Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
25 critiques presse
L'Express
par Eric Libiot
Dialogues justes, mise en scène retenue, image lumineuse. Un grand film délicat.
La critique complète est disponible sur le site L'Express
La Voix du Nord
par Philippe Lagouche
La fluidité du récit, l’excellence du jeu d’acteurs, les subtiles variations d’un cinéaste aquarelliste confèrent définitivement à Kore-Eda Hirokazu le statut sans appel de maître du septième art.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Avec l’art qu’il a, très japonais, du minimalisme, Kore-Eda offre un film bouleversant, tout d’élégance et de délicatesse.
Ouest France
par Pierre Fornerod
Une mise en scène élégante. Des sentiments généreux.
20 Minutes
par Stéphane Leblanc
Une fête pour les yeux et les papilles : "Notre petite sœur" se délecte d’une multitude de plats de poissons et se révèle malgré tout digeste et léger.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Critikat.com
par Nicolas Journet
Ce portrait d’une sororité de femmes libres délivre un courageux éloge de la tendresse.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Elle
par Anne Diatkine
Ce qui frappe d’abord, c’est la grâce des quatre filles ensemble, leur sourire, et l’utopie réalisée que constitue cette famille improbable, sans homme et dont les mères sont en perdition.
La critique complète est disponible sur le site Elle
La Croix
par Arnaud Schwartz
Généreux, espiègle ou apaisé, le film invite le spectateur à prendre place au sein de cette petite communauté bienveillante, filmée avec beaucoup de grâce.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Monde
par Thomas Sotinel
Kore-eda choisit la voie de la contemplation minutieuse, lucide et empathique du quotidien.
Le Parisien
par Pierre Vavasseur
On traite rarement aussi bien de la légèreté sur un ton grave et vice versa.
Les Inrockuptibles
par Théo Ribeton
Le classicisme radieux de Kore-eda à son meilleur.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Clément Ghys
On est là dans le non-sensationnel. Et pourtant, Kore-eda parvient à rendre cette banalité très charnelle et désirable, au point que l’effet immédiat de "Notre Petite Sœur" est de donner envie de venir s’attabler avec ces quatre femmes dans le charme d’une vieille maison de Kamakura.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Marianne
par Pierre-Edouard Peillon
Notre petite soeur réussit son pari : rendre sensible l'écoulement du temps.
Paris Match
par Alain Spira
Aussi rafraîchissante qu’une salade d’algues subtilement assaisonnée, cette chronique familiale se déguste avec de délicates baguettes comme un mets raffiné.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Positif
par Jean-Dominique Nuttens
Sans doute n'a-t-il pas l'âpreté de "Nobody Knows" ou "Still Walking" (...) Mais qui, mieux que Kore-eda, filme une visite au cimetière sous la pluie, qui mieux que lui capte la mélancolie des gares et des trains, qui aussi bien que lui fait du visage de ses personnages des paysages aux variations infinies ?
Studio Ciné Live
par Thierry Cheze
Un bijou de sensibilité.
aVoir-aLire.com
par Alexandre Jourdain
Belle et langoureuse digression sur fond de filiation, "Notre petite soeur" confirme tout le talent de Kore Eda pour peindre la famille et le Japon.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Le récit, redondant, dépeint avec régularité des scènes du quotidien sans pour autant faire évoluer ses héroïnes, toujours bienveillantes les unes envers les autres. Un monde un peu trop parfait pour être crédible.
Les Fiches du Cinéma
par Thomas Fouet
Kore-eda, dans la lignée de “Nobody Knows”, n'est pas loin d'élever la mièvrerie au rang d'art majeur.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Télérama
par Samuel Douhaire
Ce film est en tous points charmant. Mais, pour la première fois dans l'oeuvre de Kore-eda, il n'est que ça. (...) Le cinéaste retrouve l'équilibre entre la douceur et l'amertume, l'humour et la mélancolie qui fait sa force. Mais c'est trop tard, et trop peu...
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cahiers du Cinéma
par Vincent Malausa
L’effet de mièvrerie qui gagne au fil des séquences, affermi par la clarté sans mystère de la mise en scène de Kore-eda (…), laisse à penser que le travail d’adaptation a fait écran à toute inspiration. Résultat bien maigre qui fait de Notre petite sœur une parenthèse ténue, presque oubliée déjà, dans l’œuvre du cinéaste.
L'Obs
par La Rédaction
Le contraste entre la douceur de vivre apparente et la douleur intime des personnages se dilue dans les bons sentiments. La caméra glisse mollement autour des acteurs comme si elle craignait de déranger. Un film mignon tout plein. Mais tout plein de vide.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Première
par Christophe Narbonne
Kore-Eda ressasse ses motifs avec une application d'artisan sûr de ses effets. Le résultat frustre plus qu'il ne convainc : pas de scènes franchement marquantes ni de performances incroyables. Tout du long, on a comme l'impression d'une promesse de film jamais tenue. Dans certaines scènes, on y croit même fort.
La critique complète est disponible sur le site Première
TF1 News
par Romain Le Vern
Tout petit Kore-Eda kawaï. Pas détestable mais trop inoffensif pour se mesurer aux précédents films majeurs du cinéaste comme "Nobody Knows" et "Still Walking".
La critique complète est disponible sur le site TF1 News
L'Express
Dialogues justes, mise en scène retenue, image lumineuse. Un grand film délicat.
La Voix du Nord
La fluidité du récit, l’excellence du jeu d’acteurs, les subtiles variations d’un cinéaste aquarelliste confèrent définitivement à Kore-Eda Hirokazu le statut sans appel de maître du septième art.
Le Dauphiné Libéré
Avec l’art qu’il a, très japonais, du minimalisme, Kore-Eda offre un film bouleversant, tout d’élégance et de délicatesse.
Ouest France
Une mise en scène élégante. Des sentiments généreux.
20 Minutes
Une fête pour les yeux et les papilles : "Notre petite sœur" se délecte d’une multitude de plats de poissons et se révèle malgré tout digeste et léger.
Critikat.com
Ce portrait d’une sororité de femmes libres délivre un courageux éloge de la tendresse.
Elle
Ce qui frappe d’abord, c’est la grâce des quatre filles ensemble, leur sourire, et l’utopie réalisée que constitue cette famille improbable, sans homme et dont les mères sont en perdition.
La Croix
Généreux, espiègle ou apaisé, le film invite le spectateur à prendre place au sein de cette petite communauté bienveillante, filmée avec beaucoup de grâce.
Le Monde
Kore-eda choisit la voie de la contemplation minutieuse, lucide et empathique du quotidien.
Le Parisien
On traite rarement aussi bien de la légèreté sur un ton grave et vice versa.
Les Inrockuptibles
Le classicisme radieux de Kore-eda à son meilleur.
Libération
On est là dans le non-sensationnel. Et pourtant, Kore-eda parvient à rendre cette banalité très charnelle et désirable, au point que l’effet immédiat de "Notre Petite Sœur" est de donner envie de venir s’attabler avec ces quatre femmes dans le charme d’une vieille maison de Kamakura.
Marianne
Notre petite soeur réussit son pari : rendre sensible l'écoulement du temps.
Paris Match
Aussi rafraîchissante qu’une salade d’algues subtilement assaisonnée, cette chronique familiale se déguste avec de délicates baguettes comme un mets raffiné.
Positif
Sans doute n'a-t-il pas l'âpreté de "Nobody Knows" ou "Still Walking" (...) Mais qui, mieux que Kore-eda, filme une visite au cimetière sous la pluie, qui mieux que lui capte la mélancolie des gares et des trains, qui aussi bien que lui fait du visage de ses personnages des paysages aux variations infinies ?
Studio Ciné Live
Un bijou de sensibilité.
aVoir-aLire.com
Belle et langoureuse digression sur fond de filiation, "Notre petite soeur" confirme tout le talent de Kore Eda pour peindre la famille et le Japon.
Le Journal du Dimanche
Le récit, redondant, dépeint avec régularité des scènes du quotidien sans pour autant faire évoluer ses héroïnes, toujours bienveillantes les unes envers les autres. Un monde un peu trop parfait pour être crédible.
Les Fiches du Cinéma
Kore-eda, dans la lignée de “Nobody Knows”, n'est pas loin d'élever la mièvrerie au rang d'art majeur.
Télérama
Ce film est en tous points charmant. Mais, pour la première fois dans l'oeuvre de Kore-eda, il n'est que ça. (...) Le cinéaste retrouve l'équilibre entre la douceur et l'amertume, l'humour et la mélancolie qui fait sa force. Mais c'est trop tard, et trop peu...
Cahiers du Cinéma
L’effet de mièvrerie qui gagne au fil des séquences, affermi par la clarté sans mystère de la mise en scène de Kore-eda (…), laisse à penser que le travail d’adaptation a fait écran à toute inspiration. Résultat bien maigre qui fait de Notre petite sœur une parenthèse ténue, presque oubliée déjà, dans l’œuvre du cinéaste.
L'Obs
Le contraste entre la douceur de vivre apparente et la douleur intime des personnages se dilue dans les bons sentiments. La caméra glisse mollement autour des acteurs comme si elle craignait de déranger. Un film mignon tout plein. Mais tout plein de vide.
Première
Kore-Eda ressasse ses motifs avec une application d'artisan sûr de ses effets. Le résultat frustre plus qu'il ne convainc : pas de scènes franchement marquantes ni de performances incroyables. Tout du long, on a comme l'impression d'une promesse de film jamais tenue. Dans certaines scènes, on y croit même fort.
TF1 News
Tout petit Kore-Eda kawaï. Pas détestable mais trop inoffensif pour se mesurer aux précédents films majeurs du cinéaste comme "Nobody Knows" et "Still Walking".
VSD
Beaucoup de petits riens pour pas grand-chose.