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    Notre petite soeur
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    Eric C.
    Eric C.

    237 abonnés 2 273 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 13 octobre 2016
    Un film quasiment sur le bonheur, la quiétude, la joie des choses simples, la poésie du quotidien et de l'amour familial avec ce quatuor de 4 soeurs, réunies après le décès du père commun dans ce que Francis Lalanne décrit si bien dans la maison du bonheur. Un film qui fait du bien tout simplement par sa force émotionnelle et positive. 4 actrices remarquables et attachantes.
    Patjob
    Patjob

    34 abonnés 591 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 30 septembre 2020
    Ce film se situe dans le registre des relations familiales, comme les films, plus connus, de Kore-Eda qui le précèdent et le suivent. Mais celui-ci ne repose sur aucune histoire linéaire : à partir d’une situation (Trois sœurs ont décidé de recueillir leur petite demi-sœur), le réalisateur montre des tranches de vie, des moments d’émotion, et des visions poétiques. Il le fait avec mesure, retenue, tact, délicatesse et intelligence. Avec beaucoup d’amour pour ses personnages aussi. De cette démarche naît une vraie et simple émotion. Si le film commence et se termine par des funérailles, les plans de ces quatre jeunes filles en noir marchant, et jouant, sur la plage expriment la résilience, l’espoir et l’amour de la vie.
    Florent Blenck
    Florent Blenck

    13 abonnés 41 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 25 novembre 2015
    Après le triomphe (mérité) de Tel Père, tel Fils à Cannes et en Occident, Hirokazu Kore Eda est revenu à Cannes avec un nouveau film parlant de la famille dans ses bagages. Première bonne surprise : Kore Eda n’a pas cherché à nous servir une resucée de son précédent film, malgré l’apparente proximité des thèmes des deux films. Malgré l’absence des parents des 4 filles, thème qui constituait le cœur de Tel Père, tel Fils, Kore Eda a ici choisi de se concentrer sur la vie et les interactions de ses héroïnes.

    Autant le dire tout de suite, le film est beaucoup plus « japonais » dans sa démarche que n’a pu l’être le précédent film de Kore Eda : il n’y a pas à proprement parler de fil rouge de l’histoire (si ce n’est l’éternel passage des saisons), et la caméra suit tour à tour les quatre filles sans donner la priorité à l’une ou à l’autre (tout au plus peut-on trouver Chika un peu délaissée). On pourrait s’interroger quant à l’utilité de telles scènes, n’y a-t-il pas un risque de dispersion, un manque de profondeur des personnages ? En réalité, ces scènes sont nécessaires car elles donnent mieux à voir (par contraste) le vivre-ensemble, cette alchimie mystérieuse qui unit Sachi, Yoshino, Chika et Suzu, et dont il émane une grande grâce et une affection profonde. Pour reprendre les mots d’une amie : « On dirait que ce sont de vraies sœurs ».

    Alors on peut choisir d’y voir de la mièvrerie, mais le fait qu’aucun des personnages ne soit stéréotypés (même Sachi, qui peut paraître très stéréotypée au début, cache en réalité des doutes et des questions qui lui sont propres), que ce soient les personnages principaux comme secondaires (la tenancière du restaurant, la mère, le jeune ami de Suzu,…). Cela est notamment rendu possible par l’excellente interprétation des quatre actrices, Haruka Ayase, Masami Nagasawa, Kaho et Suzu Hirose, qui réalisent la performance collective parfaite, et aux autres acteurs qui ne sont également pas en reste. Toutes et tous, ils insufflent au film cette profondeur des personnages et l’authenticité qui lui permettent de ne pas être un feel good movie à la sauce soja, mais un film touchant et émouvant. Il confirme par ailleurs ce que l’on pressent depuis quelques années : les femmes sont de plus en plus mises en avant dans le cinéma japonais (Vers l’autre Rive pour citer un film récent), grâce à une génération d’actrices remarquables, capables d’occuper le devant de la scène, mais aussi grâce à des réalisateurs aussi talentueux que Kore Eda, soucieux de livrer des films tout en nuances, dans lesquels on retrouve avec bonheur des échos d’Ozu.

    Il faut toutefois saluer également le travail remarquable fait sur la photographie, encore une fois magnifique, avec cette fois un cadre radicalement différent de Tel Père, tel Fils pour le coup, avec cette petite ville tranquille de Kamakura, bien loin de l’agitation tokyoïte. Le travail sur la lumière est absolument splendide et vient magnifier cette ville de province pourtant banale. Une science du cadrage et de la lumière qui s’inscrivent dans la lignée des réalisateurs les plus prestigieux du cinéma japonais : Ozu, Kobayashi, Mizoguchi.

    Notre Petite Sœur est peut-être moins accessible que Tel Père, tel Fils, mais ce serait une erreur de le considérer comme moins bon. Il correspond tout simplement à un recentrement sur une forme plus typée japonaise, dans la lignée des plus grands maîtres, mais adopte sur le fond un propos plus novateur encore, mettant en avant des femmes fortes et indépendantes. Un nouveau bijou de grâce, de sensibilité et de justesse.
    Matching P.
    Matching P.

    14 abonnés 133 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 8 novembre 2015
    Nous avions vu "Tel père, tel fils" de Hirokazu ici. Cette fois encore, il a choisi la famille comme thème. C'est l'histoire d'une famille recomposée, un mélodrame bien moins triste que son film précédent. Et pourtant, on parle de la mort et du deuil, de maladie et d'abandon, et de culpabilité. Cette chronique familiale reste subtile et légère et dégage un formidable optimisme à travers les scènes du quotidien des quatre soeurs dans leur vieille maison pleine de courants d'air, les repas partagés, les promenades et les disputes. Elles sont tellement attachantes avec leurs caractères si différents et leurs histoires d'amour avortées. La solidarité, la tendresse et l'amour familial les réunissent et aident à panser les blessures que le père, la mère et la vie tout court leur ont infligées.
    Tout cela est filmé avec délicatesse. Les filles et surtout l'ainée, "grande soeur", ne sont que grâce et bonté, les cerisiers en fleur sont d'une beauté extraordinaire, et la retenue et la politesse japonaise d'une pudeur touchante. Hirokazu utilise les clichés du Japon traditionnel. Le respect des anciens, l'amabilité à l'école et l'ambiance amicale au club de football, sans aucune agressivité ni vulgarité, tout est politesse, noblesse. On peut reprocher au film d'avoir idéalisé la vie dans cette petite ville au bord de la mer, de se dérouler sans apporter un vrai grand moment, d'être charmant mais de manquer de scénario - c'est juste le temps d'une année, d'un cycle des cerisiers. Nous ne savons pas si c'est un chef-d'oeuvre, mais nous avons été sensibles à cette douceur de vivre.
    On aimerait bien partager leurs fous rires ...
    LeMagduCiné
    LeMagduCiné

    66 abonnés 626 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 26 janvier 2016
    Blissfully yours

    Lors de la conférence de presse précédant la projection de Notre Petite sœur en compétition au Festival de Cannes au mois de Mai dernier, la première question qui a été posée au réalisateur Hirokazu Kore-Eda est de savoir si le film est un hommage à Ozu, tant pour ce journaliste, absolument tous les plans semblaient habités par le grand Maître. Question qui a dû lui être adressée dans tous les festivals pour chacune de ses réalisations, sans qu’à aucun moment le cinéaste ne montre un quelconque signe d’agacement. Il revendique au contraire ce rapprochement, et déclare sans fausse pudeur sa très grande admiration pour son aîné, au point de visionner à nouveau certains films d’Ozu lors de la préparation de son film.

    Coutumier des films de fratrie (dont le très bouleversant Nobody knows qui l’a révélé au public occidental), racontant merveilleusement des bribes de vie le plus souvent enfantines, où les adultes ont abdiqué, fait défaut, et où souvent les aînés remplissent le rôle de protecteur, Kore-Eda produit un cinéma où les drames et les deuils font partie de la vie qui continue ; il se retrouve ainsi dans la droite ligne d’Ozu pour qui tout est « ordinaire et banal ».
    MemoryCard64
    MemoryCard64

    41 abonnés 375 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 28 novembre 2015
    Construire un film à partir d'un scénario sans grand enjeu narratif, ce n'est pas à la portée de tout le monde. Hirokazu Kore-eda réussit très bien l'exercice avec son dernier long-métrage, qui narre la vie de trois sœurs dont le quotidien se voit chamboulé par l'arrivée de leur demi-sœur dans la maison familiale. L'intérêt du film repose donc sur l'évolution des relations entre ces quatre jeunes femmes. Nous verrons comment Suzu, la plus jeune, trouvera sa place dans ce nouvel environnement et comment les trois autres l’intégreront dans un noyau familial déjà solide. C'est plutôt cliché, mais les actrices (et donc, les personnages) font preuve d'une grande sincérité qui fait que l'ensemble fonctionne. Je pense à la scène de l'arrivée dans la maison de Kamakura, la séquence est imprégnée d'une petite gène, typique des moments où ne sait pas encore bien comment se comporter avec les gens en face de nous. Et puis, qui dit fraternité dit complicité et chamailleries. Voir les frangines se disputer pour un rien, se réconcilier et finalement rire ensemble, ça vous colle un sourire niais sur la figure. Le quotidien des protagonistes est également beaucoup mis en avant. On explore les problèmes de couple de Yoshino, la vie professionnelle de Sachi, la passion de Suzu pour le foot... La maison est le principal lieu d'action et devient un endroit familier pour le spectateur, comme si le réalisateur nous invitait à nous poser sur la véranda avec les filles. Cet aspect résolument optimiste ne tombe pas pour autant dans le mielleux, des moments moins joyeux viennent contrebalancer le reste. Le personnage de la mère et la proposition faite à Sachi soulèvent d'ailleurs des questions intéressantes. Par contre, c'est un peu dommage que les personnages rechignent un peu à vraiment s'énerver à des moments où cela aurait été nécessaire. Notre petite sœur est une adaptation, je ne sais pas si elle est fidèle mais on sent l'héritage du manga : les sœurs ont chacune une personnalité différente et très marquée, il y a des "éléments scénaristiques types" tels que la fête de l'été, la rentrée scolaire, les balades dans la campagne (je sais que je dis ça pour chaque film japonais que je vois, mais encore une fois la nature est superbement filmée), etc. Pourtant, comme je l'ai déjà dit, le vrai que l'on trouve dans ce quotidien emporte complètement le long-métrage. Maintenant, je n'ai qu'une envie : aller cueillir des prunes sous un grand soleil d'été.
    Extremagic
    Extremagic

    67 abonnés 484 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 22 novembre 2015
    Si je n'avais pas apprécié ma première rencontre avec Kiyoshi Kurosawa cette année, je dois dire que celle avec Kore-eda était beaucoup plus réjouissante. Ca faisait un moment que j'avais envie de voir le cinéma de ce monsieur - depuis I Wish en fait mais l'occasion ne s'était jamais présentée. Et sincèrement toute la première moitié du film j'étais assez convaincu qu'on tenait le meilleur film de l'année. Bon je me suis un peu ravisé vers la fin. Mais tout de même que c'était bien ! Déjà je dois dire que l'histoire m'a pas mal causé par la thématique de la reconstitution familiale, l'absence présente des parents, tout ça ça me parle. L'autre chose c'est que j'adore le Japon ! Mais surtout ce Japon, celui du film, celui où tu remplis la panse avec de magnifiques asiatiques dans une maison rustique entouré de cerisiers - et je vous parle même pas de la campagne japonaise qu'on a lorsqu'elles viennent chercher la petite, sans que ça atteigne non plus la beauté d'un Miyazaki ou d'un Hosoda. Et puis Kore-eda sait fichtrement bien filmer que ce soit ses actrices (le premier plan est d'une beauté sans pareil : on remonte le corps de cette femme au petit soleil) et puis il sait rendre l'atmosphère d'un lieu, justement ce premier plan est super aussi parce qu'on a l'impression d'être avec eux, au réveil. La maison c'est pareil, la forêt c'est pareil, etc. on a toujours l'impression d'être dans le lieu, il y a quelque chose de très sensitif dans ce qu'il montre et j'aime beaucoup. Après j'ai tout de même trouvé le film un peu long et qu'il ne développait pas forcément les bonnes choses. Je veux dire que j'aurais préféré une certaine quête de l'identité des parents, en savoir plus sur eux mais au lieu de ça on a des amourettes, alors c'est sympa un moment mais à vrai dire je m'en fiche un peu, après quand c'est développé c'est bien fait mais c'est le sujet que j'aurais voulu différent. Et puis je me suis bien taper un fou rire lorsque la fille, sa mère et sa grand-mère s'engueulent. Après j'ai trouvé que les disputes généralement étaient un peu débiles et superficielles c'était un peu pour trouver un fautif, mais bon il faut bien le dire quand on voit des adultes se disputer c'est comme les gamins c'est toujours l'autre qui a commencé. En tout cas ce qui m'a vraiment plu dans ce film c'est qu'il transpire la vie, il a suinte de tous les pores de l'écran, c'était beau, c'est assez rare pour être souligné. C'est comme cette descente sur le vélo de son amoureux au milieu d'une route bordée de cerisiers. Et on a plein de moments comme ça, on voit ces personnages vivre, on les voit rire, s'engueuler, à la limite pleurer mais jamais avec apitoiement, etc. Bon le film a quelque petits défauts mais franchement c'était génial, j'espère que toute la filmo de Kore-eda est comme ça parce que si c'est le cas je sens que je vais adorer !
    Emmanuel B.
    Emmanuel B.

    1 abonné 29 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 13 septembre 2020
    Un film d'une poésie rare, la poésie de la beauté et des sentiments et qui aborde avec une délicatesse infinie la mort, le deuil, le souvenir ... la bienveillance !
    pcellier
    pcellier

    8 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 1 octobre 2016
    Ce film de plus de deux heures est d'un ennui mortel. Il a été difficile d'en venir à bout. La qualité de la réalisation ne compense pas la vacuité du scénario.
    Daugnac
    Daugnac

    5 abonnés 54 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 27 janvier 2023
    Très bon film, on se retrouve avec 4 jolis filles gais et dynamiques dont on voudrais être le petit ami , dans un monde qui nous ressemble mais qui est complètement diffèrent ,vivement qu'il repasse à la télévision car je n'ai pas pu voir la fin.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 14 janvier 2016
    un film délicat , des actrices convaincantes et pleines de charme. On est transporté dans un pays où la délicatesse est inscrite dans l'art de vivre. Le cocon familial reconstitué par les 4 soeurs ne leur permet pas d'éviter toutes les difficultés de la vie. Tensions et sacrifices sont aussi au RV, mais ils sont surmontés avec une très belle élégance. On ne crie pas, on reste courtois et poli, tout est dans la retenue. On se prend à vraiment aimer cette maison et ses occupantes. Un beau moment de cinéma plein de raffinement !
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 24 octobre 2016
    Alors c'est la chronique intimiste d'une famille pas comme les autres, composée de trois soeurs, qui en adoptent une quatrième (demie soeur)...alors c'est vrai que tout le monde est gentil là dedans, tout le monde s'accepte (même si parfois...), scénario auquel on n'est pas habitué au cinéma où il faut forcément des côtés sombres aux protagonistes, donc certains magazines comme Télérama y ont vu de la mièvrerie, pardi. Pas moi, je trouve le film crédible (même si les japonais ont parfois tendance à exacerber, c'est leur grand truc, laissons le leur)...alors oui, c'est peuplé de petites saynètes charmantes, d'agréables décors (pas paysage, hein, no carte postale), de bienveillance mutuelle...et alors?...pas de longueurs, ça se suit sans ennui et, petit à petit, on comprend mieux tout le fil de l'histoire. On ajoute à ça des acteurs bons et expressifs, une technique irréprochable, et on a un film sans doute non palmable à Cannes, mais dont on revient content de l'avoir vu, c'est déjà pas mal.
    Guy E
    Guy E

    25 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 24 décembre 2018
    Un disciple d'Ozu, qui met en scène, dans un film très intimiste et très esthétique, la notion de famille, chère aux japonais -et pas rien qu'à eux. Une merveille de sensibilité, qu'il faut voir et revoir.
    Preko
    Preko

    2 abonnés 81 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 11 février 2021
    Un film d’une immense douceur qui est tout à la fois une célébration à la vie et à l’amour, à la capacité humaine à faire des liens, et à celles des individus singuliers à se libérer des dictats familiaux et sociaux pour prendre soin les uns des autres. Les actrices sont d’un talent absolument ahurissant qui transforment totalement l’objet film pour en faire une vraie fenêtre grande ouverte sur la vie.
    Los Indiscretos
    Los Indiscretos

    2 abonnés 26 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 3 novembre 2016
    Oubliez une partie de vos clichés sur le Japon, le réalisateur Hirokazu Kore-eda nous plonge dans l’intimité de trois sœurs aux caractères singulièrement différents. Leur gentillesse les amène à accueillir cette demi-sœur dont elles ignorent tout. La photographie, claire et épurée, habille le film d’une bienveillance dont seules les productions japonaises ont le secret. Bien plus qu’un « feel good movie » traditionnel, Notre petite sœur ne verse jamais dans le pathos malgré des situations qui pourraient facilement s’y prêter. Ni dramatique, ni comédie, c’est la neutralité du film qui bouleverse : les scènes se succèdent sans grande incidence les unes sur les autres et pourtant, l’œil de la caméra fait qu’on s’épreigne de ces quatre sœurs qui apprennent à devenir heureuses ensemble, chacune étant liée par sa propre intrigue en second plan. Si le message peut paraître un tantinet trop lumineux, flirtant parfois avec le naïf, on n’a aucun mal à embrasser cette naïveté, comme lors de cette magnifique scène à vélo où défilent les sakuras en fleurs.
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