Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
25 critiques presse
Ouest France
par La rédaction
L'action se passe dans une chambre d'hôtel où défilent tous les types de clients. Les époques et les genres se mélangent pour accoucher d'un film a sketches intemporel, où la poésie le dispute a la politique, le plaisir au mal-être.
20 Minutes
par Caroline Vié
Les variations de style et de ton séduisent comme un appel au voyage et à la sensualité.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Elle
par Florence Ben Sadoun
Ici, dans ce roman-photo sensuel et kitsch à souhait, les fantômes protègent l'intimité des vraies histoires d'amour.
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
Khoo confirme son talent dans "Hôtel Singapura", bourré d’inventions, tant dans l’écriture que visuelles. Sa fluidité éblouit, plein de sensualité et d’humour.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
Le Journal du Dimanche
par La rédaction
Passant du noir et blanc à la couleur, du passé au futur, ce récit choral aligne les saynètes plus ou moins touchantes, mais lucides, dans une atmosphère mélancolique et languissante.
Le Monde
par Thomas Sotinel
S’il ne satisfait pas à toutes ses ambitions, Hôtel Singapura passe de l’une à l’autre avec un tel allant, un tel enthousiasme que ces manquements n’apparaîtront qu’a posteriori, contrepoint distant de la cavalcade historique et érotique qui vient d’emporter le spectateur.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Parisien
par Renaud Baronian
Sur la forme, « Hôtel Singapura » relève de l'exercice de style brillant : les huit histoires — se déroulant sur huit époques — qui constituent le film sont traitées en autant de genres cinématographiques : noir et blanc à l'ancienne pour les années 1940, comédie musicale très colorée pour les sixties, images trash pour notre époque...
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Inrockuptibles
par Jean-Baptiste Morain
Faussement théâtral dans sa facture, ce film une fois de plus étrange décrit surtout des sentiments très intenses (...) avec pour toile de fond un pays invisible mais dont le hors-champ historique crie à chaque instant le nom : Singapour.
Libération
par Olivier Lamm
La manière dont Khoo alterne par exemple les représentations d'étreintes amoureuses pour exposer ce qu'elles disent de révolution des moeurs de son pays évoque quelque chose d'une élégie, particulièrement vibrante à une époque où la censure locale s'exerce de manière toujours plus pernicieuse sur les images qui prétendent à y être diffusées.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Première
par Frédéric Foubert
Tous les sketchs ne se valent pas, mais dans ses meilleurs moments (...), "Hôtel Singapura" atteint l'extase. Un très bon Khoo.
Studio Ciné Live
par Laurent Dijan
Un ovni Khoo de coeur.
Transfuge
par Damien Aubel
Avec "Hôtel Singapura", Eric Khoo fait du cinéma en chambre. Mais jamais étriqué.
Télérama
par Samuel Douhaire
Si les actrices et leurs partenaires sont d'une sensualité à se damner, c'est la mélancolie des occasions ratées et des passions enfuies qui domine dans ce film délicat.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par François Bonini
Eric Khoo réussit un film à la fois tendre et érotique, sur le désir et l’amour, à partir de quelques couples qui se succèdent dans une chambre d’hôtel.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
aVoir-aLire.com
par François Bonini
Eric Khoo réussit un film à la fois tendre et érotique, sur le désir et l’amour, à partir de quelques couples qui se succèdent dans une chambre d’hôtel.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Critikat.com
par Adrien Mitterrand
Avec ses petits moyens, Khoo n’ambitionne en fait rien de moins qu’un historique des mœurs de la société singapourienne par l’intime – soit un projet assez fou. Et c’est bien cette envie débordante qui l’emporte, plus que tout ce que l’on peut reprocher au film.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
La Septième Obsession
par Xavier Leherpeur
Une ronde tragique des désirs avortés, des tabous brisés ou infranchissables, pleine d’une affliction post-coïtale qui s’édifie progressivement et sous-tend subtilement le film.
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Un voyage un peu inégal, où le plaisir se fait entendre en de longs râles, qui ne sont que la face inversée d’une sorte de mélancolie très orientale.
Les Fiches du Cinéma
par Valentine Verhague
Eric Khoo s'interroge sur l'évolution des mœurs au gré des occupants d'une chambre d'hôtel, à travers des décennies. Une idée de départ originale, mais maladroitement exploitée.
Marianne
par Grégoire Chertok
(Un) film stylisé.
Cahiers du Cinéma
par Gaspard Nectoux
Le film renferme quelques discrètes réussites (…) Mais on comprend le lourd portrait de Singapour par ses migrations pour que le film de donne pas le sentiment d’un vaste pastiche.
L'Humanité
par Vincent Ostria
Tourné intégralement en studio, ce film sophistiqué et stylisé à l’extrême déçoit un peu de la part du réalisateur des poignants Be With Me et My Magic. Ces jolis embryons d’histoires laissent sur sa faim.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Le Figaro
par Etienne Sorin
Un film à sketchs, ni sensuel, ni bouleversant.
Positif
par Hubert Niogret
Pour des raisons de scénario inaccompli et inégal dans les six histoires qui composent ce film (...), l'Hôtel Singapura n'est pas le révélateur souhaité.
L'Obs
par Guillaume Loison
Khoo rêvait de se situer entre Alain Resnais et Hou Hsiao-hsien, il demeure coincé entre Claude Lelouch et un double trépané de Robert Altman.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Ouest France
L'action se passe dans une chambre d'hôtel où défilent tous les types de clients. Les époques et les genres se mélangent pour accoucher d'un film a sketches intemporel, où la poésie le dispute a la politique, le plaisir au mal-être.
20 Minutes
Les variations de style et de ton séduisent comme un appel au voyage et à la sensualité.
Elle
Ici, dans ce roman-photo sensuel et kitsch à souhait, les fantômes protègent l'intimité des vraies histoires d'amour.
Franceinfo Culture
Khoo confirme son talent dans "Hôtel Singapura", bourré d’inventions, tant dans l’écriture que visuelles. Sa fluidité éblouit, plein de sensualité et d’humour.
Le Journal du Dimanche
Passant du noir et blanc à la couleur, du passé au futur, ce récit choral aligne les saynètes plus ou moins touchantes, mais lucides, dans une atmosphère mélancolique et languissante.
Le Monde
S’il ne satisfait pas à toutes ses ambitions, Hôtel Singapura passe de l’une à l’autre avec un tel allant, un tel enthousiasme que ces manquements n’apparaîtront qu’a posteriori, contrepoint distant de la cavalcade historique et érotique qui vient d’emporter le spectateur.
Le Parisien
Sur la forme, « Hôtel Singapura » relève de l'exercice de style brillant : les huit histoires — se déroulant sur huit époques — qui constituent le film sont traitées en autant de genres cinématographiques : noir et blanc à l'ancienne pour les années 1940, comédie musicale très colorée pour les sixties, images trash pour notre époque...
Les Inrockuptibles
Faussement théâtral dans sa facture, ce film une fois de plus étrange décrit surtout des sentiments très intenses (...) avec pour toile de fond un pays invisible mais dont le hors-champ historique crie à chaque instant le nom : Singapour.
Libération
La manière dont Khoo alterne par exemple les représentations d'étreintes amoureuses pour exposer ce qu'elles disent de révolution des moeurs de son pays évoque quelque chose d'une élégie, particulièrement vibrante à une époque où la censure locale s'exerce de manière toujours plus pernicieuse sur les images qui prétendent à y être diffusées.
Première
Tous les sketchs ne se valent pas, mais dans ses meilleurs moments (...), "Hôtel Singapura" atteint l'extase. Un très bon Khoo.
Studio Ciné Live
Un ovni Khoo de coeur.
Transfuge
Avec "Hôtel Singapura", Eric Khoo fait du cinéma en chambre. Mais jamais étriqué.
Télérama
Si les actrices et leurs partenaires sont d'une sensualité à se damner, c'est la mélancolie des occasions ratées et des passions enfuies qui domine dans ce film délicat.
aVoir-aLire.com
Eric Khoo réussit un film à la fois tendre et érotique, sur le désir et l’amour, à partir de quelques couples qui se succèdent dans une chambre d’hôtel.
aVoir-aLire.com
Eric Khoo réussit un film à la fois tendre et érotique, sur le désir et l’amour, à partir de quelques couples qui se succèdent dans une chambre d’hôtel.
Critikat.com
Avec ses petits moyens, Khoo n’ambitionne en fait rien de moins qu’un historique des mœurs de la société singapourienne par l’intime – soit un projet assez fou. Et c’est bien cette envie débordante qui l’emporte, plus que tout ce que l’on peut reprocher au film.
La Septième Obsession
Une ronde tragique des désirs avortés, des tabous brisés ou infranchissables, pleine d’une affliction post-coïtale qui s’édifie progressivement et sous-tend subtilement le film.
Le Dauphiné Libéré
Un voyage un peu inégal, où le plaisir se fait entendre en de longs râles, qui ne sont que la face inversée d’une sorte de mélancolie très orientale.
Les Fiches du Cinéma
Eric Khoo s'interroge sur l'évolution des mœurs au gré des occupants d'une chambre d'hôtel, à travers des décennies. Une idée de départ originale, mais maladroitement exploitée.
Marianne
(Un) film stylisé.
Cahiers du Cinéma
Le film renferme quelques discrètes réussites (…) Mais on comprend le lourd portrait de Singapour par ses migrations pour que le film de donne pas le sentiment d’un vaste pastiche.
L'Humanité
Tourné intégralement en studio, ce film sophistiqué et stylisé à l’extrême déçoit un peu de la part du réalisateur des poignants Be With Me et My Magic. Ces jolis embryons d’histoires laissent sur sa faim.
Le Figaro
Un film à sketchs, ni sensuel, ni bouleversant.
Positif
Pour des raisons de scénario inaccompli et inégal dans les six histoires qui composent ce film (...), l'Hôtel Singapura n'est pas le révélateur souhaité.
L'Obs
Khoo rêvait de se situer entre Alain Resnais et Hou Hsiao-hsien, il demeure coincé entre Claude Lelouch et un double trépané de Robert Altman.