Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
10 critiques presse
Le Parisien
par Pierre Vavasseur
Ce film, habité par la jeune actrice et chanteuse Baya Medhaffar, étincelle de révolte et d'espoir dont le frais minois n'a d'égal que le grand talent, laisse entendre par tous ses pores que rien n'est franchement résolu dans ce pays.
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Un petit film à la fois sensible et cruel sur une jeunesse tunisienne d’avant le printemps.
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
Tous les amateurs de cinéma arabe, et particulièrement maghrébin, en connaissent par cœur le motif: éprouver la liberté et aussi bien l’aliénation d’une société à l’aune du statut réel accordé à la femme. Mais, quitte à remettre le motif sur le métier, elle parvient à composer un des ouvrages les plus pertinents en la matière.
Le Point
par François-Guillaume Lorrain
Une jolie réussite à la fois mélancolique et rageuse à l'image de sa protagoniste.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Première
par Damien Leblanc
Ce vibrant premier film multiplie les séquences musicales rageuses puis prend un recul inattendu pour offrir la peinture d’une Tunisie qui se remet lentement à respirer.
La critique complète est disponible sur le site Première
Studio Ciné Live
par Véronique Trouillet
Saisissant.
Télérama
par Guillemette Odicino
Gracieux coup de poing que ce premier long métrage qui combine ardeur politique et qualités musicales — les scènes de concert du groupe sont électrisantes. A travers le portrait de cette insoumise, ce teen movie d'émancipation exprime, aussi, la soif de liberté de toute une génération.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cahiers du Cinéma
par Gaspard Nectoux
C’est quand il parle du désir militant que le film éveille l’intérêt (…) Dommage que ce dépli de l’idée « formation d’une pensée » se heurte à un repli vers un scénario « jeunesse sauvage » usé, réduisant le film à un riff tunisien des Chats persans.
Le Journal du Dimanche
par Barbara Théate
L’actrice débutante Baya Medhaffar donne toute sa fougue à cette lycéenne qui s’ouvre à l’amour, et veut exister pleinement dans une société muselée par les interdits.
Libération
par Guillaume Tion
Rien ne change sous le soleil scénaristique des dictatures. Mais ce premier film réalisé par la Tunisienne Leyla Bouzid, et qui a raflé nombre de prix au cours de sa carrière en festivals, se révèle bien plus attachant quand il aborde les relations entre Farah et sa mère.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Le Parisien
Ce film, habité par la jeune actrice et chanteuse Baya Medhaffar, étincelle de révolte et d'espoir dont le frais minois n'a d'égal que le grand talent, laisse entendre par tous ses pores que rien n'est franchement résolu dans ce pays.
Le Dauphiné Libéré
Un petit film à la fois sensible et cruel sur une jeunesse tunisienne d’avant le printemps.
Le Monde
Tous les amateurs de cinéma arabe, et particulièrement maghrébin, en connaissent par cœur le motif: éprouver la liberté et aussi bien l’aliénation d’une société à l’aune du statut réel accordé à la femme. Mais, quitte à remettre le motif sur le métier, elle parvient à composer un des ouvrages les plus pertinents en la matière.
Le Point
Une jolie réussite à la fois mélancolique et rageuse à l'image de sa protagoniste.
Première
Ce vibrant premier film multiplie les séquences musicales rageuses puis prend un recul inattendu pour offrir la peinture d’une Tunisie qui se remet lentement à respirer.
Studio Ciné Live
Saisissant.
Télérama
Gracieux coup de poing que ce premier long métrage qui combine ardeur politique et qualités musicales — les scènes de concert du groupe sont électrisantes. A travers le portrait de cette insoumise, ce teen movie d'émancipation exprime, aussi, la soif de liberté de toute une génération.
Cahiers du Cinéma
C’est quand il parle du désir militant que le film éveille l’intérêt (…) Dommage que ce dépli de l’idée « formation d’une pensée » se heurte à un repli vers un scénario « jeunesse sauvage » usé, réduisant le film à un riff tunisien des Chats persans.
Le Journal du Dimanche
L’actrice débutante Baya Medhaffar donne toute sa fougue à cette lycéenne qui s’ouvre à l’amour, et veut exister pleinement dans une société muselée par les interdits.
Libération
Rien ne change sous le soleil scénaristique des dictatures. Mais ce premier film réalisé par la Tunisienne Leyla Bouzid, et qui a raflé nombre de prix au cours de sa carrière en festivals, se révèle bien plus attachant quand il aborde les relations entre Farah et sa mère.