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Votre avis sur Café Society ?
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Un très bon cru de Woody Allen que ce film élégant et charmant (davantage que comique à mon sens). Beaucoup de choix judicieux du casting à la réalisation, du déroulé du scénario à l'excellente fin, des décors aux lumières.
Aucune longueur - reproche que je fais à certains films d'Allen - ce qui nous permet de nous plonger complètement dans cette ambiance de la haute société américaine des années 30. Les dialogues sont, comme toujours chez Allen, efficaces et la troupe de jeunes acteurs très juste dans ses interprétations. Avec une mention spéciale pour une Kristen Stewart rayonnante.
Aucune longueur - reproche que je fais à certains films d'Allen - ce qui nous permet de nous plonger complètement dans cette ambiance de la haute société américaine des années 30. Les dialogues sont, comme toujours chez Allen, efficaces et la troupe de jeunes acteurs très juste dans ses interprétations. Avec une mention spéciale pour une Kristen Stewart rayonnante.
Beaux décors et costumes d'époque, Kristen Stewart n'a jamais été aussi belle que dans ce film mais quel ennui c'est mou et franchement ça ne raconte rien d’intéressant. Version française à bannir et for
Toujours entouré de bons acteurs, Woody Allen nous fait encore voyager dans une poésie romantique pleins d'humour propre à lui seul. Pas fantastique non plus de par son scénario mais qui en réalité ne cherche pas à l'être. C'est pourquoi on est toujours autant charmé et on ne se lasse pas.
Un bon Woody Allen...divertissant...mais bon rien d'exceptionnel...les acteurs jouent bien...mais le film manque un peu de rythme...
Ambiance et reconstitution au top, dialogues et scènes jalonnées de l'humour léger si typique de son réalisateur : Café Society est né sous une bonne étoile, celle de la haute-société hollywoodienne du milieu du XXe siecle. Un bon moment, tout à fait dans la lignée des précédentes oeuvres de Woody Allen. Petit regret, avec un tel matériel et une telle maitrise, celui-ci aurait pu se montrer encore plus ambitieux !
benoitG80
"Cafe Society" d'après les critiques dithyrambiques et unanimes de la presse, laissait présager un chef d'œuvre de Woody Allen...
Étonnamment, la patte du cinéaste est en effet bien reconnaissable, mais son génie (qui fait effet une fois sur deux), beaucoup moins !
On est bien loin de son dernier et excellent "L'homme irrationnel", si brillant, vif et enlevé...
Cette fois, Woody se place dans les années 30 en voyageant entre Hollywood et New York, dans la peinture d'une société vue à travers une famille où émergent quelques personnages dont ce fameux Bobby prêt à tout pour se déraciner, interprété par Jesse Eisenberg.
Le problème est que le cinéaste voyage aussi beaucoup à travers ces fameux personnages, même si on se focalise davantage sur l'idylle amoureuse entre Bobby et Vonnie.
On suit ainsi tout ce petit monde sans trop savoir pourquoi, sans que rien ne semble accrocher ou faire des étincelles.
Le message apparaît très vite, "Dream is Dream", tandis que la réalité est bien plus sordide par l'appât du gain et la réussite sociale, que cache ce quiproquos amoureux...
Mais cela ne suffit pas à nous tenir en haleine même si la touche d'humour vient de temps à autre pimenter le film, grâce aux parents, au frère Ben gangster, à la sœur et son mari intello et communiste... Quelques répliques drôles font leur effet, mais font aussi effet d'accessoire comme s'il fallait redonner un peu de punch là où on s'ennuie un peu !
Car les personnages de Bobby et de Vonnie (Kristen Stewart), manquent tout de même d'un minimum de charisme pour qu'on se sente emporté par leur émoi et leurs retrouvailles en étant du reste intéressantes, auraient pu donner cours à des joutes verbales bien plus pertinentes et savoureuses ...
Au bout du compte, on se demande un peu quel était l'enjeu de ce film et quelle était la démarche de Woody Allen là dedans...
Alors évidemment et par contre rien à dire côté ambiance, images, décors, lumières, cadrages, c'est du cousu main reconnaissable entre mille !
Mais est-ce suffisant pour autant ?
Pas désagréable, pas génial non plus, mais après autant d'espérance et d'attente, plutôt une impression en demi teinte plus proche de la déception, alors qu'il s'agit quand même d'un Woody Allen...
Étonnamment, la patte du cinéaste est en effet bien reconnaissable, mais son génie (qui fait effet une fois sur deux), beaucoup moins !
On est bien loin de son dernier et excellent "L'homme irrationnel", si brillant, vif et enlevé...
Cette fois, Woody se place dans les années 30 en voyageant entre Hollywood et New York, dans la peinture d'une société vue à travers une famille où émergent quelques personnages dont ce fameux Bobby prêt à tout pour se déraciner, interprété par Jesse Eisenberg.
Le problème est que le cinéaste voyage aussi beaucoup à travers ces fameux personnages, même si on se focalise davantage sur l'idylle amoureuse entre Bobby et Vonnie.
On suit ainsi tout ce petit monde sans trop savoir pourquoi, sans que rien ne semble accrocher ou faire des étincelles.
Le message apparaît très vite, "Dream is Dream", tandis que la réalité est bien plus sordide par l'appât du gain et la réussite sociale, que cache ce quiproquos amoureux...
Mais cela ne suffit pas à nous tenir en haleine même si la touche d'humour vient de temps à autre pimenter le film, grâce aux parents, au frère Ben gangster, à la sœur et son mari intello et communiste... Quelques répliques drôles font leur effet, mais font aussi effet d'accessoire comme s'il fallait redonner un peu de punch là où on s'ennuie un peu !
Car les personnages de Bobby et de Vonnie (Kristen Stewart), manquent tout de même d'un minimum de charisme pour qu'on se sente emporté par leur émoi et leurs retrouvailles en étant du reste intéressantes, auraient pu donner cours à des joutes verbales bien plus pertinentes et savoureuses ...
Au bout du compte, on se demande un peu quel était l'enjeu de ce film et quelle était la démarche de Woody Allen là dedans...
Alors évidemment et par contre rien à dire côté ambiance, images, décors, lumières, cadrages, c'est du cousu main reconnaissable entre mille !
Mais est-ce suffisant pour autant ?
Pas désagréable, pas génial non plus, mais après autant d'espérance et d'attente, plutôt une impression en demi teinte plus proche de la déception, alors qu'il s'agit quand même d'un Woody Allen...
Un Woody Allen presque trop "propre" et qui manque de piquant, si ce n'est d'un certain cynisme. Même si le film ne nous transporte ou nous suprend vraiment jamais, il n'en reste pas moins assez plaisant à regarder avec une lumière magnifique et une écriture fine de laquelle ressortent quelques répliques et réflexions savoureuses. La première partie du film m'a vraiment emballée, avec un rythme assez soutenu et un humour constant, la seconde partie, qui se veut parfois plus mélancolique, tourne un peu en rond, devenant même assez ennuyante. Comme d'habitude dans les films de Woody Allen, le casting est royal avec en premier lieu un Jesse Eisenberg remarquable et une Kristen Stewart magnifiée sous la caméra du réalisateur. Mention spéciale pour Jeannie Berlin, qui joue la mère et demeure l'un des personnages les plus drôles du film.
Ufuk K
"café society " est le dernier film de Woody Allen ce que je peux dire c'est que depuis l'inoubliable "blue jasmine" je n'avais pas autant aime un film de celui-ci. j ai beaucoup aime les décors, les costume, le cadre et la composition d'ensemble dans ce beau mélo romantique d'autrefois.
Sûrement un des meilleurs films de Woody Allen.
La photographie est superbe, la direction artistique magnifique. On retrouve la patte "Woody Allen" à la réalisation. Les acteurs jouent juste et les dialogues sont savoureux.
Le film commence comme une comédie romantique pour ensuite nous dépeindre un âge d'or (presque) révolu de façon grinçante et désabusée - et une critique à peine voilée du star système actuel.
Même si la fin paraît désespérée, il est définitivement impossible de classer ce film dans un genre particulier - si ce n'est le genre "Woody Allen".
Après Match Point et Minuit à Paris, sans doute mon troisième film préféré de ce réalisateur de talent.
La photographie est superbe, la direction artistique magnifique. On retrouve la patte "Woody Allen" à la réalisation. Les acteurs jouent juste et les dialogues sont savoureux.
Le film commence comme une comédie romantique pour ensuite nous dépeindre un âge d'or (presque) révolu de façon grinçante et désabusée - et une critique à peine voilée du star système actuel.
Même si la fin paraît désespérée, il est définitivement impossible de classer ce film dans un genre particulier - si ce n'est le genre "Woody Allen".
Après Match Point et Minuit à Paris, sans doute mon troisième film préféré de ce réalisateur de talent.
La question de rigueur lorsque sort un nouveau Woody Allen est de savoir où le placer dans sa filmographie. Parmi les grands crus ? Plutôt dans le genre mineur ? Après la vision de "Café Society", cela ne vient pas à l'esprit. La légèreté teintée de mélancolie qui nimbe ce film élégant fait oublier tout ce questionnement mesquin. Pendant une heure et demie nous avons été emportés dans le Hollywood et le New York des années 30, au gré d'une histoire d'amour contrariée, marivaudage conté par le maître lui-même. Léger comme les bulles de champagne qui coule à flot dans les réceptions clinquantes ou les clubs de jazz, le film semble revisiter une nouvelle fois l'univers du réalisateur ( la séduction, la famille juive, les années d'avant guerre, ...). On pourrait craindre une répétition, alors que c'est juste pétillant, avec ici une touche acidulée, là une pointe d'humour et partout un nuage de tristesse, plaçant ses héros au bord d'un gouffre que l'on sent venir, la guerre bien sûr, mais la fin d'une époque ( même pas bénie).
La lumière magnifique, les mouvements de caméra virtuoses mais jamais voyants rendent le spectacle aussi gracieux que possible. Jesse Eisenberg, un peu malingre et voûté, apparaît comme le clone parfait et jeune du maître. Et cerise sur le gâteau, même Kristen Stewart est arrivée à me faire oublier que jusqu'à présent je la considérais comme une actrice un poil tête à claques !
La fin sur le blog
La lumière magnifique, les mouvements de caméra virtuoses mais jamais voyants rendent le spectacle aussi gracieux que possible. Jesse Eisenberg, un peu malingre et voûté, apparaît comme le clone parfait et jeune du maître. Et cerise sur le gâteau, même Kristen Stewart est arrivée à me faire oublier que jusqu'à présent je la considérais comme une actrice un poil tête à claques !
La fin sur le blog
Nyns
On a beau connaitre le goût que ça a à l'avance, un nouvel Allen se savoure toujours avec la même passion et la même fougue. Que dire, je n'ose pas encore m'avouer que c'est sûrement mon réalisateur préféré. En rendant les choses si simples et enfantines, il propose un merveilleux récit sur le choix de vie et l'amour. Toujours si bien écrit, même si l'impression agaçante que le vieux Woody est là devant nous a nous faire la morale que New-York est et sera toujours la meilleure cité du monde, il n'empêche que niveau dialogue on est rarement déçu, ce Café Society ne déroge pas à la règle, il est même particulièrement locace. À son tour de nous présenter son hommage à l'âge d'or d'Hollywood, critique plus négative bien ressenti, mais si proprement dépeinte qu'on a bien envie de ne garder que cette image là. Encore une fois il vise juste, on dirait bien que ce gars là a tout compris, en montrant à quel point une personne peut avoir de l'influence sur une autre, la façon qu'elle a de parler, de se comporter. C'est justement ça Café Society, la preuve qu'on a beau faire les mauvais choix, on reste bien malgré tout la même personne, et les choses vraies et authentiques ne s'effacent jamais tandis que le reste... Le film manque peut être de plus d'enjeu pour le final, mais c'est encore une fois chapeau bas l'artiste.
weihnachtsmann
Petite comédie romantique smart, guindée et plutôt chic. Woody nous sert une petite confiserie légère et raffinée. Un petit plaisir de gourmet, sans prétention, comme quelqu'un qui savoure la vie avec des yeux de jeune homme. Avec la touche d'humour en plus.
C'est vraiment un très très bon Woody Allen, avec les mots d'esprits brillants qui nous avaient un peu manqués dans les deux derniers films. La salle riait beaucoup, d'ailleurs.
J'ai retrouvé avec plaisir Jess Eisenberg, qui jouait le rôle du jeune homme amoureux de la meilleure copine de sa compagne dans To Rome with Love. Pas de retour de Woody acteur, mais la voix off de Woody Allen est très sympa aussi.
On retrouve beaucoup des ingrédients qui font un bon Woody Allen: de belles actrices, des gangsters, des réflexions sur la vie, la mort, des quiproquos. C'est pétillant, on en reprendrait volontiers !
J'ai retrouvé avec plaisir Jess Eisenberg, qui jouait le rôle du jeune homme amoureux de la meilleure copine de sa compagne dans To Rome with Love. Pas de retour de Woody acteur, mais la voix off de Woody Allen est très sympa aussi.
On retrouve beaucoup des ingrédients qui font un bon Woody Allen: de belles actrices, des gangsters, des réflexions sur la vie, la mort, des quiproquos. C'est pétillant, on en reprendrait volontiers !
Alice025
Cafe Society est le quatrième film de Woody Allen que je regarde, et j'ai toujours été ravie et satisfaite de ce que j'ai visionné. Toujours dans un contexte assez particulier, ici dans le monde showbusiness hollywoodien et new-yorkais des années 30, on y suit Bobby qui va essayer de changer d'air et se construire une nouvelle vie ainsi que de nouvelles relations, aidé par son oncle Phil. Puis vient la rencontre avec Vonnie, rencontre pour le moins tumultueux étant donné qu'elle est en couple, mais plus pour longtemps ; ce qui ne veut pas pour autant dire que tout sera blanc comme neige. Les décors et costumes d'époque sont exquis, on a presque envie de remonter le temps pour les découvrir. Les acteurs jouent tous avec charme et pudeur. On sent beaucoup de légèreté dans ce film, mais le côté romantique et mélancolique de l'histoire est tout aussi intéressant et ne nous laissera pas indifférent. Un gros soupçon de frustration et d'indécision plane autour de notre jeune duo Bobby/Vonnie, et on ne peut s'empêcher de se demander quelle aura été la tournure de l'histoire s'ils auront agi différemment, s'ils vivront avec regret ou se contenteront de leurs chemins respectifs.
Un très bon film qui allie donc légèreté et sujet sentimental sérieux, à voir. Je compte bien explorer la filmographie de Woody Allen plus en détail !
Un très bon film qui allie donc légèreté et sujet sentimental sérieux, à voir. Je compte bien explorer la filmographie de Woody Allen plus en détail !
un bon Woody Allen comme il sait le faire, les rapports humains dans la bourgeoisie, voir chez les mafieux très bien raconté, il a vraiment une "marque de fabrique"
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