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Votre avis sur Mean Streets ?
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Un univers de mafieux avec des acteurs extraordinaires (Harvey Keyteil et Robert DeNiro) et un scénario très bon. J'adore la scène du travelling sur "Jumpin Jack Flash".
Premier chef-d'oeuvre de Scorsese où ce n'est pas tant le scénario qui le meilleur bien qu'il soit trés bon. De Niro joue un petit malfrat fou, inconscient et bourré de dettes. Mais, grâce à la superbe réalisation et au jeu de De Niro, le personnage devient attachant. Harvey Keitel est lui aussi parfait. Des membre de la Mafia que l'on voit rarement dans les films et aprés celui-ci, je serais déçu par tout les autres. Rien à re-dire à part que quelque scénes soient trop longues et pas assez interessantes mais, c'est le style Scorsese. On se dit que cet scéne n'apporte rien à l'histoire alors qu'en fait, elle apote tout. C'est grâce à des scénes comme ça quand a l'impression de mieux connaitre les personnages. Bref, en un mot, superbe!
Mean Streets est le premier film du partenariat Scorsese / De Niro. Le cinéaste américain est peut-être celui qui a le mieux exploité le potentiel de ce jeune acteur qui avait à l'époque fait ses preuves dans les films de De Palma ( l'un des premiers films dans lequel il a tourné est Greetings ). S'en suivra une longue collaboration avec des films tels que l'hypnotique Taxi Driver, le merveilleux Raging Bull ou encore Les Nerfs à Vifs. Dans ce film datant de 1973 ( le film a d'ailleurs bien vieillit ), Robert De Niro incarne Johnny Boy, une petite frappe qui vit de larçins et qui s'avère être un débiteur professionnel. A ses côtés, Harvey Keitel joue le grand frère, celui qui tente de le raisonner, en vain. Mean Streets est un pur divertissement, certes moins aboutit que Raging Bull, mais tout aussi efficace que Taxi Driver. Certaines scènes d'anthologie marqueront les esprits ( la scène de la baston sur le billard, où le féroce Johnny Boy explose )...Un film faisant figure d'hommage à la ville de New York, hommage également présent dans les films postérieurs de Martin Scorsese. A découvrir absolument.
L'un des tout premiers succès de Scorsese, qui impose déja son univers criminel à la fois cool et violent, et marquant sa première collaboration avec De Niro.
Ici, il se fait souffler la vedette par un Harvey Keitel flamboyant, entre un casting plutôt excellentissime, avouons le ! La mise en scène est, bien que parfois "hésitante", pourtant déja assez prenante, tout comme le scenario, certes qui prend quelques passages inutiles ou mal abordés, mais néanmoins cohérents.
L'un de ses premiers chefs d'oeuvres, mais pas pour autant son meilleur film, Mean Streets se révèle tout de même une plongée passionante dans le monde des petites affaires.
Ici, il se fait souffler la vedette par un Harvey Keitel flamboyant, entre un casting plutôt excellentissime, avouons le ! La mise en scène est, bien que parfois "hésitante", pourtant déja assez prenante, tout comme le scenario, certes qui prend quelques passages inutiles ou mal abordés, mais néanmoins cohérents.
L'un de ses premiers chefs d'oeuvres, mais pas pour autant son meilleur film, Mean Streets se révèle tout de même une plongée passionante dans le monde des petites affaires.
Troisième long-métrage de Martin Scorcese, c'est celui qu'il définit le plus inspiré de sa vie. La musique, New York (paradoxalement, le film a été tourné essentiellement à Los Angeles pour des raisons budgétaires ), tout est directement puisé de son vécu. L'un des plus grands cinéastes américains qui film les lieux où il a grandit, son quartier, chef d'oeuvre en vue se dit-on. Malheureusement, l'histoire est assez creuse et donc c'est assez long. Des retrouvailles, des embrouilles, c'est en fait une série d'instants presque capturés sur le vif, une suite de moments de vie inégale. Ca sent le film tourné à l'arrache, d'où la mauvaise qualité de l'image et du son, mais ça lui confère quelque chose de particulier. Certaines scènes scintillent, sortent du lot, la mise en scène est toujours efficace, le cadrage et la musique judicieusements choisis. Depuis, Scorcese a canalysé son style, et c'est tant mieux : il est l'un des meilleurs artisants du marché actuel.
selenie
Scorcese et ses débuts... On reconnait en tous cas une patte à la Cassavetes dans ce film. Scorcese trouvera sa vraie patte un peu plus tard. 4 petits caïds de Little Italy vivent de magouilles ridicules tout en voulant devenir "quelqu'un". L'un d'eux à le problème de jouer l'électron libre en empruntant sans rembourser, c'est là qu'est l'os ! La première heure est une descritption de Little Italy qu'on devine sortit tout droit du vécu de Martin Scorcese ; c'est donc là que le film tourne en rond, on apprend à connaitre les loustics dans leur déambulation dans un style qui n'est pas sans rappeler "Meurtre d'un bookmaker chinois" de John Cassavetes. La dernière partie s'accélère petit à petit, c'est la meilleure malgré le sang ketchup Heinz qui coule à flot, d'un amateurisme étonnant. Malgré cela le film est très bon, on sent l'impro et l'envie des acteurs de faire le mieux possible avec une BO excellente. Un film qui promettait beaucoup... On connait la suite.
un film décevant du début à la fin : une réalisation brouillonne et à la limite du regardable, un scénario inexistent et un de niro qui ne joue (comme le reste du casting d'ailleurs). bref un film qui ne ressemble a rien, mais bon depuis scorsese s'est fait pardonner cette chose filmique. nul.
Ah, Mean Streets. Le troisième long métrage du génie de la caméra. Un film très important pour la carrière de Scorsese, c'est un film fondateur, sur lui repose les bases de la plupart de ses autres réalisation.
Mean Streets est un bon film, mais n'est pas un chef d'oeuvre. Scorsese ne maitrise pas encore tout a fait sa caméra, l'ensemble est un petit peu brouillon. Personnellement, je préfère Les Affranchis ou Casino, Mais Mean Streets est obligatoire, pour les fan de Marty et les autres.
Mean Streets est un bon film, mais n'est pas un chef d'oeuvre. Scorsese ne maitrise pas encore tout a fait sa caméra, l'ensemble est un petit peu brouillon. Personnellement, je préfère Les Affranchis ou Casino, Mais Mean Streets est obligatoire, pour les fan de Marty et les autres.
Je l'ai rematé en DVD il n'y à pas longtemps, c'est tellement bon de revoir les nouveau prémises du gangster movie. Dommage qu'il ne vieillisse pas très très bien.
Mais au moins on ne regarde pas la caricature de De Niro d'aujourd'hui, mais les prémière recherches de son personnage qui ne le quittera pas dans ce genre.
Et puis scorsese qui imortalise le vrai New York des années 70...
Mais au moins on ne regarde pas la caricature de De Niro d'aujourd'hui, mais les prémière recherches de son personnage qui ne le quittera pas dans ce genre.
Et puis scorsese qui imortalise le vrai New York des années 70...
Un film qui a vieilli, sans grande envergure. Si on ne savait pas que Scorcese réalisait, serait-il toujours connu?
Grosse grosse impression ce Meanstreets dont j'avais
beaucoup entendu parler jusqu'à même le connaitre de A à Z sans l'avoir vu! Essentiel dans la vie du cinéaste, Meansteets, marque le début d'une collaboration fructueuse entre: Scorsese et De Niro.
Tous ce qu'il y a de plus scorsesien dans la mise en
scène (montage frénétique, mouvements de caméra incessant, confrontations violentes...), il faut aussi remarquer la puanteur des rues, admirablement retranscrite, une atmosphère 100% New-yorkaise, montrée sous ses plus mauvais jours. Une ambiance qui me rappelle en plusieurs points celle de Bad Lieutenant, et dans laquelle Charlie (Harvey Keitel)
tente d'exister, à l'inverse d'un Johnny Boy (R.De Niro), qui lui, a abandonné depuis longtemps. Je ne vais pas parler de realisme, mais plutôt de vérité, et encore plus de sincérité. La sincérité des perssonnages dans leurs mensonges, dans leurs moindres faits et gestes qui traduisent un appel au secour permanent. Surtout de la part de Johnny Boy, interprété par De Niro jeune, qui crève l'écran à chaques apparitions. La guele de Keitel inoubliable cherche sa propre rédemption au travers de son ambition et de sa jeunesse qu'il veut consommer parmi les grands pontes, et non dans les: "mean streets". Un rôle qu'il recuperera 20ans plus tard dans Bad lieutenant d'Abel Ferrara, mais cette fois çi, Johnny est remplaé par 2 latino(s) violeurs et son ambition n'est autre que celui de mourir. Des dialogues hilarants façon: "Les Affranchis", et une des plus belles B.O jamais vu et entendus par mes sens. La music est présente du début à la fin, superbement synchronisée avec l'image, sans faire de clip. Malgrés quelques faiblesses scénariques et des rôles secondiares pas toujours approfondis, Meanstreets est un chef-d'oeuvre nommé Scorsese.
beaucoup entendu parler jusqu'à même le connaitre de A à Z sans l'avoir vu! Essentiel dans la vie du cinéaste, Meansteets, marque le début d'une collaboration fructueuse entre: Scorsese et De Niro.
Tous ce qu'il y a de plus scorsesien dans la mise en
scène (montage frénétique, mouvements de caméra incessant, confrontations violentes...), il faut aussi remarquer la puanteur des rues, admirablement retranscrite, une atmosphère 100% New-yorkaise, montrée sous ses plus mauvais jours. Une ambiance qui me rappelle en plusieurs points celle de Bad Lieutenant, et dans laquelle Charlie (Harvey Keitel)
tente d'exister, à l'inverse d'un Johnny Boy (R.De Niro), qui lui, a abandonné depuis longtemps. Je ne vais pas parler de realisme, mais plutôt de vérité, et encore plus de sincérité. La sincérité des perssonnages dans leurs mensonges, dans leurs moindres faits et gestes qui traduisent un appel au secour permanent. Surtout de la part de Johnny Boy, interprété par De Niro jeune, qui crève l'écran à chaques apparitions. La guele de Keitel inoubliable cherche sa propre rédemption au travers de son ambition et de sa jeunesse qu'il veut consommer parmi les grands pontes, et non dans les: "mean streets". Un rôle qu'il recuperera 20ans plus tard dans Bad lieutenant d'Abel Ferrara, mais cette fois çi, Johnny est remplaé par 2 latino(s) violeurs et son ambition n'est autre que celui de mourir. Des dialogues hilarants façon: "Les Affranchis", et une des plus belles B.O jamais vu et entendus par mes sens. La music est présente du début à la fin, superbement synchronisée avec l'image, sans faire de clip. Malgrés quelques faiblesses scénariques et des rôles secondiares pas toujours approfondis, Meanstreets est un chef-d'oeuvre nommé Scorsese.
Que retenir de ce film mythique ? Première prestation importante de De Niro et Keitel, premier grand film de Scorcese. Certains dialogues et certaines scènes restent, de même que la musique. Mais dans l'ensemble, ce premier effort scorcesien d'importance reste assez flou, proche de l'amateurisme par moments. Pas le chef d'oeuvre absolu, quoi, mais un bon film quand même.
Un réalisateur génial, deux acteurs déjà au sommet pour un film culte. Le début de l'air "gangster" de scorcese. Du très très bon.
Premiere collaboration entre Scorsese et De Niro et premier chef d'oeuvre. La rencontre décisive. Sans suivra une serie de films qui pour certains , vont marquer le 7 ème art au fer rouge. Un film au sujet que connait parfaitement le realisateur: la routine d'une bande de mec dans Little Italy. Mean street est une vision beaucoup plus terre a terre que le parrain. Dans ce dernier, Coppola montrai une realité distante et énigmatique, tout comme l'est la mafia d'ailleur. On savait que ça existait mais c'etait surtout un sujet de lecture ou de reportage télévisé. Mean street, au contraire dévoilait la violence urbaine telle quelle était. Cette violence est décrite avec ses vrais mots, ses decors authentiques et surtout sa pourriture en plein coeur de la ville. Les acteurs développent leurs personnages avec de nombreuses improvisation etant donné la durée du tournage (27 jours)L'interpretation de De Niro fut remarquée et saluée par la critique internationale. Mean streer imposa De Niro/Scorsese comme le 1er tandem du nouveau cinema americain.
S'il est un niveau en dessous de Taxi driver, Mean streets n'en reste pas moins un très bon film, presque intimiste, déjà plein d'humour et de violence, mais aussi plein de poésie, et bourré de codes scorcesiens. Avec en prime un Harvey Keitel pieux et idéaliste impressionnant.
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