Malgré la bande annonce, Oppression s'adresse avant-tout à un public d'adolescents. Pour les autres, le genre est connu il se pose en véritable copié-collé de ses prédesseurs. On change le nom des personnages, on modifie un peu l'élément déclencheur et on balance tout dans le filtre à thriller teenagers pour les fêtes de fin d'année. Ca occupe les mercredi après-midi des mômes et ça leur permet de s'offrir leur premier rapprochement avec leur fantasme lycéen.
BREF.
Vu qu'Oppression est un film de genre, il en cumule tous les défauts. D'abord, la succession de jumpscare au rabais n'impressionera personne et les personnages semblent ne jamais se rendre compte de la gravité des situations dans laquelle ils sont. spoiler: Par exemple, un gamin de 5 ans quitte la maison de Naomi Watts en pleine nuit en plein hiver. Le lendemain tout va bien et tout le monde s'en fout, flics y compris .
Ensuite, la pauvreté de l'ambiance sonore nous donne l'impression d'être en face d'un film muet. Vu que le réalisateur ne parvient pas à nous faire peur avec des images, il accentue la bande son d'une manière tellement lourde que l'effet est complètement vide lorsqu'il arrive.
Enfin, le film est marqué par ses incohérences, vraiment trop lourde à la longue qui nous empêche vraiment d'apprécier le film. MAIS encore une fois, les adolescents apprécieront sûrement. Les autres, habitués au genre, passeront sûrement leur chemin.
13 657 abonnés
12 397 critiques
Suivre son activité
2,0
Publiée le 23 septembre 2018
L'argument, une psychologue pour enfants voit son mari mourir du jour au lendemain dans un accident de voiture et son fils devenir paraplègique! S'ensuit un jeune garçon à la dèficience auditive qui va s'èchapper de son orphelinat pour aller chez la psychologue pour enfant en question [...] Une histoire manifestement inspirèe du "Shining" de Kubrick! La neige, le froid, le chalet isolè...Tout y est au niveau des ambiances, des visions, des bruits ètranges, des sursauts, avec une psychose bien prèsente. "Shut In" joue sur les mêmes ressorts qu'un petit film d'horreur mais ça n'en est pas un! On est plus dans le thriller qui joue sur le côtè anxiogène qu'un film d'horreur pur jus! Certes, c'est bien jouè avec des acteurs qui incarnent des personnages assez fascinants dans leur parabole mais c'est un film sans la moindre originalitè même si l'histoire se suit sans dèplaisir! La question que se pose le spectateur est de savoir si la belle Naomi est folle ou non ? Pour le savoir, vous savez ce qu'il vous reste à faire! Attention quand même au raton laveur du coin...
Ce film n'a aucun intérêt, l'action s'installe en toute fin de film après une agonisante monotonie... Il n'y a rien d'original, ni l'histoire, ni les protagonistes, ni la réalisation. Il n'y a pas de cohérence dans le scénario, le suspense ne tient qu'à un fil, un thriller usé et sans vie. Une grosse déception, seule la jolie nature où se situe l'action trouvera grâce à mes yeux. A éviter!
Comme pour son précédent et unique film avant celui-ci, Farren Blackburn reprend tout ce qui a été fait des dizaines de fois ces derniers mois sans pour autant y apporter sa touche personnelle seulement contrairement à "Hammer of the Gods" le résultat est bien plus efficace et divertissant. Dans ce film, je trouve quand même que le réalisateur tire un peu trop sur la corde avec des scènes à rallonge, on a l'impression que le film pourrait faire trente minutes de moins que cela ne bouleverserait rien et surtout pas cette minuscule intrigue qui n’est miraculeusement jamais ennuyeuse grâce à l'ambiance mise en place ainsi qu'au mystère entourant l'histoire qui pouvait aboutir à de nombreuses conclusions rationnelles ou pas. Sans être un grand film, ce thriller horrifique psychologique qui reprend tous les codes habituels notamment ceux du huis clos est vraiment plaisant et m'a fait passer un bon moment grâce à une histoire finalement bien menée qui est haletante et intense dans les moments importants et grâce à un twist surprenant qui redonne un second souffle au film bien qu'il soit peu gros et pas forcément crédible.
Non pas que ce film soit un chef d’œuvre ; mais ; j'ai passée un réel moment de cinéma et à lire les critiques d'une confondante bêtise , il me semble juste de lui donné sa valeur ... ' un beau-fils ne veut pas se séparer de sa belle maman, provocant un accident de voiture qui scellera son sort et celui de son père , il retrouve la belle maman qui s’occupera de lui en tant que psychologue de métier ; vivant éloignée et par grand froid, elle continuera d'exercer son métier ; jusqu’à ce qu'elle décide de placer ce beau fils en institut ... ' Du cinéma qui fais peur ; sans trop de sang )) qui parle de l'amour et du besoin d'aider ; jusqu' à une certaine limite .. à voir donc .. sur grand écran .
J'ai adoré ce thriller qui n'a pas rien à envier à Psychose... !! Le climat déjà très froid au sens propre ( Canada - 10 à - 20 ) mais frissons garantis, si vous attendez patiemment la douce montée en puissance du rodéo neuronal que le scénario vous propose. C'est impeccable, et bien tordu - enfin tout ce qu'il faut dans ce genre... ( pas de sang ... ou très très peu) et des images travaillées - notamment celles par ordinateur interposé genre skype.... RRRRR. Naomi Watts donne beaucoup dans ce film, rôle principal omniprésent, et bien que psychologue, elle a bien du mal à démêler le réel du reste.... !!! Excellent film si vous aimez le genre !! **
Une bonne histoire mal servie par une réalisation trop conventionnelle et des interprètes bien dans l'air du temps. En bref, on ne lâche pas l'affaire mais on s'ennuie un peu.
Un thriller convenable mais dont le scénario reste un peu grotesque à mon goût. Porté par un joli casting, Naomi Watts que l'on ne présente plus, mais aussi Charlie Heaton (révelé dans Stranger Things) et Jacob Tremblay (révélé dans Room), le film démarre plutôt bien avec une intrigue mêlée à la disparition d'un enfant et de la paranoïa. Mais l'histoire prend une tournure que je trouve un peu trop exagérée, ce qui m'a un peu détachée du dénouement final. Un thriller qui ne restera pas forcément dans notre mémoire.
Petit thriller sorti de nulle part qui se regarde plutôt bien malgré quelques passages un peu convenus et des "jump scares" un peu "ennuyeux" (pour être poli). L'histoire prend son temps pour poser l'action et on se demande où cela veut en venir. Est-ce un film de fantômes ou non ? Réponse en fin de film bien entendu. Tout le film repose sur son casting, Naomie Watts en tête. Au final, ce thriller est conventionnel mais ce regarde sans déplaisir.
un bon thriller psychologique en huis clos avec des moments qui font sursauter mais une fin un peu bâclée et c'est dommage. pas d'originalité et une sensation de déjà vu.
Oppression est le sentiment que va ressentir une pédopsychiatre, interprétée par Naomi Watts, vivant dans une propriété isolée au milieu des bois (où elle a installé son cabinet ce qui n’est guère cohérent) avec son beau fils paraplégique, suite à un accident de la circulation. Cette pédopsychiatre peu crédible va devoir faire face à ce drame, dans lequel elle a aussi perdu son mari, et à des évènements étranges survenant chez elle. Oppression est un thriller qui utilise en partie les codes de film de genre épouvante (une maison isolée, des bruits inquiétants, quelques jumped scared) mais aboutit à un thriller très convenu. Ce film quasiment à huis clos, où le budget semble avoir été absorbé par le casting au détriment du scénario, n’apporte rien au genre.
Le film se scinde en deux, une première partie qui mets en place l'atmosphère anxiogène et les protagonistes, la seconde qui entre disons, dans le vif du sujet. C'est d'ailleurs cette césure maladroite qui ouvre la porte de Pandore. On passe donc du thriller psychologique et inquiétant à la course poursuite survival bourrine. À la rigueur ça aurait pu être efficace si le récit tenait un temps soit peu la route. La seule chose qui relève le niveau est la qualité de la photographie et au climax, un peu court pour sauver ce thriller médiocre.
Oppression c’est encore une histoire catastrophique pour EuropaCorps, la boîte de production de Luc Besson habitué du genre. Ce scénario aurait plus eu sa place dans la liste des plus mauvaises idées que dans celles des histoires à adapter au plus vite. Tout d’abord ennuyeux, Oppression tourne au consternant. On se demande bien comment Naomi Watts a pu se laisser convaincre de jouer dans ce film. On ressort d’Oppression avec la désagréable impression de s’être fait sérieusement arnaqué. Une belle perte de temps et d’argent. [lire la critique complète sur le site]
On a droit à tous les clichés du genre, auxquels se rajoutent les invraisemblances et mêmes des longueurs sur un film pourtant plutôt court. Quelques bonnes idées dans le scénario mais tellement mal exploitée... A éviter.