma français. Ajoutons quelques scènes d’une drôlerie imparable et on devra admettre que, pour populaire qu’elle soit, cette comédie trône au panthéon des comédies françaises.