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    Café Society
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    3,7
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    464 critiques spectateurs

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    matt240490
    matt240490

    83 abonnés 1 062 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 3 juin 2016
    Comme à l'accoutumée, la sortie d'un film tamponné par Woody Allen déclenche un phénomène à lui tout seul : présent pour l'ouverture du Festival de Cannes, il aspire les foules dans son sillage et se voit analysé de toutes parts. C'est une tradition désormais depuis l'excellent Minuit à Paris : le réalisateur aux lunettes rondes revient régulièrement faire parler de lui et, avec Café Society, il montre une fois de plus que le talent lui colle à la peau. Ainsi, dans un Hollywood des années 20, en pleine Prohibition, il aborde la complexité des relations humaines, toujours avec la marque qui l'a rendue célèbre, et met en avant le personnage qu'il préfère : l'Amour. Car sous ses airs cocasses, ses dialogues volontairement longs et pompeux et sa caricature toute tracée des personnages, on reviendra sans cesse à la même conclusion : Woody Allen est un narrateur, et il aime son métier. Nous aussi.
    Vincent T.
    Vincent T.

    27 abonnés 134 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 3 juin 2016
    Woody Allen offre un film charmant et mélancolique sur fond de triangle amoureux dans les années 30 aux USA.

    Il reprend cette idée de passé fantasmé de "Midnight Paris" (film de 2012) pour filmer la côte Ouest, à l’image de Kristen Stewart : sensuelle, belle et superficiel et la côte Est des USA. L’angoisse du « sentiment amoureux » passé qui ne s’éteint jamais malgré le fait d’avoir recommencé une nouvelle vie est ici très bien traitée par quelques plans, des regards toujours bien filmés et des astuces de mise en scène.

    Des dialogues absurdes et philosophiques qui sont la marque de fabrique de Woody Allen sont bien présents, la reconstitution des clubs new-yorkais prestigieux (café society) est pas mal et les quelques scènes de jazz sont sublimes.

    Cruel et drôle, ce film dispose d’une bonne distribution avec Jesse Eisenberg, touchant et émouvant qui premier sort de son rôle un stéréotypé dans lequel il s’est enfermé depuis The Social Network et Steve Carell qui par son gabarit en impose dès le début sans oublier Blake Lively.

    Bref, les sujets sont redondants, mais la distribution amène beaucoup de fraîcheur dans ce cinéma déjà vu.

    PS : j’avais plus apprécié son précédent film avec Joaquim Joaquin Phoenix : l’homme irrationnel
    Olivia M.
    Olivia M.

    2 abonnés 17 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 2 juin 2016
    Très beau film qui montre ici encore tout le talent de Woody Allen.
    Le spectateur est dès le début plongé dans une Amérique en essor du siècle dernier.
    Malgré que l'histoire soit en elle même banale, la beauté des images, de la réalisation la sublime et en fond une balade captivante!
    A voir pour les fans de Woody Allen ou encore de l’Amérique d'entre deux guerres.
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 2 juin 2016
    Un film un peu mou. Pas très drôle. ni profond. Allen aimerait faire du Lubitsh, mais il n'a ni la légèreté, ni la justesse de trait... Les comédiens font leur job, sans plus... la photo est jaunâtre... Oubliable !
    Fathy D
    Fathy D

    7 abonnés 72 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 2 juin 2016
    un talent qui s'essouffle un peu, j'avais pourtant bien apprécié «l'homme irrationnel»...
    déçue par ce scénario tres conventionnel, chic, élégant, mais sans surprise.
    Black-Night
    Black-Night

    184 abonnés 421 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 2 juin 2016
    Café Society est un bon et beau film. L’un des plus prolifiques et des plus grands maîtres du cinéma revient pour sa cuvée annuelle et pour également maintenant depuis un moment sa cuvée cannoise que l’on se délecte toujours avec un certain plaisir. Il nous sert donc un beau film mélancolique, grave et triste, sur le thème du ratage amoureux. Bobby, petit gars de Brooklyn, tente sa chance à Hollywood où son oncle Phil est agent de stars. À la suite d’un chagrin d’amour, il rentre à New York et devient manager du cabaret de son frère gangster. Présenté en sélection officielle hors compétition faisant office du film d’ouverture au 69ème Festival De Cannes en 2016, avec de très bonnes réactions dans l’ensemble.
    On y parle de meurtre et de faute, de judaïsme et de show business. Le film se déroule entre Los Angeles et New York dans les années 30, dans les milieux du cinéma et des cabarets. La reconstitution en est d’ailleurs somptueuse. Le cinéaste américain excelle encore dans cette œuvre où son sens du récit, ses bons mots et son humour très appréciable ici, servis par la fluidité de sa mise en scène, nous font passer un charmant moment en très bonne compagnie.
    Moi qui ne suis pas un adepte du jazz, la bande son très jazzy qui compose le métrage est de toute beauté et donne l’ambiance parfaite qu'il lui faut.
    Le réalisateur Woody Allen que l’on pourra bientôt appeler Woody Alien de par son âge, nous revient pour son 47ème long métrage avec une nouvelle réussite, une réalisation léchée et superbe, ainsi que des décors splendides. Le casting fait des étincelles avec, Jesse Eisenberg, Kristen Stewart, Steve Carell, Blake Lively, Corey Stoll, Jeannie Berlin, Ken Stott, Parker Posey tous très bons.
    Une œuvre délectable tout comme cette tasse de café dans la haute société.
    Ma note : 7.5/10 !
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 2 juin 2016
    Si le film démarre assez bien, humour et bonnes répliques, belle photographie, belle histoire d'amour, on s'ennuie très vite, car le film se répète. Les mêmes scènes, les mêmes sous intrigues finissent par lasser. Heureusement que l'histoire de l'oncle mafieux nous sort de cette soporifique romance faussement cornélienne.
    On est loin de "Match point". On se souviendra des couleurs du film et surtout du talent indéniable des comédiens, mais cela suffit-il ?
    In Ciné Veritas
    In Ciné Veritas

    89 abonnés 922 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 2 juin 2016
    Au rythme d’un film par an, Woody Allen nous livre des longs métrages qui tendent à se ressembler et ne surprennent plus guère. Comme dans le domaine viticole, les millésimes se succèdent et sont de qualité variable. Quid du millésime Allen 2016, est-ce un grand cru ? Café society est le meilleur Allen depuis Minuit à Paris (2011)… qui déjà visitait, entre autres, les années 30.
    La reconstitution de l’ambiance New-Yorkaise et Hollywoodienne des années 30 est très convaincante. Ici, l’excellent travail signé Vittorio Storaro doit être souligné. Le maître italien fait là un retour remarqué aux affaires. Le traitement en dualité entre New-York la sombre et Los Angeles la superficielle proposé par Woody Allen est remarquable.
    Cependant, il y a un léger abus de séquences avec voix off qui nuit au rythme du film d’autant qu’une partie des propos tenus sont superflus. C’est regrettable car, si on fait abstraction de ces scènes commentées, le film s’avère très bien rythmé. Comme d’habitude Woody Allen nous réserve quelques répliques acidulées, que nous aurions aimées plus nombreuses, à destination notamment du côté superficiel du petit monde Hollywoodien.
    Du côté des interprétations, nous retenons celle de Jesse Eisenberg qui hérite du rôle le plus Woodien du casting. La prestation de Corey Stoll est intéressante et Steve Carell est à créditer d’un joli numéro d’acteur dans la scène du vestiaire. Côté féminin, Blake Lively est à suivre et Kristen Stewart a malheureusement une gestuelle inadaptée à la période campée, celle des années 30.
    Nous rangeons Café society dans le casier des bons crus juste à côté du millésime 2011.
    Jean Marc Dinaut
    Jean Marc Dinaut

    21 abonnés 294 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 2 juin 2016
    Café Society de W.A est un film assez conventionnel, avec ses histoires entrecroisées, ses amours contrariés, ses intrigues classiques. Pourtant, de tout cela, W.A fabrique un film sur le cinéma hollywoodien des années trente, traversé par une multitude de stars mythiques, qu'on ne voit jamais mais qu'on imagine vivante et présente, là, à coté. Lumineux, authentique, riche, les personnages évoluent dans des décors somptueux, où rien n'est oublié, jusque dans le moindre détail rien ne manque. Les costumes sont magnifiques. Un véritable plaisir pour les yeux. La patte du maître est toujours là, présente, à chaque prise. Les dialogues inventifs sont de miel et la mise en scène pur sucre. Bon maintenant, c'est pas non plus le film de l'année, on sent bien que Woody fatigue un peu. Mais nous avons vu un film de Woody Allen, et c'est toujours un événement !
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 1 juin 2016
    Café Society de Woody Allen, est un très bon film, divertissant, agréable, vrai si on oublie qu'il s'agit tout de même d'un Woody Allen. Car lorsqu'on connait et apprécie le réalisateur et sa formidable filmographie, son dernier film se fondera dans la masse de ses nombreux autres et ne ressortira jamais comme un chef d'oeuvre voire même comme un de ses films notables. Café Society raconte principalement l'histoire de Bobby (Jesse Eisenberg) qui souhaite se lancer dans une carrière à Hollywood. C'est en tout cas ainsi que commence le film. Mais très vite nous nous rendons compte qu'il s'agit en réalité d'une histoire amoureuse entre Bobby et Vonnie (Kristen Stewart) avec ses différents travers. C'est à cause du scénario de base que le film perd sa force, car pour le reste, nous retrouvons la virtuosité de la réalisation de Woody Allen, ses répliques et même son travail sur les personnages. Malheureusement, le scénario, dans ses grandes lignes, manque cruellement d'originalité et ne captive pas suffisamment le spectateur : une histoire d'amour banale avec les obstacles habituels. Et pourtant, s'il fallait à nouveau traiter ce sujet, il ne pouvait y avoir que lui pour rendre le scénario et les personnages aussi vrais ! L'histoire a beau ne pas être particulièrement captivante, les personnages attachants sont admirablement justes dans leurs personnalités, leurs sentiments, leurs actions et leurs réactions. La fin, qui n'est pas une vraie fin à proprement parler, met justement en avant le réalisme du film. Et c'est pour cela que nous aimons Woody Allen. Le seul vrai travers au final, c'est l'utilisation d'« Hollywood » dans ce film. Lorsque le film commence, nous croyons trop vite que toute l'histoire va se dérouler autour de la carrière sûrement grandissante de Bobby à Hollywood. Mais finalement, Hollywood n'a pas tant d'importance que ça au sein de l'histoire, excepté le fait qu'il représente tout ce que n'aime pas Vonnie. Woody Allen aurait du utiliser une autre représentation plus classique, car Hollywood au sein de lui même et du cinéma est connoté très différemment, ce qui empêche au spectateur de comprendre les intentions et les enjeux du film au début de celui-ci. Pour conclure, le film est bon, même très bon lorsqu'on l'étudie seul, mais restera une déception à cause de nos attentes de la part de notre cher Woody Allen.
    Dom Domi
    Dom Domi

    40 abonnés 303 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 1 juin 2016
    Ce film ne restera pas le meilleur de Woody Allen. Non pas qu'il soit mal fait, mais surtout parce qu'il lui manque une trame insolite. L'histoire est par trop souvent " téléphonée " et laisse peu de place aux surprises. Les images et les couleurs sont très belles, mais le film ne décolle pas des salons feutrées et des des sols lustrés.

    dom
    Blog Be French
    Blog Be French

    39 abonnés 263 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 31 mai 2016
    Jamais, depuis Minuit à Paris en 2011, Allen n'avait aussi bien éclairé son film (avec l'aide de Vittorio Storaro) ni tenté une mise en scène aussi audacieuse. Dans ce conte sentimental plongé au cœur du Hollywood des années 30, Kristen Stewart illumine Jesse Eisenberg et Steve Carell de sa beauté rayonnante. Accompagné par Blake Lively, le trio nous plonge dans un film touchant, empreint de nostalgie, conté par Woody Allen « himself », et dont la fin fait preuve d'une amertume assez bouleversante. Café Society, c'est la compilation des fantasmes alléniens : approcher Casablanca comme dans Tombe les filles et tais-toi !, citer les plus grandes stars d'Hollywood tel le rêve avec Marilyn Monroe et Sofia Lauren dans Anything else, ou encore traiter du souvenir amoureux à la manière de Comédie érotique d'une nuit d'été. Si certains points semblent peut-être un peu sous-exploités et que le début du film éprouve quelques difficultés à nous présenter son histoire, la nouvelle réalisation du cinéaste new-yorkais est une perle fascinante qui passe à une vitesse folle !
    Cinéphilion
    Cinéphilion

    57 abonnés 201 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 31 mai 2016
    Woody Allen explore (encore une fois) un nouvel univers jusque dans ses propres fondements. Codes, valeurs et rituels, nous pénétrons dans l’entre de la Café Society au rythme des périples sentimentales de Bobby. Le film répond aux chroniques d’un soap hollywoodien loin de tous clichés avec élégance et raffinement. La mise en scène explose de passion et le casting pétille de visages brillants. La fin nous laisse sans voix, surprenant ou déçu, nous ne savons pas vraiment mais peu importe. En effet, nous avons passé un moment dévorant et amoureux au sein de la sphère hollywoodienne et c’est ce qui compte.

    Bilan : Le Festival de Cannes a rarement vanté son ouverture avec de si belles œuvres. Woody Allen signe une nouvelle surprise annuelle.
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 31 mai 2016
    Pas de scénario comédie facile je m'attendais à mieux de Woody je me suis ennuyée quand l'histoire ne décolle pas c'est dommage
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 31 mai 2016
    film décevant, hyper prévisible, trop écrit et pas assez suggéré... Scénario de base et niaiserie romantique au programme.
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