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ER 9395
85 abonnés
1 337 critiques
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3,5
Publiée le 29 juillet 2016
C'est loin d’ètre le meilleur de ces films , le scénario n'est pas très original mais le casting est plutôt sympa , cela se laisse donc regarder avec plaisir .
Woody Allen s'installe manifestement dans une certaine routine, voire pire une paresse manifeste. Cafe Society n'est pas désagréable à voir mais, malgré une longueur assez modeste, souvent ennuyeux et sans surprise. Rien à reprocher aux interprètes qui font le job dont Jesse Eisenberg, très bien, mais dont le personnage aurait été joué par un Woody Allen jeune. Rien d'original, ni de drôle. Le film n'a même pas la noirceur ironique et perverse du dernier opus du cinéaste dont la conclusion était très prenante. Cafe Society n'est qu'un film plat et qui, malgré la subtile relation amoureuse entre les deux personnages joués par Kristin Stewart et Jesse Eisenberg, se trompe à mon avis de sujet. Woody Allen porte son sujet dans l'univers hollywoodien des années 30 mais il n'en donne qu'une vision caricaturale avec ses couples mal assortis, ses producteurs qui passent comme des fantômes, ses blagues et moralités feujs que le metteur en scène a déjà prononcées, et bien mieux, dans d'autres films. Woody Allen aurait pu et dû se plonger dans la noirceur écarlate du monde du cinéma de l'époque dans lequel le cinéaste incorpore quelques histoires des stars des années 30. De biens belles images, de beaux cadrages et une musique de jazz prévisible sont les points positifs d'un film décevant.
Un bon cru de Woody ! J'avais été très déçue par L'Homme irrationnel, là, le réalisateur renoue avec ses belles fresques historiques à la mode Accords et désaccords: fin des années 30, robes et bijoux sublimes, gangster, jazz, cocktails, clubs, Hollywood (que Woody Allen ne semble pas vraiment aimer) et décaler son amour à New York... on retrouve aussi la thématique de l'amour (peut-on aimer deux personnes à la fois ? Fait-on un jour le deuil de l'être que nous avons le plus aimé ? Doit-on rester fidèle (à soi, aux autres) ?) qui avait déjà été évoqué dans nombre des ses autres films (dont Vicky, Christina, Barcelona, Match Point...) Bref, un condensé de la carrière prolixe et des thèmes favoris du réalisateur avec un trio de jeunes acteurs parfaits, des personnages secondaires tout aussi truculents. On ne s'ennuie pas. Bande son superbe (si on aime le jazz mais "qui n'aime pas le jazz ?")
Incompréhension face aux critiques dithyrambiques pour ce Woody Allen! Certes l'image est léchée, le film retranscris bien l'ambiance mondaine de ce milieu et cette époque...Mais le film est d'une lenteur, desservi par une histoire d'amour à laquelle on a du mal à s'intéresser vraiment et qui manque de passion. Qui plus est malgré quelques répliques amusantes, l'humour s'y fait bien trop rare. Déçus !
Le Woody Allen annuel. Éternelle question : un bon cru cette année?
Oui et....non.
Oui car on retrouve les années qu'il aime, que sont les années 30, le monde du cinéma et ses stars. Une fois de plus c'est l'opposition entre ce qu'il déteste (Los Angeles) et qu'il adore (New York).
Non, pour ce déjà un peu trop vu, pour ces trop belles reconstitutions, et pour ce manque de corrosion.
C'est un gentil Woody Allen.
Pour le plaisir, des acteurs excellents, pas trop connus (enfin de moi), et une très belle photo.
Si j’ai bien apprécié les derniers Woody Allen car ils offraient une intrigue intéressante et un scenario élaboré, ce n’est pas le cas de Café society avec sa banale histoire de triangle amoureux. L’intérêt reste cependant le cadre où se développe cette histoire, entre Hollywood et New-York des années 30 sur ambiance de musique jazzy. Je ne me suis pas ennuyé car il y a toujours des répliques assez drôles propres à l’écriture de Woody Allen mais il n’y a rien dans ce film de vraiment emballant.
" Merci beaucoup d’être là Monsieur Woody Allen… même si c’est quand même la moindre des choses.
Ba c’est vrai vous présentez un film hors compétition,
le pire de ce qu’il pourrait vous arriver c’est que les gens disent, mouai c’est un bon Woody… "
Monsieur Laurent Lafitte, après avoir vu Café Society,
On ne soupire pas un Bof, un Mouai, Pas Mal...
On pousse un WAOUH d'admiration !
Quelle Lumière éblouissante !
Quels Décors somptueux !
Quelle Mise en Scène millimétrée !
Quels Acteurs flamboyants !
Vous l'aurez deviné, je suis fall in admiration de cette comédie dramatique, un brin romantique, délicate et élégante. Notre héros du jour (parfait Jesse Eisenberg), un peu gauche, cherche la réussite dans le milieu de l'industrie cinématographique des années 30 puis l'amour (sublime Kristen Stewart)... et puis... retour à la case départ ? Peut-être, Peut-être pas... Si l'intrigue amoureuse s'avère être le fil conducteur, la religion, la morale, les succès, viendront pimenter le film avec, en prime, la voie off de Mr Woody pleine d'humour et de malice !
Un Woody Allen pur toujours entre sentimentalisme et réalité qui déchire même les liens les plus forts. La fin? C'est à vous de la construire, comme toujours...
On retrouve les ingrédients d'un bon Woody Allen : ton faussement léger, instants savoureux (l'absence de vie après la mort chez les juifs, très drôle !), acteurs magnifiés (y compris les personnages secondaires), ambiance d'époque. Mais pas le chef d'œuvre annoncé.
Plongée dans les années 30 et l'âge d'or d'Hollywood. Fable romantique, les quelques répliques grinçantes et le tableau de personnages donnent le rythme.
On se demande la finalité de Woody Allen avec son film Café Society. C'est un film sans profondeur qui porte principalement sur le sentiment amoureux. Les personnages principaux s'empêtrent dans leurs sentiments amoureux. Woody Allen greffe par ailleurs une histoire d'une famille juive, dont l'un des fils finit sur la chaise électrique. Ce greffon est source de quelques réflexions sans prétention sur la religion. L'histoire des 4 personnages amoureux est une sorte de vau de ville: le neveu tombe amoureux de l'amante de l'oncle ! Évidemment sans que ni l'un, ni l'autre le sachent. Il en résulte des quiproquos et des méprises proches des situations théâtrales mais sans la richesse et la spontanéité du théâtre. La critique presse est élogieuse mais on se demande pourquoi. Est-ce un traitement de faveur pour Woody Allen ? Une sorte de cocooning ? Je serai plus sévère en ne donnant qu'un 3/5 pour la distraction que j'ai éprouvée. A noter que ce film pourrait très bien être un téléfilm, il n'a pas mobilisé des moyens considérables. A vous de décider, il y a de nombreux bons films à l'affiche, meilleurs que celui-ci....
Café Society, film de Woody Allen présenté en ouverture du Festival de Cannes, hors compétition, le réalisateur new-yorkais ne concevant pas l'idée de compétition entre différents films ne traitant pas du même thème.
Fin des années 30, Hollywood. Débarqué de New York, le jeune Bobby (Jesse Eisenberg) rejoint son oncle (Steve Carell), agent de stars réputées, pour travailler à ses côtés. Il va y rencontrer Vonnie (Kristen Stewart) et tomber immédiatement amoureux de cette élégante employée. Bobby se retrouvera ensuite de retour à New-York à la tête d'un night club, un Café Society, lieu que toutes les personnes en vue fréquentent, littéralement : "Anyone who is anyone will be seen at Café Society".
On retrouve le ton habituel de Woody Allen, qui est d'ailleurs le narrateur du film. Jesse Eisenberg se fait le porte-voix de l'auteur, par exemple en disant : "Life is a comedy written by a sadistic comedy writer". Les costumes magnifiques vont à merveille à Kristen Stewart, l'égérie Chanel, tout comme à Blake Lively, sublime blonde, qui incarne une autre Veronica, dans un rôle plus mineur. C'est une première pour Kristen Stewart sous la direction de Woody Allen. Il s'est dit enchanté d'avoir travaillé avec elle et serait prêt à recommencer. Jesse Eisenberg avait déjà tourné en 2012 avec lui dans To Rome with Love. Corey Stoll, connu du grand public pour son rôle de Patrick Russo dans House of Cards, est excellent en gangster de la grosse pomme. Steve Carell a remplacé au pied levé Bruce Willis qui n'a pas convenu au réalisateur après seulement quelques jours de tournage et convainc dans ce rôle.
Je suis un peu surprise par les critiques dithyrambiques sur ce cru 2016 de Woody Allen, moi qui chérit d'habitude chacun de ses films. Seulement quelques jours après l'avoir vu au cinéma, ce film plein de charme semble s'être déjà comme évaporé. Il y a peu d’originalité dans l'histoire (les rebondissements sont finalement peu surprenants). Même si les acteurs sont impeccables, à la fin du film, il se dégage une légère déception, par rapport à mes attentes initiales.
N’étant pas le plus grand fan des comédies romantiques, je ressors de la salle de cinéma plus que satisfait ! Cafe Society ouvre magnifiquement le festival de Cannes 2016 en nous offrant une délicieuse comédie romantique, qui, malgré une histoire un peu légère, séduira les plus grands cinéphiles par son ambiance Jazzy entraînante, par sa divine mise en scène mais aussi par son casting d’une grande qualité ! Un grand cru que je recommande en VOST !
Retrouvez ma critique entière sur mon site MediaShowbydk.com ou bien via le lien ci dessous :
On aime le raffinement et la délicatesse du nouveau Woody Allen, avec cette patte si caractéristique du cinéaste ! On voyage à travers les années 30, au son du jazz et de la douceur de vie de l'Amérique volubile et festive. Les 1h30 de film passent très vite. C'est plutôt bon signe non ?