Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
10 critiques presse
Cahiers du Cinéma
par Nicolas Azalbert
Plans documentaires ou plans de fiction ? Peu importe du moment que le cinéma est capable de faire ressentir cette injustice, cette nostalgie, cette vie.
Critikat.com
par Clément Graminiès
(...) le film a l’intelligence de ne pas rendre ces hommes prisonniers d’un dispositif (...).
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
L'Obs
par François Forestier
A la fois essai poétique et dénonciation d’une dureté sociale, le film navigue avec élégance entre confessions, fragments, souvenirs, témoignages. L’utopie d’un monde sans frontières traverse, avec grâce, tout le récit. Le ton est juste : pas de revendication, pas de pathos. C’est beau, dans sa simplicité même.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Monde
par Isabelle Regnier
La justesse de ce film, qui s’enracine dans le tumulte du « printemps arabe » pour se dissoudre, comme dans le vent, sur une évocation du sort du peuple palestinien, tient en outre à l’adéquation entre la croyance qu’il porte et les conditions dans lesquelles il a été produit, au sein du laboratoire associatif L’Abominable.
Les Fiches du Cinéma
par Roland Hélié
En vertu de ses incontestables qualités cinématographiques, “Brûle la mer” doit être vu comme un très beau film.
Libération
par Luc Chessel
"Brûle la mer" cherche partout la beauté, s’en remplit et s’en sature. Un film quitte toutes les raisons pour accoster sur la grève humide du poème.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Transfuge
par Damien Aubel
"Brûle la mer" est un docu engagé, mais au sens où le sont aussi ceux de Sylvain George : engagés, à travers une forme souvent expérimentale, parfois très belle, dans une expérience subjective.
La Croix
par Marie Soyeux
Ce documentaire manque parfois de clarté. Mais il a des allures d’abri, où trouver calme et recul, pour évoquer le pays quitté et le pays rêvé.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Télérama
par Frédéric Strauss
Sur l'écran, l'amertume se raconte à travers une belle délicatesse cinématographique, des images qui disent le sentiment par-delà le ressentiment.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Studio Ciné Live
par Véronique Trouillet
Ce documentaire s'avère complaisant à l'excès envers ces migrants tunisiens (...).
Cahiers du Cinéma
Plans documentaires ou plans de fiction ? Peu importe du moment que le cinéma est capable de faire ressentir cette injustice, cette nostalgie, cette vie.
Critikat.com
(...) le film a l’intelligence de ne pas rendre ces hommes prisonniers d’un dispositif (...).
L'Obs
A la fois essai poétique et dénonciation d’une dureté sociale, le film navigue avec élégance entre confessions, fragments, souvenirs, témoignages. L’utopie d’un monde sans frontières traverse, avec grâce, tout le récit. Le ton est juste : pas de revendication, pas de pathos. C’est beau, dans sa simplicité même.
Le Monde
La justesse de ce film, qui s’enracine dans le tumulte du « printemps arabe » pour se dissoudre, comme dans le vent, sur une évocation du sort du peuple palestinien, tient en outre à l’adéquation entre la croyance qu’il porte et les conditions dans lesquelles il a été produit, au sein du laboratoire associatif L’Abominable.
Les Fiches du Cinéma
En vertu de ses incontestables qualités cinématographiques, “Brûle la mer” doit être vu comme un très beau film.
Libération
"Brûle la mer" cherche partout la beauté, s’en remplit et s’en sature. Un film quitte toutes les raisons pour accoster sur la grève humide du poème.
Transfuge
"Brûle la mer" est un docu engagé, mais au sens où le sont aussi ceux de Sylvain George : engagés, à travers une forme souvent expérimentale, parfois très belle, dans une expérience subjective.
La Croix
Ce documentaire manque parfois de clarté. Mais il a des allures d’abri, où trouver calme et recul, pour évoquer le pays quitté et le pays rêvé.
Télérama
Sur l'écran, l'amertume se raconte à travers une belle délicatesse cinématographique, des images qui disent le sentiment par-delà le ressentiment.
Studio Ciné Live
Ce documentaire s'avère complaisant à l'excès envers ces migrants tunisiens (...).