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    Café Society
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    3,7
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    464 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 7 juin 2016
    Un jeu d'acteur époustouflant. Une ambiance excellente. Un scénario léger et prenant. Ce Woody Allen fait parti des mes favoris.
    Teddy F.
    Teddy F.

    1 abonné 79 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 7 juin 2016
    Woody Allen sait raconter une histoire, encore faut-il que cette histoire soit vraiment intéressante, ce qui n'est pas vraiment le cas ici. Mais sa reconstitution des années 1930 est remarquable, la musique excellente et les acteurs impliqués. Tout cela fait un film honnête qui ne passionne pas. Du bon cinéma sans plus, comme Woody Allen en fait à la pelle depuis des années. On est loin de ''Manhattan'' et de ''Annie Hall''.
    MemoryCard64
    MemoryCard64

    42 abonnés 375 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 7 juin 2016
    Woody Allen a souvent mis en scène des histoires tournant autour du monde du cinéma, avec plus ou moins de succès. Celebrity, par exemple, parlait avec beaucoup de maladresse des personnes prêtes à tout pour se faire une place à Hollywood. Café Society, lui, fait exactement l'inverse : ses personnages gravitent autour du système sans chercher à être sous les projecteurs, ce qui leur permet de poser un regard plus critique sur le monde du spectacle. Les railleries viendront beaucoup du personnage de Vonnie, la secrétaire chargée d'apprendre les ficelles au neveu de son patron, Bobby. Son avis à contre-courant pique l'intérêt du jeune homme et leur permet de se rapprocher rapidement. Woody Allen parvient sans surprise à créer de la complicité entre les deux personnages avec beaucoup d'aisance. Le travail avec les acteurs, important chez le réalisateur, est une fois de plus impressionnant. Jesse Eisenberg s'approprie facilement le rôle de juif nerveux tandis que Kristen Stewart, bien que moins lumineuse qu'Emma Stone, développe un caractère posé et réservé qui la rend tout aussi attrayante. Les acteurs ayant déjà travaillé ensemble, le duo fonctionne bien et l'évolution de leur relation est tout à fait convaincante. Le cinéaste s'amuse d'ailleurs à développer leur intimité en faisant évoluer le cadre de leur discussions : elles se font au départ dans des lieux publics, puis dans un coin reculé d'un bar avant de se faire à la lueur des bougies. A propos de bougies, la lumière est très belle. Depuis Magic in the Moonlight (voire même avant, je ne me souviens plus), le réalisateur s'attache à faire quelque chose de particulièrement soigné au niveau de l'éclairage, ce que l'on retrouve dans ce film. Allen crée des environnements chaleureux en utilisant peu de lumière (généralement les intérieurs) et propose parfois exactement l'inverse avec des scènes plus lumineuses qui échangent ce côté accueillant contre quelque chose de plus distingué (le premier plan est un bon exemple). Par ailleurs, Café Society fait intervenir des décors et des costumes dont la qualité impressionne. Ils sont souvent imposants, mais le travail de composition de Woody Allen efface toute opulence. Il m'est arrivé de me rendre compte de la beauté des environnements en plein milieu d'une scène tant ils sont mis en avant avec discrétion. Je terminerai en parlant du ton du film. Café Society commence avec beaucoup de légèreté en suivant les attentes d'un garçon au moment de son entrée dans la vie active pour se terminer, des années plus tard, sur un homme accompli sur le plan professionnel qui contemple son passé. Le long-métrage chavire donc progressivement dans le dramatique et les épisodes de la vie de Bobby sont moins souvent joyeux, et sont parfois très triste, notamment une scène de retrouvaille dure, où l'on constate que les deux personnages sont partis dans des directions complètements différentes. Cependant l'ensemble ne vire pas dans le mélodrame, Allen n'hésite à multiplier les gags décomplexés sur les juifs pour redresser la barre vers quelque chose de plus neutre. Ainsi, la conclusion, ni heureuse ni malheureuse, arrive avec une émotion étrange, une sorte de mélancolie sans regrets... "Life is a comedy... written by a sadistic comedy writer" comme le dit si bien Bobby.
    Angelina.J
    Angelina.J

    36 abonnés 265 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 7 juin 2016
    Woody Allen est amoureux de ses acteurs et de New York et ça se voit, l'esthétisme de film, les décors des années 30, c'est beau , les dialogues sont riches, les personnages aussi, mais tout est un lisse trop lisse, mais l'histoire est pauvre dommage, la fin laisse certes place à l'objectivité et à l'interprétation, mais il manque un aboutissement.
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 24 septembre 2018
    Je suis assez content de ce film, ayant critiqué Allen quand il utilisait encore récemment les mêmes méthodes tant sur la mise en scène que sur le fond de l'intrigue dans ses films, je suis obligé de reconnaître qu'il a tenté de se renouveler et que c'est plutôt bien réussi. Les mouvements de caméra (particulièrement tous ses travellings) donnent une sorte de renaissance à son style, nous sortant un peu de ses films qui ressemblent souvent à des pièces de théâtre. Une vision assez amère du Hollywood des années 30 nous ait dressé ici et Allen en profite pour ré-exprimer son amour envers New-York ce qu'il n'avait plus fais depuis un moment. On sent d'ailleurs qu'il a fais beaucoup d'effort en ce sens (particulièrement sur certains plans). J'ai particulièrement aimé le club dans lequel Eisenberg travaille avec son frère où l'ambiance marrie en même temps un côté distingué et dangereux propre aux clubs de cette époque. Egalement un certain jeu sur les couleurs et la lumière ont été fait particulièrement le jaune qui accompagne Kristen Stewart dans la plupart de ses scènes ( spoiler: Peut-être pour montrer que cette jeune femme illumine la vie de notre protagoniste, mais probablement aussi pour nous signifier qu'elle sera aussi responsable de son désespoir au vu de la double signification de cette couleur...
    ). J'étais ravi de retrouver Steve Carrel qui est un acteur émérite (je pense par exemple à The Big Short) mais je reste sur ma réserve par rapport à Kristen Stewart. Je ne peux pas m'empêcher de voir Bella à chaque fois qu'elle joue ( spoiler: surtout quand elle se retrouve encore dans un triangle amoureux et qu'Allen a décidé de faire autant de gros plans sur les visages, difficile de rater cette bouche laissée entrouverte comme si le cerveau de l'actrice faisait une pause ...
    ). J'ai aussi beaucoup apprécié les interventions dans la vie des membres de la famille d'Eisenberg qui m'ont souvent amusés (difficile de demeurer imperméable quand c'est Allen qui fais le narrateur avec son personnage remplis de tocs et d'angoisse). Je reste cependant plus réservé sur la fin où j'ai encore eu l'impression comme pour Vous allez rencontrer un bel et sombre inconnu que la conclusion n'était pas très opportune et laissait un goût d'inabouti. Mais j'ai dans l'ensemble apprécié le film et suis ravi de voir qu'Allen se renouvelle encore à son âge.
    Jean-luc G
    Jean-luc G

    63 abonnés 770 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 6 juin 2016
    Woody aime le jazz et New-York. Il nous raconte surtout Hollywood dans les années trente sur fond musical jazzy.
    Woody ne joue pas mais commente seulement en voix-off, c’est plaisant, on reconnait la patte, les dialogues, mais c’est plus mature, moins torturé.
    Une femme hésite entre deux hommes, deux générations, deux rives opposés de l’Amérique. Les acteurs sont habillés fabuleusement, l’écran ruisselle de paillettes, derrière cette façade, on règle les comptes en famille plus ou moins violemment. L’image est légèrement jaunie comme d’un temps ancien, révolu. La caméra est d’une fluidité sans égale pour suivre l’agitation de ce monde de stars et de producteurs. Un film court, pas agité mais plein.
    Woody aime sa ville, et terminera au bout de la nuit au bord du lac de Central Park. Une pincée d’humour juif pour assaisonner le tout, mais moins qu’avant. Nostalgie et brio, Café society n’est pas un film exceptionnel, mais très plaisant à savourer.
    juin 16
    NewBoorn
    NewBoorn

    60 abonnés 576 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 6 juin 2016
    Woody Allen à presque son meilleur, 2 excellents jeunes acteurs en pleine lumière et Steve Carell en cerise sur le gâteau pour une comédie romantique très élégante et divertissante. Un cocktail gagnant.
    circusstar
    circusstar

    135 abonnés 718 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 6 juin 2016
    Un film très esthétique, mais qui n'apporte rien, même pas divertissant. Bref, sans réel intérêt et très plat . À part ça c'est assez beau, mais sinon il n'y a rien.
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 5 juin 2016
    Un roman photo sans aucun intérêt. L'analyse psychologique des personnages est proche de la caricature.
    Deux ou trois traits d'humour permettront peut-être de ne pas oublier le film.
    LeFilCine
    LeFilCine

    177 abonnés 575 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 5 juin 2016
    C'est à un Woody Allen une nouvelle fois très nostalgique de l'Amérique des années 30 que l’on doit ce Café Society. Cette époque qu'affectionne tout particulièrement le célèbre réalisateur new-yorkais offre un cadre historique intéressant entre d’un côté, le Los Angeles bling-bling des studios hollywoodiens, et de l’autre la pègre new-yorkaise sans scrupule de l'époque. On retrouve avec plaisir le regard espiègle et ironique de Woody Allen sur ses personnages et cet humour toujours aussi iconoclaste. Il offre les deux premiers rôles à deux acteurs assez jeunes, Jesse Eisenberg et Kristen Stewart, talentueux certes, mais pas à leur meilleur. Les seconds rôles sont bons aussi, notamment Steve Carell, mais qui est lui aussi dans un rôle qui ne lui sied pas parfaitement. Ils sont en effet tous enfermés dans des personnages très écrits. Cette romance ne convainc donc pas totalement alors que les ingrédients étaient là pour faire un excellent film. Heureusement une mise en scène toujours brillante, un rythme ad hoc et un scénario intéressant permettent à Café Society d’être un film très agréable à suivre. Seulement, contrairement à ces précédents long-métrages, le final est ici sans surprise et nous laisse donc largement sur notre faim. Café Society est donc un Woody Allen mineur, si l'on peut dire ainsi, mais reste tout de même un bon film.
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 4 juin 2016
    Film agréable. On reconnaît toujours aussi bien la patte de Woody Allen. Film à voir et intéressant sous certains aspects. Rie de bien surprenant
    tuco-ramirez
    tuco-ramirez

    133 abonnés 1 622 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 4 juin 2016
    L’événement annuel, comme un rituel, un Woody Allen, celui-ci est tout de même son 47ème film. Plongé dans les 30’s, à Hollywood avec une ambiance jazzy, rien de bien neuf sous le soleil. Tout comme il rendait hommage aux illustres intellectuels français dans « Minuit à Paris » ; il rend hommage, ici, à l’âge d’or du cinéma. Mais là où le premier sentait la naphtaline ; celui-ci dépasse la nostalgie rétro pour aller au plus profond des sentiments. Pas son meilleur film des 10 dernières années, mais un énième volume de qualité autour de l’amour, du hasard de la vie et de la mort ; un film qui contribue à faire œuvre d’un travail d’une vie.
    Rien de bien exceptionnel dans cette histoire d’amour contrariée, mais Woody tient le rythme au travers des relances scénaristiques souvent prévisibles mais toujours délicieuses. Et puis même si çà ronronne, qu’est-ce que c’est fluide. A côté de la comédie romantique de bon goût porté par un casting au charme, Woody tisse une trame de film noir avec une bonne dose d’humour… noir. Les nombreuses saynètes courtes et dynamiques sur le monde des gangsters offrent un côté parodique donnant du rythme et de la légèreté à son film. Il profite de ces deux pistes, la comédie romantique et le film noir, dans son film pour raviver la guéguerre entre New-York et Los Angeles. Avec du côté des Newyorkais l’authenticité et la magouille et du côté des Californiens la superficialité, le paraitre et l’illusion.
    Un Rv annuel sympa avec un Allen de bon niveau cette année même si le contenu est léger.
    Pierre-François C
    Pierre-François C

    4 abonnés 5 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 4 juin 2016
    De beaux décors, de belles voitures, de très belles actrices, les ingrédients classiques de W. mais que c'est creux cet univers sans intérêt. Les peines de coeur de ce milieu de pauvres nantis que W se complaît à nous raconter depuis trop longtemps intéressent encore qui ? Il est temps que le clap de fin arrive ! Ça devient pathétique.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 4 juin 2016
    Woody Allen comme on l'aime: fin, raffiné, drôle, fataliste.
    Le scénario est un peu léger mais la forme compense largement même si je suis un peu réservé sur le choix de Jesse Eisenberg qui manque de charisme, selon moi.
    A voir sans hésiter si on aime l'auteur, ou si on souhaite le découvrir.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 3 juin 2016
    C'est super !
    Le film est une comédie écrite par un réalisateur sadique ! vraiment ! la fin est triste mais on se marre bien bien tout du long ... Après la grosse déception de l'an dernier avec l'homme irrationnel , Woodie est de retour pour nous parler des années 30, Hollywood forcement moins bien que new york, d'un amour impossible, de la fatalité de la mort, de l’ironie de l'existence et au final de la vie tout simplement dont la fin est tristement irrémédiable mais mon dieu qu'est ce qu'on se marre !!
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