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Guide de Survie du Cinéphile Amateur
17 abonnés
484 critiques
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2,0
Publiée le 15 septembre 2018
Un bon petit délire emmené par un James Franco toujours aussi barré et un Bryan Cranston qui semble bien s'amuser en père coincé ! Pour le reste, rien de bien nouveau, l'éternel sujet du choc des cultures et de la difficulté à accepter son gendre catastrophe ! Reste quelques scènes bien délirantes (toilettes chinoises) et un final jouissif avec les mecs de Kiss !!!!! Marrant sans en attendre rien de plus. Auteur du livre "Guide de Survie du Cinéphile Amateur" (sortie janvier 2019)
Très peu de passage prêtent à sourire, c'est fâcheux pour une comédie, tout le monde en conviendra. Tandis que le duo Franco/Cranston aurait du être sur le devant de la scène, il est éclipsé par le personnage de Kevin dont découle le seul échantillon d'humour du film :spoiler: le passage où Stéphanie se fait prendre sur le bureau et que Kevin se montre assez curieux . De plus c'est plat et extrêmement long pour une comédie. Petit clin d’œil sympathique à Hal, le Bryan Cranston roi du bowling dans Malcolm.
Affligeant, consternant, lamentable. Une comédie américaine bien lourde comme seuls les américains savent faire, et une grosse promotion de Netflix, bien lourde aussi. James Franco a beaucoup baissé dans mon estime. Le même qui nous a bluffé dans 127 heures se compromet dans une daube même pas digne de passer à la TV.
Une mauvaise comédie lourde et poussive avec un casting peu convaincant, un scénario fainéant, des éléments d'une lourdeur incroyable, une bonne dose de dialogues grossiers sans intérêt et des références mal balancées.
Vraiment marrant , bien que puérile parfois , ce film permet de passer un bon moment. James franco fait preuve de la variété de ses talents d’acteur en jouant un role different des roles habituels , il elargit sa palette.
Alors c'est sur, ce n'est pas le film le plus intelligent du monde. On reprend ici un grand classique du cinéma à savoir la relation entre un beau père et son futur gendre. Comme d'habitude, ça part mal pour plutôt pas trop mal finir. Donc rien d'innovant dans le scénario par rapport à ce que l'on a déjà vu. Le duo James Franco / Bryan Cranston fonctionne plutôt pas mal même si les autres personnages n'apportent pas grand chose au film. Il y a des scènes plutôt cocasses et il est vrai que l'on peut rire plusieurs fois durant le film. En revanche, certaines "vannes" sont plutôt lourdes et tournent en dessous de la ceinture. En résumé, ce film n'est pas catastrophique, il est plutôt marrant mais il n'a rien d’innovant...
Une recette bien connue revisitée à la sauce geek avec une touche de vulgarité et un soupçon d'excès. Ce film manque de finesse et confond impertinence et vulgarité. Les quelques gags amusants sont noyés sous une orgie de vannes très en-dessous de la ceinture. Reste un James Franco qui en fait des caisses mais dont l'affrontement avec Bryan Cranston vaut son pesant de cacahouètes.
The Boyfriend c’est mon beau père et moi en inversé ou l’élément curieux serait le gendre à la place du beau père. Mais le soucis de ce film et qu’il ne m’a jamais fait rire; pour reprendre la comparaison avec le film qui réunissait Ben Stiller et De Niro c’est que s’il n’était pas un chef d’œuvre d’humour il parvenait à être amusant. Mais s’il n’arrive pas à être drôle ce film n’en est pas pénible à regarder grâce à une bonne qualité d’écriture. Le personnage du gendre interprété par un bouillonnant James Franco parvient à faire tenir la distance à ce film en montrant ce que cache cette exubérance. Quelques évolutions chez les personnages sont bien emmenées mais comme je le disais c’est trop faible d’un point de vu comique pour être un bon film.
J'avais vraiment peur avec ce film, c'est vrai que le début fait assez prévisible et vu 100 fois. Mais après, même si on devine un peu tout à l'avance, le film converse une bonne dynamique. Mais, il faut avouer que James Franco a vraiment un talent pour nous faire croire à son personnage abracadabrant, il se dégage vraiment un aspect cool chez ce personnage sans tombé dans les clichés, ou alors en se jouant des clichés. En ce qui concerne Bryan Cranston son rôle est un peu lourd, on devine que c'est le père qui à peur pour sa fille, son rôle ne l'aide pas en clair. Et pourtant il arrive quand même à nous sortir un méga personnage. Voilà c'est 2 acteurs arrivent à nous faire rire, sans compter l'homme à tout faire assez original. Et bon faut avouer que en matière de gags, si dès fois on tombe dans le sommaire très facile et en dessous de la ceinture, ça reste quand même recherché, avec tous les gadgets téléphonique. Alors au final oui les acteurs se font plaisir et malgré ses facilités et ses défauts ça reste une comédie sympathique.
Une comédie lourde et poussive avec un casting réjouissant et impliqué, un scénario fainéant, des éléments d'une lourdeur incroyable, une bonne dose de dialogues grossiers sans intérêt et des références mal balancées.
La haine d'un beau-père envers son beau-fils ; voilà le sujet on ne peut plus fatigué qu'a choisi John Hambourg pour un long-métrage. Et le résultat est à la hauteur des attentes. Il est difficile de ne pas se sentir à l'aise devant cette avalanche de blagues mal écrites, ne distillant pas autre chose que le silence. Inutile de chercher les raisons de cet échec pendant des heures : "The Boyfriend" est une comédie poussive, aux dialogues indigents. Mais la question essentielle est : que vient faire Bryan Cranston là-dedans ? On le préférait nettement en papa génial dans "Malcolm" plutôt qu'en beau-père réac, aussi gêné que le spectateur.
Le trailer annonçait déjà la couleur, on est devant une comédie américaine qui ne fait pas dans la dentelle. Les remarques salaces, les propos grossiers et les situations scabreuses sont omniprésents dans cette comédie classique de père qui fait la connaissance de son futur gendre et qui immédiatement le déteste. Dans le rôle de ce père de la classe moyenne américaine du Midwest : Bryan « Eisenberg » Cranston qui joue avec une certaine subtilité un personnage d’emblée coincé et qui va rapidement perdre ses nerfs. En face de lui on trouve un James Franco en nanab hipster de la Silicon Valley qui sans filtre aucun se jette sur sa belle-famille avec une affection aussi envahissante que totalement déplacée ; habitué de ce genre de comédie l’acteur en fait des caisses avec une certaine jouissance. On ne va pas se cacher que le film marche sur les grosses ficelles du genre où la thématique sexuelle et le fond de base de toutes les situations et bons mots comiques. Rien de nouveau sous le soleil. Si vous n’appréciez pas (soyons franc) cette vulgarité, le film va vous être immédiatement insupportable. Personnellement, j’ai quand même ri, et même si je déplore cette vulgarité facile, je ne peux pas me pincer le nez tant j’ai passé un moment plutôt agréable. La fin est évidemment prévisible, consensuelle et pleine des inévitables bons sentiments, mais quelques gags supplémentaires permettent de faire un peu passer la pilule. Bref, une comédie grasse assez classique dans son intrigue, ses thématiques d’humour et sa conclusion, mais qui marche quand même et qui, si ce genre ne vous rebute pas trop, permet de passer un bon moment.
Pourquoi lui? aurait pu être un film intéressant à voir car le duo semblait fonctionnait parfaitement au vu des bandes annonces, ce qui est également le cas dans le film. Tout le reste est par contre raté : les situations vulgaires s'enchaînent sans précédent, tandis que les running gags sont assez basiques et peu drôles. Le film n'arrive à faire décrocher que quelques sourires. James Franco semble être clairement trop vieux pour jouer encore ce rôle. Bryan Cranston est par contre toujours bon, tout comme son personnage, le seul intéressant du film.