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    Café Society
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    3,7
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    bouddha5962
    bouddha5962

    62 abonnés 738 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 20 mai 2016
    On retrouve l'ambiance jazz de ce réalisateur Woody Allen ; un soupçon de judaïsme, beaucoup d'humour, un peu de meurtre et une multitude de clichés !

    Les acteurs sont dotés de beaux rôles et la musique jazzie est omniprésente !

    Les couleurs sont riches et chatoyantes comme la Californie où se passe une bonne moitié du film.

    L'histoire est somme toute banale. Elle est l'un des thèmes favoris du réalisateur !
    Isabelle E.C.
    Isabelle E.C.

    58 abonnés 304 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 17 mai 2016
    Comme "Magic in the moonlight" le dernier Woody Allen est beau et bien écrit. Nostalgique des années 30, entre New York et Hollywood, les femmes sont très belles et les intérieurs sont élégants.
    L'histoire et les personnages nous montrent un univers mondain avec humour et légèreté.
    C'est un moment de cinéma un peu superficiel mais très agréable.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 19 juin 2016
    Café Society permet de retrouver un Woody Allen passé maître dans l'art de sublimer jeux d'acteurs, photos et mouvements de caméra virtuoses et de nous replonger entièrement dans l'atmosphère des années 30, Le scénario est plus à l'avenant mêlant inutilités scénaristiques, autocritique/humour d'on ne sait plus très bien quel niveau de degré juif et une incapacité visible à conclure la fin de l'histoire. L'on se prend même à se demander s'il ne s'agirait pas d'une forme d'happening en soit Kristen Stewart explose littéralement l'écran.
    crachou94
    crachou94

    23 abonnés 427 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 21 mai 2016
    Un Woody Allen très reconnaissable par l'ambiance, les décors, la musique et les dialogues.
    Jesse Eisenberg et Kristen Stewart sont irrésistibles en amoureux transis, Blake Lively est éblouissante et Steve Carell toujours aussi juste.
    Cine vu
    Cine vu

    145 abonnés 580 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 14 mai 2016
    Beaujolais 2016

    Un bon cru, léger, fruité qui enivre avec délice. On retrouve le bon Allen celui qui nous amuse et nous fait rêver. Il est de retour au Pays et ça lui va bien l’Amérique des années 30.

    Le ton est juste, l’humour juif est manié avec tendresse et les communautés sont représentées à merveille.
    Encore jeune et pourtant présent dans nos salles depuis les années 60, environ 50 scénarios et réalisations, voir plus. Alors on a du bon et du mauvais. Il a parfois des muses, il est parfois inspiré mais parfois aussi égaré ou éparpillé.

    Mais ce jeune homme de 80 ans nous revient avec un joli moment de cinéma et c’est l’essentiel.

    On navigue entre Hollywood et New York, entre malfrat et stars de cinéma. Rose et Phil sont frère et soeur mais littéralement opposés, Phil est un agent reconnu à Hollywood et sa soeur tient une bijouterie miteuse à Manhattan.

    Elle décide de lui envoyer son jeune fils Bobby, jeune gars entre l’adolescence et l’âge adulte. Le voilà dans le monde des paillettes et du superficiel puis le gamin tombe amoureux de la secrétaire de son oncle Phil, La jolie Vonnie, alors tout se complique.

    C’est à NYC que l’on s’amuse le plus entre Rose et son mari et leurs éternelles disputes mais aussi le grand frère Ben et ses règlements de compte impayables.

    Chouette couple aussi du côté de la grande soeur, de son bienveillant mari et de leur voisin brutos. Bref c’est bel et bien là que la comédie prend toute sa dimension.

    Jesse Eisenberg est juste assez mal dégrossi pour jouer Bobby, Kristen Stewart et Steve Carell ne sont pas mauvais et la jolie Blake Lively fait l’affaire mais la vraie brochette et les meilleurs dialogues sont définitivement à Manhattan.

    Un film qui fait du bien, plein de de paillettes, d’humour noir, gris et en couleur.
    Laurent C.
    Laurent C.

    260 abonnés 1 133 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 16 mai 2016
    Si Woody Allen cite explicitement Balzac, il n'en demeure pas moins que la nouvelle œuvre qu'il présente cette année à Cannes, a en plus qu'elle brille d'un cynisme douçâtre et d'une certaine frivolité. Bobby, c'est en quelque sorte le Rastignac d'Hollywood, l'insouciance et la fausse naïveté pour bagages. Il débarque dans l'entreprise cinématographique de son oncle, ce qui l'amène a tomber amoureux de l'amante de ce dernier. Quiproquos, coups de théâtre, et marivaudage règnent dans ce long-métrage, sur fond de jazz et de cartes postales américaines. Après s'être attaqué à Paris, Londres, ou Madrid, le réalisateur se plonge cette fois dans l'effervescence des années 30 à New York et à Hollywood. Le film est exaltant. La mise en scène est très propre, très nette, racontée comme un roman. Allen ne s'appesantit pas sur les détails. Il passe d'une scène à l'autre où le dialogue a plus d'importance que les effets d'image. Le réalisateur promène son spectateur, avec un plaisir évident, dans ses obsessions de toujours : la famille, l'amour impossible, l'argent, et la religion juive. Il se régale avec son spectateur, tout en faisant preuve d'une véritable maturité dans le propos. Allen a fini de parler de lui-même. Il concentre son regard sur une société bourgeoise qu'il connaît bien, et ne se prive pas d'en critiquer les travers et les excentricités. Finalement, derrière cette comédie humaine, se cachent beaucoup de cruauté et de solitude. Woody Allen parle-t-il de sa propre solitude ? On ne saura pas sinon que cette œuvre apparaît enfin comme le digne retour du Maître sur les grands écrans.
    titi1960-
    titi1960-

    19 abonnés 90 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 16 mai 2016
    Une très belle, lumière, un beau cadre, une réalisation aux petite oignons ...
    Mais que ce film est bavard, trop bavard, l'image se suffit le plus souvent a elle même.
    Une belle histoire d'amour, que personnellement je ne qualifierais pas de drame.
    Un bon moment de cinéma.
    poet75
    poet75

    275 abonnés 703 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 14 mai 2016
    Après tant de films réalisés et portés à l'écran, il serait absurde d'attendre de Woody Allen quelque chose de totalement inédit. Mais tous les créateurs ne font-ils pas de même ? Qu'ils soient romanciers, peintres ou cinéastes, les artistes les plus grands ressassent inlassablement les mêmes thèmes et donnent en spectacle les mêmes personnages ? Il ne viendrait à l'idée de personne, je suppose, de déplorer la manie qu'avait Rembrandt de se peindre lui-même (il fit à peu près 80 autoportraits et pas un n'est anodin!). Woody Allen, lui aussi, en grand cinéaste qu'il est, triture sans fin les mêmes thèmes et malaxe sans se lasser la même pâte humaine. L'impression de déjà-vu qu'on peut ressentir en voyant ce nouveau film est réelle, on a le sentiment que les personnages qui s'y produisent sont issus de films antécédents, mais on n'en est pas moins irrésistiblement séduit car ce qui est vrai également, c'est que le talent de conteur et de metteur en scène du cinéaste new-yorkais non seulement ne faiblit pas mais qu'il s'approche de plus en plus d'une sorte d'idéal !
    Si le scénario de « Café Society » n'est pas d'une folle originalité, la mise en scène, elle, est si parfaite et les dialogues, eux, sont si savoureux qu'on n'en finit pas de se délecter. « La vie, affirme l'un des personnages du film, est une comédie écrite par un sadique ». Pour preuve, nous voici emporté avec Bobby (Jesse Eisenberg) jusqu'à l'Hollywood du début des années 30. Ayant quitté la demeure familiale de New-York, il y retrouve non sans peine son oncle Phil (Steve Carell), un producteur richissime qui se vante de fréquenter les plus grandes stars de l'époque. Bobby n'obtient qu'une place de coursier mais qu'importe puisqu'il fait la connaissance de Vonnie (Kristen Stewart), la ravissante secrétaire de l'oncle dont il tombe aussitôt éperdument amoureux. Tout n'est pas si simple cependant, on l'imagine, car la belle fréquente déjà un homme, marié certes et beaucoup plus âgé qu'elle, mais riche et qui pourrait bien quitter ses attaches pour elle. Quel choix fait-on dans ce cas-là ? Celui du jeune homme séduisant, mais pauvre et n'aspirant qu'à retourner à New-York, ou celui de l'homme mûr et marié, mais riche et fréquentant le grand monde d'Hollywood ?
    Woody Allen suggère assez habilement le peu de cas qu'il fait de ce monde-là, ce monde de frivolité que Bobby se décide en effet à quitter pour s'en retourner à New-York et y retrouver les siens, laissant derrière lui celle qu'il aime. La famille que Bobby réintègre n'a rien de très reluisant pourtant, c'est le moins qu'on puisse dire (on y compte même un membre de la pègre), ce qui n'empêche pas le garçon de réussir enfin et à se marier et à gagner largement de quoi vivre en dirigeant le night-club qui donne son titre au film. Fidèle à sa manière, sous des apparences de légèreté, c'est un monde déliquescent que dépeint Woody Allen, à quoi s'ajoutent ici les portraits d'une famille (celle de Bobby) qui collectionne les revers, au point que son chef, Marty, le patriarche, en vient à déplorer le « silence de Dieu » (ce à quoi son épouse rétorque que « pas de réponse, c'est encore une réponse ») ! Un monde cruel, marqué par la fuite du temps, et qui, s'il autorise des retrouvailles (celles de Bobby et Vonnie, par exemple), le fait sous les signes des regrets inutiles et de la mélancolie.
    Un scénario qui n'est pas d'une folle originalité, écrivais-je plus haut : c'est vrai et faux à la fois. Vrai si l'on ne prend en compte que le récit dans sa globalité. Faux si l'on s'attarde sur les détails, sur la multitude des bonnes idées qui réactivent sans cesse l'intérêt du spectateur. Woody Allen est un maître dans ce domaine : son film étincelle de petits détails qui relancent l'intrigue, de répliques savoureuses et de belles idées de mise en scène. Qualifier « Café Society » de film mineur, comme je l'ai lu dans certains commentaires, n'est pas du tout opportun. Les qualités d'un film ne se mesurent pas à l'aune d'une histoire (ou d'un « pitch », comme on dit aujourd'hui), mais bien davantage à l'aune de la finesse des dialogues, des idées de mise en scène et de la direction d'acteurs (sans compter la photographie, le son et plein d'autres éléments). De ce point de vue, « Café Society », comme bien d'autres œuvres de Woody Allen, est un film majeur, une parfaite réussite ! 9/10
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 28 juin 2016
    Certes le chassé-croisé amoureux est convenu mais quand même, quel moment de grâce ! C'est tout doux. Tout est beau et la reconstitution superbe. Une parenthèse enchantée.
    MargauxBa28
    MargauxBa28

    3 abonnés 19 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 17 mai 2016
    On en prend plein les yeux en ce qui concerne les décors et les costumes. En revanche, il n'y a pas vraiment d'histoire. C'est plat, du début à la fin. À voir si vous aimez les années 20/30, pour le style, mais ne vous attendez pas à un chef d'oeuvre tel que "L'homme irrationnel".
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 13 mai 2016
    Très bons acteurs /image parfaite /comme toujours musique jazz topissime .... Mais je n ai pas adhère au scénario. Manquait le petit truc en plus qui a fait des 2 films précédents une petite merveille et un chef d œuvre.
    Stephane D
    Stephane D

    36 abonnés 3 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 30 mai 2016
    Est-il possible d'être impartial lorsqu'il s'agit de Mr Allen ? Difficilement dans mon cas mais ce film est une petite merveille, une parenthèse enchantée, un moment de pure volupté. Acteurs formidables, réalisation toute en retenue pour mieux servir le propos.
    Critique et chronique douce amer d'une époque dans laquelle Mr Woody Allen nous plonge avec délectation pour notre plus grand bonheur.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 14 mai 2016
    A la recherche d’un job à New York, Bobby est incité par ses parents à rejoindre son oncle producteur de cinéma à Hollywood. Chaperonné par Vonnie, secrétaire et maîtresse du tonton, il fréquente « une jet set qui carbure à l’ego » lors de soirées organisées au bord des piscines de somptueuses villas. Et forcément il flashe sur la belle, sans savoir où il met les pieds… En pleine confusion des sentiments, elle est tiraillée entre deux hommes. Et lui entre deux villes, puisque aux futiles « parties » de Beverly Hill, il préfère les Clubs de jazz de Greenwich Village et leur environnement douteux...
    Le dernier Woody Allen nous ramène d’abord au triangle amoureux et à ses variations infinies. Avec quiproquos et valse-hésitation, coups de cœur et coups de théâtre... Il renvoie aussi à quelques récurrences. La bourgeoisie friquée, légère et fascinante. La psychologie moralisatrice des intellos juifs. Et toujours ces allers-retours entre enchantement et amertume, émoi et raison : « l’amour, c’est de l’émotion et les émotions ne sont pas rationnelles » ! Le tout swinguant aux standards de Count Basie et Coleman Hawkins habitués du vrai Café Sociéty à la fin des années trente…
    Malgré les archétypes et les marottes du réalisateur. Malgré l’agacement de revoir toujours un peu le même film depuis son tour des capitales européennes, il faut admettre que les bonnes vieilles recettes fonctionnent encore une fois. Car le dernier Woody Allen porte d’abord la marque de son génie. Avec une mise en scène virtuose – à l’image du superbe premier plan – avec des décors classieux, un rythme d’enfer, de l’humour toujours et de sacrés bons acteurs. Jesse Eisenberg parfait clone du réalisateur et Kristen Stewart en fausse ingénue à qui on pardonne tout. Le charme du maître de Mahattan opère toujours.
    Vincent T.
    Vincent T.

    27 abonnés 134 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 3 juin 2016
    Woody Allen offre un film charmant et mélancolique sur fond de triangle amoureux dans les années 30 aux USA.

    Il reprend cette idée de passé fantasmé de "Midnight Paris" (film de 2012) pour filmer la côte Ouest, à l’image de Kristen Stewart : sensuelle, belle et superficiel et la côte Est des USA. L’angoisse du « sentiment amoureux » passé qui ne s’éteint jamais malgré le fait d’avoir recommencé une nouvelle vie est ici très bien traitée par quelques plans, des regards toujours bien filmés et des astuces de mise en scène.

    Des dialogues absurdes et philosophiques qui sont la marque de fabrique de Woody Allen sont bien présents, la reconstitution des clubs new-yorkais prestigieux (café society) est pas mal et les quelques scènes de jazz sont sublimes.

    Cruel et drôle, ce film dispose d’une bonne distribution avec Jesse Eisenberg, touchant et émouvant qui premier sort de son rôle un stéréotypé dans lequel il s’est enfermé depuis The Social Network et Steve Carell qui par son gabarit en impose dès le début sans oublier Blake Lively.

    Bref, les sujets sont redondants, mais la distribution amène beaucoup de fraîcheur dans ce cinéma déjà vu.

    PS : j’avais plus apprécié son précédent film avec Joaquim Joaquin Phoenix : l’homme irrationnel
    Alice025
    Alice025

    1 682 abonnés 1 369 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 12 mai 2016
    Cafe Society est le quatrième film de Woody Allen que je regarde, et j'ai toujours été ravie et satisfaite de ce que j'ai visionné. Toujours dans un contexte assez particulier, ici dans le monde showbusiness hollywoodien et new-yorkais des années 30, on y suit Bobby qui va essayer de changer d'air et se construire une nouvelle vie ainsi que de nouvelles relations, aidé par son oncle Phil. Puis vient la rencontre avec Vonnie, rencontre pour le moins tumultueux étant donné qu'elle est en couple, mais plus pour longtemps ; ce qui ne veut pas pour autant dire que tout sera blanc comme neige. Les décors et costumes d'époque sont exquis, on a presque envie de remonter le temps pour les découvrir. Les acteurs jouent tous avec charme et pudeur. On sent beaucoup de légèreté dans ce film, mais le côté romantique et mélancolique de l'histoire est tout aussi intéressant et ne nous laissera pas indifférent. Un gros soupçon de frustration et d'indécision plane autour de notre jeune duo Bobby/Vonnie, et on ne peut s'empêcher de se demander quelle aura été la tournure de l'histoire s'ils auront agi différemment, s'ils vivront avec regret ou se contenteront de leurs chemins respectifs.
    Un très bon film qui allie donc légèreté et sujet sentimental sérieux, à voir. Je compte bien explorer la filmographie de Woody Allen plus en détail !
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