Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
29 critiques presse
20 Minutes
par Caroline Vié
On s’est tellement régalé qu’on se verrait bien en reprendre une petite tasse. Juste pour la gourmandise.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Franceinfo Culture
par Jean-François Lixon
Le cinéaste new yorkais retrouve avec brio sa ville natale. L'un des meilleurs films de Woody Allen depuis le début du siècle.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Obs
par François Forestier
A la fin, le soleil se lève, et il ne reste que le rire et les larmes. C’est là qu’Allen est grand et que Woody est son prophète.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Monde
par Thomas Sotinel
Tout est là, harmonieux, fluide, porté par un ensemble d’interprètes délicieux auquel l’auteur s’est joint sous la forme d’une voix off, qui narre les tribulations de Bobby Dorfman entre le Bronx et Beverly Hills.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Ouest France
par Pierre Fornerod
Un film amoureux et nostalgique.
La critique complète est disponible sur le site Ouest France
Positif
par Grégory Valens
Beau, le film l'est assurément, et même somptueux (...). L'extraordinaire talent narratif d'Allen ne devrait plus surprendre. (...) lorsque la grande image est enfin reconstituée, tout est si merveilleusement harmonieux que les pièces qui paraissaient anodines (...) se trouvent à des emplacements-clés.
Sud Ouest
par Sophie Avon
Un nouveau conte sur l’ironie de l’existence dont les tours de passe-passe sont dignes d’un magicien.
Télérama
par Pierre Murat
Dans ce film cruel et brillant, la subtilité et l'harmonie avancent masquées...
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Critikat.com
par Fabien Reyre
Si l’on connaissait la nostalgie de Woody Allen pour les années 30 de son enfance, sa passion pour l’âge d’or hollywoodien ne s’était jusqu’à présent jamais aussi bien incarnée qu’ici.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Culturopoing.com
par Vincent Roussel
Le cœur secret de "Café Society" émerge de cette manière admirable qu’a le cinéaste de filmer le caractère dérisoire des existences dans le flot implacable du temps qui passe.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Gala
par Carlos Gomez
On ne rit pas forcément autant que d’habitude, mais par son refus d’embrasser les clichés de la comédie romantique, voilà un film qu’on n’oubliera pas.
La critique complète est disponible sur le site Gala
L'Express
par Christophe Carrière
C'est dommage: on a connu le réalisateur plus pertinent. Certains dialogues frisent même le lieu commun ("La vie est une comédie écrite par un auteur sadique"). (...) Mais il suffit de quelques échanges dans le Bronx pour redonner du goût à cette friandise, emballée avec un soin exceptionnel par le chef-opérateur Vittorio Storaro ("Apocalypse Now").
La critique complète est disponible sur le site L'Express
L'Humanité
par Michaël Melinard
Cette œuvre très réussie en forme de conte romantique entre New York et Los Angeles dans les États-Unis des années 1930 constitue une enthousiasmante comédie (...).
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
La Croix
par Jean-Claude Raspiengeas
Œuvre dans la bonne moyenne de sa filmographie, "Café Society" est un film follement élégant qui ne manque pas de charme mais d’énergie et de peps.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Des jolies filles, un garçon un peu gauche, une ambiance jazzy, et le monde chic et rétro d’un Hollywood mythique : pas de doute, Woddy mérite d’ouvrir le festival de Cannes…
Le Figaroscope
par Nathalie Simon
Woody Allen, en metteur en scène brillant, privilégie la spontanéité des comédiens. Attentif à leurs faits et gestes, il aime tourner avec peu de prises. Anticipant le résultat. Celui-ci est à la hauteur de ses espoirs. Convaincant.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaroscope
Le Journal du Dimanche
par Barbara Théate
Un hommage drôle et nostalgique à l’âge d’or de Hollywood (...).
Les Inrockuptibles
par Jean-Baptiste Morain
Il y a donc presque deux films dans cette jolie comédie romantique pleine de sel, de charme, de délicatesse.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Julien Gester
S’il ne se fige jamais tout à fait dans la neurasthénie ou les automatismes de son auteur, le film le doit pour beaucoup à la distribution. Au premier chef Eisenberg, meilleur avatar et incarnation de l’appartenance du cinéaste à la race des nerveux depuis une éternité (le moins singeur, aussi) (...).
La critique complète est disponible sur le site Libération
Marianne
par Danièle Heymann
Un film à la fois triste et gai, trépidant et tendre, où, finalement, il est beaucoup question de morale, de religion.
Metro
par Marilyne Letertre
Grinçant mais aussi romantique et élégant.
La critique complète est disponible sur le site Metro
Studio Ciné Live
par Christophe Carrière
Cela faisait longtemps que Woody Allen n'avait pas autant brillé par sa mise en scène.
TF1 News
par Romain Le Vern
Ne vous fiez pas à la fausse superficialité : plus on repense à "Café Society", plus il prend de la valeur comme un croisement entre "Comédie érotique d'une nuit d'été" et "Coups de feu sur Broadway". Sous ses airs glam, resplendisent une réelle noirceur et un spleen Fitzgeraldien.
La critique complète est disponible sur le site TF1 News
Télé 2 semaines
par Thomas Colpaert
Loin de ses récentes escapades européennes, Woody Allen offre un regard nostalgique mais aussi acerbe sur un âge d’or révolu, le tout agrémenté une fois de plus de dialogues dont lui seul semble avoir le secret (...).
La critique complète est disponible sur le site Télé 2 semaines
VSD
par Olivier Bousquet
Il s’agit dès lors de guetter dans un regard ou un mouvement, la pointe de regret ou d’amertume. Le sentiment douloureux d’être passé à côté d’un être et d’une histoire. Flaubertien en diable.
La critique complète est disponible sur le site VSD
Voici
par Jérôme Saunier
Le Woody nouveau est très élégant dans ses habits de lumière, et la beauté faramineuse de Stewart don- nera du grain à moudre dans les dîners.
aVoir-aLire.com
par Alexandre Jourdain
(...) "Café Society" ne saurait être réduit à un simple prolongement de l’œuvre de Woody Allen, mais bien à une forme de renaissance, aussi classique et normalisée soit-elle. Il y avait longtemps qu’un film d’ouverture du Festival de Cannes n’avait pas atteint un tel niveau.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Cahiers du Cinéma
par Florence Maillard
Dans l’écrin de décors miroitants des années 30 (…) sourd donc une forme de mélodrame aux pointes émoussées (…). Mais cette -construction demeure érodée, inaccomplie, le film peinant à transmettre une émotion.
La Septième Obsession
par Thomas Aïdan
Le film pâtit d’un manque d’audace et de fraîcheur ; le scénario semble à peine tenir debout, aucune splendeur visuelle pour un film presque surfait à l'arrivée.
20 Minutes
On s’est tellement régalé qu’on se verrait bien en reprendre une petite tasse. Juste pour la gourmandise.
Franceinfo Culture
Le cinéaste new yorkais retrouve avec brio sa ville natale. L'un des meilleurs films de Woody Allen depuis le début du siècle.
L'Obs
A la fin, le soleil se lève, et il ne reste que le rire et les larmes. C’est là qu’Allen est grand et que Woody est son prophète.
Le Monde
Tout est là, harmonieux, fluide, porté par un ensemble d’interprètes délicieux auquel l’auteur s’est joint sous la forme d’une voix off, qui narre les tribulations de Bobby Dorfman entre le Bronx et Beverly Hills.
Ouest France
Un film amoureux et nostalgique.
Positif
Beau, le film l'est assurément, et même somptueux (...). L'extraordinaire talent narratif d'Allen ne devrait plus surprendre. (...) lorsque la grande image est enfin reconstituée, tout est si merveilleusement harmonieux que les pièces qui paraissaient anodines (...) se trouvent à des emplacements-clés.
Sud Ouest
Un nouveau conte sur l’ironie de l’existence dont les tours de passe-passe sont dignes d’un magicien.
Télérama
Dans ce film cruel et brillant, la subtilité et l'harmonie avancent masquées...
Critikat.com
Si l’on connaissait la nostalgie de Woody Allen pour les années 30 de son enfance, sa passion pour l’âge d’or hollywoodien ne s’était jusqu’à présent jamais aussi bien incarnée qu’ici.
Culturopoing.com
Le cœur secret de "Café Society" émerge de cette manière admirable qu’a le cinéaste de filmer le caractère dérisoire des existences dans le flot implacable du temps qui passe.
Gala
On ne rit pas forcément autant que d’habitude, mais par son refus d’embrasser les clichés de la comédie romantique, voilà un film qu’on n’oubliera pas.
L'Express
C'est dommage: on a connu le réalisateur plus pertinent. Certains dialogues frisent même le lieu commun ("La vie est une comédie écrite par un auteur sadique"). (...) Mais il suffit de quelques échanges dans le Bronx pour redonner du goût à cette friandise, emballée avec un soin exceptionnel par le chef-opérateur Vittorio Storaro ("Apocalypse Now").
L'Humanité
Cette œuvre très réussie en forme de conte romantique entre New York et Los Angeles dans les États-Unis des années 1930 constitue une enthousiasmante comédie (...).
La Croix
Œuvre dans la bonne moyenne de sa filmographie, "Café Society" est un film follement élégant qui ne manque pas de charme mais d’énergie et de peps.
Le Dauphiné Libéré
Des jolies filles, un garçon un peu gauche, une ambiance jazzy, et le monde chic et rétro d’un Hollywood mythique : pas de doute, Woddy mérite d’ouvrir le festival de Cannes…
Le Figaroscope
Woody Allen, en metteur en scène brillant, privilégie la spontanéité des comédiens. Attentif à leurs faits et gestes, il aime tourner avec peu de prises. Anticipant le résultat. Celui-ci est à la hauteur de ses espoirs. Convaincant.
Le Journal du Dimanche
Un hommage drôle et nostalgique à l’âge d’or de Hollywood (...).
Les Inrockuptibles
Il y a donc presque deux films dans cette jolie comédie romantique pleine de sel, de charme, de délicatesse.
Libération
S’il ne se fige jamais tout à fait dans la neurasthénie ou les automatismes de son auteur, le film le doit pour beaucoup à la distribution. Au premier chef Eisenberg, meilleur avatar et incarnation de l’appartenance du cinéaste à la race des nerveux depuis une éternité (le moins singeur, aussi) (...).
Marianne
Un film à la fois triste et gai, trépidant et tendre, où, finalement, il est beaucoup question de morale, de religion.
Metro
Grinçant mais aussi romantique et élégant.
Studio Ciné Live
Cela faisait longtemps que Woody Allen n'avait pas autant brillé par sa mise en scène.
TF1 News
Ne vous fiez pas à la fausse superficialité : plus on repense à "Café Society", plus il prend de la valeur comme un croisement entre "Comédie érotique d'une nuit d'été" et "Coups de feu sur Broadway". Sous ses airs glam, resplendisent une réelle noirceur et un spleen Fitzgeraldien.
Télé 2 semaines
Loin de ses récentes escapades européennes, Woody Allen offre un regard nostalgique mais aussi acerbe sur un âge d’or révolu, le tout agrémenté une fois de plus de dialogues dont lui seul semble avoir le secret (...).
VSD
Il s’agit dès lors de guetter dans un regard ou un mouvement, la pointe de regret ou d’amertume. Le sentiment douloureux d’être passé à côté d’un être et d’une histoire. Flaubertien en diable.
Voici
Le Woody nouveau est très élégant dans ses habits de lumière, et la beauté faramineuse de Stewart don- nera du grain à moudre dans les dîners.
aVoir-aLire.com
(...) "Café Society" ne saurait être réduit à un simple prolongement de l’œuvre de Woody Allen, mais bien à une forme de renaissance, aussi classique et normalisée soit-elle. Il y avait longtemps qu’un film d’ouverture du Festival de Cannes n’avait pas atteint un tel niveau.
Cahiers du Cinéma
Dans l’écrin de décors miroitants des années 30 (…) sourd donc une forme de mélodrame aux pointes émoussées (…). Mais cette -construction demeure érodée, inaccomplie, le film peinant à transmettre une émotion.
La Septième Obsession
Le film pâtit d’un manque d’audace et de fraîcheur ; le scénario semble à peine tenir debout, aucune splendeur visuelle pour un film presque surfait à l'arrivée.