Les plus utilesLes plus récentesMembres avec le plus de critiquesMembres avec le plus d'abonnés
Filtrer par :
Toutes les notes
Un visiteur
5,0
Publiée le 13 mai 2016
Merci Mr Woody pour ce voyage dans les années 30 , j'ai aimé ce film plus que Minuit à Paris ou Bleu Jasmine.Mention Très Très Bien même " Mention Excellent " au directeur de la photographie, Vittorio Storaro , les couleurs des images sont fantastiques.Et une Mention Excellent aussi à Kristen Stewart , elle crève l'écran avec sa beauté et son jeu simple et émouvant , elle est vraiment différente dans ce film.
du Woody cent pour cent Woody brillant, étincelant , c'est du Champagne , ça pétille , du début a la fin avec des personnages toujours improbables , des situations délirantes , un façon de filmer comme dans les années cinquante avec des couleurs magnifiques et une intrigue simple et tellement surprenante , un vrai bijou du cinéma américain
Très bons acteurs /image parfaite /comme toujours musique jazz topissime .... Mais je n ai pas adhère au scénario. Manquait le petit truc en plus qui a fait des 2 films précédents une petite merveille et un chef d œuvre.
j'ai vu les 20 critiques de la presse , 5 ou 4 étoiles uniquement !!! j'ai honte devant cette unanimité des spécialistes , mais moi ,j'ai vu un film élégant mais sans grand intérêt et un peu vain, quelques moments d'humour mais à dose homéopathique,une distribution inégale (steve carell n'est pas bon),pour tout dire j'ai trouvé le temps long (1h36 !)
Café Society, le nouveau Woody Allen n'est pas, à mes yeux, le grand film que toute la presse acclame même s'il n'en demeure pas moins un très agréable divertissement. Pourquoi? Parce que le scénario assez conventionnel rappelle beaucoup trop les films de jeunesse du cinéaste, que la mise en place des enjeux et des personnages est un peu longue et que la mise en scène à, par moment, un petit côté carte postale. Cependant, le film a un certain charme désuet, il est souvent assez drôle et touchant et s'il évoque l'Hollywood des années 30, il évite les pièges de la reconstitution de pacotille. Romance mélancolique dominée par les excellentes prestations de Jesse Esenbeirg et Kristen Stewart, Café society varie d'un registre à l'autre avec une légèreté qui fait plaisir à voir. Bref, c'est très propre mais assez sincère. Woody Allen reste humble et livre un très joli film qui, s'il n'atteint pas les sommets d'un Annie Hall ou d'un Match Point, mérite néanmoins d'être apprécié.
On a connu Woody Allen plus inspiré. Il explore une fois de plus le milieu de la bourgeoisie, mais il manque l'étincelle et un petit grain de folie, qui aurait permis au film de se démarquer. Reste quelques dialogues très humoristiques, et une Kirsten Stewart absolument sublime.
Je me suis endormie à deux reprises, j'ai ri deux fois, mais quel ennui Woody !....il y a de beaux décors, de bons acteurs, de bonnes idées, mais il se passe rien . C'est doux- amer et ennuyeux....
Bon, il y a le Woody Allen de « Match Point », de « Scoop », de « Vicky Cristina Barcelona »… et puis il y a celui-là : celui de « Whatevers Works », de « Minuit à Paris » ou bien encore de « Blue Jasmine ». Et pour être honnête, autant j’adore le premier, autant je suis totalement indifférent au second. Le problème de ce « Café Society », c’est qu’il est un pur produit de ce second Woody Allen. Car au fond, ce film ne raconte finalement pas grand-chose : il se contente juste de quelques schémas scénaristiques plus qu’usés, le tout n’étant qu’un prétexte pour mettre en place un univers dans lequel l’auteur aime se complaire… Alors oui, on va parler jusqu’à plus faim du monde du cinéma, de culture juive, mais aussi de strass et de paillettes, tout cela sur fond de belles images d’Epinal des années 1930... Alors certes, c’est mignon de voir chaque acteur faire son petit cabotinage dans son coin, mais au fond ça ne dit rien. C’est un plaisir gratuit que s’offre là l’auteur new-yorkais, sans réel effort de création. Alors après, tout dépendra de vous. Soit vous êtes client de ce genre d’atmosphère d’autosatisfaction et, dans le cas là, peut-être, vous y trouverez votre compte. Soit vous êtes comme moi, et vous allez hurler face à tous ces plans orangés que le film accompagne sans interruption par une musique de cabaret jazzy qui devient vite horripilante. Bref, rien de nouveau dans le monde de Woody Allen. Certains s’en contenteront peut-être, mais moi je trouve ça quand même bien triste…
Premer plan : villa d'architecte d'un blanc étincelant sur fond de bleu nuit resplendissant. Woody Allen signe son retour à la mise en scène, après l'avoir délaissé un certain temps. Scénario dans un moule bien huilé, il reste dans sa zone de confort et la mondanité. L'humour est également au rendez-vous, avec quelques répliques bien croustillantes. La morale du film est dictée par un verbe toujours aussi remplit de sarcasme. On pourrait croire à une perte totale d'ambition, mais c'est simplement une oeuvre qu'il continu de peaufiner à vitam aeternam.
Quand on sort d'une salle de cinéma en se disant que la mise en scène est faite avec finesse, les acteurs très bons, l’héroïne principale (Kristen Stewart) ravissante, que les décors reconstituent parfaitement le Hollywood ou le New york des années 30, que la bande son accompagne merveilleusement tout ça on pourrait être satisfait et se dire qu'on a vu un très bon film. Oui mais quand il s'agit d'un Woody Allen, qui a réalisé des chef d’œuvre (Manhattan, Annie Hall, Zelig ou September) et ces derniers années de très bon films comme Scoop ou Whatever works , on est un peu déçu par ce café society en se disant qu'à 80ans le génie a peut être quitté Woody Allen.
Quel plaisir de retrouver Woody inspiré. Manhattan, les années 1930: Bobby, coincé et rêvant de liberté a l'opportunité de rejoindre Hollywood où son oncle est un véritable "recruteur de stars". Au début discret, sa rencontre avec la belle secrétaire de son aïeul va quelque peu bouleverser sa vie, d'autant que, sur la côté est, son frère propriétaire du Café Society s'avère avoir des fréquentations plus que douteuses. Et Bobby va être contraint de prendre le destin de sa famille juive en mains. Ses amateurs le savent, Woody n'est jamais aussi inspiré que lorsqu'il parle de New-York, plus exactement Manhattan. En témoignent entre autres (Meurtre mystérieux à)Manhattan, ses deux chefs-d'œuvres. Ici, il se risque à comparer le mode de vie californien avec celui new-yorkais. Et avec une jubilation qu'on ne lui avait pas connu depuis un long moment. Une réplique illustre particulièrement son film: "la vie est comme un scénario écrit par un auteur sadique". Et Woody l'est tout spécialement envers une certaine classe sociale théâtre d'une satire mémorable; envers également l'industrie hollywoodienne qui en prend quelque peu pour son grade. Envers enfin les indécis(es) amoureu(ses)x qui ne sont pas épargnés, illustration particulière avec Vonnie (parfaite Kristen Stewart) incapable de choisir l'élu de son cœur et dont le motif du choix final ne pouvait être autrement au vu de la logique du réalisateur new-yorkais. Et la musique joue un très grand rôle. Omniprésente, ses teintes jazzys enchantent (notamment les premières notes d'un saxo en ouverture de film) et les amoureux du genre seront comblés. A recommander vivement et pas surpris des très bonnes retombées cannoises...
Plans irréprochables, belles images, cadrages soignés mais l'émotion ne perce pas. Ce film esthétiquement réussi m' a paru bien froid. Il me fait penser à une pin-up qui promet beaucoup mais offre en réalité peu.
Alors j'adore Woody Allen, j'avais bien aimé Un Homme Irrationnel, j'avais adoré Magic In The Moonlight, et voici Café Society qui débarque et qu'est-ce que c'est bien ! La réa est évidemment exceptionnelle, ensuite l'histoire est excellente, la lumière aussi, les acteurs sont formidables Jesse Eisenberg est vraiment un bon acteur et Kristen Stewart joue très bien aussi, Allen nous fait enfin un film en numérique c'est bien à noté aussi, le film est très drôle j'ai beaucoup ri, donc voilà c'était mieux que L'homme Irrationnel, donc c'est à garder au chaud.