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Réalisation trop cuté
on ne comprend rien aux scènes d'action.
A part le premier gros combat le reste est illisible.
on ne comprend rien aux scènes d'action.
A part le premier gros combat le reste est illisible.
Autant le sujet aurait pu être intéressant si il n'avait pas été aussi mal filmé. La caméra épaule est certes efficace pour plongé dans l'action, mais les secousses combiné à un découpage très cut font que le tout est très désagréable à suivre. Concernant les personnages, j'ai du mal a comprendre le développement initiale du caractère du personnage de Mark Wahlberg car cela n'apporte rien sinon de l'irritation d'avoir pour héros un personnage désagréable (
spoiler:
il n'aura aucune évolution tout au long du film
). Au final c'est le personnage de Iko Uwais qui sen sort le mieux et est le plus appréciable.
). Au final c'est le personnage de Iko Uwais qui sen sort le mieux et est le plus appréciable.
Sicario, jeux de guerre, raid, on a un mélange de chaque genre, avec manipulation politique, intervention non officielle.
Le scénario est moyen, le montage assez bon et vif, quelques beaux échanges en matière de bagarres mais ça reste mou la première moitié du film, et parfois totalement invraisemblable dans la seconde partie. Le film est super court et on reste sur notre faim
Le scénario est moyen, le montage assez bon et vif, quelques beaux échanges en matière de bagarres mais ça reste mou la première moitié du film, et parfois totalement invraisemblable dans la seconde partie. Le film est super court et on reste sur notre faim
Décevant juste un film d’action
Histoire presque inexistante
Certains plans sont trop près
Et l’action est tellement rapide que ça fait brouillon
La fin est étonnante et on s’attend à une suite
Mark WAHLBERG et John MALKOVICH que font-ils dans ce film !!!
Histoire presque inexistante
Certains plans sont trop près
Et l’action est tellement rapide que ça fait brouillon
La fin est étonnante et on s’attend à une suite
Mark WAHLBERG et John MALKOVICH que font-ils dans ce film !!!
PLR
Une sorte de "Mission impossible" (millésime au choix) mais avec un côté rentre dedans ne permettant vraiment pas à nos héros de passer inaperçus, ce qui conduit à un scénario pas fin du tout au détriment du calcul et de la stratégie qui caractérisent en général ce genre d'histoire de fiction sur fond de géopolitique, services secrets, agents double, menace mondiale. Le tout à grands renforts de technologie. Mais trop c'est trop et ça en devient totalement irréaliste. L'astuce scénaristique est de guider l'action au travers de nombreuses caméras de vidéosurveillance sur la voie publique, visiblement faciles à pirater d'une ambassade ! Dans ce périple de 22 miles (22 fois 1609 mètres) on ne fait que passer d'une bagarre à l'autre (armes automatiques et grenades explosives à volonté !). Des scènes trop nombreuses, rapprochées et longues accumulant des actions rapides qui vident totalement le scénario de ce qui fait habituellement les intrigues habillant un thriller. Ça ne redeviendra thriller
spoiler:
qu'à la fin avec un retournement de situation en quelques images avant le générique de fin
. Mais vous allez voir, on nous prépare une suite... Bof, pas pour moi je le crains bien.
. Mais vous allez voir, on nous prépare une suite... Bof, pas pour moi je le crains bien.
framboise32
Un peu long à démarrer, le film devient intéressant lorsque commencent les scènes d'actions et de violence. Notamment la scène de combat dans l'infirmerie de l'ambassade américaine. Une scène chorégraphiée, très violente, avec Iko Uwais qui fait une superbe démonstration de ses techniques de combat. Même si le réalisateur est bien meilleur dans les scènes d'extérieur. Les scènes de poursuite qui se déroulent pendant les 22 miles qui séparent l'équipe de l'avion qui doit emmener le policier exfiltré, sont impeccables. La ville de Bogota est un décor idéal pour le film. Effets spéciaux, caméras à l'épaule, drônes, tout y est pour des scènes rythmées et efficaces. Par contre, le réalisateur a voulu une voix off pour raconter l'histoire, effet raté.
Mark Wahlberg est James Silva, un surdoué, expérimenté, machine de guerre, capable de tout à tout moment. Il fait le job. Près de lui, l'acteur indonésien Iko Uwais, Ronda Rousey et Lauren Cohan (The Walking Dead)....
22 miles est un film d'action musclé à voir pour la course poursuite dans les rues de Bogota
Mark Wahlberg est James Silva, un surdoué, expérimenté, machine de guerre, capable de tout à tout moment. Il fait le job. Près de lui, l'acteur indonésien Iko Uwais, Ronda Rousey et Lauren Cohan (The Walking Dead)....
22 miles est un film d'action musclé à voir pour la course poursuite dans les rues de Bogota
Le tandem Peter Berg/Mark Wahlberg nous avait jusqu’ici habitués à des films de qualité dans l’ensemble. Cette fois-ci, ils nous livrent au contraire un navet très bavard avec des dialogues insipides, agressifs, pontifiants et aussi vulgaires, juste pour meubler les vides. L’histoire est totalement incohérente en plus d’être inutilement confuse. Elle est dépourvue de la moindre émotion, les protagonistes évoluent tels des robots dans un jeu vidéo. Au final, on ressort avec un violent mal de crâne et le regret de s’être fait avoir !
sympathique , bon suspens , une équipe d'action qui officiellement n'existe pas.
un agent double voir ...triple.
Beaucoup d'hémoglobine et belles scènes de combat.
un agent double voir ...triple.
Beaucoup d'hémoglobine et belles scènes de combat.
Là tout de suite fraîchement sorti et sans réfléchir, j'ai trouvé ça bien. Plaisir de voir Mark Wahlberg, objectif ciné rempli c'est-à-dire en prendre plein les mirettes, c'est un film bien bourrin. Plaisir aussi de voir John Malkovich et l'acteur de The Raid qui nous fait du The Raid. Bon film. Bonne histoire.
L'Info Tout Court
Sans être d’une originalité folle niveau mise en scène, le film a le mérite de proposer de l’action efficace et rythmée. De son côté, Lea Carpenter signe un premier scénario qui n’oublie pas les hommes et les femmes derrière l’arme. Ils ont une histoire, une personnalité, qui nous permettent de nous attacher à eux et ajouter de la tension lors des tirs. Alors certes tout n’est pas parfait, loin de là, mais on prend plaisir devant cet actioner qui ne cherche pas à nous mentir sur la marchandise tout en offrant autre chose que du divertissement décérébré.
Cela fait bien longtemps que mark wolheberg n'avait pas fait un bon film.
Actions et émotions sont au rdv.
Actions et émotions sont au rdv.
Yves G.
James Silva (Mark Wahlberg) est un agent spécial de la CIA. Il appartient au groupe ultra-secret Overwatch qui accomplit des opérations homicides pour le compte de l'agence américaine. C'est avec son équipe qu'il liquide une cellule d'espions russes infiltrés aux États-Unis avant de recevoir une nouvelle affectation en Asie.
En Indocarr (sic), un agent double vient lui proposer, en échange de l'asile sur le sol américain, les moyens de retrouver un stock de césium qui court dans la nature. Silva doit parcourir 22 miles pour l'escorter de l'ambassade américaine jusqu'à l'aéroport.
Le pitch de "22 Miles" (étrange traduction en français de "Mile 22") rappelle à la virgule près celui de "16 Blocs" où Bruce Willis interprétait un policier chargé d'escorter un témoin à charge du commissariat au palais de justice de New York où il doit être entendu. Mais la comparaison s'arrête là ; car entre 2006 et 2018, le cinéma d'action américain a bien changé. Sous l'influence des jeux vidéo, il n'hésite plus à filmer sans état d'âme la mort en face. "22 Miles" enchaîne, non sans complaisance, les scènes meurtrières mettant en présence l'équipe de James Silva, son précieux colis et les forces de police lancées à sa poursuite
Les MMA ("mixed martial arts"), le "krav maga", le jiu-jitsu se sont mondialisés. Et il n'est plus un blockbuster hollywoodien, depuis "Star Wars" jusqu'à "Mission impossible", qui n'en utilise les recettes éprouvées pour épicer ses scènes de combat. Ici, c'est le "pencak silat", un art martial indonésien , qu'utilise Peter Berg, l'efficace réalisateur de "Deepwater", "Traque à Boston", "Du sang et des larmes". Aux côtés de Mark Wahlberg, son acteur fétiche, il fait jouer Iko Uwais, rendu célèbre par "The Raid". Le garçon a de la santé et le démontre dans une scène de combat impressionnante censée se dérouler dans l'infirmerie de l'ambassade américaine.
Peter Berg semble renouer avec ses meilleurs réalisations, comme "Le Royaume" ou "Lions et Agneaux", en donnant à son histoire un arrière-plan politique : il s'agit ici de dénoncer un régime asiatique corrompu (on reconnaît sans peine l'Indonésie que les producteurs n'ont pas osé citer de peur de se fermer un public de deux cents millions de spectateurs) sur fond de Grand Jeu américano-russe. Mais son ambition est moindre. Il filme des scènes d'action. Certaines sont bluffantes comme la prise d'assaut du repère d'espions russes en prologue ; d'autres le sont moins comme la scène de l'immeuble qui louche trop ostensiblement du côté de "The Raid".
L'épilogue - qui se donne les apparences d'un twist final renversant - annonce une suite. On ira la voir par curiosité ; mais on le regrette déjà.
En Indocarr (sic), un agent double vient lui proposer, en échange de l'asile sur le sol américain, les moyens de retrouver un stock de césium qui court dans la nature. Silva doit parcourir 22 miles pour l'escorter de l'ambassade américaine jusqu'à l'aéroport.
Le pitch de "22 Miles" (étrange traduction en français de "Mile 22") rappelle à la virgule près celui de "16 Blocs" où Bruce Willis interprétait un policier chargé d'escorter un témoin à charge du commissariat au palais de justice de New York où il doit être entendu. Mais la comparaison s'arrête là ; car entre 2006 et 2018, le cinéma d'action américain a bien changé. Sous l'influence des jeux vidéo, il n'hésite plus à filmer sans état d'âme la mort en face. "22 Miles" enchaîne, non sans complaisance, les scènes meurtrières mettant en présence l'équipe de James Silva, son précieux colis et les forces de police lancées à sa poursuite
Les MMA ("mixed martial arts"), le "krav maga", le jiu-jitsu se sont mondialisés. Et il n'est plus un blockbuster hollywoodien, depuis "Star Wars" jusqu'à "Mission impossible", qui n'en utilise les recettes éprouvées pour épicer ses scènes de combat. Ici, c'est le "pencak silat", un art martial indonésien , qu'utilise Peter Berg, l'efficace réalisateur de "Deepwater", "Traque à Boston", "Du sang et des larmes". Aux côtés de Mark Wahlberg, son acteur fétiche, il fait jouer Iko Uwais, rendu célèbre par "The Raid". Le garçon a de la santé et le démontre dans une scène de combat impressionnante censée se dérouler dans l'infirmerie de l'ambassade américaine.
Peter Berg semble renouer avec ses meilleurs réalisations, comme "Le Royaume" ou "Lions et Agneaux", en donnant à son histoire un arrière-plan politique : il s'agit ici de dénoncer un régime asiatique corrompu (on reconnaît sans peine l'Indonésie que les producteurs n'ont pas osé citer de peur de se fermer un public de deux cents millions de spectateurs) sur fond de Grand Jeu américano-russe. Mais son ambition est moindre. Il filme des scènes d'action. Certaines sont bluffantes comme la prise d'assaut du repère d'espions russes en prologue ; d'autres le sont moins comme la scène de l'immeuble qui louche trop ostensiblement du côté de "The Raid".
L'épilogue - qui se donne les apparences d'un twist final renversant - annonce une suite. On ira la voir par curiosité ; mais on le regrette déjà.
Scénario confu et mou, scènes d'action mal filmées (cutées surtout) que se soient les gun fights ou les passage a mains nues avec Iko Uwais... bref avec un mission impossible 6 sortit il y a très peut impossible apprécier ce film.
Dik ap Prale
Peter Berg fait de Mark Wahlberg son égérie, après quatre films ensemble et l'invitant dors et déjà à une suite; Car effectivement cette escapade, sur 22 miles, n'a pas encore trouvé de fin et pour notre plus grand plaisir Iko Uwais n'a pas encore rendu ses armes. Si rien n'est bien surprenant dans ce nouveau Peter Berg, production plutôt discrète pour une fois, le film n'en est pas pour autant sage à l'image de Lauren Cohan qui trouve, derrière Walking Dead, un vrai rôle Badass.
Très bon moment, mais il y a un manque ... on en veut plus !!
Mark Wahlberg nous offre des impulsion à l'action qui ne vient pas, qui ne nous emporte pas.
Heureusement le film se rattrape par un scénario bien ficelé !!
Donc à voir !!
Mark Wahlberg nous offre des impulsion à l'action qui ne vient pas, qui ne nous emporte pas.
Heureusement le film se rattrape par un scénario bien ficelé !!
Donc à voir !!
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