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Un visiteur
4,0
Publiée le 28 octobre 2015
Un très beau film. Kore Eda est de retour, et à nouveau les thèmes de la famille, de l'enfance, du lien de filiation et de la mort sont abordés avec beaucoup de finesse et de pudeur. Les quatre comédiennes sont très touchantes et on en ressort joyeux et espiègle.
tout en finesse, élégance et émotion on retrouve le plaisir de Tel père, tel fils qui nous raconte des relations familiales passionnantes quel bonheur que ce film !!!
Eminemment consensuel le nouveau film de Koreeda (« Tel père, tel fils ») risque de rallier les suffrages tant il porte le bonheur à portée de mains autour de trois, puis quatre sœurs qui vivent ensemble, sans papa, ni maman. L’aînée a pris les choses en mains, même si l’ensemble de la sororité n’entend pas se laisser marcher sur les pieds. La tendre complicité qui les unit est le ferment de ce récit joliment porté par quatre comédiennes inter-générationnelles. C’est la maison des bisounours jusqu’au jour où la maman revient y mettre son grain de sel. Juste une petite tempête qui relance la famille vers ses préoccupations quotidiennes. C’est un apprentissage tranquille de la vie où même les engueulades sont drôles, tant que les contingences externes ne viennent pas chahuter leur propre folie. Toutes les comédiennes sont au diapason des cerisiers en fleurs et des amours qui bringuebalent au gré de leurs humeurs ou de leurs obligations. Une fois encore l’aînée devra se sacrifier… Pour en savoir plus
J'ai été une nouvelle fois touchée par la sensibilité et la précision d'Hirokazu Kore-eda même si j'ai trouvé Notre petite soeur moins fort que les précédents films du réalisateur comme Tel père, tel fils, Iwish ou Nobody knows que j'avais adorés. Une nouvelle fois, Hirokazu Kore-eda aborde les thèmes des liens familiaux, de l'enfance, de la mort et de la reconstruction, le tout en mêlant poésie, légèreté et intimité. Le film recèle de beaux moments d'émotions et d'humanité, même si il est peut être parfois un peu mièvre, avec des personnages certes attachants mais sans grand reliefs, ce qui enlève au film sa force tragique, c'est dommage.
Une petite merveille de douceur nippone. Les actrices sont toutes sublimes et ce cinéaste confirme avec ce film une oeuvre centrée sur la famille et ses secrets.
L'oublié de Cannes. J'aurais attribué la palme de la meilleure actrice ex aequo aux quatres soeurs. quatre styles différents, quatre caractères, quatre personnalités. Un film tout simplement beau, simple, émouvant dont on en ressort heureux et satisfait d'avoir fait la connaissance de personnes d'un autre continent si éloigné et pourtant si proche de chacun de nous. En souhaitant que la famille s'agrandisse au plus vite et que l'on en fasse partie.
NB: Coup de coeur identique pour "Le passé' d'Asghar Farhadi en 2013