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Prad12
91 abonnés
1 086 critiques
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1,0
Publiée le 7 mars 2017
Le film le moins intéressant ou le plus prévisible de l'année 2016.... vraiment je suis surpris par le rebondissement.... plus prévisible tu meurs...... dès le début on s'y attend et cela rend le film dispensable, car mille fois vu...... aucun intérêt donc à part Naomie Watts qui fait de plus en plus de fours.....
sur un canevas classique et dans un cadre propice au stress, rien de bien nouveau avec ce shut in!certes quelques effets à frissons mais l'ensemble n'a rien de très novateur et l'on retrouve les éternelles invraisemblances du genre. N. Watts bien dans son personnage.
D'habitude je suis un minimum conciliant avec ce genre de thrillers en bois mais là non, stop, le film n'entrouvre jamais la porte à quelque chose qui pourrait être captivant (ou à la limite une, mais on a à peine le temps d'y croire), ça n'a aucun intérêt, et comme si ça ne suffisait pas on nous colle des jumpscares toutes les 5 minutes, au bout d'un moment c'est très irritant, en plus d'être souvent reliés à des redondances scénaristiques insupportablement équivoques. La seconde partie bascule même dans un niveau de connerie absolu, quel est le sens de cette histoire, de ces relations ? Et voir le film tenter de se dépêtrer de tout ça par des pirouettes grossières ne fait que l'enfoncer, difficile de ne pas être passif, la dernière demi-heure est tout bonnement interminable, et cerise sur le gâteau même pas de petite surprise finale ou même de twist pour jouer l'esbrouffe, nada, inutile de A à Z.
Et bin, quelle déception...Et dire que j'étais heureux d'enfin revoir Naomi Watts sur grand écran...et pourquoi ? Pour me prendre la même douche froide lorsque je suis allé la voir pour la sortie de "The Ring - Le Cercle" !! Si parmi vous certains se sont dis « Wahoo, l'affiche d' "Oppression" donne l'impression que le film porte bien son nom ! », je vous rassure de suite : l'affiche est bien la seule chose d'oppressant que propose le film !! Sur fond d’isolement montagnard à la "Shining", Farren Blackburn essaye de nous vendre un scénario auquel lui même il n'arrive pas à croire tant il manque cruellement d'ambition et multiplie les clichés....Si l'idée de nous plonger dans un cauchemar à l'intérieur duquel s'entrechoquent rêve et réalité était un bon départ, la mise en scène soporifique et les dialogues creux aboutissent au final à un ennui d'une sacré puissance (le dvd d' "Oppression" bientôt dans les hôpitaux comme somnifère ?!)...et même si le fantastique essaye de pointer le bout de son nez et que le twist final (au final, c'est l'unique argument narratif du film !!) pourra peut être en surprendre certains (mouais, et encore...), cela ne suffit pas pour sauver le navire du naufrage ! Quand je pense que c'est la future scénariste du prochain "Transformers" qui s'est chargé de la « chose », bin je flippe énormément pour la suite des aventures de nos amis robots ! Alors que reste-t-il de bien ? La prestation de Naomi Watts ? Avec toute l'admiration que j'ai pour cette actrice, elle ne peut pas sauver à elle seule toute l'entreprise, d'autant plus que son rôle est assez banal et très peu développé, donc elle ne peut faire de l'or avec du plomb !!Et je ne parle pas de son collègue Charlie Heaton, qui se contente 98% du temps à rester la bouche à moitié ouverte, le regard dans le vide (c'est sûr que c'est pas avec une telle prestation qu'il aura un Oscar ou même un Golden Globen !!) Bref, "Oppression" est sans caractère, sans âme : un thriller qui se voudrait entre le fantastique et la paranoïa, mais dont le twist improbable plombe totalement sa crédibilité, l'empêchant ainsi de se démarquer dans un genre ultra-balisé. Ce n'est pas avec ce genre de bobine que Farren Blackburn pourra s'affranchir de son statut de réalisateur de sériesTV ("Doctor Who", "Daredevil"). Inutile et vain, à oublier aussitôt vu.....non, en fait, faut même pas le voir !! Quand je pense qu'il a été vendu comme un mélange entre le "Apparences" de Zemeckis et le "Panic Room" de Fincher, il a vraiment de sacrés escrocs sur cette planète !!
Comme pour son précédent et unique film avant celui-ci, Farren Blackburn reprend tout ce qui a été fait des dizaines de fois ces derniers mois sans pour autant y apporter sa touche personnelle seulement contrairement à "Hammer of the Gods" le résultat est bien plus efficace et divertissant. Dans ce film, je trouve quand même que le réalisateur tire un peu trop sur la corde avec des scènes à rallonge, on a l'impression que le film pourrait faire trente minutes de moins que cela ne bouleverserait rien et surtout pas cette minuscule intrigue qui n’est miraculeusement jamais ennuyeuse grâce à l'ambiance mise en place ainsi qu'au mystère entourant l'histoire qui pouvait aboutir à de nombreuses conclusions rationnelles ou pas. Sans être un grand film, ce thriller horrifique psychologique qui reprend tous les codes habituels notamment ceux du huis clos est vraiment plaisant et m'a fait passer un bon moment grâce à une histoire finalement bien menée qui est haletante et intense dans les moments importants et grâce à un twist surprenant qui redonne un second souffle au film bien qu'il soit peu gros et pas forcément crédible.
Un thriller intense et psychologique, je dirais même un thriller à la Hitchcock. Les plans sont somptueux, Naomi Watts est magnifique et bouleversante dans son rôle. C'est indéniable que "Oppression" est un film qui rend hommage aux anciens thrillers, que ce soit dans la réalisation (le travail des ombres à la "Psychose"), et les déroulements de l'intrigue mettant en avant le suspens plutôt qu'une overdose de violence.
on peut pas tous être Brian de Palma et là c ' est tous les clichés du genre avec en plus la musique insupportable toutes les trois minutes juste pour vous faire sursauter . Rien de nouveau ...pourquoi pas mais on peut pas croire à cette histoire où dès le début on voit tout arriver.
J'ai adoré! Déjà, le cadre, une maison perdue dans les bois, sous la neige, en pleine tempète, ensuite l'ambiance, cette façon de naviguer entre rêve et réalité, au point où on ne sait plus si l'héroïne sombre ou non dans la psychose, et pour finir la révélation finale, qui n'était pas celle qu'on attendait! Très bon thriller!
Farren Blackburn nous propose un thriller assez classique, avec un démarrage assez lent. A vouloir trop introduire le contexte, le film traîne en longueur avec peu de rebondissements… jusqu’au twist final complètement bluffant et renversant ! Le huis-clos prend alors une tournure intéressante, avec une belle photographie et une ambiance anxiogène. On reprochera néanmoins au film son manque d’originalité sur les techniques employées pour mettre en place l’aspect thriller. A voir tout de même !
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Le moins que l'on puisse dire est que le film ne démarre pas sur les chapeaux de roue... l'histoire est lente, et on a du mal à être captivés. Le jeu d'actrice de Naomi WATTS est bon, elle s'est plus d'une fois illustrée avec succès dans ce genre de thriller psychologique..et c'est bien elle qui sauve un peu les meubles. L' avancée de l'intrigue est quelque peu prévisible et on comprend trop tôt la chute de l'histoire. Rythmé par un manque de surprise et d'action évident, le film prend vie sur les dernières 20 minutes où les évènements s'enchaînement mais beaucoup trop tardivement ! On a cette impression de déjà vu tout au long du film, truffé de clichés typiques du "thriller psycho". On ne pas peut pas dire que ce film soit un navet car dans l'ensemble il tient assez bien la route, c'est néanmoins le manque cruel d'originalité et de dynamisme qui lui fait défaut.
Depuis le décès de son époux, Mary, pédopsychiatre, vit seule avec son beau-fils dans un chalet isolé de la Nouvelle-Angleterre. À l’approche d’une violente tempête de neige, Tom, l’un de ses jeunes patients, est porté disparu. Mary, tout à coup sujette à des hallucinations et prise de paranoïa...
"Oppression" est un film de Farren Blackburn sorti en décembre 2016. Refroidi par des critiques plus que mitigées, j'ai tardé à aller voir ce thriller dont l'esthétisme de l'affiche me rappellait beaucoup les films de De Palma, comme le sujet du métrage d'ailleurs. Dans sa première partie, le long métrage, très statique, est agaçant, multipliant les "jump scares" pour essayer de tenir éveillé un spectateur qui lutte difficilement contre le sommeil.
Dans sa seconde partie, le film s'anime davantage même si tout ce qui se déroule est assez prévisible. On a la sensation que les scénaristes ont fait beaucoup d'emprunts à leurs "glorieux ainés". Je citais de De Palma pour l'affiche et l'intrigue mais l'arrivée du psychiatre en pleine nuit dans le chalet de Mary, isolé et sous la neige, rappelle également "Shinning" de Kubrick.
Au final et en dépit de la présence et du jeu impeccable -comme d'habitude- de Naomi Watts, on se retrouve avec un film pas très original qu'on a l'impression d'avoir déjà vu mille fois. Cela dit, son caractère prévisible et confortable par certains cotés- ne manquera pas de séduire un certain public.
un thriller haletant sous les neiges du Maine ou la psychose revient en force. ce film m'a bcp fait penser a Shinning, pas que du fait du contexte, également par l'ambiance et les twist surprenant. un joli film intimiste
Ce n'est pas encore cette fois ci que je vais mettre 5 étoiles. Un de mes fils me dit souvent que je suis sévère dans la notation des films, mais aujourd'hui encore, 2 étoiles suffiront largement pour ce petit thriller franco-canadien. Une musique tonitruante annonce les effets d'angoisse, vraiment téléphonés. Si bien que pendant le film on s'amuse à les détecter avant qu'ils ne nous surprennent. Du coup l'effet tombe à plat ! . Bon ! l'histoire se tient, mais les personnages manquent d'épaisseur. N. Watts et les autres comédiens font le boulot. Le problème vient je pense du scénario - bancal - Il faut quasiment attendre 3/4 d'heure pour que cela bouge vraiment. Une bonne partie du film (l'accident, l’hôpital, l'ami) est escamoté, ce qui nous perd un peu dans la compréhension de cette histoire( peut être un financement un peu trop radin pour nous montrer ce que l'on aurait du voir.) Il y a aussi beaucoup d’invraisemblances disséminées tout le long des scènes. Je ne vais pas vous en faire le descriptif, y en a trop ! Enfin, malgré tout cela, ce film existe. Superficiellement, il se laisse voir. Et si on fait abstraction de ses imperfections et ses références cinématographiques intempestives, on peut passer un bon moment à sursauter de temps en temps. Ah oui j'oubliais, la fin est bâclée comme d'hab !
L'affiche évoque le meilleur du film noir des années 40 et le titre, Brian De Palma au sommet de son art. Oui, "Oppression" est une oeuvre ultra-référencée. Mais ce n'est pas vers "Le Faucon Maltais" ou "Pulsions" que se trouve les sources d'inspiration de ce petit thriller d'épouvante bien emballé mais plutôt vers le classique du classique du film d'horreur, "Shining". Folie ambiante, hallucinations, personnage secondaire connecté (par Skype certes...) à l'héroïne et chalet prisonnier des glaces, tout concourt ici à nous rappeler le chef d'oeuvre de Kubrick. L'hommage aurait facilement pu tourner à la bouffonnerie si l'homme derrière la caméra, Farren Blackburn, principalement connu dans le monde du petit écran pour avoir réalisé des épisodes de séries telles que "Daredevil" ou "Luther", ne faisait pas preuve d'un certain talent en nous offrant des plans témoignant d'une réelle maîtrise en terme de huis clos et de jeux d'ombres et de lumières. Les jump-scare sont un peu trop présents et beaucoup trop appuyés mais concourent à rendre l'atmosphère du film pesante et étrange. Là où le bât blesse, c'est plutôt au niveau d'un scénario maladroit qui n'arrive pas à faire la part belle aux personnages en rendant leurs réactions à la limite du comique (quand on ne sait pas comment faire tenir son héroïne dans une maison où la folie la guette, on ne fait pas sortir un personnage secondaire toutes les 5min pour essayer de la persuader de venir à l'hôtel ou chez une amie sans que l'héroïne en question n'ai d'arguments valables pour rester chez elle. C'est ce qu'on appelle se tirer une balle dans le pied...). Exercice de style convaincant, "Oppression" aurait pu être tout autre si Blackburn y avait ajouté plus de profondeur et des personnages secondaires utiles à l'intrigue.