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Un Robin des Bois plein d'anachronismes. Les habits, le vocabulaire trop récents...
L'acteur, tout comme Marianne n'ont aucun charisme.
Résultat très moyen et ne vous attendez pas à une fin !
2,7/5
L'acteur, tout comme Marianne n'ont aucun charisme.
Résultat très moyen et ne vous attendez pas à une fin !
2,7/5
Cinéphiles 44
« Robin des Bois » a été adapté plusieurs fois au cinéma. Après Kevin Costner ou Russel Crowe et même un dessin animé Disney, c’est le jeune Taron Egerton, repéré dans « Kingsman : Le Cercle d’or » qui tient le rôle de Robin de Loxley. De retour des croisades, il va prendre la tête d’une audacieuse révolte contre la corruption des institutions avec à ses côtés, un chef maure et la Belle Marianne. Ce qui nous saute dans un premier temps aux yeux, c’est l’incapacité à faire un choix temporel sur les costumes. Du vieux tee-shirt à la belle veste de soirée, il nous est impossible de dessiner une époque vu l’étendue de ces derniers. Si le duo Taron Egerton et Jamie Foxx peut séduire, on reste sceptique face à l’écriture linéaire des personnages de Jamie Dornan et Eve Hewson. Les scènes d’action restent divertissantes mais le fond est loin de ses intentions.
D'autres critiques sur notre page Facebook : Cinéphiles 44 et notre site cinephiles44.com
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ConFucAmuS
Les raisons de signer pour un film sautent parfois aux yeux dès les premières minutes. Dans le cas de cette version 2018 de Robin des Bois, elles sont cristallines.
L'effet ressenti est celui de voir une tripotée de fâcheux dégrader le mythe avec une ardeur qui confine à la déviance. À ce niveau de monstruosité, le long-métrage de Otto Bathurst fait jeu égal avec le regrettable Roi Arthur de Guy Ritchie. Sale temps pour les icônes.
L'incipit se refuse à situer le film dans une quelconque forme de réalité historique pour le fondre dans un univers d'heroic fantasy. Légitime, le personnage présente plusieurs caractéristiques du genre (style médiéval, souffle épique). Mais même dans cette configuration, impossible de ne pas être choqué par une direction artistique en forme de pudding informe, limite obscène, entre Batman Begins, Assassin's Creed et un clip d'Era.
Bien que certaines références à l'époque contemporaine soient visibles, elles sont jetées avec tellement de nonchalance qu'elles en perdent toute signification. Une impiété qui n'a d'égal que l'incapacité du film à se montrer plastiquement tolérable. Vous aurez grande peine à croire que ce Robin des Bois a coûté la bagatelle de 100 millions de dollars tant son indigence formelle crève les yeux. Les décors sont d'une pauvreté cinégénique impensable, on jurerait que le film a été tourné avec 3 décors et une poignée de figurants. Les costumes tentent la greffe moyen-âge et la collection Jean-Paul Gaultier, le résultat brûle la cataracte. Et ne parlons pas des effets spéciaux répugnants, sûrement générés avec un logiciel d'infographies périmé depuis 20 ans.
À la mise en scène, Otto Bathurst convoque les pires travers du cinéma d'action, quelque part entre Renny Harlin et John Moore. Gestion de l'espace envoyée au quatre vents, ralentis abominables à foison, chorégraphies à pleurer, et ce montage qui évoque l'œuvre d'un boucher aveugle...À titre d'exemple, spoiler: l'introduction en Arabie est une pure démonstration de grand n'importe quoi. On se croirait dans un Call of Duty du pauvre. Sérieusement, vous changez juste les fusils par des arcs, le résultat est exactement le même (il y a même une mitrailleuse gatling à flèches !).
Artistiquement, le long-métrage est l'un des plus laids que j'aie vu depuis très longtemps. Heureusement, les comédiens ont l'air de partager cet avis. Incidemment, leurs prestations sont au mieux fonctionnelles (Ben Mendelsohn), au pire indignes (tous les autres).
Bref, celui qui s'est fait détrousser ici, c'est Robin des Bois. On lui a ôté son charisme et sa portée symbolique. Le plus grave, c'est que lui n'a rien demandé tandis que le pauvre spectateur aura sûrement payé pour ça. Dans les deux cas, il n'en ressortira que de la souffrance.
L'effet ressenti est celui de voir une tripotée de fâcheux dégrader le mythe avec une ardeur qui confine à la déviance. À ce niveau de monstruosité, le long-métrage de Otto Bathurst fait jeu égal avec le regrettable Roi Arthur de Guy Ritchie. Sale temps pour les icônes.
L'incipit se refuse à situer le film dans une quelconque forme de réalité historique pour le fondre dans un univers d'heroic fantasy. Légitime, le personnage présente plusieurs caractéristiques du genre (style médiéval, souffle épique). Mais même dans cette configuration, impossible de ne pas être choqué par une direction artistique en forme de pudding informe, limite obscène, entre Batman Begins, Assassin's Creed et un clip d'Era.
Bien que certaines références à l'époque contemporaine soient visibles, elles sont jetées avec tellement de nonchalance qu'elles en perdent toute signification. Une impiété qui n'a d'égal que l'incapacité du film à se montrer plastiquement tolérable. Vous aurez grande peine à croire que ce Robin des Bois a coûté la bagatelle de 100 millions de dollars tant son indigence formelle crève les yeux. Les décors sont d'une pauvreté cinégénique impensable, on jurerait que le film a été tourné avec 3 décors et une poignée de figurants. Les costumes tentent la greffe moyen-âge et la collection Jean-Paul Gaultier, le résultat brûle la cataracte. Et ne parlons pas des effets spéciaux répugnants, sûrement générés avec un logiciel d'infographies périmé depuis 20 ans.
À la mise en scène, Otto Bathurst convoque les pires travers du cinéma d'action, quelque part entre Renny Harlin et John Moore. Gestion de l'espace envoyée au quatre vents, ralentis abominables à foison, chorégraphies à pleurer, et ce montage qui évoque l'œuvre d'un boucher aveugle...À titre d'exemple, spoiler: l'introduction en Arabie est une pure démonstration de grand n'importe quoi. On se croirait dans un Call of Duty du pauvre. Sérieusement, vous changez juste les fusils par des arcs, le résultat est exactement le même (il y a même une mitrailleuse gatling à flèches !).
Artistiquement, le long-métrage est l'un des plus laids que j'aie vu depuis très longtemps. Heureusement, les comédiens ont l'air de partager cet avis. Incidemment, leurs prestations sont au mieux fonctionnelles (Ben Mendelsohn), au pire indignes (tous les autres).
Bref, celui qui s'est fait détrousser ici, c'est Robin des Bois. On lui a ôté son charisme et sa portée symbolique. Le plus grave, c'est que lui n'a rien demandé tandis que le pauvre spectateur aura sûrement payé pour ça. Dans les deux cas, il n'en ressortira que de la souffrance.
très spectaculaire, en fait trop spectaculaire à tel point qu'on y perd l'essence même de Robin des Bois. Les personnages sont très peu travaillés et l'intrigue reste très plate. Les scènes de combat sont pour certaines bien.
Contes, légendes, ballades, depuis le 13ème siècle, l’histoire de Robin des bois a traversé le temps avec autant de version que d’auteurs et conteurs. Le cinéma nous a forcément livré déjà de nombreuses variantes ! Cette dernière interprétation veut apparemment se libérer un peu plus des traditions autour du mythe, dès les premières minutes, le ton est donné : Intentionnellement, aucune époque historique n’est donnée. On retrouve plusieurs éléments de plusieurs périodes, histoire même de nous empêcher de nous situer. Forcément, ça peut freiner et empêcher même de s’immerger dans le film. Pour ceux qui accepteront ces libertés (car finalement, chaque version en a pris), ce film offre sa dose d’action et de cavalcade à grande échelle. Taron Egerton incarne un Robin assez jeune, bien plus en tout cas que le dernier en date avec Russell Crowe (de Ridley Scott, sortie en 2010). Le scénario reprend tout de même les grandes lignes de la légende, ça file tambour battant, pas le temps de s’ennuyer ! Bref, action, amourette, spectacle visuel, les ingrédients sont réunis pour offrir un film d’action efficace bien que finalement conventionnel.
Ce nouveau remake de Robin des Bois offre une relecture intéressante et dynamique de la vie du célèbre personnage. Taron EGERTON livre une performance satisfaisante et son duo avec Jamie FOXX fonctionne plutôt bien. Le film ne brille pas par son originalité, mais il demeure un divertissement convenable, loin du naufrage annoncé.
Cette version modernisée et punchie transforme le film en un simple film d’action. Plutôt bien fait au demeurant mais sans aucune autre dimension, sans profondeur. Un peu regrettable de n’avoir pas mieux exploité ce potentiel.
darkvash
Robin des Bois, le retour...encore.
Donc on modernise le tout, on met des effets stylés comme des ralentis, des explosions et un peu de décolleté, des acteurs un peu branchés, on secoue et voila.
Bon le souci c'est le reste, à savoir tout.
Le déroulement du film fait peine à voir, les situations sont bancales et on se demande comment personne n'arrive à griller l'identité du archer tellement la situation est évidente.
Les acteurs sont peu inspirés, mention spéciale au "méchant", possédant un charisme digne d'une raclette froide et qui faisait déjà un peu pitié dans Ready Player One.
L'histoire est un peu remaniée pour pas faire comme les autres mais n'en méritait pas autant.
La BO possède quelques morceaux intéressants, de type épiques comme il faut, et tout et tout.
Bref, les résultats au Box Office parlent d'eux mêmes, le film n'est pas terrible et je ne pense pas (heureusement) qu'une suite verra le jour.
Donc on modernise le tout, on met des effets stylés comme des ralentis, des explosions et un peu de décolleté, des acteurs un peu branchés, on secoue et voila.
Bon le souci c'est le reste, à savoir tout.
Le déroulement du film fait peine à voir, les situations sont bancales et on se demande comment personne n'arrive à griller l'identité du archer tellement la situation est évidente.
Les acteurs sont peu inspirés, mention spéciale au "méchant", possédant un charisme digne d'une raclette froide et qui faisait déjà un peu pitié dans Ready Player One.
L'histoire est un peu remaniée pour pas faire comme les autres mais n'en méritait pas autant.
La BO possède quelques morceaux intéressants, de type épiques comme il faut, et tout et tout.
Bref, les résultats au Box Office parlent d'eux mêmes, le film n'est pas terrible et je ne pense pas (heureusement) qu'une suite verra le jour.
Jerem69tt
Un remake sympathique avec un scénario un minimum retravaillé et porté par un acteur de qualité pour donner un film agréable. Pas révolutionnaire cependant.
HamsterPsycho
Cette variation de Robin des Bois aurait pu donner quelque chose de potable, mais pas de cette façon. Au lieu de se créer sa propre identité, ce film ne fait qu'assembler différentes influences de façon peu subtile.C'est un mélange du Robin des Bois avec Kevin Costner, de Zorro pour ce qui est de la double identité, et visuellement c'est du Guy Ritchie. Sauf que n'est pas Guy Ritchie qui veut. Faire du moderne dans une époque médiévale est très risqué et il y a peu d'élus à ce jeu. Il ne suffit pas de mettre des vestes, des t-shirts (Robin se retrouve en T-shirt, oui) et des ralentis dans toutes les scènes. N'est pas Guy Ritchie qui veut. Cette production sur Robin des Bois sera vite oubliée faute de véritable charisme.
Ciné2909
Le célèbre voleur des riches trouve une nouvelle incarnation en la personne de Taron Egerton qui s’en donne à coeur joie dans un film nerveux et bourré d’action. On est donc bien loin des récentes versions où brillaient Kevin Costner et Russel Crowe, le réalisateur Otto Bathurst a misé sur le fun quitte à prendre certaines libertés avec ses phases d’action invraisemblables où l’impact des flèches est pareil à celui d’armes à feu. Avec tout ça, il est évident que la romance entre l’archer et la belle Eve Hewson passe totalement au second plan. On passera rapidement sur l’histoire et les autres personnages qui partagent le point commun d’être sans originalité. Une nouvelle adaptation sans âme dont on se lassera aussi vite que Robin des bois décoche ses flèches.
J'ai plutôt passé un bon moment, ce n'est pas mon genre de film mais cela reste divertissant avec beaucoup de scènes d'actions et des acteurs performants, ce film n'a rien d'innovant en soit mais cela reste sympa à regarder.
La palme du film raté (mais complètement raté) est décernée à Otto Bathurst pour avoir insulté la légende de Nothingham.
Tout est mauvais dans ce film : les décors (un mélange de Florence et de Bagdad pour représenter Nothingham), la mise en scène, les acteurs qui s'ennuient et nous ennuient, les habits qui ressemblent à des tenues de Pop-Rock, des personnages qui n'ont rien à avoir avec la légende, des personnages manquants (ancune référence au roi Richard), des armes sorties de je ne sais quelle imagination, un scénario qui ne tient pas la route et une histoire abracadabrantesque.
Ce film est vraiment une grande déception.
Tout est mauvais dans ce film : les décors (un mélange de Florence et de Bagdad pour représenter Nothingham), la mise en scène, les acteurs qui s'ennuient et nous ennuient, les habits qui ressemblent à des tenues de Pop-Rock, des personnages qui n'ont rien à avoir avec la légende, des personnages manquants (ancune référence au roi Richard), des armes sorties de je ne sais quelle imagination, un scénario qui ne tient pas la route et une histoire abracadabrantesque.
Ce film est vraiment une grande déception.
Une nouvelle transposition de la Légende très décevante qui semble être une copie mineure de la version avec Kévin Costner et Alan Rickman. Le film aurait put être grandiose si les producteurs avaient eu plus d'inspirations, un budget conséquent d'où la durée assez courte du film, et enfin ils auraient puent évités de ne pas copier le ton jouissif et la férocité des scènes d'actions de la franchise " Kingsman " ! Taron Egerton est très bon acteur mais il n'a rien à faire ici car, même s'il s'en sort correctement bien tout en essayant d'apporter une vision novatrice au personnage, il n'a pas assez de charisme ni la force nécessaire pour joué le rôle à 100%. Loin d’être un grand film d'aventure, cette cure 2018 reste divertissante pour ses scènes d'actions, ses bons décors et sa distribution plutôt acceptable.
iceman7582
Une énième revisite de Robin des bois. Plus moderne, plus spectaculaire et complètement pop-corn... Une version qui intéressera principalement les ados. Car le scénarios n'apporte rien, les acteurs font le job sans plus et les dialogues sont parfois pompeux.
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