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    Café Society
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    3,7
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    464 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 13 mai 2016
    Du Woody Allen : un début lent, une intrigue interessante et une fin ouverte!
    Les décors sont jolis quoiqu'un peu rétro, les acteurs passables
    cyclone200
    cyclone200

    19 abonnés 125 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 16 mai 2016
    Acteurs impressionnants, scénario aux petits oignons, image et bande-son magnifiques. Café Society est un véritable chef-d'œuvre qui fera rêver bon nombre de passéistes.
    Michel C.
    Michel C.

    278 abonnés 1 474 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 16 mai 2016
    Du Woody Allen pur sucre....ambiance raffinée des années 30 - cinéma, swing, jazz, drinks. On croit entendre Woody Allen dans les paroles de Jesse Eisenberg, - en fait il est aussi le narrateur - timide, limite trébuchant avant son ascension en affaires. La rencontre avec la ravissante Kristen Stewart est romantique et l’idylle est bien construite ! De très belles images, et de sublimes morceaux de musique. On passe un moment de divertissement amusant car l'humour est aussi de la partie. Jeu de contrastes magnifiquement illustrés, notamment sur une scène finale qui arrive bien trop vite... Un régal !! **
    Steph N.
    Steph N.

    41 abonnés 88 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 14 mai 2016
    Mon Woody Allen, comme je te retrouve, l'histoire, l'epoque, le jazz.... Et tout est très bien filmé... Tu résistes aux années, nous aussi, et on t'aime...
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 19 juin 2016
    Ce dernier Woody Allen est pas trop mal , mais n'égale d'autres de ses fllms comme par exemple : la rose pourpre du caire , match point.
    Je vais régulièrement voir ses films, même si j'en ai raté (pas grave, il y a les DVD), on retrouve toujours la même ambiance, les mêmes thèmes (les juifs, ambiance jazzy , New York), le style des répliques, l'humour.
    Honnêtement; même si il ne classe pas parmi les chefs d'oeuvre , j'ai passé un bon moment.
    De toute façon les inconditionnels vont aimer.
    elbandito
    elbandito

    349 abonnés 964 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 21 juin 2016
    Woody Allen se surpasse en termes de qualité visuelle et restitue comme rarement l’ambiance du Hollywood puis du New-York des années trente, ses clubs chic, ses gangsters, son cinéma élégant... Seulement voilà, il manque un scénario concret à cette étude d’une certaine caste de la population pour susciter l’intérêt. Comme toujours, les acteurs se bousculent pour le réalisateur qui pense ne jamais parvenir à réaliser son chef d’œuvre. Car il faut le dire les acteurs habituellement bons ne sont pas mis en valeur par ce scénario indigent qui n’apporte rien au spectateur. Néanmoins la presse plébiscite toujours Woody Allen et, contre toute attente, son public est toujours au rendez-vous en salles…
    Sandra
    Sandra

    29 abonnés 48 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 25 mai 2016
    On retrouve encore une fois la "patte" de Woody !
    J'ai beaucoup aimé les dialogues, les décors, les costumes, l'ambiance hollywoodienne, la voix de Woody qui commente en back ground et cette histoire d'amour contrarié.
    cceintrey
    cceintrey

    22 abonnés 130 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 22 mai 2016
    Café Society, film de Woody Allen présenté en ouverture du Festival de Cannes, hors compétition, le réalisateur new-yorkais ne concevant pas l'idée de compétition entre différents films ne traitant pas du même thème.

    Fin des années 30, Hollywood. Débarqué de New York, le jeune Bobby (Jesse Eisenberg) rejoint son oncle (Steve Carell), agent de stars réputées, pour travailler à ses côtés. Il va y rencontrer Vonnie (Kristen Stewart) et tomber immédiatement amoureux de cette élégante employée. Bobby se retrouvera ensuite de retour à New-York à la tête d'un night club, un Café Society, lieu que toutes les personnes en vue fréquentent, littéralement : "Anyone who is anyone will be seen at Café Society".

    On retrouve le ton habituel de Woody Allen, qui est d'ailleurs le narrateur du film. Jesse Eisenberg se fait le porte-voix de l'auteur, par exemple en disant : "Life is a comedy written by a sadistic comedy writer".
    Les costumes magnifiques vont à merveille à Kristen Stewart, l'égérie Chanel, tout comme à Blake Lively, sublime blonde, qui incarne une autre Veronica, dans un rôle plus mineur. C'est une première pour Kristen Stewart sous la direction de Woody Allen. Il s'est dit enchanté d'avoir travaillé avec elle et serait prêt à recommencer. Jesse Eisenberg avait déjà tourné en 2012 avec lui dans To Rome with Love.
    Corey Stoll, connu du grand public pour son rôle de Patrick Russo dans House of Cards, est excellent en gangster de la grosse pomme.
    Steve Carell a remplacé au pied levé Bruce Willis qui n'a pas convenu au réalisateur après seulement quelques jours de tournage et convainc dans ce rôle.

    Je suis un peu surprise par les critiques dithyrambiques sur ce cru 2016 de Woody Allen, moi qui chérit d'habitude chacun de ses films. Seulement quelques jours après l'avoir vu au cinéma, ce film plein de charme semble s'être déjà comme évaporé. Il y a peu d’originalité dans l'histoire (les rebondissements sont finalement peu surprenants). Même si les acteurs sont impeccables, à la fin du film, il se dégage une légère déception, par rapport à mes attentes initiales.
    philippe p.
    philippe p.

    3 abonnés 24 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 25 mai 2016
    Mais où veut en venir Woody Allen ? Si la première partie du film est réussie avec une belle intrigue, la deuxième est sans but et sans scénario. Pourquoi le filme baigne dans une lumière jaune-orange permanente ? Pire, les acteurs ne sont pas crédibles et semblent s'ennuyer dans leur rôle. On retiendra à défaut de beaux décors et costumes qui reflètent les années 30.
    BeatJunky
    BeatJunky

    154 abonnés 1 930 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 28 mai 2016
    Très bon nouveau film de woody Allen qui ressemble à tous les autres: Bavard mais qu'est ce que ça passe bien ! Scénario simple tout comme la mise en scène mais le résultat est vraiment unique comme tjrs avec le réalisateur. Tous les plans sont parfaits : La lumière et la photo sont incroyables, la direction des acteurs impeccable (S.Carell, B.Lively, K.Stewart sont excellents et encore plus particulièrement J.Eisenberg que je n'ai jamais vu aussi bon! ), sans parler des dialogues qui sont comme d'habitude avec le metteur en scène, captivants! Une histoire d'amour toute simple qui saura toucher tout le monde. Qui en effet n'a pas eu cette impression un jour: celle de ne peut-être pas avoir fait le bon choix et imaginer comment notre vie aurait pu tourner??? Subtil et Émouvant, encore un très bon Woody Allen à ne surtout pas manquer!
    missfanfan
    missfanfan

    93 abonnés 849 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 26 mai 2016
    Eh bien moi j'avais pas aimé le dernier Woody Allen qui m'avait bien ennuyé je doit le dire .
    je suis devenue fan sur le tard donc je vois tout ses films celui ci me donnais envie pour cette folle légèreté et insouciance des années folles ainsi que pour la musique jazz dont je suis une grande fan et là pour le coup je me suis régalée même si part moment j'ai trouvé le film un peu bavard comme dab donc merci monsieur Allen
    Charles R
    Charles R

    52 abonnés 424 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 26 mai 2016
    Découvrir un nouveau Woody Allen, c'est bien sûr entrer en pays de connaissance, retrouver le même esprit, la même atmosphère faite à la fois d'intimité et de distance, entendre le même type de musique où le jazz est souverain, bref c'est retrouver ses marques et s'y sentir bien. Avec cette dernière production, Woody ne cherche absolument pas à nous étonner : il faudra s'y résoudre, c'est un énième opus sans surprise mais dont on se délecte comme à l'accoutumée. Dans les années 30, Bobby, petit juif new-yorkais qui vit dans un milieu étriqué, décide de rejoindre son oncle, magnat d'Hollywood qui fait les réputations des acteurs et actrices de cinéma. Deux mondes vont ainsi s'opposer : la middle class du Bronx et la société huppée du spectacle qui multiplie les réceptions prestigieuses où les grands noms du moment se donnent rendez-vous. Et déjà Woody Allen avec l'aide d'un extraordinaire chef opérateur, Vittorio Storaro ("Apocalypse Now", "Le dernier Empereur"), réussit à camper des personnages admirablement dessinés dans des mondes opposés. Les parents de Bobby - et tout spécialement le père (Ken Stoot) - sont "croqués" avec une grande vérité et un humour irrésistible. De même que le frère (Corey Stoll), gangster sans scrupules et d'un cynisme étourdissant. Mais il y a l'amour aussi... Car Bobby, dès son arrivée à Hollywood, va remarquer la belle, l'exquise secrétaire du tonton, incarnée par la non moins délicieuse Kristen Stewart au charme étourdissant. Se noue ainsi une histoire d'amour. Mais nous n'en dirons pas davantage. La suite est tellement plaisante à découvrir... D'autant qu'elle nous permet d'apprécier une multitude de portraits soit parfaitement cernés, soit seulement esquissés : c'est du grand art, du grand Woody Allen. Le film se donne du reste à voir comme un récit choral où les personnages jaillissent à tout moment et n'arrêtent pas de croiser leurs "destins". Il va de soi que Woody a engagé des acteurs et actrices de grand talent. Jesse Eisenberg domine cette production en incarnant Bobby avec une belle sensibilité et un parfait sens des nuances, passant du petit Juif timide et inexpérimenté à l'arriviste sachant profiter de toutes les opportunités y compris des plus discutables. Mais il faut aussi mentionner les rôles féminins : Kristen Stewart précédemment citée et la belle Blake Lively ou encore Parker Posey la libertine. Woody Allen, on le sait, est un merveilleux directeur d'actrices et son choix est toujours fort pertinent. Ce n'est pas pour rien qu'il cultive une véritable vénération pour Ingmar Bergman. Enfin il faut évoquer le rôle de la musique - du jazz et du meilleur - qui, comme toujours, participe à l'ambiance du film et constitue un fil rouge non négligeable. En résumé, rien de franchement novateur dans ce dernier film de Woody Allen, mais le plaisir recommencé de voir décliné de toutes les manières l'univers d'un cinéaste sans égal.
    Requiemovies
    Requiemovies

    210 abonnés 1 153 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 12 mai 2016
    (...)
    En effet, si le ton et l’humour façon Allen sont toujours présents, on s’aperçoit clairement que sur le plan de la mise en scène, le réalisateur a acquit une aisance marquée, notamment dans la grâce « invisible » de ses mouvements de caméra. Ajoutons à cela la photo sublime, chaude et colorée de Vittorio Storaro (« Apocalypse Now », « Le Dernier Empereur »), beauté des intérieurs et magie des extérieurs, et « Cafe Society » se laisse dégusté comme un grand cru avec les atouts majeurs qui composent la filmographie du prolifique réalisateur, dialogues, histoire et direction d’acteurs. (...) Jesse Eisenberg retrouve le réalisateur et signe une partition tout en retenue, avec saveur et pluralité de jeu, en s’éloignant de certaines des interprétations qu’on lui connaît (de temps en temps caricaturales), pour jouer de manière très juste un des rôles principaux ; quant à Kristen Stewart, elle, s’inscrit définitivement dans un cinéma d’auteur avec un jeu tout en douceur et subtilité. (...)
    Tous évoluent autour d’un récit malin, parsemé de dialogues canailles qui ont fait la marque du réalisateur. On perd un peu en sorties cultes, et forcément mémorables, mais le ton est là, il y a de la finesse et de la douceur dans la robe de répliques suaves, qui oscillent entre douceur ou acidité sur un ensemble forcément décalé. Avec intelligence Woody Allen constitue une histoire où ses personnages évoluent une fois de plus de manière originale sur le plan sentimental, mais cela fait longtemps qu’on n’avait pas vu autant de classe chez le metteur en scène.
    Bien sûr l’univers jazz dans lequel se situe le swing sonore du film est pour quelque chose dans son empreinte finale, et contribue à baigner le spectateur dans les années 30 new-yorkaises, autant dans la démesure que dans la mansuétude.
    A se demander si en retrouvant ses terres, loin d’une Europe où il s’est parfois madérisé, Woody Allen ne se redécouvre pas l’envie de faire des films comme il les aime. Prendre son temps et celui de ses personnages pour offrir un joli moment de cinéma d’une classe folle, suave, ronde, en atteste ce montage final, ce dernier plan, qui dénotent toute la finesse et justesse d’un auteur qu’on n’avait pas vu en aussi bonne forme depuis des années sur le terrain de l’amour et de la complexité des sentiments, même simplistes. Comme si c’était à New-York que le café s’avérait finalement le plus corsé.
    Black-Night
    Black-Night

    189 abonnés 421 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 2 juin 2016
    Café Society est un bon et beau film. L’un des plus prolifiques et des plus grands maîtres du cinéma revient pour sa cuvée annuelle et pour également maintenant depuis un moment sa cuvée cannoise que l’on se délecte toujours avec un certain plaisir. Il nous sert donc un beau film mélancolique, grave et triste, sur le thème du ratage amoureux. Bobby, petit gars de Brooklyn, tente sa chance à Hollywood où son oncle Phil est agent de stars. À la suite d’un chagrin d’amour, il rentre à New York et devient manager du cabaret de son frère gangster. Présenté en sélection officielle hors compétition faisant office du film d’ouverture au 69ème Festival De Cannes en 2016, avec de très bonnes réactions dans l’ensemble.
    On y parle de meurtre et de faute, de judaïsme et de show business. Le film se déroule entre Los Angeles et New York dans les années 30, dans les milieux du cinéma et des cabarets. La reconstitution en est d’ailleurs somptueuse. Le cinéaste américain excelle encore dans cette œuvre où son sens du récit, ses bons mots et son humour très appréciable ici, servis par la fluidité de sa mise en scène, nous font passer un charmant moment en très bonne compagnie.
    Moi qui ne suis pas un adepte du jazz, la bande son très jazzy qui compose le métrage est de toute beauté et donne l’ambiance parfaite qu'il lui faut.
    Le réalisateur Woody Allen que l’on pourra bientôt appeler Woody Alien de par son âge, nous revient pour son 47ème long métrage avec une nouvelle réussite, une réalisation léchée et superbe, ainsi que des décors splendides. Le casting fait des étincelles avec, Jesse Eisenberg, Kristen Stewart, Steve Carell, Blake Lively, Corey Stoll, Jeannie Berlin, Ken Stott, Parker Posey tous très bons.
    Une œuvre délectable tout comme cette tasse de café dans la haute société.
    Ma note : 7.5/10 !
    NewBoorn
    NewBoorn

    61 abonnés 576 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 6 juin 2016
    Woody Allen à presque son meilleur, 2 excellents jeunes acteurs en pleine lumière et Steve Carell en cerise sur le gâteau pour une comédie romantique très élégante et divertissante. Un cocktail gagnant.
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