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Un visiteur
2,0
Publiée le 10 décembre 2016
Tres bon début de film Belle atmosphère belle image Du suspense bien mené MAIS une fois L ingride déjoué le film retombe et devient prévisible !!! Quelle tristesse ! Bref assez déçue
Une intrigue qui ne tient pas la route. Les rares scènes qui sont censées surprendre et faire peur au public sont toutes téléphonées et mal mises en œuvre par les acteurs. Et puis on se demande ce que fait la police pour mettre autant de temps à venir. Bref, allez le voir si vous ne savez pas quoi faire de votre soirée.
Je n'ai pas du tout aimé. J'ai passé 20min à sursauter puis presqu'une heure à soupirer. C'est du vu et revu aucune surprise.spoiler: Un méchant ridicule , une partie de cache-cache le garçon m'a bien blasé, plusieurs façon de partir de la maison bâclée à croire qu'elle voulait continuer la partie de cache-cache . Vraiment très déçue.
J'ai adoré ce thriller qui n'a pas rien à envier à Psychose... !! Le climat déjà très froid au sens propre ( Canada - 10 à - 20 ) mais frissons garantis, si vous attendez patiemment la douce montée en puissance du rodéo neuronal que le scénario vous propose. C'est impeccable, et bien tordu - enfin tout ce qu'il faut dans ce genre... ( pas de sang ... ou très très peu) et des images travaillées - notamment celles par ordinateur interposé genre skype.... RRRRR. Naomi Watts donne beaucoup dans ce film, rôle principal omniprésent, et bien que psychologue, elle a bien du mal à démêler le réel du reste.... !!! Excellent film si vous aimez le genre !! **
l'histoire est vraiment "tirée par les cheveux" et surtout très dérangeante... personnellement, je n'accroche pas du tout ! et puis du suspense et de la tension gratuite comme ça.. dommage car une telle actrice a bien mieux à offrir comme rôle. le 1,5 tient à elle surtout
Un film que l'on pourrait scinder en 2 parties. LA 1ère posant les traits et les personnages. Et une deuxième on entre un peu plus dans l'action et ou tout ce joue dans ce huit clos, fort peu époustouflant (des cambrioleurs, une jeunes femme qui malgré des cambrioleurs reste chez elle... Bref, Naomi W. réhausse un peu l'ensemble du film mais n'arrive à le mettrre assez en valeur. Surtout quant il y a un mois on découvrait "don't Breath la porte des ténèbres" ; vaguement sur le même principe mais en plus prenant et ou les cambrioleurs avaient à faire face à un aveugle (d'ou la logique qu'il ne sortait pas trop de chez lui ; faute de repère). Loin d'être effrayant, le film est quand même relativement longuet et les quelques jumpscares ; quant ils sont là ; sont prévisible et déjà vu (ce qui était déjà le cas pour l'histoire en elle même). Donc la tension monte mais trop lentement pour vraiment nous prendre aux tripes et au moment ou elle se montre présente. C'est là qu'on assiste au "twist final" et la tension retombe en même temps que la résolution du problème de base. Certains le considère comme un film d'épouvante (banal mais d'épouvante). Personnellement on est pas vraiment dans l'épouvante. Auquel s'ajoute un manque de personnalité. Pour les plus sensibles. Ce petit film d'angoisse offrent tous les ingrédients et les effets qu'attendent le public et à nous offrir ; on n'attend presque plus grand chose (mais les cinéphiles rien que de base , trouveront le film assez léger... Et comprendront le faible succès en salle et des critiques pas spécialement bonnes^^.). Bref, un film ; dont un DTV aurait peut être pu mérité plutôt qu'une faible distribution, un faible score (idem coté US...). Et je pense que le coté ciné, a eu lieu grâce à la présence des acteurs dont Naomis W. et leur jeu relativement correct (et arborant quelques petites tensions... MAis n'étant pas vendu comme tel, on s'ennui quand même). PAs de vrai retournement de situation ou de twist vraiment surprenant. Juste quelques petites tensions qui font passer certains DTV pour des très bon film. A voir, à la limite un soir d'ennui pour tuer 1h30 de temps... Mais rien d'extraordinaire, et surtout pour les amateurs qui auront vu la BA assez alléchante (la présence de Naomi W. ajoutant une petite couche) et l'histoire qui même si elle semble déjà vu dans d'autres productions. L'ennui est plus de mise que la peur et le suspens ou l'on comprends vite le fonctionnement.
un bon thriller psychologique en huis clos avec des moments qui font sursauter mais une fin un peu bâclée et c'est dommage. pas d'originalité et une sensation de déjà vu.
Oppression était vendu comme un thriller fantastique, force est de constaté qu'il ne s'agira que d'un petit thriller. Si au début, on espère tomber tout de même sur une bonne surprise avec un film de série B de bonne facture, dans la seconde partie du film, on se prend les pieds dans le tapis et l'on nous raconte une histoire qui fait qu'il faut totalement oublié ce que l'on a vu précédemment. A croire que toute la première partie est en fait un faux raccord. Et ainsi, on tombe dans un film de série B assez mauvais à la limite du Z et l'on aurait pu se limiter à un direct DVD. La mise en place est réussie mais c'est tout le reste qui ne va pas, principalement la seconde partie et la fin totalement bâclée avec une pseudo surprise sur l'explication de ces événements. Surprise inexistante car au final, on se retrouve devant quelque chose de prévisible dès le départ et de déjà vu à plusieurs reprises. Seulement Naomi Watts arrive à relever légèrement le niveau, malgré une interprétation au minimum syndical. Oppression reste un thriller totalement bancale qui est finalement tombé mais pas du bon côté. Et je ne comprends absolument pas l'interdiction aux moins de 12 ans.
À moins d'être doté du Q.I. d'une crevette d'eau douce, si vous avez vu la bande-annonce d' "Oppression", vous vous doutez probablement du twist sur lequel repose entièrement le film.
Autant ne pas vous le cacher, il s'agit bien de ça, d'exactement ça et de seulement ça. Ben oui, car, en plus d'être ultra-contents de nous prendre pour une bande d'andouilles frites à la vue de ce rebondissement médiocre, les scénaristes ont bâti tout le reste du film autour de celui-ci avec les ficelles les plus éculées du genre.
Après une mise en place d'une paresse inquantifiable nous martelant bien les contours psychologiques de tous les personnages (si vous ne comprenez pas où tout ça va mener à ce moment, on ne peut plus rien faire pour vous), on le voit arriver à des hectares à la ronde : "Oppression" va être une catastrophe de compétition ! Et, au moins, là-dessus, il tiendra ses promesses.
Alors que les indices s'accumulent de manière complètement grotesque vers la grande révélation-de-la-mort-qui-tue (il n'y a bien que la pauvre Naomi Watts, aussi perdue que son personnage, qui ne voit rien venir), on se retrouve plongé au milieu de séquences se terminant inlassablement par le réveil de l'héroïne dans son lit (toujours plus simple de combler le vide avec des rêves à la symbolique de comptoir) et de quelques jumpscares bien foireux.
Pendant que l'on commence à mâchouiller nerveusement notre ticket de cinéma en se disant que ça a meilleur goût que le film, le pot aux roses nous est enfin dévoilé. Et là, on espère un petit miracle. Après tout, maintenant que le "mystère" n'est plus, "Oppression" va peut-être partir dans une direction différente. Rassurez-vous (ou pas), ça n'arrivera jamais, le reste du film prenant l'allure interminable d'un banal thriller domestique de seconde zone où le réalisateur plagie carrément des scènes d'"Halloween" pour passer le temps.
À part pour nous donner l'envie de découper en filets mignons toute l'équipe qui a commis ce truc innommable, on ne comprend même pas pourquoi "Oppression" a bénéficié d'une sortie sur grand écran.
Le film se scinde en deux, une première partie qui mets en place l'atmosphère anxiogène et les protagonistes, la seconde qui entre disons, dans le vif du sujet. C'est d'ailleurs cette césure maladroite qui ouvre la porte de Pandore. On passe donc du thriller psychologique et inquiétant à la course poursuite survival bourrine. À la rigueur ça aurait pu être efficace si le récit tenait un temps soit peu la route. La seule chose qui relève le niveau est la qualité de la photographie et au climax, un peu court pour sauver ce thriller médiocre.
Oppression c’est encore une histoire catastrophique pour EuropaCorps, la boîte de production de Luc Besson habitué du genre. Ce scénario aurait plus eu sa place dans la liste des plus mauvaises idées que dans celles des histoires à adapter au plus vite. Tout d’abord ennuyeux, Oppression tourne au consternant. On se demande bien comment Naomi Watts a pu se laisser convaincre de jouer dans ce film. On ressort d’Oppression avec la désagréable impression de s’être fait sérieusement arnaqué. Une belle perte de temps et d’argent. [lire la critique complète sur le site]
On a droit à tous les clichés du genre, auxquels se rajoutent les invraisemblances et mêmes des longueurs sur un film pourtant plutôt court. Quelques bonnes idées dans le scénario mais tellement mal exploitée... A éviter.
Un thriller convenable mais dont le scénario reste un peu grotesque à mon goût. Porté par un joli casting, Naomi Watts que l'on ne présente plus, mais aussi Charlie Heaton (révelé dans Stranger Things) et Jacob Tremblay (révélé dans Room), le film démarre plutôt bien avec une intrigue mêlée à la disparition d'un enfant et de la paranoïa. Mais l'histoire prend une tournure que je trouve un peu trop exagérée, ce qui m'a un peu détachée du dénouement final. Un thriller qui ne restera pas forcément dans notre mémoire.