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    Mean Streets
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    yohanaltec
    yohanaltec

    100 abonnés 767 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 21 octobre 2015
    Jeunesse, Jeunesse... Scorsese signe ici un chef d'oeuvre. Ce premier film de gangster de Scorsese prouve que son style de prédilection est le film de gangster. Harvey Keitel est excellent, et Robert de Niro prouvait déjà qui l'est déjà le meilleur acteur de sa génération.
    Mephiless s.
    Mephiless s.

    63 abonnés 697 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 20 octobre 2015
    Ce film fut la révélation pour De Niro, en effet, il montre déjà un jeu prometteur et beaucoup le remarquèrent pour son talent. Néanmoins le film n'est pas très intéressant. Certains moments sont assez mous et l'histoire est au final peu intéressante. J'ai été tout de même assez impressionné de voir la réussite visuelle du film, pour un budget ridicule de 150 000 dollars, Scorese arrive déjà à se remarquer par son montage et certains plans audacieux
    fandecaoch
    fandecaoch

    1 056 abonnés 2 232 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 20 octobre 2015
    Mean Streets : Une ambiance de ville et de gangsters incroyable grâce a la mise en scène virtuose de Martin Scorsese. Vraiment, la dessus, c’est un grand réalisateur et sa des le début car c’est quand même un de ses anciens films. Et sa mise en scène avait de la gueule, avec de très beaux plans, des effets de mises en scènes assez novateur pour l’époque, avec la caméra au torse qui tourne en fonctionne des mouvements du personnage, très bien foutu. Et après, le film a le droit au charisme de Robert De Niro qui encore casse des briques et impose dans un rôle qui lui va comme un géant. Mais, ce n’est pas la seul pointure dans ce film, je ne connais pas cette acteur : Harvey Keitel mais il a aussi du charisme à revendre. Après, le scénario est plutôt classique, pas de grand bouleversement, c’est du film de gangsters, il y a même pas vraiment d’histoire entre parenthèse, on suit les personnages dans leur réalité, dans leur ville et vie de gangsters qui mêle pote, femme, argent et dette. Mais même si l’histoire n’est pas original, les personnages sont très intéressant a suivent et le film se regarde sans mal grâce a l’ambiance qui est juste excellente. Donc voila, un film de gangsters qui a tout pour être un classique.
    7eme critique
    7eme critique

    544 abonnés 2 778 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 14 septembre 2015
    Les films de Martin Scorsese évoluent au rythme des époques. Dans "Mean streets" le cinéaste commençait avec des frappes plus légères dans le monde de l'univers mafieux, avant de donner davantage d'envergure à ce monde-ci avec des longs-métrages comme "Goodfellas" ou "Casino". Certes, la notoriété du cinéaste et les moyens n'étaient pas les mêmes dans les années 70 que 90, mais cela donne une véritable évolution du genre, et toujours sous les traits et la vision du maître Scorsese. "Mean streets" est une belle réussite, moins calibré que les futures mises en scène du réalisateur, mais il ne faut pas oublier que ce long-métrage fait partie de ses débuts. Et pour un début de carrière, c'est clairement très prometteur (la suite de sa filmographie nous confirmera ses talents). "Mean streets" impose les bases du duo mythique De Niro/Scorsese. La naissance d'un des plus grands couples cinématographiques !
    Le Blog Du Cinéma
    Le Blog Du Cinéma

    111 abonnés 297 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 13 septembre 2015
    J‘ai eu l’impression que MEAN STREETS ne passait pas forcément l’épreuve du temps…

    Pas le passage des époques et des modes, mais plutôt ce temps qui inscrivit Scorsese et son style très reconnaissable dans l’inconscient collectif. Ainsi, la comparaison avec le reste de son oeuvre peut malheureusement faire de MEAN STREETS un film bien peu intéressant, au rythme lent, n’ayant aucun véritable enjeu – en tout cas pas assez fort pour tenir l’attention durant 1h50min. Difficile également d’apprécier à sa juste valeur le jeu trop identifié d’Harvey Keitel et Robert de Niro, ou cette caméra imprécise…

    Sans doute le meilleur moyen d’apprécier MEAN STREETS est-il de parvenir à se remettre dans un état d’esprit de 1973.
    En imaginant quelles innovations Scorsese propose au 7ème art par ce film précurseur. En termes purs de mises en scène, certains effets modernisent l’image, lui donnant ce caractère intemporel que l’on peut encore constater en 2015. Les effets de style (noms des personnages à l’écran, caméra qui se déplace lentement et latéralement, effet repris par Fincher notamment), l’utilisation de la caméra portée – base de ses plans séquences – comme cette furieuse baston. Puis il y a cette caméra fixée à un Charlie complètement bourré, nous immergeant dans son euphorie. Cette géniale scène, rythmée par le morceau Rubber Biscuit des Chips, illustre bien l’importance de la mise en scène au cœur du film, dans un but précis : L’IMMERSION.

    L’IMMERSION dans ce New York au réalisme intemporel, celle dans ce quotidien italo-américain. Les effets sus-mentionnés servent le propos de fond : coller au plus près la réalité de ces jeunes gens ; Scorsese reste à hauteur d’hommes, ne s’éloigne jamais de leur simplicité – ce qui ne veut pas dire que leurs ambitions ou motivations sont minimes. La fameuse mafia (rendue illustre, notamment, par ce même Scorsese) n’est ici qu’une toile de fond, une entité quasi-invisible indissociable du destin des personnages… Un peu comme les valeurs et principes dictant aux hommes de Who’s that Knocking at My Door leur conception des femmes, ou des hommes pour Bertha, dans Boxcar Bertha.

    Les hiérarchies sont ainsi ultra importantes, et à respecter sous peine d’un violent retour de bâton. Les protagonistes principaux Charlie (Harvey Keitel), Johnny Boy (Robert de Niro) et par extension Teresa (Amy Robinson), sont respectivement placés aux rangs 3, 2 et 1 des 10 paliers de l’échelle sociale de ce microcosme mafieux. Ils veulent évidemment outrepasser leur position.
    Le premier, dans les règles, en effectuant des tâches imposées par ses « supérieurs ».
    Le second joue avec le feu, est incontrôlable et violent (comprendre qu’il ne respecte ni l’argent, ni les règles, ni personne).
    Teresa quant à elle, n’est qu’une femme. Elle est donc forcément inférieure. Changer de statut est impossible, hormis en quittant cet environnement.
    Scorsese capte dans leurs interactions l’urgence de s’évader du quotidien, et cette tragédie du déterminisme qui les en empêchera, inévitablement et violemment.

    Immersion, cinéma de l’urgence, de l’intime et de l’anti spectaculaire… MEAN STREETS impressionne par son réalisme quasi documentaire !
    Il s’éloigne par conséquent des grandiloquents films mafieux que Scorsese réalisera par la suite, et risquera de décevoir ceux qui s’attendent à une fresque d’ampleur décrivant un univers, et non un quotidien.

    MEAN STREETS a été chroniqué dans le cadre d’une rétrospective consacrée à Martin Scorsese par le Festival Lumière 2015 !
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 15 octobre 2015
    Le film qui a fait connaître le grand Martin Scorsese. Le problème de ce métrage est qu'il met beaucoup de temps à démarrer, à poser ses personnages, et que les enjeux sont souvent incertains. Sinon, bien sûr, la réalisation est vivante (Scorsese filme New York comme personne), les acteurs sont excellents (mention spéciale à Harvey Keitel, car on voit assez peu De Niro au final), la BO est vraiment bien choisie et surtout plusieurs idées sont très novatrices pour l'époque.
    Pas aussi grandiose que ce que fera Scorsese plus tard, un bon film mais sans plus.
    Ghibliste
    Ghibliste

    80 abonnés 577 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 15 août 2015
    "Mean Streets", l'un de ses premiers longs-métrages, met en scène ce qui sera le thème préférentiel du cinéma de Martin Scorsese, à savoir la mafia et ses gangsters. D'ailleurs, Robert de Niro est déjà à l'affiche de ce film dont il sera la révélation, tant il crève l'écran en compagnie d'Harvey Keitel. De toute manière, l'ensemble des acteurs, comme leurs dialogues - très directs -, sont très bons. La réalisation, quant à elle, se révèle être très inventive pour l'époque, avec de jolis jeux de lumières, ou encore diverses utilisations de caméras à l'épaule - et même en mode "selfie" (je ne connais pas le terme exact^^) -, qui mettent en avant le génie de Scorsese. La BO est elle aussi excellente, comme la plupart des BO des années 70, finalement... Mais le film souffre malheureusement d'un scénario sans grand intérêt ni enjeux... Cette petite histoire de remboursement de dette n'étant guère palpitante. Un brouillon très acceptable au final.
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 28 mai 2015
    Un chef d'oeuvre peut vieillir contrairement à ce qu écrivent critiques et enseignent profs de cinéma. Et Mean Streets a plutôt mal vieillit : raccords ratés, prise de son abominable, histoire somme toute banale et musique italienne gonflante. De Niro et Keitel sont fantastiques comme d'habitude et certains plans séquences sont impressionnants. Mais soyons sérieux et gardons une échelle cohérente dans la critique : si Mean Streets, simple ébauche des Affranchis est un toujours un chef d'oeuvre alors comment qualifier ce dernier ou encore Casino qui le surpassent en tous points ? A voir pour compléter la filmo de Scorcese, mais impossible 40 ans après sa sortie de considérer ce film comme un chef d'oeuvre.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 1 mai 2015
    Un excellent film ou on suit les péripétie de Robert De Niro allias Johnny Boy qui, il faut l'avouer est une véritable enflure dans le film. Les acteurs sont bons et le duo De Niro / Harvey Keitel fonctionne très bien. Le scénario est bon.
    Un film à voir pour tous les fans de De Niro.
    Kilian Dayer
    Kilian Dayer

    114 abonnés 838 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 17 avril 2015
    Premier succès dans la carrière monstrueuse du plus charismatique des metteurs en scènes italo-américains, Martin Scorsese, Mean Streets n’est, somme toute, qu’une chronique sociale. Enfant parmi des milliers d’autres des rues violentes et déstabilisantes de Little Italy, New-York, le réalisateur livre sa vision d’une jeunesse à la dérive, coincée entre le rêve américain et la pègre, coincée entre le bien et le mal. Sans s’égarer dans les méandres du purement fictionnel, Scorsese nous fait suivre de près une petite bande de copains, dont particulièrement Charlie, neveu du boss local, attentif, consciencieux, et son cousin et ami, Johnny Boy, fougueux et dangereux délinquant des rues, débiteur de truands locaux et imbattable je-m’en-foutiste n’étant jamais compatible avec les plans de carrière du premier. Mais les liens familiaux, les liens du sang, seront-ils plus fort que la respectabilité, la promesse d’un avenir radieux? Nous le savons tous, nous nous naissons jamais tous égaux en ce monde. Mean Streets est la chronique spécifique d’un tel postulat.

    Le film marque aussi les débuts d’une fructueuse collaboration entre le metteur en scène et son acteur fétiche jusqu’aux portes du 21ème siècle, Robert DeNiro. Incarnant ici l’électron libre, le fauteur de troubles, le comédien démontre déjà, en 1973, d’imbattables talents d’immersion, d’interprétation. Face à un Harvey Keitel plus timoré, quoiqu’excellent, l’acteur porte à demi le long-métrage, incarnant la roue voilée dans la machine, prétexte à tous les écarts de conduite, source de tous les problèmes de gens plus raisonnables. Petite chronique sociale qui prend finalement l’importance ultime d’une indispensable plongée dans les milieux italo-américains de la Grosse-Pomme, Mean Streets, film qui ne se voit jamais comme une fiction traditionnelle, pourrait éventuellement perturber un public attendant au tournant le drame, l’humour et la violence gratuite.

    Comme l’on faits bon nombre de metteurs en scène pour leurs débuts respectifs, Martin Scorsese parle de son univers, de son milieu. Construisant ses personnages sur la base de réels individus, le réalisateur ne livre qu’une simple vision réaliste de son milieu de vie. Sans suspens, sans surenchère, Martin Scorsese démontre qu’un film peut aussi s’apparenter d’avantage au documentaire qu’à la fiction pure et dure. Important sur le plan humain, sur le plan social, Mean Streets n’aura finalement que peu de poids dans la filmographie du bonhomme, mais s’avère toutefois un véritable élément déclencheur, la source de toutes les qualités du réalisateur par la suite. On y retrouve déjà les séquences de liesse, de débordements, les moments de fêtes qui caractérisent bon nombre des prochains hits de sa filmographie. Ici aussi, par ailleurs, le réalisateur met en valeur une bande-son composée de tubes d’époque.

    Indispensable pour les amateurs du réalisateur, pour les aficionados des chroniques sociales réalistes et dramatiques, Mean Streets équivaut à un travail de reconstitution historique. Film d’actualité lors de sa sortie, celui-ci se targue maintenant d’être une mémoire filmique d’un temps révolu. C’est finalement passionnant de replonger 40 ans dans la passé, dans le travail de grands noms du cinéma alors qu’ils travaillaient alors à faire d’un film un reflet social crédible et réaliste. 15/20
    BabsyDriver
    BabsyDriver

    84 abonnés 818 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 14 avril 2015
    Chronique dense, urgente et frontale de sa vie à Little Italy, "Mean Streets" est le chef-d'oeuvre fondateur de Martin Scorsese. Et, in extenso, de Robert De Niro.
    Estonius
    Estonius

    3 552 abonnés 5 457 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 9 avril 2015
    Un brouillon de film qui se traîne misérablement, qui est esthétiquement moche et dont le scénario n'accroche pas. On ne retiendra qu'une très brève apparition de la jolie Jeannie Bell et quelques plans dénudés d'Amy Robinson ainsi que la bande son (le générique avec Be My Baby interprétée par The Ronettes)
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 29 janvier 2015
    Mean Streets n'est surement pas le meilleur film de Martin Scorcese mais il possède certaines qualités indéniables (un portrait très véridique et sans artifices de la jeune (petite) pègre New-Yorkaise, des acteurs doués, un rapport avec la musique assez génial) qui lui valent d'acquérir un statut de film assez emblématique.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 20 janvier 2015
    La première collaboration entre Scorsese et De Niro est excellente. Certes, "Mean Streets" n'égale pas Taxi Driver ou Casino, mais se laisse regarder et finalement, on se dit que, pour des débuts dans le grand bain, ce film est très bon. Une très bonne bande sonore, un De Niro en forme, Harvey Keittel excellent dans le rôle du gentil. Une histoire banale de deux potes peut devenir un très bon film si la mise en scène, et, comme d'habitude avec le réalisateur sicilien, est de qualité. Pas le meilleur de Marty mais très bon quand même.
    Guimzy
    Guimzy

    173 abonnés 467 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 8 janvier 2015
    Le film qui a lancé le génie de Martin Scorsese et l'immense talent d'acteur de Harvey Keitel et Robert de Niro s'avère être un polar toujours aussi efficace. Un véritable enfer qui a lancé la fin du code Hays pour laisser place au Nouvel Hollywood. Scènes jouant avec les lumières, les couleurs mais surtout les musiques, principalement des Rolling Stones, Mean Streets est un film avant tout très spécial dans son montage et sa réalisation, toute nouvelle à l'époque, à la manière d'une caméra à l'épaule. C'est à la fois réaliste et onirique de temps en temps, on doute parfois si on est en pleine histoire racontée ou belle et bien ancrée dans la réalité. Il a un peu vieilli mais il se laisse quand même regarder avec toujours autant d'entrain. Une belle oeuvre qui a lancé un trio de génie.
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