Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
24 critiques presse
Cahiers du Cinéma
par Stéphane du Mesnildot
Devant des scènes aussi stupéfiantes, il apparaît combien Kurosawa, toujours à la recherche de nouvelles voies, forge un art solitaire, à la fois poétique et théorique.
Critikat.com
par Marie Gueden
"Vers l’autre rive" est un récit initiatique saisissant dans sa bouleversante étendue le mystère de la mort cohabitant avec la vie, et réciproquement le mystère même de celle-ci. Kurosawa livre un film cosmique où s’exprime un rapport au monde entier, autant abstrait que sensible.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
L'Express
par Thierry Chèze
Ce mélo poétique évolue sur un fil ténu entre réalisme et surnaturel, avec cet art de faire surgir l'extraordinaire sans écraser l'ordinaire par une mise en scène subtile (...) Et l'infinie douceur de ce film hante longtemps après son ultime image.
La critique complète est disponible sur le site L'Express
La Voix du Nord
par Philippe Lagouche
L’impossible deuil, l’absolue nécessité pour les protagonistes de se résigner à la perte et à l’absence, Kurosawa les filme avec une simplicité et un naturel déconcertants. Mise en scène décharnée. Photo dépigmentée. Nul effet. Sérénité à la Ozu.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Monde
par Mathieu Macheret
Figure de l'épouvante japonaise, Kyoshi Kurosawa livre un film magnifique sur l'idéalité du couple.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Parisien
par Pierre Vavasseur
Faire simple sur un sujet improbable, envelopper son propos de délicatesse, poser avec douceur la question du destin entre ces deux parenthèses qu'est l'existence : Kurosawa parvient à tout cela.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Libération
par Didier Péron
Kiyoshi Kurosawa imagine un mélo sans excès et néanmoins déchirant dont le pouvoir de désordre et d’apaisement s’enracine dans la fiction du retour de celui qui ne peut pas, ne doit pas revenir.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Mad Movies
par Gilles Esposito
Se révèle encore plus riche, mais aussi encore plus bouleversant à chaque nouvelle vision.
Paris Match
par Yannick Vely
Ne manquez pas "Vers l'autre rive", le nouveau film du cinéaste japonais Kiyoshi Kurosawa récompensé d'un prix de la mise en scène au dernier Festival de Cannes. Jamais fantôme japonais n'avait été aussi serein.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Télérama
par Louis Guichard
La logique des rêves est superbement restituée par cette alternance de moments suaves et de brusques accès de noirceur. (...) Si le film brille dans la zone frontalière entre la réalité et l'inconscient, il impressionne aussi par l'entre-deux qu'il suggère entre la vie et la mort.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Marianne Renaud
(...) une mise en scène d’une poésie à transporter l’âme.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
20 Minutes
par Caroline Vié
C’est avec un mélange de tendresse et de poésie remarquable que le réalisateur de "Real" (2014) et de "Tokyo Sonata" (2009) évoque le deuil, celui que doit faire un noyé revenu rendre visite à ceux qui ont peuplé sa vie de son vivant.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Culturopoing.com
par William Lurson
Kiyoshi Kurosawa nous revient avec un très beau film, poétique et intimiste, qui renoue avec les meilleurs épisodes de « Shokuzai » et son chef-d’œuvre de 2008, « Tokyo Sonata ». Vivement conseillé.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Elle
par Jean-François Demay
En mai dernier, le jury Un certain regard ne s’est pas trompé en remettant le prix de la mise en scène à Kiyoshi Kurosawa pour son film « Vers l’autre rive ». Il faut dire que la mise en scène subtile du cinéaste japonais nous plonge dans un univers (...) où la poésie et le fantastique se mêlent jusqu’à l’égarement.
La critique complète est disponible sur le site Elle
La Croix
par Arnaud Schwartz
Une superbe quête du recommencement.
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Une oeuvre visuellement splendide, dont l’onirisme fait oublier quelques longueurs.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Les Fiches du Cinéma
par Paul Fabreuil
Creusant plus avant certaines de ses obsessions, Kiyoshi Kurosawa étonne, et impressionne, par la douceur inédite (et la maîtrise inchangée) avec laquelle il en remanie le traitement.
Les Inrockuptibles
par Jean-Baptiste Morain
Sous le regard de Kurosawa, les âmes bougent, changent de forme, mais personne, et surtout pas le metteur en scène, une voix-off ou un personnage ne vient nous expliquer, un sanglot dans la voix, ce qu'il y a à comprendre.
Positif
par Adrien Gombeaud
De l'ouverture à l'épilogue, il s'avère parfaitement prévisible dans le fond et la forme. Cependant, ce roulis de paquebot lui confère aussi un charme particulier. Les personnages prennent le temps d'exister et les sentiments de s'épanouir. (...) Goûter, toucher, voir, entendre le présent, toute la beauté d’ici-bas. Le cinéma sert aussi à ça.
Première
par Hendy Bicaise
A mi-parcours, Kurosawa rebat les cartes, redoutant l'effet catalogue de son récit et linéarité du road-movie. La route devient alors sinueuse, l'émotion s'infiltre jusque dans les intrigues parallèles et le cinéaste japonais ménage des pauses à teneur métaphysique.
La critique complète est disponible sur le site Première
Studio Ciné Live
par Thierry Chèze
Une bouleversante histoire de spectre et d'amour.
VSD
par Olivier Bousquet
Après Tokyo sonata et Shokuzai, Vers l’autre rive est une nouvelle réussite. Dans un Japon remarquablement filmé, le film déborde d’un amour charmant car délicatement retenu. Et les traces laissées par ce dernier voyage à deux ne s’effacent pas facilement.
TF1 News
par Romain Le Vern
Kiyoshi Kurosawa sait filmer les fantômes mélancoliques comme personne. Ce film-ci prend de toute évidence sa place dans une oeuvre mûrement réfléchie. Mais s'il parvient à émouvoir par intermittences, force est de constater qu'il ne tient pas la distance.
La critique complète est disponible sur le site TF1 News
CinemaTeaser
par Aurélien Allin
Le film devient trop mécanique, incapable de renouveler ses enjeux qu’il répète inlassablement jusqu’à l’ennui épuisé du spectateur.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
Cahiers du Cinéma
Devant des scènes aussi stupéfiantes, il apparaît combien Kurosawa, toujours à la recherche de nouvelles voies, forge un art solitaire, à la fois poétique et théorique.
Critikat.com
"Vers l’autre rive" est un récit initiatique saisissant dans sa bouleversante étendue le mystère de la mort cohabitant avec la vie, et réciproquement le mystère même de celle-ci. Kurosawa livre un film cosmique où s’exprime un rapport au monde entier, autant abstrait que sensible.
L'Express
Ce mélo poétique évolue sur un fil ténu entre réalisme et surnaturel, avec cet art de faire surgir l'extraordinaire sans écraser l'ordinaire par une mise en scène subtile (...) Et l'infinie douceur de ce film hante longtemps après son ultime image.
La Voix du Nord
L’impossible deuil, l’absolue nécessité pour les protagonistes de se résigner à la perte et à l’absence, Kurosawa les filme avec une simplicité et un naturel déconcertants. Mise en scène décharnée. Photo dépigmentée. Nul effet. Sérénité à la Ozu.
Le Monde
Figure de l'épouvante japonaise, Kyoshi Kurosawa livre un film magnifique sur l'idéalité du couple.
Le Parisien
Faire simple sur un sujet improbable, envelopper son propos de délicatesse, poser avec douceur la question du destin entre ces deux parenthèses qu'est l'existence : Kurosawa parvient à tout cela.
Libération
Kiyoshi Kurosawa imagine un mélo sans excès et néanmoins déchirant dont le pouvoir de désordre et d’apaisement s’enracine dans la fiction du retour de celui qui ne peut pas, ne doit pas revenir.
Mad Movies
Se révèle encore plus riche, mais aussi encore plus bouleversant à chaque nouvelle vision.
Paris Match
Ne manquez pas "Vers l'autre rive", le nouveau film du cinéaste japonais Kiyoshi Kurosawa récompensé d'un prix de la mise en scène au dernier Festival de Cannes. Jamais fantôme japonais n'avait été aussi serein.
Télérama
La logique des rêves est superbement restituée par cette alternance de moments suaves et de brusques accès de noirceur. (...) Si le film brille dans la zone frontalière entre la réalité et l'inconscient, il impressionne aussi par l'entre-deux qu'il suggère entre la vie et la mort.
aVoir-aLire.com
(...) une mise en scène d’une poésie à transporter l’âme.
20 Minutes
C’est avec un mélange de tendresse et de poésie remarquable que le réalisateur de "Real" (2014) et de "Tokyo Sonata" (2009) évoque le deuil, celui que doit faire un noyé revenu rendre visite à ceux qui ont peuplé sa vie de son vivant.
Culturopoing.com
Kiyoshi Kurosawa nous revient avec un très beau film, poétique et intimiste, qui renoue avec les meilleurs épisodes de « Shokuzai » et son chef-d’œuvre de 2008, « Tokyo Sonata ». Vivement conseillé.
Elle
En mai dernier, le jury Un certain regard ne s’est pas trompé en remettant le prix de la mise en scène à Kiyoshi Kurosawa pour son film « Vers l’autre rive ». Il faut dire que la mise en scène subtile du cinéaste japonais nous plonge dans un univers (...) où la poésie et le fantastique se mêlent jusqu’à l’égarement.
La Croix
Une superbe quête du recommencement.
Le Journal du Dimanche
Une oeuvre visuellement splendide, dont l’onirisme fait oublier quelques longueurs.
Les Fiches du Cinéma
Creusant plus avant certaines de ses obsessions, Kiyoshi Kurosawa étonne, et impressionne, par la douceur inédite (et la maîtrise inchangée) avec laquelle il en remanie le traitement.
Les Inrockuptibles
Sous le regard de Kurosawa, les âmes bougent, changent de forme, mais personne, et surtout pas le metteur en scène, une voix-off ou un personnage ne vient nous expliquer, un sanglot dans la voix, ce qu'il y a à comprendre.
Positif
De l'ouverture à l'épilogue, il s'avère parfaitement prévisible dans le fond et la forme. Cependant, ce roulis de paquebot lui confère aussi un charme particulier. Les personnages prennent le temps d'exister et les sentiments de s'épanouir. (...) Goûter, toucher, voir, entendre le présent, toute la beauté d’ici-bas. Le cinéma sert aussi à ça.
Première
A mi-parcours, Kurosawa rebat les cartes, redoutant l'effet catalogue de son récit et linéarité du road-movie. La route devient alors sinueuse, l'émotion s'infiltre jusque dans les intrigues parallèles et le cinéaste japonais ménage des pauses à teneur métaphysique.
Studio Ciné Live
Une bouleversante histoire de spectre et d'amour.
VSD
Après Tokyo sonata et Shokuzai, Vers l’autre rive est une nouvelle réussite. Dans un Japon remarquablement filmé, le film déborde d’un amour charmant car délicatement retenu. Et les traces laissées par ce dernier voyage à deux ne s’effacent pas facilement.
TF1 News
Kiyoshi Kurosawa sait filmer les fantômes mélancoliques comme personne. Ce film-ci prend de toute évidence sa place dans une oeuvre mûrement réfléchie. Mais s'il parvient à émouvoir par intermittences, force est de constater qu'il ne tient pas la distance.
CinemaTeaser
Le film devient trop mécanique, incapable de renouveler ses enjeux qu’il répète inlassablement jusqu’à l’ennui épuisé du spectateur.