Derniers Avis : Antigang - Page 3

Aucune crédibilité. Rien à voir avec la réalité ... trop influencé par les films américains spoiler:

Cette publicité long métrage pour le tabac m'a profondément choqué.
Elle est pour moi au cinéma d'aujourd’hui ce qu'est le film X de maintenant , l’obscénité a son comble ,
Si je suis déçu de voir ce grand acteur ,jean Reno ,clope a la bouche en permanence alors que tout fumeur verra immédiatement qu'il en ai pas un se vendre sans rechigner , le pompon revient quand mème a cette jeune actrice enceinte jusqu'au dent toujours prête a arracher de la bouche la clope d'un ami .
Soit dit en passant cette échangisme malsain de clopes qui passent de bouche en bouche entre acteur plusieurs fois dans le film est a mon sens d'une grande ingéniosité de la part des publicitaires .
Gâché par ces épouvantables réflexions, j'ai eu malgré tout quelques moments de plaisir a regarder ce polar musclé ou l humour des acteurs est pour le moins original !

Un bon film policier français porté par un Jean Reno convaincant en flic bourrin, qui en fait qu'à sa tête !! C'est rythmé ,beaucoup d'actions, de fusillades, de combats et une mise en scène nerveuse et efficace notamment la course poursuite dans Paris !!

Au scénario très (trop) limité mais voulant aller à contre-courant des standards du film d'action.

Tatatiiin ! Ça bastonne comme a Chicago ! Super film d'action made in France qui dépote bien et remplit son contrat. .. mention spéciale à Alban Lenoir pour les scènes de castagne.

Extrêmement peu réaliste, brutal, le seul bon point d'antigang est de nous laisser débrancher le cerveau. AU figuré mais aussi au propre.

Bon...entre un scénario assez mince, des incohérences sur les méthodes de notre bonne vieille police française et un Jean Reno bedonnant et essoufflé, ce film est loin d'être à la hauteur de ses prétentions. On se doute qu'il se voulait le Heat hexagonal, mais pour ça, il aurait fallu...Michael Mann, la bonne pléiade d'acteurs qui vont avec, une BO digne de ce nom...bref...tout ce que Antigang n'a pas.

Voilà un excellent divertissement, dans la lignée des grands films policiers français, avec au menu de l'action, de l'enquête et des sentiments. La seule chose que je peux reprocher à ce film est la façon dont les policiers combattent les malfrats en cours d'action. Cela ne reflète pas du tout la réalité, mais passé ce "détail", cela fini par faire partie du scénario, voire nous arracher un sourire. C'est donc un très bon polar à la française, à voir par tous les amateurs du genre.

Je gardais un bon souvenir d'"Antigang" que j'avais découvert au cinéma et comme je ne l'avais pas revu depuis, j'ai profité d'une diffusion à la télévision pour me le remater en espérant juste que le divertissement fonctionnerait une seconde fois.

Fort heureusement pour moi, ce fut le cas. Le scénario écrit par François Loubeyre et Tristan Schulmann ne casse pas trois pattes à un canard mais on en a pour notre argent. S'inspirant très largement de ce que l'on a déjà pu voir par le passé dans le genre, le long métrage de Benjamin Rocher s'émancipe de tout complexe pour nous offrir un pur spectacle pop corn sans prise de tête.

Cette légèreté assumée a pour mérite de nous faire passer un bon moment. Tant pis si l'intrigue tient sur un post-it, on se marre, on a de l'action et c'est diablement efficace, je n'en demandais pas plus. Alors oui, par moment, le manque de surprises et d'originalité fait qu'on peut ressentir un petit coup de mou. Le fun s'atténue pour mieux revenir et la fin prévisible semble un brin bâclé dans sa facilité mais honnêtement, même en sachant à quoi m'attendre, je me suis une nouvelle fois bien marré.

Devant la caméra, ça m'a fait plaisir de revoir un Jean Reno (Serge Buren) convaincant qui semble prendre du plaisir. L'acteur joue avec tous les stéréotypes de son personnage mais il s'impose aisément avec son charisme en tant que leader de groupe. J'ai beaucoup aimé son duo avec Alban Lenoir (Niels Cartier) en totale roue libre qui semble encore plus prendre son pied. On s'attache très vite à lui, son humour fait mouche et l'association des deux acteurs s'avère payante. Dans le registre du buddy movie, ce couple ne sera sans doute pas un classique mais il en respecte les ficelles pour ma plus grande joie.

Le reste de la distribution fait également bien son travail. Le reste du groupe de Buren est sympathique même si on peut trouver qu'il soit un peu mis en retrait. Seule Caterina Murino (Margaux) parvient à tirer un peu son épingle du jeu ainsi que Thierry Neuvic (Le Commissaire Becker) en s'imposant à l'écran plus facilement. Côté second rôle plus petit encore, Féodor Atkine (Tancrède) fait son boulot et j'ai aimé la fraîcheur de Sabrina Ouazani (Farida) même si son personnage n'a pas forcément une grande utilité.

Côté méchant, même si il s'en sort quand même bien, j'ai eu un peu plus de mal avec Jakob Cedegren (Kasper). J'ai trouvé que le comédien manquait un peu de charisme. Après, le scénario n'aide pas non plus à lui donner de la consistance mais malgré l'humour général, je pense que cela aurait été pas mal qu’il soit un peu plus sombre, un peu plus sale à l'écran.

Pour son troisième long métrage, Benjamin Rocher continue son petit bonhomme de chemin. Une nouvelle fois, on sent que le cinéaste s'inspire d’œuvres qui ont marqué sa cinéphilie. Il ne bouscule pas tout, ça sent le déjà vu avec de grandes inspirations hollywoodiennes mais dans le paysage cinématographique français, ça fait quand même plaisir.

Visuellement, c'est très agréable à suivre. L'action y est bien chorégraphié même si les hommages sont parfois trop appuyés (comment ne pas penser à "Heat" lors de la scène de fusillade dans les rues de Paris ?). Il y a peu de temps mort, la photographie est belle et même si parfois la recherche esthétique parait un peu poussive sur certains plans, ça fonctionne bien. La bande originale m'a bien amusé aussi avec un choix de chansons bien kitsch (et encore assumé) qui colle parfaitement avec l'ambiance générale.

Pour résumer, "Antigang" n'a rien de révolutionnaire dans le monde de la comédie policière. On a l'impression d'avoir vu ce genre de films des centaines de fois mais cela ne l'empêche pas d'être maîtrisé et plaisant. Il y a quelques maladresses mais dans l'ensemble ce divertissement efficace à totalement atteint son objectif à mes yeux et même lors d'un second visionnage, je me marre de nouveau. Le film aurait sans doute pu aller encore plus loin mais en l'état, il me plaît bien quand même et rien que pour le duo Jean Reno - Alban Lenoir, je pourrais le revoir de nouveau sans aucune difficulté.

Mr Vladdy - 5 décembre 2018.

Il y a de la baston, de la violence gratuite mais un scénario quasiment vide. Cela fait furieusement penser à « Heat » de Michael Mann sorti quasiment 20 ans auparavant mais au lieu d’améliorer le concept, « Antigang » se contente d’en plagier certaines scènes. En somme, un film d’action sans aucune ambition.

une catastrophe, j'adore jean reno mais là c'est vraiment nul du debut a la fin. Le scenario est totalement incoherent. Les gars ne respectent aucune procedure ni la moindrte hierarchie. C'est le western en plein Paris, ca tire en pleine rue au milieu des passants. Les flics avancent avec leur petits pistolets contre des malfratrs lourdement armes sans la moindre peur. Rien ne tient debout dans ce film pitoyable. Heureusement que les vrais flics sont plus professionnels et font preuve de plus de dicernement...

plus téléfilm que film ça se laisse regarder grâce à l action mais autrement. .. Jean Reeno a l air diminué et bizarrement alors qu' il vient combattre à main nueset qu'on l imagine quasi mort il s ' sort avec aisance. !,

Polar musclè made in France avec des arrestations à gogo, des combats à l'amèricaine et des coups de feu qui n'atteignent pas souvent leur cible! Des policiers aux mèthodes discutables contre des mèchants braqueurs qui sèment la zizanie dans la capitale! On retrouve un Jean Rèno barbu qui endosse une nouvelle fois (cf. "Les rivières pourpres") le costume d'un super-flic aux mèthodes viriles! Les seconds rôles sont quand même à côtè de la plaque : de Alban Renoir à Caterina Murino en passant par l'ex à Jenifer (Thierry Neuvic) et Sabrina Ouazani! Rien que ça! Du pain bèni pour des comèdiens jamais convaincants, exception faite Fèodor Atkine! Mais même si l'humour est ici bien laborieux, on n'a pas envie d'être trop mèchants car soyons honnête on n'a pas vraiment le temps de s'ennuyer même si tout est exagèrè! Le clou du film, c'est sans aucun doute cette baston grand guignolesque dans un garage entre Alban Renoir et une armoire à glace! Rires garantis! Pas de doute, sans lui, ce polar poussif serait ennuyeux...

Je m'inquiète pour Jean Reno. Je trouve que, sur ces derniers rôles, il est étrangement éteint. Trop vieux. Lassé peut-être. Il faudrait lui demander en interview s'il a toujours la motivation pour jouer. Surtout quand on lui donne des éternels rôles de flic au bout du rouleau. Loin des polars signés Olivier Marchal nourris de vieilles rancœurs de sa vie d'ex-policier, Antigang est plutôt fun. Le but étant de rendre hommage à ce chef d’œuvre de Michael Mann qu'est Heat en y ajoutant quelques touches d'humour. Soit une bande de braqueurs ultra-violents et astucieux en prime et de l'autre côté des forces de l'ordre préférant utiliser des battes de base-ball ou leurs poings. Cachant le manque de moyens par des bastons se déroulant dans des parkings souterrains ou de vieux entrepôts désaffectés, Antigang propose une enquête violente, nourrie de références au polar ricain où Reno, de par son expérience, tente de canaliser l'énergie de ses jeunes partenaires qui ont un peu tendance à partir en vrille. Il n'y arrive pas toujours. Mais j'ai senti derrière la caméra une vraie énergie, un plaisir de filmer et une passion pour le genre. Et puis, il faut bien se faire la main en attendant. La rigueur attendra.

De l'action avec un excellent casting, j'ai adoré regarder ce film âge sa sortie. Pas une minute de repis, ça bouge bien et c'est bien filmé et bien joué, avec un scénario co